Titre: [Fanfic hors sonic]Conan, Mafioso malgré lui Posté par: gros_tonny le Janvier 27, 2006, 08:27:15 pm Une histoire avec beaucoup d'erreurs certes, mais où il y a beaucoup d'actions et où l'humour se ferra de plus en plus rare pour laisser place au tragique:
CONAN, MAFIOSO MALGRE LUI Je vais vous faire découvrir l'histoire de Conan. Une histoire qui se passe aux Etats-Unis, durant les années 30, l'époque de la prohibition. 1er épisode: La grande vadrouille Partie n° I: 1950 Bonjour, je me présente, je m'appelle Conan! Day Conan. Je me trouve en ce moment-même au commissariat, tout ça parce qu'une bande de mafiosi m'a fait croire que j'allais devenir une star du cinéma! De plus, j’étais tout le temps habillé à la Sherlock Holmes! Je me suis habitué et je ne craignais plus rien depuis. Ce n'est que 19 ans plus tard que je me sens à présent complètement débile et que je réalise la gravité de la situation! Vous ne me croyez pas?! Eh bien remontons dans ce cas-là dans le passé! Partie n° II: 1931 A cette époque, j'étais laveur de vitrines, je gagnais très peu ma croûte, mais le peu que je gagnais me suffisais. J'habitais à Chicago dans une rue mal fréquentée! J'essayais d'ignorer tous les gens qui se trouvaient autour de moi, en réalité je ne faisais que respecter les consignes de ma mère! Ce jour-là c'était mon jour de congé, et pour passer une bonne journée, j'ai voulu me promener dans les beaux quartiers de Chicago. Mais, je ne m'attendais pas à ce qui allait se passer! Qu'est-ce que j'ai pu être naïf à cette époque! Tout allait bien! Je me promenais tranquillement... euh tranquillement... ce n'est pas vraiment le mot; à chaque fois que je me promenais, je devais me ramasser les crottes de chiens! Bref! C'est à ce moment où j'allais marcher sur une crotte de chien, qu'un homme, petit et gros m'appela... L'anonyme: - MONSIEUR!!!! Conan: - Mon dieu! Heureusement que vous m'avez appelé, j'allais justement marcher dans de la mer.... euh... Oui? Que puis-je faire pour vous? L'anonyme: - Nous recherchons un dangereux bonhomme, nous le surnommons "Le chanteur"! L'avez vous vu? Conan: - Non désolé! Avez-vous bien vérifié toutes les maisons de disques de Chicago? L'anonyme: - Mais bien sur! Vous avez raison! Pourquoi n'y ai-je pas pensé plutôt! Bravo! Vous êtes digne de faire partie de notre équipe secrète!(C'est cet homme qu'il nous faut, il a l'air naïf, maladroit et simple d'esprit!) Conan: - Une équipe privée?? L'anonyme: - Eh oui, mon cher ami! Tenez, voici ma carte! Vous appèlerez ce numéro, mon secrétaire vous répondra! Et ce que je vous donne est une occasion à ne pas rater! On va vous donner un job et vous serez bien payé! Conan: - Mais...... L'anonyme: - Tatata! Venez, vous n'allez pas être déçu! Conan: - Bon..... c'est d'accord! L'anonyme: - Croyez-moi, vous avez fait le bon choix! Je vous quitte! A bientôt cher ami! (Et voilà! C'est à ce moment là que je me suis laissé embobiné par cet individu! Quelle erreur, mais quelle erreur! Et pourtant ce n'est encore rien à côté de ce que je vais vous raconter...) Partie n° III (Moi, curieux, je n’ai pas pu m’empêcher de me précipiter vers la première cabine téléphonique que je trouve. Je compose le numéro indiqué sur la carte et comme a dit cet individu, je tombe sur son secrétaire : Conan : - Allô ? Le secrétaire : - Bonjour, vous êtes bien chez Monsieur Dinero, je suis son secrétaire, que puis-je faire pour vous ? Conan : - Euh, eh bien, Mr. Dinero m’a laissé une carte et il me propose un nouveau boulot Le secrétaire : - Ah ! Je vois, euh… Un instant, s’il vous plaît………………………………………………………………… Allô ? Conan : - Oui ? Le secrétaire : - C’est exact, venez demain à 9h du matin à l’avenue Neil Armstrong. Conan : - Ah ? c’est une maison de disque ? Vous travaillez dans le show-business ? Le secrétaire : Euh… Oui, c’est cela. Bonne journée, monsieur ! (Moi qui croyais que j’aillais devenir une star ! Comment j’ai pu être aussi stupide ?! Je ne me doutais pas du tout que j’allais faire partir de la mafia !) Pendant ce temps, chez Mr. Dinero… Mafioso1 : Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée ! Vous imaginez ce qu’il peut nous faire ?! Mafioso2 (au gros accent italien): Ma qué, détend-toi ! Le boss a dit que ce n’est qu’un abruti inoffensif ! D’autant plus qu’il pourra nous rapporter gros ! Et puis, si cet individu nous dénonce à la police, je lui éclaterais la cervelle avant même qu’il y aille ! Mafioso1 : - Roberto est au courant de tout ça ? Mafioso2 : - Non ! Il ne doit rien savoir pas avant que nous ayons trouvé 1 débile en plus ! (A ce moment là, apparaît Mr. Dinero, ce gaillard toujours habillé en costume cravate, accompagné de son gros cigare à la bouche) Mr. Dinero : - Bon! Jusqu’ici, notre plan marche à merveille! Demain matin, nous recevrons Mister Day Conan! D’après mon secrétaire, il croit qu’il va travailler dans le show-business ! Vous avez exactement 2 heures pour que mon entreprise ressemble à une maison de disques ! Lorsqu’il viendra, vous l’accueillerez le plus chaleureusement possible ! Et vous le ferez croire que vous serez tous des chanteurs et des musiciens ! Au boulot les gars ! (Vous vous rendez compte ? Je n’avais jamais vu des gens aussi organisés ! Ils ont tout fait pour me faire croire que j’allais travailler avec des gens du show-business! Le lendemain, je suis parti de chez moi, et je me suis rendu où on m’a demandé d’aller, je peux vous dire que j’ai eu beaucoup de mal à trouver leur « maison de disques », elle était bien cachée. Enfin, pour ma part tous me semblait normal, je ne me demandais même pas pourquoi c’était si isolé. Au moment où je sonnais à la porte, quelqu’un m’appela ): Inconnu : - Psst, hé ! M’sieur ! Je ne me sens pas bien du tout, je crois que je vais m’évanouir! Conan : - Je ne peux rien faire pour vous, j’en suis vraiment navré, ce n’est pas chez moi ici. Inconnu : - « Gloup » J’ai maintenant envie de vomir! Je vous en supplie ! Conan : - Euh… Bon ! Alors tenez bon je vais vous aider ! Inconnu : - J’EN PEUX PLUS !!! DEPÊCHEZ-VOUS !!! Conan : - NE VOUS INQUIETEZ PAS, TENEZ BON, MON AMI !!! Inconnu : - JE NE ME SENS PAS BIEN DU TOUT, J’AI DES VERTIGES MAINTENANT!!!! Conan : - OUI, OUI, OUI !!!! (A ce moment-là, on ouvre la porte) : Mafioso2 : Bonjour monsieur Day Conan ! Ravi….. (Je l’interrompis) Conan : - Au nom du ciel, laissez passez ce pauvre homme ! IL SOUFFRE LE MARTYR, LAISSEZ-LE ALLER AUX TOILETTES !!! (Et comme ça, j’ai commencé à mettre une pagaille qui s’intensifia de plus en plus ! Le gars qui m’a ouvert la porte a toute de suite alerté ses hommes, il y en qui étaient armés, mais je m’enfichais complètement, je me préoccupais surtout à trouver les toilettes ! Et puis à force, ça allait droit vers la catastrophe…) Mafioso2 : - MAIS QU’EST-CE QUE VOUS FAITES ?????!!!! A L’AIDE ! NE LE LAISSEZ PAS ENTRER AVEC CE CLODO !!!! Conan : - Mais laissez-moi passer ! VOUS NE VOYEZ PAS QU’IL EST MALADE ?! Inconnu : - J’AI MAL AU VENTRE !!! Conan : - bon dieu de BON DIEU, IL A MAL AU VENTRE MAINTENANT ! Mr. Dinero : - QU’EST-CE QUE C’EST QUE TOUT CE RAFFUT, ICI ???!! Mafioso2 : - PATRON !!! Y A MONSIEUR DAY QUI ESSAIE A TOUT PRIX DE FAIRE PASSER CE CLOCHARD !!! J’ai donc alerté tous vos hommes ! Mr. Dinero : - MAIS VOUS N’ÊTES PAS BIEN ??? LAISSEZ-MOI PASSER !! (Finalement, Mr. Dinero a réussi à tout remettre en ordre) : Mr. Dinero : - Qu’est-ce qui se passe, monsieur ? Conan : - Il y a cet homme qui a besoin d’aller aux toilettes, il ne se sent pas bien du tout ! Mr. Dinero : - Venez avec moi !……….. Voilà les toilettes ! A présent, Mister Conan, venez avec moi… (Et puis, juste après ce mauvais moment, je me suis tout de suite mis dans la tête qu’on allait me virer avant même que je sois embauché. Mais en réalité, tout le monde a fait comme-si de rien n’était après cette histoire… et c’est à partir à ce moment là que j’ai commencé à me poser des questions) Un peu plus tard : Conan : - Monsieur, croyez-moi que je suis vraiment désolé d’avoir mis la pagaille. Mr. Dinero : - Ce n’est pas grave, tout le monde a le droit à l’erreur… Conan : - Non monsieur, je m’en veux énormément, j’ai cassé pleins d’objets qui devaient avoir un prix immeeeeeeeeeennnnnnnnnse ! Mr. Dinero : - Tout... tout ça c’est oublié, passons à autre chose… Conan : - Et lorsque j’ai cassé votre vase chinois, je me suis dit que c’est fini, mais je suis extrêmement navré et…. Mr. Dinero : - VOUS AVEZ FINI ?! Conan : - Et finalement vous ne m’en voulez pas… et c’est à partir à ce moment là que j’ai commencé à me poser des questions. Mr. Dinero : - Tout simplement parce que vous êtes notre seul espoir à faire de notre maison de disques une grande célébrité ! Conan : - Ah bon ? Et qu’est-ce que vous voulez que je fasse exactement ? Mr. Dinero : - Eh bien en réalité, notre maison de disques collabore avec une société qui envisage à faire des films en utilisant notre musique ! Vous allez devenir acteur, mon jeune ami ! Conan : - C’est le meilleur job qu’on puisse m’offrir, monsieur Dinero ! Je commence quand ? Mr. Dinero : - Tout de suite ! Venez avec moi… (La meilleur nouvelle qu’on puisse m’offrir c’était que je devienne acteur, Qu’est-ce que j’étais heureux à ce moment là ! Et quelque minutes plus tard, ma vie allait commencer à prendre un autre sens, comme-ci je passais du rêve au cauchemar!) Mr. Dinero : - Venez, c’est par ici… Voilà, veuillez passez cette porte. Conan : - Avec plaisir…. (Et devant moi, je voyais tout un groupe d’hommes tous habillés en costume cravate, ils étaient tous armés ! C’était… comment dire… Il n’y a pas de mots pour décrire cette scène épouvantable. Lorsque j’ai traversé la porte, on m’a tout de suite ficelé et bâillonné et on a commencé à me faire du chantage et des menaces ! Je n’avais pas le choix que d’accepter leur proposition ! J’allais devenir un mafioso !) Mr. Dinero : - Mr. Day, ma société est en crise! Je n’avais pas le choix que de prendre un pauvre débile tel que vous ! Vous êtes tombé dans mon piège, maintenant il va vous falloir obéir aux ordres!… Enlevez-lui le bandeau! Conan : - Euh, vous ne faites pas parti du show-business alors ? Mr. Dinero : - Pas exactement, non. Pour tout vous dire nous faisons du trafique d’alcool et de gros cigares. Mais depuis quelques temps, un homme très dangereux nous empêche d’accomplir notre mission ! Et la seule chance pour que mon entreprise survive c’est de le tuer ! Conan : - Vous trafiquez, vous êtes des criminels, jamais je ne serais des vôtres ! VOUS ENTENDEZ ??!!! Mr. Dinero : - Carl ? Donne-lui une bonne gifle! Ce sera pour une leçon ! CLAC !!!!!!!!! Conan : - AAAAAAAAAARRGH !!! C’est… D’accord ! Dites-moi ce que je dois faire… Je le ferais ! Mr. Dinero : - Enfin, vous devenez raisonnable, Mister Day. Déjà, retenez ceci : Pas de quartier, pas de pitié ! Vous craignez plus rien du tout ! C’est clair ? Conan : - Oui… Mr. Dinero : - Vous travaillerez pour nous ! Vous obéirez aux ordres que je vous donnerai… Ce que je vais vous demander est très simple… Je vous que vous partiez d’ici demain, pour aller à San Francisco, et tuer l’homme qui m’a ruiné !!! Conan : - SAN FRANCISCO ??!! Mais c’est tout au bout, à l’ouest des Etats-Unis! Et si je refuse votre proposition ! Elle est beaucoup trop dangereuse ! Mr. Dinero : - Dans ce cas je vous tue à l’instant même ! Conan : - Entendu ! Je le ferais votre sale boulot ! Et après vous me laisserez tranquille ? Mr. Dinero : - Non ! Ce serait trop facile! Vous travaillerez pour nous jusqu’à votre mort ! (Non mais quelle histoire ! Je suis tombé entre des mains de criminels, de mafiosi et maintenant je dois travailler pour eux ! J’avais le choix entre désobéir et être tué ou soit accepter de travailler pour eux et devenir un grand criminel ! J’ai pris la seconde proposition ! J’avais aussi le choix entre le suicide, mais je préfère garder cette idée pour plus tard !) Mr. Dinero : - Pour votre long et périple voyage, vous serez accompagnés par deux de mes collègues, fort sympathiques, je vous présente Smith… : Smith : - Bonjour, Mr. Day Conan, ravi de faire votre connaissance! Mr. Dinero : - Et enfin, mon fidèle bras droit, Roger, le seul homme qui arrive à faire peur sans rien faire, grâce à sa grosse voix ! Faites attention, Mister Conan, Roger adore faire rire : Roger : - Heureux de vous rencontrer enfin, Mister Gay Conan! Conan : - Euh, mon nom c’est Day, pas Gay. Roger: - Ne vous en faites pas, c’était juste un jeu de mot ! Conan: - Ah ouais, c’est vrai... Mr. Dinero : - Monsieur Conan Day, vous partirez cette nuit, à 3 heures du matin, afin que vous puissiez quitter la ville tranquillement et ensuite aller jusqu’à San Francisco pour retrouver Roberto et l’assassiner. Je vous donne à chacun une sulfateuse, au cas où vous aurez des petits ennuis. Car lors de votre route, il y a de fortes chances que vous ayez des problèmes. Conan : - Et moi ? Smith et Roger ont eu le droit à une sulfateuse et moi alors ? Car c’est moi qui doit tuer l’homme. Mr. Dinero : - En effet, c’est pour ça que je vous donne ce revolver… Conan : - Un revolver ?!… Bon. Mr. Dinero : - Eh bien Mister Conan, je n’ai plus qu’à vous souhaiter un agréable voyage ! Smith vous accompagnera et dormira chez vous ! On ne sait jamais… Conan : - Non mais c’est une plaisanterie ! Jamais je ne dormirais avec ce freluquet ! Mr. Dinero : - CARL ! Donne-lui une gifle! Conan : - NON ! Non ! Smith dormira chez moi ! Roger : - A demain Mister Conan Doyle ! Conan : - Day ! Pas Doyle ! Roger: - Ne vous en faites pas, c’était juste encore un jeu de mot ! Conan : - Ah ouais, c’est vrai… Mr. Dinero : -Ah au fait, j’oubliais, tenez, je vous donne des vêtements ! Vous serez obligés de les porter, je ne tiens pas que Smith ainsi que mon bras droit se fasse tuer et c’est aussi pour votre sécurité ! Jouez le détective privé ! Si vous n’obéissez pas, PAN PAN ! Alors faites gaffe ! Conan : - Pff ! AU REVOIR !!! (Vous avez deviné ? Eh ouais, l’habit que m’a donné M. Dinero est un accoutrement qui ressemble tout à fait celui de Sherlock Holmes! Je me ridiculisais, je devais devenir méchant, tueur, mais en plus je devais me trimballer ces Laurel et Hardy. Je vivais un cauchemar ! Lorsque je suis rentré chez moi, Smith m’a semblé très sympathique, à chaque fois que je le voyais il me faisait un grand sourire de politesse tout en tenant son arme à la main de peur que je m’échappe et que j’aille alerter la police ! Je ne savais plus quoi faire ! Demain matin, je vais devoir partir pour parcourir plus de 3000 km ! Pour moi c’était de la folie pure ! D’autant plus que je vais peut-être me faire tuer en route ! Et cette histoire ne fait que commencer!) Parti n° IV Pendant cette nuit : Conan : -*rrrrrrroooooonnnnn….rrrrrrrrooooooooonnnnn…..* PAN, PAN, PAN ! Conan, sursautant du lit: - AHHHH! C’EST QUOI ??!!! Smith : -Bah je m’entraînais à tirer ! Vous posez de ces questions vous alors ! Conan : - MAIS VOUS ÊTES FOU !!! JE VOUS SIGNALE QU’IL Y A DES GENS QUI DORMENT, QUE NOUS RISQUONS DE SE FAIRE ATTRAPER ET QU’IL EST SURTOUT 1 HEURE DU MATIN !!! Heureusement que personne n’a entendu… Toc, toc… Smith : - Je vais ouvrir… Conan : - Oui c’est ça ! Va ouvrir pour qu’on soit tous tué ! Smith, ouvrant la porte : - Bonsoir… Il y a problème ? Inconnu : - Oui, nous sommes venus ici car il y a un dingue qui n’arrêtait pas de crier et cela provenait de chez vous ! Qui a fait ça ?! Smith : - Eh bien c’est mon collègue, monsieur, je vous présente Mister Day Conan ! Inconnu : - Môssieur Conan, la prochaine fois que je vous entende crier de la sorte, j’appelle les flics ! C’est bien compris ? Conan : -Ou.Oui, B.B..Bonne nuit monsieur! (Ce n’est pas possible ! La malchance était autour de moi ! Pourtant moi qui ne suis pas superstitieux, j’ai pourtant l’impression que quelqu’un m’en veux ! C’est incompréhensible : On entendait pas les gros coups de feux provenant de machin dénommé Smith et moi, avec mon cri féminin, on m’entendait ! Enfin bref ! J’ai pu tout de même passé 1 heure de bonne nuit de sommeil !) Le lendemain, c’est à dire à 3 heures du matin, Conan et Smith emportent leur bagage avec eux pour se diriger tout d’abord à l’avenue Neil Armstrong. Roger ainsi que Carl les attendaient… Et une fois arrivée… : Carl : - Bon, venez avec moi !(Conan, Smith et Roger suivent Carl.) Voilà, vous avez devant vous une de nos meilleurs bagnoles ! Elle consomme beaucoup d’essence mais sa carrosserie est très solide, elle possède une grande poussée d’accélération elle peut même atteindre les 130 km/h ! C’est un vrai bijou ! Pendant ce temps là, Smith chuchote à l’oreille de Conan : Smith : - Alors là, nous allons passer aux au revoir d’adieu et ce qu’on fait nous, entre mafiosi pour se dire au revoir, on se donne un gros coup de poing sur notre épaule gauche ! Vous allez voir ! Conan : - Ah ! Eh bien je ne crains que ce soit pas possible pour moi, je suis gaucher et en plus je conduis du bras gauche ! Je ne peux pas ! Smith : - VA DIRE AU REVOIR A CARL !!! Carl : - Allez viens que je t’embrasse ! Conan : - P.p.pp..pitié! T. tu ne préfères pas qu’on se sert la main ? Carl : - Oh bah non alors ! Il n’y a que les mauviettes qui se servent la main ! Bon alors t’es prêt ? Je prépare mon coup de poing… Conan, impressionné par la carrure de Carl, s’évanouit… Smith : - Oh lala ! Conan! Il est tombé dans les pommes! Carl : - T’en fais pas, je vais le réveiller en le giflant ! Conan, entendant le mot gifle, se réveille: - NON !!! Non ! Je vais mieux ! Carl : Mmmmh ??? Décidément, il faut que j’aille voir le toubib pour lui dire que j’ai le don de réveiller les gens ! Bon, bonne chance les amis ! Roger : - Il est temps de partir ! Smith et Coluche, montez dans la voiture ! Conan: - MON NOM C’EST CONAN !!!!!! Roger : - T’en fais pas, c’était juste un jeu de mot… Conan : - Sans blague !! Ainsi, commence le grand voyage de nos trois compagnons ! Ils sont partis de Chicago pour aller jusqu’à San Francisco ! Ils devront traverser les grands champs d’agriculture, les forêts, le désert, les montagnes… En attendant, ce sont les grandes pleines qu’ils traversent. Les voilà partis de Chicago d’il y a un peu plus d’ 1heure… Conan, en conduisant : - Bon ! Encore quelques minutes et nous arriverons dans l’état du Wisconsin. J’ai de la famille là-bas… Smith : - Ah bon ? où ils habitent ? Conan : - A Madison. Ils ont failli mourir lors d’un incendie, enfin, je ne sais plus vraiment ce qui s’est passé, mais en tout cas, c’était affreux ! Roger : - J’ai soif !… Conan : - EVIDEMMENT, MES HISTOIRES DE FAMILLE VOUS ENNUIE ET VOUS DONNE SOIF !!! Roger : - Non mais tu déconnes, c’est pas possible ! Conan : - T’AS FINI AVEC TES JEUX DE MOTS POURRIS, OUI ???!!!!!!!!! Roger : - Qu’est-ce que j’ai fait ??? Conan : - DAY CONAN, DECONNER, LE VOILA LE JEU DE MOT ! Roger : - Ah ouais ! Eh toi aussi t’as de l’humour Conan ! Il est génial ton jeu de mot ! Conan : - Bah en réalité c’est toi qui l’a trouvé inconsciemment… Smith : - Bon calmez-vous, il faut garder son sang froid si nous voulons tuer ! C’est très important !…….. Ahhhhhh, nous voilà arrivés dans le Wisconsin ! Roger : - Qui a faim ? j’ai faim ! Conan : - Bon, je m’arrêterai dans ce cas dans la ville la plus proche… Tu as la carte Smith ? Donne-nous la ville la plus proche s’il te plais… Smith : - Oui, notre prochaine ville sera le Milwaukee… Eh ! On pourra visiter les alentours ! Conan : - crois-moi Smith, j’habitais autrefois dans cet état et il n’y a rien d’intéressant dans le Wisconsin ! Nous approchons de la ville… Euh, petit problème, les restaurants c’est très cher et trop chic pour moi ! Roger : - C’est vrai que laveur de vitres c’est pas top ! Conan : - Mais j’étais content de mon métier ! Je gagnais pour manger et dormir ! Et cela me suffisait ! Roger : - Quel honte ! Nous, la mafia, vivons tranquille, peinard, dans une maison gigantesque et où t’as la possibilité de trouver du pognon autour de toi ! Conan : - Ah oui ? et qu’est-ce que vous faites si vous vous faites attrapés par la police ? Roger : - Qu’est-ce que j’en ai à faire des poulets ?! Je ne fais qu’obéir aux ordres du boss ! Un point c’est tout et je peux dire que j’ai de la chance de l’avoir comme patron ! Je suis super bien payé ! Conan : mmmh ! pourquoi je perds mon temps à parler avec vous ! Je devrais directement vous emmener au commissariat ! Smith : - Dommage, si tu le fais, on sera obligé de te tuer ! Conan : - Mais j’ai un flingue, je peux donc vous tuer à tous moment, héhé ! D’ailleurs je pense que je vais le faire tout de suite ! Roger : - Euh non tu peux pas ! Conan : - Haha ! Je vais me gêner, ouais ! VOUS ÊTES TOUS DES CRIMINELS ! JE VAIS VOUS TUER !!!! Smith : - Bah là, ce sera toi qui deviendra criminel ! Et puis, comme a dit Roger tu ne peux rien faire car c’est moi qui détient ton arme ! En attendant, détend-toi et regarde devant toi ! Tu prendras la prochaine sortie, nous arrivons à Milwaukee… Partie n° V (Nous nous sommes donc arrêtés à Milwaukee, notre première ville. Lorsque je suis descendu de la voiture, la seule chose que je voulais faire c’était de prévenir la police, mais Smith et Roger étaient juste à côté de moi. Lorsqu’on a trouvé le restaurant, j’ai eu une petite idée qui m’ai passé derrière la tête…) Conan : - Bon ! Les amis, je vous quitte, je dois aller au toilette. Smith : - Je t’accompagne ! Conan : - NON ! Smith : - Très bien, ok, ok… (Smith s’approchant de Roger, lui chuchote à l’oreille) : - Veille à ce qu’il ne fasse pas de bêtise ! Roger : - Compte sur moi ! (Au lieu d’aller au toilette, je suis sorti par la porte de derrière ! Et j’ai couru, couru jusqu’à que je trouve un commissariat ! Et finalement, j’ai réussi à en trouver ! C’est à ce moment là que Roger m’a vu, il a commencé à courir lui aussi ! Moi, je me dirigeais droit vers la police, et j’ai commencé à hurler : - AU SECOURS, A L’AIDE, ON ESSAIE DE ME KIDNAPPER ! A L’AIDE !!! » Mais en vain, personne ne m’a entendu ! Roger à commencé à me rattraper, il courait vraiment très vite ! Mais sur cet instant, je n’avais pas peur, je me suis retourné et étais prêt à lui donner un gros coup à ce paquet de gros muscles !) Conan : - LÂCHE-MOI !!! Roger : - Calme-toi ! CALME-TOI !!!! ET VIENS AVEC NOUS !!! Conan : - VOUS N’AVEZ PAS LE DROIT DE ME FAIRE CA !!! LAISSE-MOI ALLER PREVENIR LA POLICE SINON JE PIQUE UNE CRISE !!!!!! Roger : - NON !! VIENS ET VA MANGER !!!! ( Je n’ai pu me retenir que de lui donner des coups de poings, coups de pieds et même des morsures ! J’ai dû rassembler toutes mes forces pour lui faire ça…. Roger n’a pratiquement rien senti ! Il restait calme et me ramena au restaurant ! J’étais fatigué, je n’en pouvais plus ! courir et me bagarrer m’a donné faim et m’a rendu du coup très faible ! Finalement j’ai bien mangé et pendant ce temps là, Smith et Roger restèrent silencieux et me regardèrent en train de finir mon assiette… Lorsqu’on est reparti prendre notre route, Smith a repris le volant. Moi j’étais en train de dormir, du moins, j’étais surtout en train de penser à une chose : ces gaillards sont beaucoup trop forts, pas étonnant que la police a beaucoup de mal à capturer la mafia ! Je ne vois pas pourquoi, moi, je réussirais à leur échapper ! On a continué à aller vers le Nord-Ouest des Etats-Unis… J’ai dormi pendant plus de 2 heures dans la voiture. Lorsque je me suis réveillé, tout le monde continuait à rester silencieux, ainsi, j’ai commencé à regarder le paysage. Rien d’impressionnant, ce n’était que des pleines, et des champs d’agriculture ! Pas de doute, on était encore dans le Wisconsin, j’avais complètement oublié que c’était tout de même un grand Etat des Etats-Unis. Je ne voyais que des champs de blé, des pleines toutes vertes, des Ranch, des fermes, et tout ça, se répétaient. Ils nous arrivaient parfois de longer les voies ferrés, on voyait les immenses train de marchandises passés devant nous. C’est ça, l’Amérique… Enfin, nous sommes arrivés dans l’Etat du Minnesota. On a continué notre route. Nous sommes restés silencieux, jusqu’à notre prochaine destination : St Paul, la capitale du Minnesota, cette ville qui se situe au bord du très beau Fleuve du Mississipi. St Paul était une belle ville ! On a même visité Wabasha Street, la célèbre avenue de la capitale ! Il y a des moments où j’oubliais toutes ces histoires de mafiosi ou de crimes et je profitais avec Roger et Smith de cette paisible ville. Et j’étais heureux. En plus, puisque j’étais avec la mafia, on avait pas besoin de dormir à la belle étoile, non, on s’est payé le meilleur hôtel ! Un hôtel luxueux ! On a bien dormi, on a bien mangé, on a visité beaucoup de rues et de paysages dans la ville et dans ses alentours ! Seul les touristes riches avaient la possibilité de faire ce qu’on a pu faire. La visite de l’Etat du Minnesota restera pour moi un très grand souvenir même si j’étais avec des mafiosi, mais je m’enfichais ! On est resté 2 nuits ! Et le lendemain on a quitté la capitale et on a repris la route… C’est à partir de là qu’un nouveau cauchemar a commencé et je n’ai jamais rien vu d’une chose aussi affreuse !) Conan : - Donc on est censé s’arrêter à Aberdeen, c’est ça ? Roger : - Ouais ! Il y a ma mère et ma sœur qui vivent là-bas, en réalité elles vivent à côté de la ville. C’est dans les champs ! Elles vivent à la ferme ! C’est super sympa ! Smith : - Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai un mauvais pressentiment… Roger : - QUOI ?! Elle te plaît pas ma sœur, c’est ça ?! Eh, Conrad, comment tu trouves ma sœur ? Conan : - Je sais pas, je la connais pas ta sœur ! ET MON NOM C’EST CONAN !!! Roger : - T’en fais pas, c’était juste un jeu de mot. Conan : - Ah ouais, c’est vrai… Smith : - Euh Roger, pour en revenir à mon mauvais pressentiment, c’est que je le sens pas là ! Tu ne préfères pas qu’on aille à l’hôtel ? Roger : - Et puis quoi encore ?! J’ai besoin de voir ma famille aussi ! Et puis elles sont toutes les deux très gentilles ! Smith : - Et c’est où Aberdeen ? Car il n’y a qu’une seule route pour l’instant, mais si je me rappelle bien, d’après la carte, il y aura deux directions, on prendra laquelle ? Roger : - Celle du sud. C’est dans le Dakota du Sud. Mais c’est facile de toute façon, vous prendrez comme repaire la voie ferrée. Conan : - C’est cette direction ? Je prends Bloomington, non ? Roger : - Non, non ! C’est Minneapolis qu’il faut prendre ! On continue à aller vers le Nord du Minnesota. Conan : - Oui, mais il y a la voie ferrée qui va vers le sud ! Roger : - Crois-moi, c’est vers le Nord, c’est à quelques centaines de kilomètres de St Cloud que nous pourrons rejoindre la voie ferrée… Smith : - Bon, bah moi je vais piquer un petit roupillon… rrrrrrrrrooonnnnn…rrrroonnn…. Conan : - Roger, qu’est-ce qui t’as fait devenir mafioso ? Pourquoi as-tu accepté cette décision ? Roger : - Pour tout te dire, je n’avais pas le choix, c’était une question de vie ou de mort ! Conan : - Qu’est-ce qui s’est passé exactement ? Roger : - Au début, je n’étais qu’un simple barman ! Malgré que j’étais tout le temps débordé, j’étais très fier de mon travail ! En cette période, barman est un métier rare, tout le monde travaille à l’usine dorénavant. Je servais les clients à boire, à manger et je discutais souvent avec eux ! Il n’y avait que de la bonne humeur dans mon bar ! Autrefois je vivais chez mes parents, on gagnait très bien notre vie ! Ma maman est mère au foyer et mon père… bah, je ne savais pas ce qu’il faisait. Il n’aimait pas parler de son boulot ! Un jour, en rentrant chez moi, j’ai entendu des coups de feu ! Je me suis vite précipité dans mon jardin et me cacher dans un buisson ! J’avais tout un espace pour voir ce qui se passait ! Et à travers la fenêtre de la maison, je voyais mon père entrain de se faire démolir par la mafia ! Il saignait de partout ! On lui avait tiré sur son épaule et sur la jambe ! Mais il n’était pas mort ! On lui donnait de gros coups de poings sur le ventre ! Je le voyais souffrir ! Pour me venger, je suis sauté par la fenêtre, j’ai atterri sur l’ennemi, je lui ai pris son arme et je l’ai menacé devant toute sa bande ! A ce moment-là, la police arrivait, la mafia s’est tiré de chez moi ! Il fallait que je m’en aille aussi, car je détenais l’arme et j’avais un otage avec moi ! Mais avant de partir, je devais m’assuré que mon père était toujours vivant ! Mais il était trop tard ! J’ai donc couru le plus vite possible afin d’échapper aux poulets ! J’ai voulu me caché car à ce moment-là, j’ai tout de suite compris que ce sera la police qui me poursuivra mais aussi la mafia ! Et enfin, comme par hasard, j’ai trouvé un gars qui m’a recueilli ! Et il m’a demandé si j’étais d’accord de faire parti de sa bande afin de me venger ! J’ai accepté ! Et c’est comme ça que je suis devenu mafioso ! Ils m’ont beaucoup aidé tu sais, ils ont reconstruit ma vie, ils me paient bien, ils sont tous généreux, et tout ce que t’as à faire c’est de faire une partie de leur boulot ! Conan : - Pourquoi, tu n’es pas tout de suite allé prévenir la police pour tout leur expliquer ce qui s’est passé ! Roger : - Car mon père était en fait lui aussi un mafioso ! C’était le meilleur ami de Roberto ; l’homme que nous devrons tué ! Mais un jour, leur entreprise était en faillite, et pour survivre il nous fallait de l’argent ! Mon père n’a pas trouvé d’autre solution que de les trahir ! Mon père était un très grand criminel ! Mais il nous aimait ! Et… et moi aussi je l’aimais ! Conan : - Je comprends tout à présent ! Et t’as voulu donc faire parti de la mafia rivale de la bande de Roberto afin de venger ton père et protéger ta famille ! Je suis désolé pour ce qui s’est passé, Roger ! Roger : - Ouais bon ! On ne va pas faire tout un fromage non plus ! Nous tuons Roberto, point barre ! Conan : - Entendu ! Je veux bien t’aider car tu m’as fait tellement pitié ! Mais à une condition, c’est qu’ensuite tu m’aides à me sortir de ce pétrin ! C’est compris ?! Roger : - C’est vrai que nous t’avons maltraité et nous en sommes d’ailleurs désolé ! Je veux bien te rendre service mais ce ne sera pas facile, car toi, tu deviendras bientôt un futur criminel ! Mais bon ! Nous verrons ça plus tard !…. Ca y est, nous venons de traverser le Minnesota ! Bienvenu, dans le Dakota du Sud ! Je ne sais si t’as remarqué, Mister Baie Conan, mais l’endroit devient de plus en plus désertique ! Conan : - Ouais ! Euh sinon, tu viens de faire un jeu de mot, c’est ça ? Roger : - Oui ! Conan : - C’est mieux que tes autres vannes ! Roger : - Merci, je suis touché par ce que tu dis !… (J’ai réfléchi durant le reste de notre voyage jusqu’à la prochaine destination. Puisque maintenant j’ai été recueilli par la mafia, je suis donc déjà considéré comme un criminel ! Je n’avais plus le choix que de rester avec eux !) Partie n°VI On est finalement arrivé dans la banlieue d’Aberdeen là où habite la famille de Roger. C’est un ranch, une maison tout en bois et à côté une petite ferme. On est sortit de la voiture. Tout est calme, voir trop calme. La seule chose qu’on entendait c’est le soufflement du vent chaud. Conan : - Eh bien pour tout vous dire, moi aussi j’ai un mauvais pressentiment, j’ai la trouille ! Roger : - Reste près de la voiture Conan, je vais voir ce qui se passe... A ce moment-là, on voyait une fille en train de courir, elle boitait, elle était blessée, et elle nous appela, nous alerta qu’il faut faire attention, ou s’en aller, enfin, elle nous faisait des signes avec ses mains sûrement pour nous prévenir qu’il y avait un danger… Finalement elle réussit à parvenir jusqu’à nous et atterrit dans les bras de Roger. La fille : - ALLEZ-VOUS EN !!!!!!! PARTEZ !! C’EST UN PIEGE !!!! Roger : - Au nom du ciel, ma petite sœur, explique-moi ce qui se passe !! La fille : -PAS LE TEMPS…. Et à ce moment-là : BOUUUUUUUUUMMMMMMM !!!!! C’est la maison qui a explosé et d’un seul coup, on entendait des coups de feu tirés sur notre direction !! C’était nous qu’on visait ! Smith et Roger sont alors intervenus, ils nous ont dit : Smith : - COUCHEZ-VOUS !!!!! ET NE BOUGEZ PLUS !!!! Roger : - BORDEL !! Ce sont eux ! Roberto les a sûrement envoyé pour nous tuer, comment a t-il pu savoir qu’on était là ?! Conan : - Quelqu’un nous espionnait depuis le début !!! Roger : - Je vais m’occuper d’eux une bonne fois pour toute ! Conan tu viens avec moi, Smith, tu veilleras sur ma sœur bien aimée, si par malchance elle est morte ou qu’elle est davantage blessée, c’est moi qui te tuera Smith ! C’est clair ?! Smith : Compte sur moi ! Conan, tiens voilà une arme !!! Surtout, garde ton sang froid !!! Conan (en train de pleurer) : - MAIS JE NE SAIS PAS M’EN SERVIR, MERDE !!! JE VEUX PAS MOURIR !!!!!!! Roger : - TU FERMES TA GUEULE ET TU RAMPES AVEC MOI !!! Je faisais mon possible de faire les mêmes mouvements que Roger, d’être le plus discret possible ! Et un moment donné, en plein dans les débris de la maison, Roger se tourna vers moi et me dit à voix basse: Roger : - A présent tu te relèves en faisant le moins de bruits possible, puis tu viens à côté de moi ! Je vois un homme là-bas ! Il nous attend ! On va donc lui annoncer notre accueil ! Compris ? Conan (tremblant de peur) : - P.. Pitié Roger, Ne fais pas n’importe quoi ! Roger : - Chut… Allez j’y vais, tu vas voir, on va rigoler ! (Il appelle cet homme) : Hé… Pssst… Viens vite… C’est urgent ! Le mafioso venais nous rejoindre ! Roger était prêt ! Il me disait entre temps de préparer mon arme. A présent on voyait l’ombre de ce monsieur. Je voyais déjà sa mitraillette. D’un bond, Roger se leva, lui donna un grand coup sur sa tête par le bout de son revolver. Le mec était à présent assommé. Roger le réveilla en lui donnant deux grosse paires de claques et lui dit : Roger : - Comment tu t’appelles, freluquet ? Mafioso : - Jack… Jack Dupond Roger : - Alors écoute-moi bien Jacques Dutronc, Tu vas tout avouer ! Dis-moi comment Roberto a pu savoir qu’on allait venir ici ! PARLE !!! Dupond : - Roberto a envoyé un de ses hommes chez vous ! Votre patron a engagé notre espion ! Il se faisait passé pour l’un des vôtres ! Roger : - Tu me caches encore beaucoup de choses ! Qui c’est le mouchard ? Et comment savait-il que j’irais à Aberdeen ! Parle ! Sinon je me ferais une joie de t’étrangler !!! Dupond : - Smith !!! Roger : - Smith ?!! Conan, à ce moment-là, intervient : Conan : - Le gars qui est avec nous depuis le début de notre excursion ?! Dupond (il prend à présent un ton plus grave et sourit de façon inquiétant) : - Oui ! Vous étiez trop bêtes pour vous en rendre compte ! Même votre patron ! Quelqu’un s’approchait discrètement derrière nous ! Il prit par mégarde Roger! Dupond se releva, prit sa mitraillette ! Son collègue lui dit : Mafioso : - VAS-Y TUE-LE !!!! Conan : - CONTINUE A RÊVER!!! Je ne sais pas ce qui m’est arrivé ! Le courage était d’un seul coup avec moi ! Je ne sentais plus la peur et comme par hasard, des souvenirs d’enfance me sont revenus au moment j’allais l’assassiner! Je n’avais qu’une chose en tête : les tuer ! Je pris mon arme le plus vite possible et je réussit à tirer sur la tête de Dupond et sur le ventre de son collègue ! Un instant après de les avoir tué, la peur me revenait ! J’étais à présent devenu criminel ! Mais mes souvenirs d’enfance me sont restés dans ma tête, j’essayais d’ignorer ces pensés. Conan : - Je…. Je les ai tués ! Mon dieu ! Roger : - C’était lui ou nous ! Bien joué ! Allez bouge tes fesses, maintenant, on se tire d’ici ! Je restais à présent silencieux ! Et je suivais Roger… Il a pris un air fâcheux et se précipita à grand pas vers Smith ! Je le comprenais… Smith : - C’est bon ?!! Vous les avez tous tués ? On va pouvoir finalement dormir dans un hôtel ! De toute façon je n’aime pas cet endroit !!! Roger, prenant avec ses deux mains les vêtement de Smith : - ALORS COMME CA, T’ES L’ESPION DE ROBERTO ! Traître ! Smith, paniquant et essayant de trouver une excuse : - Roger calme-toi ! Ce n’est pas ce que tu crois…. (par une pulsion de Roger, il prit Smith et le jeta en l’air par dessus la voiture, il prit son arme et le chargea ; il se prépare à tirer sur Smith) Roger : - Avant que j’explose ta sale tronche, t’as intérêt à me dire tout ce que tu sais ! Smith : - Très bien ! J’avoue tout ! Avant que tu fasses partis de la mafia, Mon patron et Mr Dinero travaillaient ensemble. Un jour, vous étiez chargés de faire un contrat ! Monsieur Dinero n’a pas accepté et par sa discrétion, il a réussit à s’échapper du gang de Roberto ! Son équipe s’est divisé en deux ! L’un s’est mis du côté de Monsieur Dinero et l’autre est restée dans l’autre gang ! Je me suis mis de votre côté ! Plusieurs années ont passé et un jour, par mégarde, Roberto a réussit a trouvé ma trace, puisque je suis devenu le meilleur espion de Dinero, il m’a menacé de rentrer de nouveau dans son équipe pour que je puisse devenir son mouchard ! Et sans que Dinero le sache, je vous espionnais ! Conan, intervenant : - Je pensais que la mafia ne formait jamais de duo…. Elle travaille seule, j’ai pas raison ? Roger : - A cette époque, Monsieur Dinero n’étais pas un boss, c’était sans doute le meilleur équipier de Roberto… Quant à toi Smith, je te laisse ! Tu n’as plus rien à faire ici ! Dégage le plus vite possible d’ici avant que je perde mon sang-froid ! Smith : - Roger, malgré ce qui s’est passé, je te JURE que j’étais toujours de votre côté ! Et n’oublie pas, je suis ton meilleur ami !!! Me laisse pas ici s’il te plais ! Roberto retrouvera ma trace et me tuera ! Je n’avais pas le choix !!! Mais à partir de maintenant ce sera différent ! Tu pourras compter sur moi cette fois-ci ! Conan : - Roger, laissons-lui une chance… S’il te plais Roger : - …… Tu as veillé sur ma sœur, Smith ; je te laisse la vie sauve ! Mais avant qu’on poursuive notre chemin, tu vas trouver une cabine téléphonique et tu appelleras le boss ! Avec un peu de chance, lui aussi te laissera en vie ! Smith n’avait pas le choix. Soucieux, il rentra dans la voiture et nous partîmes dans la ville ; passer une nuit dans l’hôtel… Titre: [Fanfic hors sonic]Conan, Mafioso malgré lui Posté par: Pink tails le Janvier 27, 2006, 08:58:28 pm Tres bonne fic, sympathique et amusante, originale a la fois (fallait y penser), mais qui, n'ayant pas grand rapport avec Sonic a plus sa place dans Casino Night Zone qu'ici :wink:
Je déplace ^^ Bonne continuation =) Titre: [Fanfic hors sonic]Conan, Mafioso malgré lui Posté par: gros_tonny le Janvier 27, 2006, 09:58:57 pm Merci pink Tails.
Je continue: Partie n° VII Dans la ville, la première chose qu’on a fait, c’est de déposer les bagages à l’hôtel. Pendant que je restais avec la fille, Roger et Smith sont allés à la réception de l’hôtel afin de trouver une cabine téléphonique : Roger : - Hé, mon gars ! Tu as une cabine téléphonique ? Le réceptionniste : - Vous allez tout droit, puis vous tournez à gauche. Quelques secondes plus tard… Smith : - Mais qu’est-ce que je vais lui dire moi, au boss ?! Roger : - Ce n’est pas mon problème ! Tu l’appelles, un point c’est tout ! Je reste derrière toi ! Je veux tout entendre ! Smith suait de peur. Il composa le numéro… Le coup de fil ne se décrocha pas tout de suite ; il dût attendre encore quelques secondes, jusqu’à ce qu’un équipier de Dinero décrocha le téléphone : Mafioso : - Allô ? Qui est-ce ? Smith : - Je suis un assistant de Monsieur Dinero. Je voudrais lui parler. Smith tremblait à présent de peur, il entendait les voix au téléphone : « Patron, il y a un de vos gars qui voudrait vous parler au téléphone…. » Monsieur Dinero : - Allô ? Smith : - Bonjour Patron. Monsieur Dinero : - Qu’est-ce que tu veux ? Smith : - J’ai quelque chose à vous dire, et cela me concerne. Monsieur Dinero : - Je t’écoute… Roger restait derrière Smith ! Il le voyait suer, sa cravate était toute humide et le haut de sa chemise aussi. Roger ne se faisait pas de peine pour lui ! Il avait de la peine pour personne ! Il raisonnait comme ça : Si Smith était mort, tant pis , si il était encore en vie, tant mieux. Après un quart d’heure de coup de téléphone, Smith se retourna vers Roger et lui dit : Smith : - C’est p… pour toi Roger (il lui passe le téléphone) Conan : - Oui boss ? Monsieur Dinero : - S’il refait ce coup pareil, tue-le ! Autre chose, Roger, appelle Roberto et dis-lui la nouvelle ! Roger composa donc le numéro au téléphone, il tomba directement sur Roberto : Roberto : - C’est qui ? Roger : - Désolé Roberto ! Smith ne fait plus parti de ta bande ! J’ai tué quelques uns de tes gars et ce ne seront pas les derniers à mourir ! Monsieur Dinero te souhaite le bonjour ! Nous arriverons bientôt à destination, Roberto ! Roberto, énervé, mais reprenant son souffle : - Il était de toute façon trop stupide ! Garde-le ton Smith, je n’en ai plus besoin ! J’ai entendu dire que lors de ta route, t’étais accompagné d’un autre débile mental ! C’est qui l’heureux élu ? Roger : - Conan. Roberto : - Haha ! Vous êtes trop naïfs ! Encore un gars de la rue ? Roger : - Tu te doutes trop de nos performances, Roberto : il a tué deux de tes hommes sur la route ! C’est toujours un apprenti ! Mais deux du premier coup, je ne peux pas dire que ce soit un ringard ! A la prochaine ! Roberto se fâcha, il appela un de sa bande et lui dit : Roberto : - Apporte-moi un peu de whisky ! Entre temps, tu appelleras mon assistant Joey ! Tu lui dis qu’on aura besoin de 6 voitures ! 24 de mes hommes partez à la recherche du trio Roger, Smith et Conan ! Ils sont dans le Dakota du sud! Plusieurs de mes hommes sont là-bas ! Va les prévenir… Un peu plus tard, dans la chambre d’hôtel, Roger essaie d’entretenir une conversation à sa soeur : Roberto : - Claire, essaie au moins de me parler, s’il te plais. Claire : - Pour… Pourquoi tu ne m’as rien dit ? J’ai vu… J’ai vu ces hommes débarqués chez moi ! Lorsque je les ai vus, j’ai essayé de prévenir maman pour se cacher ! Il était trop tard ! Je me suis enfuie, et il n’y a que moi qui a réussi à m’en sortir ! J’ai fait ce que j’ai pu, je t’assure ! Roberto : - Maman était avec toi ? Claire : - o.. oui… Roger, cachant ses yeux avec sa main pour dissiper ses larmes : - C’est pas vrai ! Tout ce qui comptait pour moi c’est ma famille ! Tout est de ma faute !!! Claire : - Je veux t’aider !!! ils me le paieront ! Roberto : - NON !!! Je te mettrais loin de moi et de toutes ces histoires !!! Je ne veux pas que tu m’aides ! Cela ne concerne que moi ! Claire, commençant à pleurer : - Et moi alors ?! C’EST MA MERE AUSSI !! J’ai subit les mêmes horreurs que toi ! Roberto : - SI JE SUIS DANS LE CAMP ADVERSE DE ROBERTO, C’ETAIT POUR ME VENGER !!! ET LE FAIT QUE JE SOIS DEVENU MAFIOSO N’A QU’EMPIRE !!! Résultat, maman est morte !…. Tu as besoin de te reposer. Va dormir… Un peu plus tard… Conan : - Alors ? Roger : - Elle a réussi à s’endormir. Nous n’avons plus beaucoup de temps, bientôt une bande de Roberto viendra nous rejoindre ! Conan : - Comment ça ?! Roger : - Je l’ai provoqué ! Conan : - Mais c’est pas vrai ! Comme solution, tu trouves le moyen de nous attirer des ennuis ?!! Roger : - Ecoute-moi bien ! Roberto détient plus d’une centaine d’hommes ! Une fois en Californie, je ne veux pas qu’on ai toute sa bande à nos trousses ! Il vaut mieux les tuer par petite quantité. Conan : - Justement, ça se peut qu’il a prévenu toute sa cargaison ! Roger : - Il ne le fera pas. Un grand silence retentit à présent dans la pièce pendant une dizaine de secondes. Roger reprend la parole : Roger : - Bon, je vais trouver un bar, prendre un whisky et fumer. Ca va me détendre. Conan : - Moi je reste pour me reposer un peu. Roger prit sa veste et partit. Pendant ce temps là, dans la chambre, Conan essaie d’entretenir une conversation avec Smith : Conan : - Euh, Smith, tu veux boire ? Smith : - Non. Conan : - Tu veux qu’on parle ? Smith : - Non. Conan : - Qu’est-ce que tu veux alors ? Smith : - Rien. Pour essayer de remonter, le moral je décidais d’essayer de chanter : Conan, chantant : - « Aux armes citoyens ! Formez vos bataillons ! Marchons, marchons, qu’un sang impur… » Smith : - C’est quoi cette chanson ? Conan : - La Marseillaise ! (je repris la chanson) : - « Allons ! Enfants de la patrie ! Le jour de Gloire est arrivé ! »… Smith : - Non! Stop! Arrête! Tu déglingues trop! Conan : - Ce n’est pas pour rien que je me nomme Day Conan : déconnant ! T’as compris la blague ?! Elle est bonne hein ? Par la tête débile de Conan et sa blague à deux balles, Smith commença à se moquer de Conan ! Puis ensuite, s’enchaîne avec un fou rire ! La bonne humeur règne à présent dans la pièce ! puis Smith et Conan commencèrent à chanter la Marseillaise : Smith et Conan : - « Allons ! Enfants de la patrie ! Le jour de Gloire est arrivé ! Contre nous de la tyrannie, l’étendard sanglant est levé ! l’étendard sanglant est levé ! Entendez-vous dans les campagnes mugir ces féroces soldats ? Ils viennent, jusque dans vos bras, égorger vos fils, vos compagnes !» Jusqu’à ce que dehors, devant l’hôtel : pan ! pan ! tatatatatatata ! On entend des cris, des hurlements : « ah ! Au secours, à moi !» Conan et Smith se dirigèrent vers la fenêtre voir ce qui se passe : c’étaient des hommes de Roberto ! Ils étaient une dizaine ! Conan, paniquant : - J’hallucine !… Ils nous ont trouvé !!! Comment ils ont fait ?! Smith : - Prépare-toi ! Tiens, prend cette arme, elle te sera très utile ! Conan : - C’est une sulfateuse ? Smith : - Fais en sorte que son bout soit tenu entre ton bras et tes côtes, ton arme et toi ne font qu’un à présent ! Tu en auras besoin pour les mafiosi et la police ! Conan : - Comment ça, la police ?! JE NE SUIS PAS UN TUEUR DE FLIC !!! Smith : - ET MOI JE TE DIS QUE TU N’AS PAS LE CHOIX SI TU NE VEUX PAS CREUVER !!! Conan : - Et Roger ?! Qu’est devenu Roger ?! A ce moment-là, Roger rentre brusquement par la porte, entre, ferme à double-tour et nous dit : Roger : - Grouillez-vous, mettez tous les meubles que vous trouvez devant la porte !! Où est Claire ?! Smith : - Dans sa chambre, en train de dormir. Roger, entrant dans la chambre de sa sœur, la réveille : - Claire ! Réveille-toi et aide-nous ! Claire, aux yeux demi-fermés : - Qu’est-ce qui se passe ici ? Conan, hurlant de l’autre côté de la pièce : - IL SE PASSE QU’ON EST SUR LE POINT DE MOURIR MAIS FAUT PAS TE FAIRE DE SOUCIS !! Roger : - De sushi ! tahaaaa, elle est bien bonne ! Pardonnez-moi c’était plus fort que moi ! Conan : - DE SOUCIS !!! Roger : - C’était une vanne ! Conan : - Ah ouais, c’est vrai ! Claire, inquiétée : - Ils sont là ?! Roger : - Oui, tiens, aide-nous à transporter cette table de nuit s’il te plais. Quelques instants plus tard : Conan : - Ca y est tous les meubles sont devant la porte… Roger : Ok ! Smith, va devant la porte et dis-moi si tu entends des gars.. Smith, écoutant… : - Non ! Il n’y personne ! Roger : - Ok, pousse-toi maintenant ! (Roger prit son arme et tira deux fois sur la porte : PAN ! PAN !) Conan : - Hé mais t’es fou !!! Roger : - Au moins on pourra tirer en douce ! Smith : On entend plus personnes dans l’hôtel ! Tout ce que j’entends c’est…zut ! La sirène de police ! Roger, devant la porte : - Chut ! J’entends des pas ! Ce sont eux ! Plus un mot ! Roger, se prépara à tirer, et à l’aide des deux trous, Roger mis son arme à travers et vise à l’aide de l’autre trou le mafioso… Il tira 3 fois de suites… Les autres mafiosi sont alertés, Roger nous prévient aussitôt : Roger : ALLER VOUS ISOLER LE PLUS LOIN POSSIBLE DE LA PIECE !!!! IL VA Y AVOIR DE LA SECOUSSE!!!! Conan, Smith, Claire et Roger coururent aussitôt vers le fond de la salle, et d’un seul coup : BOOOOOOUUUUM !!! Tous s’est détruit, les meubles, les décorations ont été à présents réduits en débris et en fumées ! Tout était noir dans la salle ! Mais nous on allait bien, c’était l’essentiel ! Mais les mafiosi rentrèrent à présent dans la pièce ! Et pour nous trouver, à l’aide de leurs mitraillettes, ils tiraient dans tous les coins de la pièce, à ce moment-là Roger intervient : Roger : Smith et Conan, venez avec moi ! Vous m’accompagnerez à combattre ces freluquets ! Claire, tu restes derrière nous, Smith sera le premier à sauter par la fenêtre puis ensuite tu le feras, ok ? Claire : - J’ai compris ! Je t’aime mon frère ! Roger, Smith Et Conan vinrent rejoindre les mafiosi, une bataille d’une dizaine de mafiosi contre 3 autres avaient lieu dans la pièce. Roger était le meilleur tireur et nous donnait des conseils entre temps ! C’était une lutte sans merci ! Je n’avais pas le temps d’avoir peur ! Et plus je tirais, moins j’avais de pitié et de conscience qui venaient à moi ! Tous les sentiments, les émotions que j’avais disparaissaient au fur et à mesure, je réfléchissais de moins en moins, je pris de plus en plus un raisonnement d’une bête féroce qui n’avait qu’en tête que de pourchasser sa proie et de la tuer ! Au bout d’un moment, il ne restait plus que 5 mafiosi, on était en train de gagner surtout grâce à Roger ! Mais nos balles étaient insuffisantes ! Roger, n’hésitant pas, attrapa la mafioso le plus proche par le cou, et de son autre bras, le frappa sur la tête avec son arme ! Le deuxième, prêt à tirer, Roger réussit à toute vitesse à prendre le bras du mafioso où contenait son revolver . La balle qu’il a tiré est alors tombé vers le sol, et avec la carrure de Roger, sans problème, il réussit à l’assommer avec son coup de coude, en attendant, Smith, fit tomber directement sa mitraillette et une demi-seconde plus tard, prit son revolver et tira sur les 3 derniers mafiosi ! Smith : - Les poulets sont en bas ! Roger : - Bah tue-les ! Smith : - Venez avec moi Claire. Claire, pleurant de peur : - Je ne veux pas.. sniff ! Je veux avoir mon frère avec moi ! LAISSEZ-MOI !! Smith : - Ecoutez-moi, mademoiselle, faites-moi confiance ! Il vous sera fait aucun mal !!! Vous avez ma parole ! Claire regarda Smith dans les yeux pendant un petit moment… Après quelques petits instants, Smith détourna son regard pour lui signaler qu’ils n’avaient plus de temps à perdre. Smith sortit son arme, le chargea puis sauta avec Claire. La police les a découvert : Le chef de la police : - Vous êtes blessé ? A ce moment-là, un autre policier intervient : Policier 2 : - Chef ! Ils font partis de la mafia ! Le chef de la police : - Dans ce cas ne bougez plus ! Vous m’accompagnerez jusqu’au commissariat ! Smith parlant à Claire : - FUYEZ CLAIRE !!! FUYEZ !!!! Je m’occupe d’eux ! Smith, n’ayant qu’une seule arme, essaie tout de même de se débrouiller, la police est beaucoup plus nombreuse et détient plus d’armes. Smith, donnant premièrement un coup de pied, vit d’autres policiers foncés sur lui, Smith tira sur eux ! Un seul est assassiné. Smith enchaîne avec un coup de poing sur un deuxième policier. Ils étaient trop nombreux. Fatigué et essayant de se débattre, perd espoir et se laisse embarquer par la police. Pendant ce temps là, Claire était elle aussi poursuivie, elle pleurait mais ne perdait pas espoir. La seule chose qui comptait pour elle était de retrouver son frère. La police réussit tout de même à la capture. Quelques instants plus tard, Claire et Smith sont tous les deux emmenés au commissariat. Roger et Conan étaient au dernier étage de l’hôtel où ils restaient encore quelques mafiosi ! Roger tua le dernier homme avec son revolver… Conan : - C’est bon ! Il n’en reste plus du tout. Roger : - Tu te débrouilles très bien Conan ! Je suis étonné. Conan : - Quand j’étais petit, j’habitais à la ferme, mon père et moi jouaient à un jeu très amusant : « Tire-poulet » ! Roger : - Ah ! Et aucun flic n’a réussit à vous prendre ? Conan : - Euh… Je voulais parler des poulets de ferme ! Roger : - Ah ok ! Un petit moment de silence eu lieu jusqu’à ce que: Roger : - MON DIEU, CLAIRE !!! Conan : - SMITH !! Ils descendaient les escaliers. Malheureusement à un certain étage, le feu était apparu. Roger et Conan finirent tout de même par trouver une issue et réussirent à s’en sortir. Conan était à présent à bout de force. Roger, lui, ne pensait qu’à retrouver sa sœur. Il chercha dans tous les alentours des restes de l’hôtel. Il n’y avait personne. Il cria : « CLAIRE !!! CLAIRE !!» A ce moment-là, un pompier, chargé d’éteindre l’incendie vient vers Roger et lui dit : Pompier : - Il y a un problème ? Roger : - Oui. Avez-vous un homme maigre, de grande taille au visage long et fin accompagnée d’une charmante demoiselle blonde avec une robe bleue ? Pompier : - Oouui ! Je les ai vus. Ils ont été capturés pour je ne sais quelle raison et ont été emmené au commissariat. Après avoir su cette nouvelle, Roger était désespéré, Conan vient lui soutenir… Plusieurs heures ont passé, il faisait nuit. Roger et Conan ont réussi à trouver un autre hôtel. C’était calme. Roger était allongé sur son lit, Conan, lisait le journal du jour qui parlait d’une bataille entre mafiosi à la campagne et de l’incendie de l’hôtel causé par les mêmes personnes. A ce moment-là, Roger intervient, rejoint Conan et lui dit : Roger : - Je vais téléphoner au boss… Conan : - Que comptes-tu faire à présent ? Roger : - Je te le dirais après. Partie n° VIII Pendant ce temps-là, à Chicago, chez Monsieur Dinero : Monsieur Dinero, lisant le journal du jour « Deux évènements le jour-même se sont produits à Aberdeen (Dakota du Sud). Une bataille de deux gangs de mafiosi se sont produits dans la campagne de la ville ; une maison a explosé et a causé la mort à une dame âgée. Quelques heures plus tard, un incendie a eu lieu dans un motel. D’après les informations reçus, cet incident a été causé par la mafia de Roberto, actuellement recherché par la police. Cela a causé plus d’une cinquantaine de morts, seulement 4 clients du motel ont réussi à survivre. On a su que parmi ces clients, 3 font parti de la mafia. On admet qu’ils détiennent actuellement un otage. Deux d’entre eux ont été capturé par la police…. » : - Ce n’est pas possible !!! Je n’aurais jamais dû avoir confiance à Smith ! Je me demande comment cela va se finir ! Mafioso 1 : - Boss, vous voulez qu’on intervienne ? Monsieur Dinero : - Non. J’ai une très grande confiance en Roger. Mais le problème c’est que ces imbéciles nous mettent vraiment en danger ! Un d’entre nous s’est fait capturé par les poulets. Sois c’est Roger, soit c’est Smith, soit c’est Conan ! Mais il y a quelque chose qui m’échappe ! (il s’énerve) C’EST QUOI CETTE HISTOIRE D’OTAGE, BORDEL ???!!! A ce moment-là : Mafioso 2 : Patron, c’est Roger au téléphone ! Monsieur Dinero : - Aaah ! Il me téléphone au bon moment ! Allô Roger ? C’est quoi cette histoire d’otage ?! Roger : - Ce n’est pas un otage ! C’est ma sœur. On avait prévu de s’arrêter à Aberdeen pour passer la nuit chez ma famille. Seulement voilà : Plusieurs hommes de Roberto étaient déjà là-bas ! Ils ont tué ma mère. Ma sœur a réussi à s’enfuire. Un peu plus tard, on est allé finalement au motel, et cette fois-ci, une dizaine de mafiosi sont venus et ont mis le feu au bâtiment. Finalement, on a réussi à s’en sortir. Malheureusement, Smith et Claire ; ma sœur ont été capturé par les flics. La police a sans doute cru que Claire était l’otage de Smith. Je sais qu’on a commis plusieurs erreurs mais ces mecs me le paieront ! Et je vous appelle pour vous dire que j’irais au commissariat, sauver ma sœur et Smith ; c’est d’ailleurs lui qui a jusqu’ici protégé ma sœur, je me dois de lui laisser en vie ! Claire est à présent ma seule famille ! Entre temps, j’essaierai de détruire toutes les preuves. Monsieur Dinero : - Et comment tu comptes faire ça ? Roger : - En détruisant le commissariat. J’ai le plan de la ville. Il y a 12 kilomètres entre celui-ci et l’autre commissariat de la ville. Monsieur Dinero : - Ce qui te fais environ 10 minutes pour agir. C’est de la folie ! ARRETE TES CONNERIES, ON STOPPE LA MISSION !!! Roger : - Je ne suis pas contre pour arrêter la mission ! Mais je ne laisserais jamais ma sœur être livrée à la police ! Dieu sait ce qu’ils vont faire d’elle ! Monsieur Dinero : - Tu crois en Dieu maintenant ?… Tu as vraiment changé Roger ! La notion d’argent t’ai complètement disparu de ta tête ; tu m’en as plus parlé depuis que vous êtes partis. Roger : - Faites-moi confiance ! En 10 minutes, nous serons tous partis d’Aberdeen… Monsieur Dinero : - Soit ! Mais si tu échoues, je vous tue tous ! Ta sœur ne sera pas non plus épargné !!!…. Bonne chance Roger. Roger, déterminé à sauver sa sœur et Smith, rejoins à grand pas sa chambre. Ouvrant la porte brusquement, Conan sursauta. Sans hâte, Roger lui dit : Roger : - Prend nos affaires Conan ! Conan : - Qu’est-ce qu’on va faire ? Roger, se tournant vers Conan : - Travailler ! Conan : - Ca veut dire quoi ça ? Roger : - J’ai pas le temps de t’expliquer ! Tu as confiance en moi ? Tu m’écoutes ? Conan : - Oui je t’écoute, et j’ai confiance en toi ! Roger : - Dans quelques minutes, on va vivre une nuit agitée ! Je veux que tu sois prêt Conan ! Sois avec moi, et tout ira bien ! Viens ! On va tout d’abord aller au magasin d’armes, ça ferme dans 5 minutes ! Nos deux gaillards se pressent à prendre leur voiture et filer au magasin d’armement. Conan, juste après avoir su ce que Roger est déterminé à faire, Conan en train de conduire, lui dit : Conan : - …Mais tu penses que le vendeur sera d’accord de nous donner autant d’armes ? Roger : - T’en fais pas ! Je vais utiliser une méthode simple et pratique. Une fois arrivée, Roger sort en premier de la voiture, prend son revolver, le charge, rentre dans le magasin, et dès rentré, le vendeur n’ayant pas le temps d’agir, reçoit 5 fois de suites des balles tirés par Roger ! Lui, ne perdant pas de temps, lui ordonne à Conan : Roger : On prend 2 mitraillettes chacune ; ces armes doivent êtres les premières à être utilisées ! Sans hâte, tu n’hésites pas, tu prends tes autres armes qui seront enfouis dans ton manteau ! C’est bien compris ? Conan : - Compris ! Roger : - T’es un brave p’tit gars ! T’es motivé c’est bien ! Les autres armes que tu prendras devront être les plus légères et les plus petites ! ok ? Conan : - Très bien ! Roger : - A présent filons d’ici et en route pour le commissariat, il est 9 h 00 du soir. A 9 h 30, nous devrons être obligatoirement en route pour notre prochaine escale !!! » Il est à présent 9 h 10 ! Nos amis arrivent enfin au commissariat, là où se trouve Claire et Smith. Conan est prêt à se lever mais Roger, intervenant, lui dit : Roger : - Reste dans la voiture ! Tes armes sont prêtes ? Conan : - Euh ouais ! Roger : - Très bien ! A présent accroche-toi ! Ai confiance en moi ! Tout se passera bien ! Conan, gardant son sang-froid, Roger faisant marche arrière, s’arrêta, puis, appuyant à fond sur la pédale de la voiture, accéléra, fonçant droit devant vers la porte d’entrée du commissariat ! Il fonça à une telle vitesse, la voiture réussit à traverser et à démolir toute l’entrée du commissariat ! Alertés, plusieurs policiers sont déjà morts et d’autres blessés ! Nos deux héros sortent de la voiture, accompagnés chacun de leur deux mitraillettes à la main, les policiers n’ayant plus le temps de tirer, meurent. On assiste à une vraie bataille entre seulement deux mafiosi contre sans doute plus d’une trentaine de policiers ! Roger n’ayant déjà plus de balles dans ses sulfateuses, les laissent tomber et sans perdre de temps, prend directement ses autres armes de son manteau ! Conan en fait de même ! Avec une sacrée agilité et en particulier, grâce à son corps très mince, réussi presque sans problème à éviter les balles! Conan savait en réalité très bien viser ! C’était presque un don ! Plus il tua, mieux il visa! Roger était debout, Conan accroupit, ses armes déjà vides, n’hésite pas à prendre les autres. Quant à Roger, c’était pareil ! Sans hâte, il n’hésite pas à prendre ses autres armes, Roger commença à avancer. Conan en fait de même ! Le commissariat commençait à se déserter ! Il ne restait plus qu’une dizaine de policiers à tuer. Mais à un moment donné, un policier réussit à tirer sur l’épaule de Roger. Conan, assista à cette partie du combat : Conan, continuant à tirer : - ROGEEEEEEEEEEEEER !!! Roger, accroupit, n’essayait pas de faire attention à ce qui venait de lui arriver et se concentrait à viser les autres policiers ! Mais il se sentait plus faible et perdait beaucoup de sang. Conan rejoint alors le policier responsable de la blessure de Roger et sans plus attendre, lui tira dessus. Ce fut le dernier policier à être tué ! Malgré ce qu’avait Roger, ils ont réussi leur coup ! Il était à présent 9 h 18 ! Les policiers de ce commissariat avait tout de même le temps à mettre l’alarme. Conan entendit déjà la sirène de la police : Conan : - VITE ROGER !!! Il faut y aller ! (Conan aide Roger à marcher) Roger : - Je les ai vus. Conan : - Qui ? Roger : - Claire et.. et Smith. Continue tout droit puis à gauche. Voilà ce sont eux ! Smith et Claire virent enfin Conan et Roger ! Heureux, ils s’enfuirent très vite à l’aide de la clef qu’avait pris entre temps Roger pour les libérer de la salle de prison. Les sirènes de police se font de plus en plus fortes. Les policiers approchent. Nos 4 amis sortent par la porte de derrière du commissariat, Smith, sans plus attendre dérobe une voiture, et s’en vont le plus vite possible du bâtiment. Claire se retourne et vit au loin les policiers arrivés et inspectant les lieux ! Conan, Roger, Smith et Claire ont réussi à se sortir d’une situation presque impossible ! Ils sont sauvés et vont pouvoir continuer leur route vers la Californie !!! Partie n° IX Ce qu’ils viennent de vivre cette nuit, étaient très dangereux. Roger, ne savant plus quoi faire, n’avait pas le choix que de garder sa sœur avec lui. Nos 4 amis étaient dans la voiture, il faisait nuit, la route était déserte, et seuls les phares de la voiture éclairaient la route. C’était la campagne. Voilà près de 4 heures q’ils sont partis d’Aberdeen. Il n’y avait à présent plus rien à craindre. Smith était au volant, tandis que Roger et Claire dormaient. Conan, lui, était en train de réfléchir, même s’il était très fatigué, il n’arrivait pas à dormir. Il s’apercevait qu’il était en train de changer. Au début, peureux et simple d’esprit, il craignait de moins en moins la peur, et réfléchissait de plus en plus. En très peu de temps, il remarqua que Roger lui a appris beaucoup de choses. De plus, tous les souvenirs d’enfances qu’a vécu Conan lui revinrent à l’esprit. Il se rappela à présent que quand il était petit, il pratiquait des sports et des jeux de tirs. Conan était le meilleur tireur et visait judicieusement. C’était presque un sixième sens chez lui. Ca lui faisait beaucoup de bien de se souvenir de son enfance. Sans s’en rendre compte, Conan commença a fermer les yeux délicatement et finalement réussit à dormir. Tout était calme dans la voiture. Smith continua à conduire jusqu’à l’aube. Ils étaient à présent au Sud-Ouest du Dakota du Sud. Parmi les 3 autres qui étaient en train de dormir, Roger fut le premier à se lever, vient ensuite Claire qui se réveilla. Conan continua à dormir : Roger : - Je me suis même pas rendu compte que c’était toi qui conduisais, Smith. Smith : - T’étais faible et très fatigué… Elle va bien ta jambe ? Roger : - Ca va mieux. Smith, voulant revenir à un sujet qui lui a fortement blessé : - Ecoute Roger ! Ce salaud de Roberto va me le payer ! Je suis vraiment désolé pour ce qui s’est passé. J’ai moi-même commis une erreur ! Roger : - Je n’en ai plus rien à faire à présent de cette histoire. Tu leur a dis quoi au commissariat hier ? Smith : - Pendant que ta sœur était isolée, on m’avait fait un interrogatoire sans violence. Je n’ai rien dit ! Absolument rien dit ! Roger : - En tout cas… Je voulais te remercier pour ce que t’as fait pour Claire. Claire, intervenant : - Smith m’a sauvé la vie !!! Smith : - Ce fut même un plaisir de vous aider mademoiselle. Roger m’a dit de veiller sur vous et j’ai promis depuis de ne plus jamais le décevoir. Claire : - Vous êtes sensible, monsieur Smith. Smith : - Pourquoi dites-vous cela ? Claire : - Vous tenez à moi ! N’est-ce pas ? Roger, étonné : - Qu’est-ce que ça veut dire, ça ? Smith, tu peux me donner une explication ? Smith, gêné : - Je…. Je.. Je ne vois pas de quoi elle veut parler. Claire, étonnée de la réponse de Smith, insatisfaite et croisant ses bras : - Vous avez peur de parler ! Après tous le mal et le bien que vous avez fait, vous n’osez plus rien dire ! Roger, prenant la carte de l’Etat, dit à Smith : - Tu t’arrêteras à Rapid City. J’aurais besoin d’une petite explication… Claire, perdant son sang-froid, dit à Smith : - Pourquoi n’avez-vous pas le courage d’affirmer que vous m’aimez ??!!!! Roger, surpris, se tourna vers Smith : - ARRETE-TOI !!!! Smith : - D’accord, d’accord ! Je m’arrête, mais s’il te plais, essaie de me comprendre! La voiture s’arrêta, Roger, furieux prit Smith par le bras, et le fit sortir de la bagnole : Roger : - Dis-moi ce qui s’est passé au commissariat ! Smith : - Rien, je te jure !!! Claire, intervenant : - Je t’en prie Roger, ne lui fait aucun mal ! Il n’y est pour rien ! Roger, ignorant Claire : - JE N’ACCEPTE PAS QU’ON TOUCHE QUOI QUE CE SOIT DE MA SŒUR !!! Claire, s’énervant envers Roger : - ARRETE TOUT DE SUITE, ROGER !!! CA SUFFIT !!!!! Roger : - La prochaine fois qu’il te fais de la sorte ou le fait qu’il te regarde ne fut qu’une seule fois dans les yeux, il le regrettera ! Conan, entendant, les cris se réveilla et regarda ce qui était en train de se passer. Claire : - C’EST MA VIE !!! Roger : - T’ES MA SŒUR !!! JE SUIS TON GRAND FRERE, T’ES AVEC MOI , TU DOIS DONC ETRE SOUS MA RESPONSABILITE !!! Claire, donna une gifle à son frère : - Je suis une adulte maintenant ! Tu ne m’empêcheras pas d’aimer qui que ce soit ! Roger : - J’aurais dû m’en douter ! Tu l’aimes ? Après tout ce qu’il a fait…. Clair, interrompant Roger : - APRES TOUT CE QUE T’AS FAIT TU OSES ME TRAITER ENCORE COMME UNE GAMINE !!!! Les chose que tu as faites durant toute ta vie était pire par rapport à ce qu’a commis Smith ! Smith : - Ecoute, Roger, je suis désolé ! Je ne fais que veiller que sur ta sœur. J’ai fais tout ce que tu m’as demandé ! Clair se calmant: - Smith a raison ! Il m’aime ! Je l’ai tout de suite remarquée. On s’est regardé, et c’était le moment le plus intime entre nous deux ! Rien de plus ! Roger, revenant à Smith : - Si tu l’aimes, pourquoi ne m’as tu rien dit ? Smith : - Parce que je savais que tu allais agir de la sorte ! Il me fallait d’abord avoir ta confiance. Depuis que j’ai trahi Monsieur Dinero et qui, pourtant, n’était pas volontaire mais obligatoire, je suis sûr que quelque part tu m’en voulais encore ! Roger (déprimée): - Fais ce que tu veux ! (se tournant vers Claire) Toi aussi ! Si tu ne veux plus que je m’occupe de toi ! Claire : - Mais Roger, tu n’as pas besoin de faire cette tête. Je t’aime toujours, t’étais pour moi le meilleur frère ! Mais même si je reste avec toi, il faut que je vive ma vie ! Conan, intervenant : - Hum ! Il faut que j’aille au toilette. (Voyant Claire) Bonjour mademoiselle. Belle matinée n’est-ce pas ? Claire, se tournant vers Conan : - Bonjour ! Oui, en effet. (regardant Roger) Mais dis quelque chose, Roger ! Roger : - Non mais tu veux que je lui dise quoi ? Claire : - Eh bien tu lui dis bonjour ! Roger : - Sapristi, mais je le vois tout le temps ce gars-là ! C’est pas la peine de lui dire bonjour ! Smith, intervenant : - Salut Conan ! Conan : - Au fait, j’ai vu à travers la fenêtre ce qui se passait, mais je n’ai rien entendu. C’était quoi l’embrouille ? Roger, rentrant dans la voiture : - Une histoire d’amour. Conan : - Ah ? Et qui est amoureux ? Roger, montrant du doigt Smith et Claire : - Ces deux Roméo et Juliette ! Conan : - Ah ! Eh bien toute mes félicitations mademoiselle ! Et bravo à toi Smith ! Claire, s’adressant à Roger et rentrant dans la voiture : - Il est quand même sympa ton copain Conan. Lui au moins, il se réjouit que j’ai trouvé un amoureux ! Roger : - Ce n’est pas mon copain, c’est mon équipier ! Conan, s’approchant de Roger, lui chuchote à l’oreille : - Dis donc ! J’ai toujours pas fait ma toilette ! Alors, au lieu de démarrer la voiture, ce serait sympa de me laisser « prendre l’air » ! Roger, hurlant : - BON BAH ALORS SORT, ET VA PRENDRE L’AIR !!! Pendant que Conan fait pipi… Clair : - Rogeeeer . T’es trop nerveux ! (elle lui fait des massages sur les épaules) Roger : - J’arrive pas à croire que tu sois avec Smith ! Smith : - Roh, ça va, Roger ! Tu ne vois pas que je me sens mal aussi ? C’est plus fort que moi ! C’est incontrôlable ! Et pourtant je ne veux pas te décevoir. Roger : - C’est ce que t’es en train de faire ! Conan, rentrant dans la voiture : - J’ai fini ! On peut y aller ! Smith : - Conduis ! Conan : - Plait-il ? Smith : - J’ai conduis toute la nuit ! J’ai le droit à un peu de repos. Conan : - D’accord, je prends le volant. (D’un seul coup, Conan eut une pulsion envers Smith. Il se tourne vers celui-ci et lui dit) MAIS LA PROCHAINE FOIS TU ME LE DEMANDERAS PLUS GENTIMENT ! Je ne suis pas ton jouet ! Smith : - Mais qu’est-ce qui lui prend à ce mec ? Roger, le rassurant : - Laisse. Ca lui passera. |