Planete Sonic Forums

Je suis nouveau sur ce forum, et vu l'engouement que connaissent les fictions, je poste la mienne. C'est ma deuxième, sachant que la première est encore en cours. Soyez pas trop sévère ':D'
Désolé pour le titre, je n'avais pas d'autres idées en tête ^_^
Et c'est maintenant que cela commence...



                                               Sonic Team And The Red Moon
                                                   
           



Chapître 1 : Objectif Lune




   La forêt. Paisible et tranquille. Surtout quand, comme maintenant, elle était plongé dans l'obscurité, dans le silence. Un silence que rien ne vint troubler. Pas même quelques oiseaux piaffant dans la nuit, ni de minuscules habitants de cette vie verte parcourant son sol. Rien. Tranquille. Mais l'était ce vraiment ? Pas de bruit dans un endroit naturel pas encore souillé par l'évolution, pas de bruits nocturnes, gênants avec un côté rassurants ? Cela en devenait vraiment étrange. De plus,  l'air était chaud et peu oxygéné, pourtant au beau milieu d'arbres gargantuesques. Et aucune brise ne se faisait sentir, pas même un tout petit souffle. Par quel miracle était ce possible ? On trouvait la réponse dans une flaque d'eau claire, éclairé par la lueur de la nuit. Dedans le ciel se reflétait. Les étoiles scientillaient, le ciel était parsemé de minuscules grains brillant. Mais, un intrus venait brusquer le tableau ; La lune, connu normalement pour sa teinte mi blanche mi grise, était rouge.
  Le doux astre discret qui faisait rêver les poètes, couvait les amoureux et rassurait les enfants apeurés par l'ombre, avait pour ainsi dire laissé sa place à une lune vulgaire, d'une couleur provocatrice qui émettait une lueur rougeâtre. La planète semblait la nuit recouverte par des infrarouges. Le phénomère avait affolé le monde entier. Les peuples de la planète, habitué aux manifestations scientifiques, réclamaient à corps et à cri des explications qui ne venait pas. Les savants ne pouvaient l'expliquer. Depuis une semaine que cela était apparu, tous s'était mobilisé, sans succés. La lune paraissait identique à avant, seule sa couleur trahissait un changement. On l'avait observé, on l'avait photographié avec des satellites, on avait inventé des thèses pour démontrer par A plus B que cela était logique, mais rien n'aboutissait. Des idées de fin du monde étaient revenues, voyant en cette lune rouge le signe avant coureur de l'apocalypse, et si certains se repentissait et s'apprêtait à une vie ultérieur, d'autres au contraire, voyait en cela la dominance du diable et l'injection de soumission. On paniquait. On s'affolait. On envahissait les rues et on dévalisait les magasins, des meurtres était signalés chaque jour, le monde allait dans une débauche totale. On sombraient dans la drogue, et à chaque coin de rue des vendeurs de drogue vous abordaient. Comment croire que la cause, certe inexplicable et assez effroyable pouvait faire à ce point là échouer la civilisation ? La réponse était simple ; peu était les gens rationnels en ce monde robotique où l'on avait pris l'habitude de ne rien faire par soi même.  On vivait depuis longtemps dans des bulles constitués de simplicité, de laisser aller et de débauche. De sûreté. Jamais rien ne pouvait nous arriver, se disait t'ils tous. Alors un tel phénomène, même cataclysme, ne pouvait que réveiller les pulsions qu'avait certains. Et quand l'un mène, les autres suivent. L'apocalypse. La mort. Tel étaient les termes qui revenaient à toutes discussions.
  Le monde allait donc au plus mal, lui qui se remettait depuis à peine neuf mois des aliens qui avait débarqué sur Terre. Les travaux était finis depuis peu pour la plupart des dommages, et voilà que surgissait un nouvel obstacle à la paix rêvée. Des émeutes explosaient, du sang coulait. Les forces armées devait intervenir, et cela se terminait toujours en bain de sang. Il fallait arrêter cela. Et cela dépassait les moyens humains. Donc, les hauts lieux décidèrent de faire appel aux héros qui déjà, avait sauvé les humains de l'anéantissement. Des figures bien connus furent réunis par l'intermédiaire d'un agent du gouvernement que nous connaissons tous ; Rouge The Bat. Tous contacté par elle et réunis en cette même forêt silencieuse, ils se devaient tous d'être présent. Un curieux point de rendez vous, mais que nos héros connaissaient bien ; c'était la forêt de Big, la forêt des ruines. Ce lieu déserté par même les animaux leur était parfait. Ils arrivèrent, dans l'ordre suivant, plus où moins préoccupés par ce changement de l'humanité.
  Knuckles arriva en premier, l'air aussi moribond que jamais, suivi de peu par Tails. Autant l'échidné semblait grognon de devoir quitter son île, autant le renard se sentait préoccupé par ce problême. Ils n'eurent guère le temps de bavarder car le troisième arrivant débarquait aussitôt ; Sonic the Hedgehog, hérisson emblèmatique à la vitesse incroyable. A l'arrivé de ce dernier, Tails tendit une main que Sonic tapit aussitôt ;
- Hey Tails ! Comment vas tu ?
- Moi bien... Et toi Sonic ? Toujours à courir après Eggman ?
- Non, je n'ai pas senti d'oeuf pourri depuis longtemps... On ne l'entends plus... A croire qu'il va se reconvertir en mécanicien.
- Tant mieux, car avec tout les humains qui disjonctent un peu partout sur la planète...
- Ils sont fous ces humains, ajouta Knuckles.
- Ouais, dit Sonic, moi tant que je peux courir en toute liberté sans qu'un robot me saute dessus ya pas de problême... A propos de robot, aucun signe de Metal Sonic ? Tiens, ça m'étonne ça.  Que peut t'il bien faire ?
- J'en ai aucune idée, mais il faudra bien le découvrir, déclara Tails.
- Sur, dit Knuckles d'un ton bougon, il va encore profiter de la situation...
- Sa nous changerait tiens ! Mais au moins on saurait qui affronter... Alors que pour la lune, remarqua Sonic, je sais pas vous, mais j'ai pas la moindre idée de comment contrer ça.
Les deux autres n'en avait aucune idée non plus.
  C'est à cet instant là qu'un objet jaune et noir tomba comme une pierre en plein sur un échidné rouge bien énervé, un dard bien pointé en avant.
" OUAAAAAAAAIIIIIIE... CHARMY !!! "
-Ooooouuuuups... Euh, Vector ?...
- Mais c'est pas vrai, dit l'interpellé qui arrivait aux côtés d'un caméléon violet, exaspéré ! Tu le fais exprès je le crois pas ! A chaque fois il FAUT que tu nous fasses une entrée désastreuse ! Faudrait peut être calmer le moteur, ptit bolide !
 Le crocodile prit Charmy, et d'un coup sec, le retira du dos d'un Knuckles prêt à faire un roti d'abeille au miel. Mais il eut le temps de reporter sa rage ailleurs, car dans un flappement d'ailes bruyant, une chauve souris atterissait en plein milieu du terrain, ne se gênant pas pour envoyer de la terre tout autour d'elle. D'un sourire éclatant et d'un décolleté effrayant, ignorant les protestations, elle donna comme phrase d'entrée :
" Merci à tous ceux qui sont là, et tant pis pour les autres... "
Elle n'acheva pas sa phrase car une boule rose sautait sur Sonic, en poussant un rugissement digne d'une lionne affamé : " SONIKUUUUUU !!! "
- AH NON C'EST PAS VRAI, cria ce dernier en s'éloignant d'Amy, PAS ELLE !!!
- Sans moi on n'aurait pas vaincu Metal Sonic, déclara Amy, catégorique. J'ai sauvé la planète, tout comme toi. D'ailleurs, je vois Cream arriver avec big et Cheese.
 En effet, un énorme tâche violette apparaissait dans les cieux ; c'était bien Big suspendu à une Cream haletant. Sans plus y prêter garde, Rouge continua :
 " Il ne manque plus donc que Shadow. Bon. Mes amis, commenca t'elle. Voyant le regard noir du gardien de la Master Emeraude, elle ajouta : Et les autres ronchons, vous savez quel problême on a. La lune est devenue rouge, phénomène assez affolant, il faut en convenir, même si je ne vois pas pourquoi les humains en font une montagne. Notre réelle difficulté, c'est que le gouvernement humain ne gère plus, mais plus du tout la situation. Si ça continue la planète va se réduire à l'état sauvage et bestial. Or, on ne peut pas laisser faire cela. C'est pour ça qu'on va essayer d'élucider le mystère de la lune rouge, et de faire revenir à la Lune sa couleur.  "
- Hep hep hep, intervint Vector. Sauver le monde et tout ça c'est bien beau... Ok sauver toute une civilisation aussi... Mais sans blé comme récompense, sans tune pour compenser, sans d'argent quoi, les Chaotix, bah y marchent pas.
- Mais oui, le rassura la chauve souris, c'est prévu gros bêta. Tu croyais peut être que moi, chasseusse de trésor allait me priver de mon passe temps favori pour rien ? Non bien sur ! J'ai obtenu des haut gouvernements tout ce que l'on voulait. Ils sont tellement désespérés qu'ils sont prêt à tout. Tout ! Tu imagines mon gros crocro ? Tout tes rêves !
Les yeux d'Espio, de Charmy et de Vector voyèrent dollar. C'était sur, ces trois là allait se défoncer pour l'objectif, pensa Rouge. Regardant l'ancienne Team Hero, elle vit bien que rien que pour satisfaire leur quotat d'héroïsme ils la suivraient. Et si Sonic va, Amy suivra avec Big et Cream, conclut t'elle. Seul Shadow pouvait poser quelques problême... Elle y réfléchirait après. D'abord, il fallait aborder le sujet épineux. Que l'abeille aborda à sa place.
- Mais comment qu'on va faire, demanda t'il ?
 Tous se regardèrent. Personne n'avait la moindre idée. Tails proposa une idée :
- Il faudrait peut être aller voir là bas. Et si c'était seulement une réaction à quelque météorite ?
- Mouais, si c'était aussi simple les scientifiques auraient trouvés depuis longtemps, répondit Sonic.
  Personne n'ajouta un mot, trop occupait à mûrir un plan.
    C'est dans cette situation ambigu qu'un intense flash lumineux apparut à la droite du groupe. Un hérisson noir et rouge venait d'apparaître. Il était accoudé à un arbre, faisant sauter dans ses mains une Chaos Emeraude rouge transparent. Nonchalant, il jeta dans le silence des paroles qui resteront :
" Et si c'était encore de leur faute ? Regardait bien cette émeraude. Il y a encore quelques mois, elle était d'un rouge fort. Maintenant, elle blanchit, et mon Chaos Control diminue de puissance. "
 On attendit la suite. Qui ne vint pas.
  La vérité sort de la bouche des enfants, c'est bien connu, et Cream allait le prouver maintenant ;
- Mr. Shadow, demanda t'elle timidement, cela veut dire que... que... Les Chaos Emeraudes... meurent ?
Tout le monde fut ébahi et inquiet. Ils venaient tous de comprendre ce que voulait dire la lapine. Cette Chaos Emeraudes se mourait. Et de toute évidence, si les autres avaient encore toutes leur puissance, leur déchéance suivra. Que se passera t'il quand cette Chaos Emeraude sera sans pouvoir ? Assurément, cela avait un rapport avec la lune.
Shadow leur laissa le temps d'assimiler cela. Et puis, lançant le véritable objectif du groupe :
" Si les Chaos Emeraudes meurent, la Terre mourera aussi. Regardait les humains. Ils se meurent. Ils deviennent fous. Après, ce sera notre tour. Car les Emeraudes ne sont pas une source d'énergie, c'est l'énergie de cette planète qui est enfermé dedans. En d'autres termes, nous devons retrouver les Chaos Emeraudes une nouvelle fois, et découvrir pourquoi elles dépérissent. Sinon c'est vraisemblablement la fin de toutes forme de vie sur Terre. "

Tiens, Revenge est dans la place ! Ca m'a surpris de te voir ici, sur le coup. Mais tu fais bien de poster ta fic ici ! Elle est tellement géniale !
Comme je ne cesse de le répéter, il faut que tu te relises attentivement pour corriger quelques fautes d'orthographe. Mais rien de grave, bien sûr. D'ailleurs, j'en ai trouvé moins que je l'imaginais.

Bonne chance pour continuer, et aussi, j'écris TBS sur ce forum comme tu le sais peut-être, c'est en fait la version remasterisée du 1, tu peux aller voir pour me donner ton avis ? Sur ce, bonne continuation, Rev' !

Salut Rev, alors comme ça on viens poster sa fic içi ? ouh copieur ^^ nan plus serieusement felicitation pour ta deuxieme fic qui commence tres bien, n'oubli pas quand même d'aller te presenter au topic prevu pour ce effet. Je vais finalement te souhaiter bonne chance mais attention quand même ou plutot "welcome to the jungle" ^_^.

Oo. Ca commence assez mal. La fin de toute forme de vie sur terre, ça me plaît beaucoup, ça !
Une ou deux fautes d'innatentions. Rien à dire sur la structure des phrases. L'histoire commence très bien. On attend sagement la suite avant d'en dire plus u_u
Bon courage.

Exellent début, très bien raconté et passionnant. J'ai relevée quelques petites fautes mais ce n'est pas très grave. La structure des phrases et la longueur du texte sont parfait. Ta fanfic est originale et le mystère et très présent, je sent que la suite va être très interessante. Bonne chance pour la suite.

*"Oui, bonsoir. Ce serait pour la recherche d'un éditeur susceptible de commercialiser l'histoire d'un certain Revenge, oui Dark Revenge."*

Bon, je sais que j'exagère peut-être un petit peu( au début, je n'ai pas fait attention à ta fic, je ne peux pas tout regarder :roll: ) mais tout ceci pour te déclarer que quand j'ai lu ce que tu as posté, dès la première partie, on sent que tu as vraiment quelque chose pour écrire. Le début: Et bien, tu nous fais une superbe introduction avec une description longue, mais tellement plaisante à lire, je cite ce passage énorme, doté d'une très bonne description et d'un vocabulaire assez étendu qui m'a beaucoup plu:




Voilà, quand j'ai lu ceci, j'ai presque cru que je lisais un passage descriptif d'un écrivain de science-fiction. :)  
Autant enclencher tout de suite la fonction correcteur, et oui, c'est dommage mais il y a quelques fautes visibles, qui, je pense, pourraient être éliminées avec une relecture supplémentaire, non? Comme "voyèrent" qui m'a grimacer alors que c'est "virent", et puis d'autres petites fautes.

Mais bon, ça ne gêne pas vraiment pour lire ta fic superbement écrite, et je ne vais pas jouer le "jamais satisfait"!
Bon, reprenons, dès le début, tu mets en place une atmosphère chaotique et sombre, à savoir la dégringolade de la civilisation terrienne et la "folie" qui les gagne peu à peu(et ce n'est pas pour me déplaire). Et puis ensuite, notre hérisson épineux et ses amis réquisitionnés pour arranger la situation, un dialogue bien mené, avec une ponite d'humour que j'ai repérée pour ma propre part, notamment les Chaotix qui ne marchent pas sans une petite "compensation" et aussi la phrase de Rouge à ce moment:



Ce n'est pas grand chose, je vous l'accorde, mais ce fut suffisant pour me faire esquisser un sourire et un petit rire. Enfin, on apprend que les émeraudes du Chaos meurent. Un lien avec la lune et les humains? Que se passera-t-il si les émeraudes déperissent complètement? Vont-ils réussir à empêcher la catastrophe?
On attend avec impatience que tu mettes la suite de cette fic pour se faire une idée définitive de ce que tu écris et pour pouvoir la dévorer, car tu nous laisses sur notre faim. Bravo et surtout, mets vite la suite! :wink:

Merci à tous ceux qui ont postés  :D
Et tant pis pour les autres  :lol: Je balance la suite, et j'assure que aucun clavier n'a été maltraité durant cette opération :)

Chapître 2- Virée à Metropolis


   Sans perdre plus de temps, Sonic prit la parole.
" Je pense qu'on devrait se conformer à ce que dit Shadow. Peut être que la lune et les Emeraudes n'ont aucun rapport, mais on devrait quand même les retrouver. Rien que pour empêcher tête d'oeuf de les retrouver, il faut qu'on les ait. "
 " Je propose donc, continua t'il, qu'on se remette en groupe pour toutes les retrouver. "
 Rouge se mit au centre, et distribua les lieux de recherche.
- Vector, Charmy et Espio iront dans les grandes métropoles. Je pense surtout à Westopolis et à Casinopolis.
- OUAAAAAAIIIIS !
C'était Charmy, tout exité à l'idée de repartir pour une aventure.
Après un regard furieux pour le gamin de l'équipe, le chef des détectives, partit en premier avec ses deux amis et compères.
- Team Chaotix, en avant les gars !
- Allons y, et pas d'arrêt aux machines à sous le moucheron ! , répondit Espio.
 Et ils s'envolèrent, l'abeille entousiasmé portant le reste de la team.
- Amy, Cream et Big vous iraient explorer les forêt environnantes, poursuivit la chauve souris. Pensez aussi aux ruines.
La petite lapine tourna son mignon petit visage vers celle qu'elle considérait comme une sorte de grande soeur. Timidement, elle demanda :
- Mademoiselle Amy, ça veut dire qu'on repart ensemble ?
- Je crois bien, dit l'hérissone rose avec un sourire. Big ?
- Froooooooooooooooogyyyyy wheeeeeeeeeere aaaaaarrrreee yoooooooooouuuuuu...
- Sur votre épaule Mr. big.
- Ouwn ? Ah ouiiiiiiii... Merci petiiiiiiiiite lapiiiiiiiiiinee aux grandeeeeeeeees oreiiiiiiiiiiiiiiiiiiileeeeeeeeeeeesss...
- Team Rose, on repart, cria Amy pour interrompre ces longs, très longs remerciements.
Et ils s'en allèrent, un éclair rose les guidant.
- Voilà, termina Rouge. Sonic, tu te chargeras avec le renardeau et le ronchon de fouiller chez notre génie diabolique préféré.
- JE SUIS PAS RONCHON, fit l'échidné furieux.
- Si peu, répliqua Rouge, narquoise.
- Hey stop vous deux ! Bon, Tails, tu as toujours ton détecteur, questionna Sonic.
- Oui, la deuxième version. On va pouvoir voir tout de suite si Robotnik a une émeraude.
 Le renardeau sortit sa drôle de machine, et avec une vitesse impressionante, tapa sur une multitude de boutons. A la fin, une grosse émeraude clignotait au centre de l'écran.
- Donc il y en a chez lui, en conclut l'hérisson bleu. On y fonce.
Sans plus de cérémonies, il partit, suivi par Knuckles et Tails.
 Il ne restait plus que la chauve souris et l'hérisson noir.
" Moi je vais chercher à élucider ce mystère. Faut bien que quelqu'un de compétent si mette, justifia l'hérisson noir. "
- C'est sur, répondit évasivement Rouge. Je pensais qu'on pourrait demander aux humains si ils n'ont pas une Chaos Emeraude.
- Charge toi en, moi j'y vais.
Et dans une intense lumière, il repartit, à l'aide du Chaos Control.
    Rouge était désormais seule. Elle décida donc de partir voir le Président, et elle s'envola en direction de Metropolis. Une ville où les bijoux abondaient... Elle y arriva en un temps record. En à peine quelques heures, elle y était. Tout d'abord, elle atterissa dans une grande avenue déserte, et, comme elle n'y voyait personne, elle avança parmi les boutiques flamboyantes de néons. S'approchant de l'une, curieuse de n'apercevoir personne dans une des plus grandes avenues de la cité, elle eu la surprise de constater qu'elle était, elle aussi, déserte. En promenant ses yeux en peut partout, elle eut la confirmation que pas une âme qui vive n'était présente. Etonnée, elle n'y prit pas plus garde que cela ; peut être qu'une déclaration publique du Président avait était organisé en dernière minute ? Cela expliquerait le silence total dans cette partie de la ville. Ou alors un autre événement populaire, comme le lancement de feux d'artifices, tout simplement. En y réfléchissant, ils étaient en plein été, période parfaite pour ce genre de choses. Elle en était là de ses réflexions, quand une échoppe un peu plus vaste que les autres et surtout plus étincelantes la fit s'arrêter. Une boutique de bijoux. Célèbre. Même la chasseuse de trésor, qui n'avait certainement pas l'habitude du mondain, la reconnut. Une lueur avide passa dans son regard. Personne n'était présent dans la bijouterie, ni au dehors, et une petite caméra de surveillance est si facile à désactiver... N'y résistant pas plus, elle s'engouffra parmi les milles étoiles précieuses. Dès qu'il y entra elle sut que la renommée de l'établissement n'était pas vaine. Elle avait l'oeil expert, et cet oeil lui indiquait là pierres véritables, centenaires et aux carrats effroyables.
 " C'est une véritable mine, ici, souffla Rouge. Mais, prudence avant tout. "
Marchant à pas de loup, elle rasa les murs pour arriver à un mur situé à côté de l'attraction de la boutique ; une escarboucle bleuté de la taille d'un oeuf d'autruche. Tapant dans le béton en face de la gemme, elle constata, sans surprise, qu'il sonnait creux.
" Ils pourraient se renouveller, quand même, murmura t'elle avec un petit sourire. "
A l'aide de ses griffes, elle, pour ainsi dire, découpa dans le plâtre pour trouver un mince interstice ; les commandes des systèmes de sécurité. Elle poussa un cri de surprise. Tout était désactivé.
   Incompréhensible. Une fortune, abandonné au premier venu, sans surveillance, mécanique ou humaine ? Elle dut abandonner l'idée que le propriétaire était parti à un événement populaire. Non, il était parti sous le coup d'une surprise peu attendue, qui l'a fait déguerpire. Le sol était propre, bien lustré, quand on n'y regardait. Et la caisse n'avait même pas eu un tour de clé. Tout portait à croire qu'il avait fui, laissant là ses richesses.  Après analyse, bien que ne comprenant pas pourquoi ni comment, elle s'approcha de l'escabourcle, et s'en empara. Elle courba les épaules ; elle s'attendait à quelques alarmes hurlantes. Mais non, rien, toujours le silence. Incroyable. Sans plus penser à cela, elle s'empara également de toutes les gemmes présentant un quelquonque intérêt, et sortit. Elle s'arrêta un moment pour voir si d'autre échoppes intéressantes étaient en vue, lorsque qu'une clameur lui monta à ses oreilles. Un mugissement lointain, qui se rapprochait. Décidé à ne pas se faire surprendre, elle s'envola, et se posa sur un grand bulding. Et là, elle comprit pourquoi tous avaient déserté les lieux. Une foule gigantesque semait le chaos dans la métropole, et des milliers de feux étaient observable. Après tant de villes, Metropolis cédait à la foule et aux superstitieux. Ils ne faisaient aucun quartier, des bruits de vitres brisé parvenant à la chauve souris malgré les quelques centaines de mètres.
   Décidé à aller à l'encontre de cette foule, elle vola jusqu'à un autre gratte ciel bien plus près de la populace.
" Quel bandes de sauvages, s'exclama t'elle, hors d'elle. "
Elle venait de voir des gens ayant le visage peint de manière satanique écrasait des rubis, disloquaient des colliers et abîmés des bagues. Le tout valait des millions. Furieuse de voir " ses " pierres se faire détruire, elle resta malgré tout en simple spectatrice. Que ferait t'elle contre des milliers, des millions de fous saccageurs ? Dégoûté, elle s'appréta à repartir en direction d'une autre ville trouver le Président. Elle s'élançait, quand une balle venue de nulle part l'attegnit à l'aile. Du sang coula, et, Rouge the Bat s'évanouit, avec comme dernière vision une foule criante et surtout, affolée.
   Bien plus tard, elle se réveilla, son aile pansé par des bandages apposés visiblement par des mains habiles. Elle se trouvait dans une pièce vaste, dans un lit somptueux et un confort digne d'un quatre étoile, mais des barreaux aux fenêtres. Qui lui avait tiré dessus ? Qui l'avait transporté ici ? Qui la retenait dans cette pièce emprisonné par des barreaux et par des murs, qu'elle vérifia, incassable ? Toutes ces questions lui bousculèrent dans la tête, mais une autre voix la ramenère à la réalité de l'endroit. Une voix mâle et profonde, mais incontestablement cynique.
" Bienvenue en ce qui sera votre chez vous pour longtemps. Vous ne me connaissez pas, sûrement, mais moi je vous connais de longue date. Vous êtes Rouge the Bat, agent du gouvernement à temps partiel, éternelle chasseuse de trésor. Vous avez joué un rôle lors de l'affaire de l'Ark, et vous allez en jouer un autre dans celle qui nous concerne maintenant ; La Lune rouge. Plus préciçément, vous allez nous aider à prendre le contrôle du gouvernement humain en ces temps troublés. Vous serez notre agent, vous recueilleurez les informations et éliminerez les importuns. Voici en quoi consistera votre mission, que vous effectuerez au noms des Voleurs de l'ombre. Au fait, désolé pour votre aile, mais vous connaissez le protocole, c'est long et ennuyant... Un révolver chargé est toujours plus convaincant qu'un discours n'est ce pas ? "

Un vocabulaire riche et étandu, une histoire pour le moins palpitante, bravo, tu nous as pondu une bien belle fic. Dommage que quelques fautes d'accord se sont glissées dans le texte, fait attention à la relecture.

Je te souhaite bon courage pour continuer ta fic.

Bravo pour cette suite Dark Revenge, digne de la précédente. Nos amis se séparent pour trouver les émeraudes. Le passage solitaire de Rouge qui cède à la "tentation" :P dans la boutique est bien décrit, les évènements deviennent effrayants avec une foule prise de folie qui détruisent tout, j'aime bien tout ça :twisted: ! Et puis, Rouge se fait capturer; mais va-t-elle faire ce qu'on lui demande sous les menaces? Faut dire, cette phrase bien trouvée est certainement très persuasive:




Mais, car il y a encore un mais, c'est vraiment dommage, comme l'a dit Miko, que plusieurs fautes s'insinuent dans ton texte qui pourraient certainement être corrigées avec une relecture.  Essaie comme cela pour la prochaine partie.

En conclusion, continue comme ça, c'est toujours parfaitement écrit(et décrit!). Bonne chance pour la suite de ta fic!
(A moins que tu ne l'aies déjà écrite?)

*Mode chieur de service ON*

Miko, c'est pas étandu mais "étendu"!^^

*mode chieur de service OFF :P*

ENTIEREMENT D'ACCORD !!!


Edit de Miko : Il serait intéressant de connaitre ton point de vue personnel, pas celui des autres, argumente et évite de citer tout le temps.

Merci à Erik et à Miko, j'essaierai de me relirer plus ^_^

Je dédie ce chapître à Black Doom, qui m'aide à parfaire mon éducation sentimentale  :lol:

Sans déconner, la suite  :D




Chapître 3 : Le prix de la peur


  Tandis que Rouge s'envolait vers Metropolis, à Casinopolis, un objet rond et rose s'approchait de la cité par la voie des airs. A elle était suspendue trois personnages connus du monde des détectives, Vector, Espio, et le benjamin du groupe, Charmy. De là haut, ils pouvaient voir la métropole dans toute sa splendeur. Projecteurs, néons, feux, tous s'étaient alliés pour contrer d'une ambiance de folie les ténèbres envahissantes de la nuit. Déjà, ils entendaient les cris des joueurs, les cliquetis des machines à sous et le fracas des pièces qui tombaient. Des personnes larmoyantes en vétements sales ainsi quittaient le portail du gigantesque casino, dans l'ombre des costumes éclatants d'autres rayonnants, nouveaux riches et nouveaux pauvres se cotoyant. Démolisseur de vie et bâtisseur de buziness, le casino était imperméable aux malheurs du monde. Parce que quelque soit le temps, quelque soit les évênements, quelque part dans le monde se trouvait toujours un homme entre ses prises. Mais pour l'heure, rien de tout ceci concernait la Team Chaotix, qui poursuivait un but autre que l'argent ; Une Chaos Emeraude, qu'ils allaient dénicher parmi les larmes et les rires de Casinopolis.
Tandis qu'il percevait les bruits mondains et réfléchissait à tout ceci, Vector pensa pour la première fois à la manière dont ils arracheraient l'émeraude à la cité, si toutefois il la trouverait. Fort de son altitude, il constata l'immensité de cette jungle humaine, et vit à quel point la chasse à l'émeraude serait rude. Mais, convaincu de son flair invaillible, il fut sûr de trouver le butin qui leur apporterait peut être la fortune à lui et ses deux amis.
 Ils atterrirent sur un grand bulding, perché sur un gratte ciel d'où on voyaient défiler toute la ville. Charmy se précipita aux bords de l'immeuble, et revint sitôt après dire joyeusement :
- Ya aucune issue déclara t'il bruyamment, c'est moi qui vais devoir tous faire !
Espio se renfrogna, et ajouta :
- En espérant que tu n'auras pas des erreurs dans ton plan de vol, grogna t'il. Charmy Bee, si tu nous fais encore arrêter aux machines à sous, je te mets dans un panier de basket.
- Tais toi, t'es pas mieux avec tes sprints de la mort à nous épuiser tout le temps !
- Je me défonce autant que vous mais je le signale moins souvent !
- Du calme les Chaotix ! , intervint Vector. Je rappele pour ceux à qui le dollar ne parle pas qu'une fortune nous attends alors soit on n'y va maintenant soit je vous plante là car personnellement, j'y tiens à ces milliards.
" Bizarre que Espio donne la réplique à Charmy, constata Vector en lui. Pas son genre. Bah, surement l'excitation due aux trésors qui nous attendent, je le comprends, pour un peu je me transformerais en abeille. "
 Charmy murmura encore quelques paroles, auquels le caméléon répondit par des regards assassins. Il s'éleva de mauvaise grâce, et prit sous lui ses deux comparses. La Team Chaotix partait en mission.
  Ils volèrent longtemps, longtemps, avant de trouver un élément susceptible de les mener sur la piste des Emeraudes. En fait, il l'eureut surtout grâce au hasard. Pendant que l'abeille supportait les deux autres, ils virent un homme suspendu à un balcon, menaçant de tomber dans le vide et de s'écraser. Une fin horrible. Vector prit l'affaire en main, et se fit lancer par Charmy pour arriver près de l'homme et le remontait. Surpris, il expliqua qu'il avait basculé en buvant son café. Vector leva les yeux au ciel, quelle idiotie ! Mais celui qu'il avait secouru devait leur rendre de beaucoup le service rendu. Il connaissait les Chaotix, et savait qu'il était à la recherche d'argent et de mission. Il savait également que pratiquement toute leur missions avait un rapport avec les Chaos Emeraudes. C'est pourquoi il chuchota au crocodile, l'amenant vers lui :
" Je connais l'emplacement d'une Emeraude... Elle est dans un sombre tunnel sous la ville. Depuis plusieurs semaines, depuis la lune rouge au fait, une entrée est apparue, le révélant à Casinopolis. On dit que qu'une Emeraude est caché là dessous, les détecteurs sont formels. "
- Ah bon, dit Vector, très étonné. Et où il débouche ce tunnel ?
- Juste en dessous de chez moi.
Et disant cela, il montra, très en dessous d'eux, un gros interrupteur gris. Des pavés étaient éparpillés autour, comme si il avait germé de la terre. Juste à côté de lui, un feu avait été presque arraché ; il penchait vers la droite et ses feux changeait sans cesse sans motifs.
Vector sauta du balcon, fut rattrapé par Charmy, et cria :
- Nous y voici. Allons y les amis !
D'un coup sec il propulsa Espio sur un interrupteur. Résultat, le sol s'ouvrit en deux. Sans perdre constance, Vector prit soin de mâcher une de ses éternelles gommes, Charmy accroché et Espio qui l'avait rejoint en vitesse. Ils descendaient lentement, au milieu d'un tunnel vertical constitué de plaques de métals assemblées à la va-vite, éclairés de petites lampes fixées au plaques, braquées sur le milieu du chemin. Le sol ne tarda pas à venir ; à peine quinze secondes après leur chute, ils touchaient un sol dur sans accrochage. Les lampes étaient fixées au sol, très poussièreuses. L'équipe, habitué aux caprices du métier, s'apprêtait à poursuivre son chemin, Espio prenant la tête et s'élançant, Charmy emboîtant ses pas. Le crocodile ne les suiva pas. Surpris, le caméléon s'arrêta brusquement, et se retourna. Vector observait les parois du couloir, les effleurant, comme si il voulait les carresser. Espio fronça les sourcils, et lui demanda ce qu'il faisait. Il ne lui répondit pas, mais d'un geste de la main, invita son coéquipier à regarder de plus près. Une poussière verdâtre était sur les murs.
" Tu vois Espio, chuchota t'il, ça, c'est pas de la moississure. Rien ne peut pousser ici, c'est que du métal avec pas une pointe de soleil et d'humidité. Je sais pas ce que c'est, mais non, ça, c'est pas de la moissisure, c'est autre chose. "
L'interpellé ne répondit rien. Mais il tira Vector par le bras, prit Charmy de l'autre main, et partit dans une course endiablée.
   Ils alternèrent virages, sauts, ligne droite et virage à 90 degrès pendant presque une heure, et, la sueur perlait au front du caméléon, l'abeille haletait de fatigue et le crocrodile avait mis sa musique le plus fort possible. Ils étaient épuisés, et attendaient l'accord de leur chef pour faire une pause, qui vint peu de temps après :
" Bon, ce tunnel semble sans fin, alors on va faire une halte pour récupérer. Le monde peut se passer quelque minutes de notre sueur. "
Ils s'écroulèrent tous à terre, épuisé, reprenant leur respiration. Vector récupérait bruyamment, Charmy était étendu sur le sol, comme mort. Espio attendait pour reprendre, ce qui prendrait une bonne demi-heure.Il avait l'habitude, il connaissait ses deux amis depuis bien longtemps.
" Et ils n'ont jamais changé vraiment, pensa t'il avec un sourire intérieur. Charmy toujours gamin, toujours notre crocodile fou de musique et de buble gum... Moi aussi il faut dire. "
 Pendant qu'il réfléchissait, il aperçut quelque chose d'étrange. Le plafond avait des entailles. De profondes entailles, laissées par quelques chose de très tranchant qui avaient lancinaient de plus en plus de plafond, repassant plusieurs fois et rejetant des copeaux de fer. Qui n'était pas là. Nouveau point d'interogation Il y regarda de plus près, et vit qu'elles étaient larges d'un pouce, et profondes.. Un objet, probablement tros grand pour le tunnel avait dû passser par là et abîmer ce plafond. Il suiva ces entailles, et très vite, il se rendit compte qu'elles devaient commencer au début du tunnel, et finir à sa fin.
" Ainsi, on n'est pas les seuls à s'être aventurés ici, conclut le caméléon. Et les entailles ne sont pas très anciennes en plus. "
Se demandant si il y avait d'autre marque semblable, il passa tous les alentours au peigne fin, sous les yeux ahuris de Charmy et interrogateur de Vector. Ce qu'il trouva le rendit encore plus perplexe ; si on y sa main on s'apercevait qu'il était chaud. Chaud comme la fourrure d'un chat. D'une chaleur douce, ce qui était incompréhensible pour un sol fait de métal. Quelque chose qui passait dessus émettait de la chaleur, c'était la seule explication possible, vu que le sol en dessous sonnait plein.
  Tout cela le turlupinait. Une chose avait creusé le plafond, pourtant de fer solide et compact, ne rejetant aucun dépôt. Une matière verdâtre couvrait les murs, venu d'on ne sait où. Et pour finir, le sol était chauffant.
 Fronçant les sourcils, il murmura à ces deux compagnons :
" Un chose, probablement un enjin, sillone ce sous sol, et souvent en plus. Ce qui est sûr, c'est qu'il est gros, qu'il dégage beaucoup de chaleur, et qu'il ne laisse pas de traces matérielles. Sauf si cette poussière en est une. "
- Tu veux dire qu'il y a un truc qui pourrait nous tomber dessus, intervena le gamin qui s'était relevé, interloqué.
- Bien probable. Et ça risque pas d'être une partie de plaisir...
- Eh oh, les Chaotix !
C'était Vector qui les attrapait tous les deux par le col.
" Vous douter de nous ou quoi ? On est les Chaotix, les célèbres détectives casses cous ! Alors on repousse le doute et on met la barre du moral au plus haut. Allez, on poursuit.
Voyant Espio qui commençait à se pencher pour sprinter, il préçisa très vite :
" Et JE conduis, Espio... "
Et ils continuèrent donc. Mais l'ambiance était différente. Charmy n'avait plus une banane figé sur le visage. Espio était plus sérieux que jamais, et Vector avait, sembler t'il, baisser le son de sa musique, fait exceptionnel. Un léger souffle froid les accompagnaient, dans leur course qui ressemblait plus à une marche forcée. Il était sec comme un désert et glaçant comme un iceberg. Un étonnant contraste, d'ailleurs. Un sol chaud, un vent qui vous gêle les os... Une bien drôle ambiance. Et ce silence... Si troublant... Soudain, Charmy voulut être en pleine ville.
" On a affronté bien des dangers, pensa t'il, plus sérieux que coutume. Des périlleux, de ceux parmi lesquels on ne revient pas. Mais jamais je n'ai reculé. Et je ne commencerais pas maintenant...
Il ne termina pas. Une goutte de sueur lui zébra le visage, coulant sur sa joue. Oui, tout ici l'angoissait. Des parois qui se referment autour de vous, un vent qui apparait de nulle part et qui vous poursuit, la sensation d'une mort prochaine. Etrange, et même vraiment inquiétant. Il se rendit compte de tout, brusquement, isolé dans ses pensées sombres. La poussière sur les lampes, la matière verdâtre, le sol chauffant, et surtout ce vent... Il prit soudainement peur, et freina en catastrophe. Espio se retourna, et vit un Charmy aux yeux vides, dégoulinant de sueur. Il lui parla, mais l'abeille n'entendait plus rien... Il ne voyait que flou, là, dans ce sentier de l'effroi, où tout porte à l'angoisse. Il n'affrontait pas, comme il l'avait fait à maintes reprises, un robot ou un ennemi matériel, mais bien pire, une horreure angoissante... Une peur. Sa peur. Et, avec des yeux fous, il s'engouffra dans le sentier mal éclairé, seul. Il courait à une vitesse incroyable, Espio lui même ne pouvait le rattraper. La folie le guidait, et lui ordonnait de courir, plus loin, plus vite, toujours plus loin, toujours plus vite ; il fallait qu'il sorte. Les quelques lumières qui clignotaient semblaient se moquer de lui à son passage. Elles riaient, de leurs lumières hésitantes... Le sol paraîssait se tordre de rire avec ses creux et ses bosses, tous s'amusaient à ses dépens.
   Et puis vint le bruit. Un coup. Puis un second. Et tout une batterie de saccade, de claquement et d'embranchements. Sourd. Il martelait le sol, et le sol se réchauffait de plus en plus. Charmy se stoppa une nouvelle fois. Son coeur battait à 200 à l'heure, un sursautement lui serait fatal. Il fallait qu'il garde son calme, mais il en était incapable ! Il resta là sans bouger ; il tentait de se maîtrisait. Le bruit ne faisait qu'empirer son tourment. Puis, à force d'entendre ce bruit, de rester là sans bouger et l'entendre s'approcher, Charmy le vit sous un angle différent. Et si ce son indiquait la sortie ? Et si il pouvait le libérer de cette angoisse qui lui lancinait le coeur et cette peur qui lui embrumait le cerveau ? Serait ce sa délivrance ? Serait ce un fil qu'il fallait suivre ? Charmy ria aux éclats. Mais bien sûr ! C'était des travaux à la surface, qui faisaient ce bruit. Qu'il était bête ! Vite il cria :
" Les amis ! Je crois que c'est bon, on arrive à la fin ! "
 Il fonça droit devant lui. Il sauterai dans les bras des ouvriers, ils les feraient voltiger dans les airs tellement il serait reconnaissant. Ils seront surpris, mais lui sera la plus heureuse des abeilles. Pleurant de joie en entendant le bruit être tout près, il accéléra encore plus.

 Vector et Espio entendirent un cri. Bref, inarticulé, un cri d'horreur et de surprise. Charmy ! Ils mirent toute leur forces pour arriver le plus vite possible. Ils étaient inquiet, c'était leur gamin à eux ! Et s'arrêtèrent sur un Charmy évanoui, les yeux vides et le sourire figé. Une expression bien macabre. Ils s'agenouillèrent à ses côtés, et par réflexe, écoutèrent son pouls. Il n'entendirent rien. Une torpeur s'était envahi d'eux. De celles qui suivent une tristesse soudaine et immense, ils en étaient étourdis. Vector, repensant au bruit, leva les yeux, il équarquilla les yeux comme jamais. Il tira Espio qui pleurait, et pointa du doigt devant eux. Espio fit un bon en arrière, et poussa un cri d'horreur. Ils contemplèrent l'effroi dans son aspect le plus poussé, et virent, non seulement la mort de Charmy, mais la leur également. Ce n'était pas un ouvrier et son outils qui avait offert à Charmy, le prix de sa peur.

Je suis un peu en retard : je n'ai pas encore lu le troisième chapitre. Mais je viens de lire le deuxième, et j'ai une remarque à te faire. Avec tes descrptions et tes détails longuements désirés chez les autres, je viens de m'apercevoir qu'ils n'étaient pas tout le temps présents non plus chez toi. Surtout dans la fin du second chapitre. D'où vient la voix cynique ? Que fait Rouge à ce moment ? Etait-elle assise, debout ? A t-elle sursautée ? Je ne sais rien de tout cela, et j'ai eu du mal à m'imaginer la scène. De plus, quelques erreurs viennent se glisser. Bref, je lis le troisième chapitre, et je te fais un edit tout de suite après.

Edit : Hhèèèèèèè. Mais il n'y as que moi pour faire crever ces satanés héros :P . Bien joué sur ce coup. L'histoire est sensationnel, et faire mourir Charmy c'est une très bonne idée. Mais quel est la chose qui l'as fait mourir ? Que vont fairent Espio et Vector ? Vont-ils mourirent, eux aussi ? A part ça, j'ai relevé beaucoup d'erreur d'innatention. C'est innadmisible, venant de ta part ! Bref, une bonne relecture ne fait pas de mal. Bon courage, pour la suite.

Edit : Black Donf .__.
Bléssé dans mon estime. Sans dèc', j'espère que tu fera long feu, ta fic en vaut la peine. Mais corrige moi ces fautes la prochaine fois >__<

Rah, si Black donf se met à me critiquer comme je le critique, je vais pas faire long feu  :lol:
J'ai corrigé quelques fautes, mais n'ai pas rajouté de description. Pour rouge, sa position, et sa voix, c'est voulu  :wink:

Si tu as d'autres commentaires, je les acceuille à bras ouvert, ils sont les bienvenus !

Darky nous offre son troisième chapitre. Ouais, on est content! Bon, argumentons un peu nos dires:

Le scénario: Une nouvelle partie à propos de la team Chaotix, nos trois amis cherchent une émeraude du Chaos. Jusque là, on s'y attendait :P ! Mais par la suite, par l'aide d'un inconnu qu'ils sauvent(en buvant son café, bizarre ça), tu as trouvé une bonne idée. Rentrer dans un tunnel lugubre pas très accueillant pour trouver la pierre. Au début, tout va bien, mais par la suite, qui a laissé ces marques sur les murs un peu partout? L'ambiance devient lourde, une atmosphère terrifiante presque. On ne sait pas du tout ce qui est passé ici, tu gardes ça secret pourquoi pas.(Un serpent à aiguilles en train de muer et pris de vomissements? :P )Et à la fin, coup de théâtre, tu fais mourir Charmy! Pourquoi pas mais là, j'avoue que j'ai pas bien compris, ça m'a surpris, et je ne comprends pas pourquoi tu as fait ceci, du moins; je n'en vois pas l'utilité. Peut-être qu'en effet cela sera essentiel pour la suite de ton aventure. Ou encore tu nous mènes en bateau et Charmy n'est pas mort, juste dans le coma? Crise cardiaque? Bon, j'arrête les hypothèses.

Description: Bon, là, je n'ai pas grand chose à dire. Vraiment? Oui, je pense que c'est déjà très bien, tu peux encore t’améliorer(toujours, il n’existe pas d’histoire parfaite)mais par rapport à ce que j’écris moi-même, c’est vraiment super ! Le passage dans le tunnel est très bien retranscrit. Quant à la peur ressentie par Charmy Tu possèdes un vocabulaire riche et étendu, et c’est ce qui donne surtout envie de continuer à lire ton aventure. Donc, là, tu n’as pas vraiment de problèmes.

Et bien, je vais finir en te disant que tu as encore quelques petits problèmes avec l’orthographe. Et oui encore des fautes, malheureusement ; je suis sûr qu’en faisant un peu plus attention, tu pourrais les éliminer avec une relecture et nous offrir une superbe fic. Penses-y au prochain chapitre ! On attend la suite avec impatience !(Cependant, je pars demain, donc je serai pas là tout de suite pour la lire)Bonne chance !

Ah, le fameux troisième chapitre. Vraiment terrifiant. Enfin, que dire de plus à part que tes descriptions sont incroyables et que sur ce sujet j'aimerais bien avoir autant de talent que toi ?

Continue vite ! On se voit sur J.V. ^^

Dark Revenche, le debut de ta fic est superbe, je dirais même digne d'un romancier.
Les descriptions et les sentations sont très bien retranscrites, il y a du suspence et de l'action, ca me plait beaucoup.
Pour ce qui est du troisiéme chapitre, superbe ! L'atmosphére est pesante et angoissante (tout comme j'aime ^^), le moment ou Charmy est prit d'un coup de folie est très intéressant. Entre autre, je suis impatiente de découvrir ce qui a fait suffisament peur à Charmy pour le tuer, et ce qui menace Vector et Espio.

Met vite la suite, c'est bien, je dirais même différent des autre fics, et c'est temps mieux.

Mince les autres ont déjà tout dit T_T. J'aime beaucoup ta fic, elle est très bien décrite et différente des autres. Charmy est-il vraiment mort ? Que de suspence et d'émotion qui rendent ta fic très interessante. Bon courage pour la suite.

Rah, tu es fabuleux Revenge. Je suis jalouse de ton vocabulaire et de ta manière de décrire les scènes et les endroits. Non franchement, je t'encourage à contninuer!!! :wink:

Woah, j'ai même eu des frissons en lisant le 3e chapitre @_@
Serieusement, tu écris bien, tu as du vocabulaire, l'orthographe, bien que pas parfaire, est quand même pas mal...
Le scénar est interessant, et ton histoire est vraiment prenante oô
Je sais pas ce que c'est que ce machin qui a tué Charmy, mais j'espère qu'on va le découvrir très vite è_é

Merci à tout le monde pour ces commentaires, chacun de vos commentaires augmente ma volonté de poursuivre  :D
 
 Sonadow  :arrow: Tu exagères beaucoup quand même  :lol: Mais je te remercie, ça me fait plaisir. Je suis content que l'ambiance macabre est eu un effet sur toi  :twisted:

Elora  :arrow: Suspence et émotion, si tu l'as ressenti, alors je suis content. Partager des émotions, voilà une des raisons pour laquelle j'écris cette fic  :wink:

Mysti  :arrow: ma dragonne est jalouse  :shock:  Il manque plus que tu sois affamée et tu seras une vraie terminator  :lol:
Non sans rire, j'espère bien ne plus te jalouser, car il n'y pas grand choses, voir rien, où je pourrais affirmer te dépasser.

Pink Tails  :arrow: Faut se dire que pour chaque frisson que vous avez, moi je tape la tête contre les murs pour trouver une suite >_> Non sérieusement, je te remercie, tes compliments tapent dans le mille  :oops: Pour ce qui est du " machin ", je vais essayer de pas trop vous dégoûter, car je n'ai pas lésiner dans l'horreur quitte à presque toucher dans le gore.


Parfois avec vos compliments, je me dis que je suis vraiment bon... Et là je relis ma fic, et constate qu'il faut encore que je bosse beaucoup :lol:

si j'ai un truc à ajouté c'est que tu as mis des points à la place des virgules et ça passe plus pour un télégramme que pour une histoire!
je sais  que t'as pas trop accroché pour ma fan fic mais désolée de te dire ça mais moi non plus j'accroche pas trop à la tienne.
je pense que les fanfics  dépendent du goût qu'on a!
moi par exemple j'aime bien les histoires sentimentales, dramatiques, comiques, et où il y a de l'action qui arrive tout de suite et où on arrive à visualiser les personnages!
 et c'est que je retrouve dans ma fanfic puisque je me suis inspirée des séries télé que je regarde. et puis il n'ya que les personnages officiels.  
je ne viens pas ici pour faire de la pub sur ma fanfic mais juste pour dire que ta fanfic ne m'attire pas des masses! et je dois bien l'avouer, on a des domaines très différents!
et je dis ça calmement sans vouloir te vexer maintenant si tu veux on peux en discuter sur msn pour s'échanger les idées!

voilà
bisous à tous
marion

Je suis content que tu aies lu ma fic. Je t'en remercie, vraiment, chaque lecteur est pour moi un moteur. Une nouvelle fois, merci.

Maintenant, analysons ton commentaire. Je respecte ton avis, et je pense qu'il est véridique au fond. La seule chose qui m'a déplu, c'est que tu ne m'a rien cité. Tu as parlé de points noirs, mais sans que tu me montres en quoi. Ma fiction ressemble à un télégramme en quoi ? Bon, ça encore je devine, mais j'ai un peu de mal pour le reste. J'espère que tu repasseras ici, pour me préciser tout ça. Ensuite, j'accepte l'idée de discuter avec toi sur Msn, ça sera avec plaisir  :D

je te cite un exemple:dans le premier chapitre "La forêt. Paisible et tranquille."
entre "la forêt" et "paisible et tranquille."
tu as mis un point!
alors que c'est  la forêt qui est paisible et tranquille donc faut mettre une virgule!^^

voilà
bisous

C'est pour insister voyons  :lol:
C'est pas du  tout une faute de frappe ^^
Bon sinon, comme c'est le topic de ma fic, je précise que la suite n'est pas encore finie... Je suis pas boosté ces temps ci  :?

Bon bon bon... Eh bien j'ai lu tes trois premiers chapitres, et avec un grand plaisir !

Ce qui m'a le plus déplu, autant le dire tout de suite, même si tu l'as déjà entendu plusieurs fois, c'est le nombre de fautes, le manque de relecture... En relisant rapidement le texte, de nombreuses fautes pourraient être évitées !

Ensuite, la scénario me semble prometteur. Faire passer les humains pour des bêtes affolées chaque fois qu'un évènement les dépasse, c'est plutôt bien trouvé ! Le système des équipes qui m'avait d'abord déplu se révèle en fait pas mal, et je pense qu'en continuant d'exploiter le caractère propre à chaque personnage, tu pourrais arriver à de grandes choses pour chacune des équipes. C'est d'ailleurs un point que j'apprécie particulièrement dans ta fic : l'état d'esprit de chaque personnage parfaitement respecté !

J'ai cependant une petite remarque à te faire : tu aimes que les scénarii des fanfics diffèrent de l'histoire banale, mais dans ton histoire, tu fais rechercher les Emeraudes aux personnages ! N'est-ce pas quelque chose de "bateau" pourtant ?
En même temps, je n'ai lu que trois chapitres, et tu as certainement d'autres idées en tête, qui rendront cette chasse aux Chaos Emeralds plus palpitante et plus originale.

Tu as également beaucoup de points forts dans l'écriture : un vocabulaire très riche, qui te permet de décrire les lieux et les actions très précisément, nous emportant ainsi dans ton univers. La description de la forêt était splendide, celle de la bijouterie ou encore celle des entailles dans le tunnel l'étaient tout autant.

Enfin, tu réussis facilement à créer différentes ambiances. J'avoue avoir commencé à m'inquiéter moi-même lorsque tu as décrit la peur de Charmy, cette immense angoisse. Et à la fin du chapitre, que trouvons-nous ? Une fin qui s'arrête net, laissant un mystère non sans importance qui n'est pas révélé, et laissant ainsi planer le mystère...

Quoiqu'il en soit, j'ai vraiment accroché, et je t'encourage vraiment pour la suite !

Voilà un nouveau chapître, qui j'espère, vous plaira. J'offre cette suite à Night Shade, ma correctrice et chère Ch. 6.
 Faut la remercier, car sans elle, cette fiction aurait été -encore me direz vous ^^ - truffé de fautes. Peut être l'est t'elle encore, mais je me suis relu tout comme elle m'a relu.

 Une lecture qui j'espère, sera bonne  :wink:






Chapître 4 : La semi morte.


     Espio s'était évanoui à la vue de tout ceci, il était fort et rigide, mais n'était pas dépourvu d'émotions. Son chef n'en manquait pas aussi, mais il savait qu'il devait rester debout. Que leur arriverait t'il sinon ? Mais Vector avait la tête qui tournait, il avait envie d'hurler et en même temps de pleurer toutes les larmes de son corps tellement ses émotions étaient controversées, le crocodile. Il avait pris le corps de son ami et l'avait enlacé de ses deux bras, les cratères dont sortaient des milliers de gouttes fixés sur l'Ankou de ce gamin. Deux si terribles émotions... L'horreur et la douleur... Tous ses sens donnaient l'alerte devant cette avalanche. De tels chocs suffisaient à ébranler la raison, il le savait. Quelle douleur serait la plus forte ? La mort l'emporta sur l'horreur, et il prit pleinement conscience du fait que Charmy était mort, se rappelant des souvenirs de lui. Leur gamin à eux, leur ptit bolide qui les ennuyait souvent, avec son hyperactivité... Ils l'aimaient cette abeille. Dire qu'ils l'ont eu comme un cheveu sur la soupe, presque indésirable.
  Ils cherchaient un nouveau coéquipier, après avoir quitté Knuckles et Mighty, quand ce ressort sur pattes débarqua. Il avait frappé à la porte des détectives, où plutôt percuté cette porte. Il devrait toujours faire des entrées aussi fracassantes par la suite, perpétuant sans le vouloir ce souvenir. Vector s'en rappelait comme si c'était hier, il croyait que le tapement sourd était la batterie de sa nouvelle chanson de l'époque. Il se balançait dans son fauteuil, devant un bureau surchargé et encombré ; lettres, dossiers interminables, objets de toutes sortes... Pour revenir à ce qui nous intéresse,  Espio avait tout de suite ouvert la porte et regardait droit devant lui, interloqué par ce coup, puis abaissa finalement le regard. Une abeille, qui s'était apparemment pris la porte en pleine course, se tâtait le front, cherchant une bosse. Elle était jeune, très jeune, avec un casque d'aviateur fixé sur la tête et un dard frétillant. Il était déjà débordant d'énergie, ce Charmy, pensa le crocodile avec tristesse. Il releva la tête, et Vector s'aperçut enfin de sa présence.  Il observa le gamin et il ne pu croire à une mission sur le coup, très étonné. Mais sa surprise prit toute son ampleur quand le gamin déclara sans ambiguïté qu'il voulait rejoindre les Chaotix, d'une manière très franche et rapide :
" J'ai vu votre annonce dans le journal et j'ai été tout de suite emballé par votre équipe, car j'aime l'argent et voler haut dans les airs. "
Le crocodile approcha son fauteuil, et croisa les coudes sur le bureau. Embêté, il accueillit cette déclaration, presque gêné devant tant de naïveté.
- En fait, nous pensons plutôt à quelqu'un de plus expérimenté,  plus mûr, plus vieux quoi...
Charmy hocha la tête vigoureusement et répondit avec ce qui aurait passé pour prétention à tout autre que lui :
- J'ai pensé exactement la même chose, constata t'il d'un air candide ! Les Chaotix sont une grande équipe, il leur faut quelqu'un de fort et de téméraire, et tout de suite j'ai pensé à moi. Je sais voler, je suis une abeille forte, maman m'a toujours dit que j’étais fait pour l'aventure et maman ne se trompe jamais.
Il bomba le torse, et ajouta ; " C'est la reine tout de même ! "
 Vector écouta attentivement, et croisa le regard d'Espio. Il éclata de rire.
" Ok gamin, dit t'il après avoir étouffé sa crise, t'es un ressort monté sur pattes mais on te prend. Ouais, on te prend, et tu t'appeleras Charmy Bee. Vector, Espio et Charmy, the Chaotix. "
 - SUPEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEER !!!!!!!!!!!, hurla Charmy de joie, les yeux exorbités d'exaltation. VOUS LE REGRETTERAIS PAS, poursuivit-il, JVOUS LE JURE !!!
- Quoi ? S'exclama Espio, complètement abasourdi.
Il venait de lancer son shuriken qu'il triturait dans la porte grisâtre. Il interrogea longuement son chef, droit dans les yeux, en quête d'une explication. Vector n'en avait pas d'autre que la sympathie qu'il éprouvait envers ce gamin. Espio le vit dans ses yeux, et faisant confiance au crocodile, accepta silencieusement.  Charrmy semblait n'avoir rien remarqué, et remuait dans tous les sens.
  C'était comme ainsi que cela c'était passé. Des aventures innombrables avaient suivis, et il avait toujours était présent. Il avait vogué de danger en danger, affrontant de me multiples robots et des abîmes profonds comme les mers, jamais, jamais Charmy ne leur avait fait défault. Cette abeille avez un moteur à réaction pour énergie, et un coeur d'or. D'or et de dollars, bien sur. De l'imprévu, et Vector comptait bien renvoyer ce gamin, même si l'idée partit au fur et à mesure qu'ils poursuivaient des missions ensemble, il s'attachait à lui. Trop, il savait qu'il était fragile et que tôt ou tard un coup de vent l'emporterait. A partir de cette pensée, Vector replongea brusquement dans la réalité, cette réalité où il avait un Charmy mort dans ces bras. Le pauvre Charmy... Il avait encore son air candide et enfantin... Des larmes tombèrent sur la joue de l'abeille, des larmes de crocodile. Il devait le venger. Oui ! Il devait venger son ami, dusse t'il en souffrir, dusse t'il affronter la mort et y périr, il devait le venger. La vengeance... Si elle ne ramènerait point son ami, elle l'aiderait à se consoler. Puis il reporta donc son attention sur le monstre qui l'avait tué. Vector lui offrit toute la haine, la rage que son désir de vengeance pouvait lui donner. Il s'élança, animé d'une violence sans limite vers cette abomination humaine, qui gardait encore la partie supérieure du visage dans l'ombre, puis il sauta sur l'ennemi, un poing en avant et un autre prêt à frapper. Tous les deux atteignirent leur cible. La chose vola, ses longs cheveux blonds qui suivaient... Avec des morceaux de chair rosâtre qui partaient tels des feuilles d'un arbre. La petite fille retomba à terre en martelant fortement le sol ; le crocodile y avait mis toute sa force. Il courut vers elle, prêt à recharger, quand elle releva sa tête vers lui alors qu'elle était accroupie, et tout son visage fut dévoilé... Ses yeux ! Ils étaient... Ils étaient... Creux. On voyait l'intérieur de son crâne pourri, plein d'insectes repoussants qui fourmillaient dedans. Un cadavre vivant... Il détourna les yeux. Mais le dégoût ne pouvait dépasser la haine de Vector, aussi renvoya t'il un second coup, d'un poing bien ramené en arrière et placé avec une détente admirable.  Il toucha sa poitrine, d'une si profonde puissance qu'il perça son poitrail, et s'enfonça dedans, avec des craquements sinistres. La petite fille se fendit un rire. Il écarquilla les yeux ; son poing était pris dans sa cage thoracique, vide de tout mouvement. Il ne pouvait ressortir, les os s'étaient ressoudés autour ! Ils s'étaient reconstruits en quelques secondes !.. Dedans, il pouvait presque palper les organes de cette abomination... Son coeur, qui ne battait pas. Elle contemplait celui qu'elle avait pris au piègedu haut de son corps squelettique et de ses multiples blessures que protégeaient des cicatrices. Dans la vie où dans sa mort, son corps avait reçu bien des blessures, et essuyé bien des souffrances. Le désir de vivre l'avait donc t'il fait vivre ? Ou n'était ce que le fruit d'expérience machiavélique ? Non, personne n'était capable d'une telle horreur, personne... La folie pouvait expliquer bien des choses, mais pas cela, pensait le crocrodile. La fillette qui n'en était pas une le fixa de ses yeux creux, puis leva une main desséchée, et fit un geste particulièrement étonnant : elle caressa la joue du crocodile. Doucement. Il en frémit, on aurait dit que la mort l'effleurait, sans que cela ne soit désagréable... Sa peau restait douce. Qu'était t'elle donc ? Elle avait dû être belle, auparavant, il y a des signes qui ne trompaient pas. Sa face livide gardait un soupçon de beauté, avec un menton décidé et un nez, bien que bleu de pourriture, d'une forme plaisante. Son visage conservait des traits singuliers, qui attiraient l'attention. De la sueur coula sur son visage, de la sueur d'angoisse, il était pétrifié par ce contact. Mais la fin trop récente et abrupte de Charmy le renvoya à sa vengeance et, ne pouvant retirer sa main, il enfonça l'autre refermée en plein dans ce qui aurait dû être son front, de rage. Une nouvelle fois, elle y força le passage, en brisant des os et un cartilage épais. Une espèce de milles pattes lui courut sur le bras. Et il toucha un objet froid et dur, acéré... Une idée lui vint soudainement. Une idée qui expliquerait l'état de cette fillette, ses yeux creux, sa peau morte qui partait en lambeaux, ses mains desséchées et ses os qui se ressoudaient.  Son état de mort vivante. Il faudrait une magie... Il plongea toute son attention de son esprit dans le crâne du monstre... Et y vit ce que Charmy lui même avait vu, ce qui l'avait horrifié plus que l'aspect macabre de l'abomination ; des tissus sanguins et des fils étaient connectés, non pas à un cerveau, mais à une Chaos Emeraude. Cette petite fille morte avait une Chaos Emeraude dans le crâne. Elle était la Chaos Emeraude !!!
     Vector ne pouvait le croire, c'était tout simplement monstrueux. Tandis qu'il constatait ceci, Espio se relevait, avec difficulté. Il n'était pas aussi faible que cela. D'un coup d'oeil, il jugea la situation ; il avait retrouvé tous ses sens. Il s'approcha donc tranquillement des deux adversaires, et tira sur les bras de Vector. Il en fit ressortir ses poings, le rendant libre. Ils étaient deux, et prêt à combattre ce qui leur semblait un démon. Ils foncèrent ensemble dessus. Vector empoigna Espio, et le lança, en boule vers leur bourreau. Elle encaissa Espio en dessous dans ces abdominaux, ce qui la fit courber. Alors, Vector balança son poing sous le menton du monstre. Elle encaissa de nouveau, et eut la tête retournée en arrière sous le choc. Puis se remit à la même position qu'avant, comme si leurs attaques ne l'avaient jamais touchée. Ils constataient cela avec une grande peur ; ils n'y étaient pas aller de main morte, et elle n'avait rien. Rien. Il fallait faire quelque chose ! Alors, la fillette qui n'en était pas une ouvrit une bouche aux lèvres craquelées. Etrangement, ses dents étaient éclatantes. Un timbre de voix sans âge monta dans l'air, une voix ni claire ni grave, tout simplement monotone. Morte.
" Je suis désolée, dit t'elle simplement. Je ne souhaitais pas la mort du petit. Il est si impressionnable... "
Espio ni Vector ne répondirent, toujours sous le coup de l'horreur. Alors, elle poursuivit :
" Je veux vous rejoindre. Vous n'êtes pas ici pour la promenade. Vous êtes ici pour l'émeraude, c'est évident. Je suis l'émeraude. Vous avez besoin de moi, et il se trouve que j'ai besoin de vous. "
 Reprenant le cours de la réalité par ces paroles troublantes, le crocodile répondit en tremblant :
" Qui êtes vous ... ? "
Elle pencha la tête, et montra à nouveau ses dents blanches.
- Cela n'a pas vraiment d'importance, sachez seulement que mon nom est Arima, dit t'elle d'un air qui conseillait de ne pas insister. Ce qui en a, c'est que je dois rejoindre quelqu'un d'important, et que j'ai besoin de vous.
Il hoqueta, et murmura :
- Jamais... Vous venez de tuer un Chaotix, notre partenaire et ami, et vous parlez d’aide !
- Je parle d'aide. Et d'accident. C'est ce tunnel qui a tué votre abeille. Pas moi. Il était trop jeune pour... ce genre d'expérience. Il faut que vous m'emmeniez.
Elle continua de sourire, et brusquement, prit Vector par le cou, passa l'avant bras devant, prêt à tirer jusqu'à l'étrangler. Elle ignorait les blessures, et savait retourner la situation à son avantage. Elle prononça alors d'une voix presque triste :
" Il le faut vraiment, vous comprenez ? "

Bon, superbe chapitre, pour ne pas changer ton habitude. Les descriptions sont remarquables, le texte est prenant, et malgré peut-être un manque de paragraphes lors de certains passages, la lecture de ta fic reste un plaisir.

Par contre, lorsque Vector et Espio recrutent Charmy, Vector finit par dire : Vector, Espio et Charmy, the Chaotix. Mais si j'ai bien lu Charmy ne leur a pas encore dit son nom. Alors c'est sous-entendu ou t'as oublié quelque chose ?

Sinon, je ne peux que te souhaiter de continuer ainsi. Bon courage pour la suite.

Je trouvais que Charmy n'était pas un vrai nom... J'ai pensais qu'en le présentant ainsi, ça prouverait que ce n'était qu'un surnom. Mais je vais modifier un peu, ya des trucs à revoir  :wink:

Très bon chapitre, j'aime bien la façon dont tu présente le mort vivant et le combat que méne Vector contre lui et aussi le flash back ou ils rencontre Charmy.

Comme toujours, des descriptions et des sentiments facile à se repésenter ou a ressentir.
Pour les points négatifs, j'ai du croiser une ou deux fautes d'orthographes mais rien de bien grave et tu décris le mort vivant comme une petite fille, mais tu ne nous dit pas si il s'agissait d'une enfant ou d'une jeune adolescente. Il est donc difficile de ce la représenter en détails.

Ta fic est génial, met vite la suite, j'ai hate de la lire.

Revenge, ne me prends pas pour une folle, mais c'est extraordinaire, j'en pleur presque. Le pauvre Charmy, moi qui le trouvait si mignon avec son énergie! En passant, je ne comprends pas vraiment, comment une morte peut en faite être une Chaos Emeraude! Ah oui, et en passant, je crois savoir qui est cette fameuse morte et qui elle cherche à retrouver... :wink:  Je t'enverrai un MP. En tout cas, je suis toujours aussi jalouse, ta fic est magnifique, sublime même, et que dire de plus, tous les mots ne sauraient décrire à quel point j'adore ton histoire.
Bon courage pour la suite, je l'attends avec impascience!!! :P
Ah oui, une petite remarque de rien du tout: tu n'as pas décrit les vêtements de la petite fille, à moins qu'elle n'en porte pas... :lol:

Si même Miko commence à dire que tu es plus sadique que moi ;_;
Ecoute moi bien, Dark. C'est moi le pire sadique sonicien, et je vais t'en donner la preuve, en perso. Tu m'as bien compris ?!

Bon sinon, l'histoire est toujours aussi bien. Les sentiments sont bien décrits, et les apparences aussi. Le seul point noir...
C'est quoi ces fautes ?!
Sérieusement, avec une relecture simple, tu peux les corriger facilement, ces fautes ! Fait plus attention, quoi. Je suis désolé, quand je vois par exemple :



, pour un ficeur comme toi, ça fous la rage !
Relis toi ! C'est la dernière chose que j'ai à dire u_u

Edit : - -)

Raaaah ! Si Donfy s'y mets aussi, je suis mort U_U
Je vais me relire -encore une fois XD- pour satisfaire mon ptit cochon de lait >_>

Si tu commences à tous nous appeler cochon, je crois pas que tu feras long feu, Revy... Peu importe, j'ai vraiment hâte de voir la suite, surtout avec un nouveau personnage...(t'inquiètes, je n'en parlerai pas)!!! :wink:

Je te ferais pas mon discours Mysti sur l'oppression des bêtes porcines et de notre devoirs de les protéger, mais l'intention y est  8)
Sinon, je souhaite à tous une bonne rentrée au passage :)

Je vous poste la suite  :shock:
 
Comment ça on la veut pas ? Mais allez vous faire voir >_<
Aucun pingouin ne fut maltraité durant le projet.



  Chapître 5 : Les Vengeurs.



    La vie de Vector ne tenait qu'à un fil, fil qui était enroulé autour des doigts d'Arima. Dans le noir tunnel, un noir destin menacait Vector par l'entremise de la morte vivant au cerveau d'émeraude. Le tunnel lugubre était alors dans ce fameux silence qui précédait les grandes décisions, les engagement dont dépendaient le destin d'un monde. Vector avait le choix, périr ici et laisser l'abomination vivre, où voyager avec elle et l'aider, tout en espérant la tuer un jour. La vengeance... Jamais il ne pourrait oublier le meutre de Charmy, jamais. Devait t'il vivre et aider Arima pour le venger, ou mourir et le rejoindre, pour laisser sur le monde ce fléau qui aura fait de Charmy sa victime ? La mort... Vector avait toujours apprécié l'abeille mais il ne s'était jamais douté qu'il l'aimait à ce point. Mort, il lui semblait si grand, si fort, presque divin !  Il avait l'impression de l'aimer comme on aime un dieu ; il en faisait un martyr. Oui, il devait le venger, puis le rejoindre. Il ne savait pas combien de temps lui prendrait cette quête, il ne savait pas quels sacrifices il allait devoir concéder, mais il allait vivre avec comme objectif le bout du tunnel, pour la mort d'Arima, et pour la sienne... Sa quête de vérité commençait. Mais qu'en pensait Espio ? Il ne pouvait deviner au visage d'Espio mais de toute manières il se devait de venger son benjamin. Donc il prit une décision seul. Pour Charmy, il décida d'accepter l'offre d'Arima.

 " En route pour la mort...  ", murmura t'il.
Elle tourna ses orbites creux vers lui. Il se redressa autant qu'il put dans cette position incommode, fixa son visage, et ponctua chaque mot de sa phrase d'un accent redoutable :
" Nous acceptons. Nous vous accompagnerons, vous aideront à trouver la personne que vous cherchait. Et vous souffrirez, puis rejoindrait les abysses d'où vous n'aurez jamais dû sortir ! Nous accomplirons notre engagement et vous feront connaître le tombeau ! Vous embrasserez le diable d'avoir quitté cette terre, car jamais mort ne paraîtra plus douce ! "
Arima sourit, et susurra au crocrodile ;
" Tu me plais mon grand... Je crois qu'on va bien s'entendre. "
Vector resta droit. Satisfaite, elle se tourna vers Espio, et s'avança vers lui, ses pas ne faisant qu'effleurer le sol. Si l'émeraude qui était en elle n'émettait pas ces coups répétitifs et lourds qui avait effrayés Charmy, elle serait tout à fait silencieuse. Quelle méfaits pouvait t'elle perpétuer ?
- Et toi, mon caméléon, dit t'elle, tu ne parles pas... Serais tu intimidé par ma fulgurante beauté ?
- Que voulez vous de nous, demanda t'il, figé.
Elle grogna, tourna les talons et déclara ;
- Tu es décidément bien sérieux. Nous allons pour tuer, évidemment. Tuer un dirigeant de grande envergure, un génie du mal qui opère dans l'ombre et qui orchestre tout méfaits à Metropolis, et quelques uns ailleurs. Il profite de la lune rouge pour manipuler les gens et déclencher des émeutes, bientôt il renversera le gouvernement. Bien sur, ce n'est pas uniquement pour tout ceci qu'il mérite la mort que nous allons lui donner, mais aussi pour un petit problème personnel... Non seulement il projette de s'emparer des émeraudes, de moi donc, mais c'est ce même homme qui m'a assassiné et m'a condamnée à mon statut actuel. Il doit mourir.
- Et où est t'il actuellement, interrogea Vector.
- Il contrôle tout depuis un bulding nommé The Transversal, qui est situé dans Metropolis. C'est un bulding d'apparence commercial, mais qui est le siège de son organisation de malfrats.
 Vector se permit un petit sourire ; ils n'allaient devoir que déloger une bande de mafieux... La mort vivante quitterait la Terre d'ici peu. Arima remarqua son air sur de lui, car elle ajouta furieusement, comme si cela lui évoquait des souvenirs douloureux :
" Ne vous y méprenez pas ! Cet homme est dangereux !  C'est un génie du mal qui manipule tout et tout le monde depuis un simple bureau ! Et nous allons nous avancer sur son terrain, celui de l'infiltration, alors ne le prenez pas à la légère ! Il aime le sang et ne répugne pas à l'assassinat, il y prend même plaisir, au contraire ! C'est un individu qui sait tout de la société actuelle, un véritable fléau pour tous ! Je peux même vous affirmer qu'il sait que la Sonic Team revient pour la Lune Rouge dont vous faites partie. "
- Deux minutes, interrompit Espio. Vous savez que nous enquêtons sur la lune rouge ?
- Oui, répondit t'elle avec dédain. J'ai moi aussi quelques indicateurs qui m'informent, principalement sur l'homme qui nous intéresse... Celui qui m'a dénoncé votre réunion est le même qui vous a fait découvrir ce tunnel. Il est très... discret, ne vous inquiétez pas. Quant à notre homme, il se fait appeler L'Oeil de Sang, conformément à son omniprésence quasi absolue et à son désir de meurtre. Cela vous dit t'il quelque chose ?
Les Chaotix prirent un temps pour réfléchir. Non, ils ne le connaissaient pas. Cet homme devait être sacrément doué pour qu'il n'en aient jamais entendu parler, eux, les célèbres détectives. Mais Arima aussi l'était, experte ! Ils n'avaient rien vu venir quand son indicateur les avaient menés au tunnel... Ils ne connaissaient pas l'adversaire, donc ne pouvait encore se faire une véritable idée de la puissance qu'ils allaient affronter. Une chose était cependant limpide, c'est que la mort vivante le craignait, le haïssait d'une rage violente et le respectait en même temps. Cet Oeil de Sang devait être un sacré danger...

   Quand soudain, laissant sur place les réflexions de ses nouveaux comparses, Arima disparut. Ce fut très rapide, ils ne purent apercevoir qu'une sorte de faille dans l'espace, un éclatant flash lumineux... Espio dû comprendre quelque chose, car il attrapa un bras du défunt Charmy Bee. Et ils disparurent à leur tour, les trois chaotix, plongé à l'intérieur d'une fente blanche. Etait ce un Chaos Control ? Puis ils se retrouvèrent sur une colline verdoyante à l'herbe haute, avec à leur droite un arbre qui semblait donner ses premiers fruits, d'après son aspect frêle, observa Vector. Des pommes rouges sanguinolent. Lorsque des bruits firent détourner les yeux du crocrodile qui comptait interroger Arima sur cette téléportation, des bruits assourdissants et gênants. Il dominait du regard toute une cité riche de tours modernes aux étages innombrables. Un paysage urbain, et si la ville se trouvait au moins à quelques kilomètres de distance, le silence était refoulé par des bruits sonores et étranges. Des cris... Des vitres qui se brisaient et des bâtiments qui explosaient. Ils avaient devant eux une ville en flamme, une ville en émeute ! Ils étaient devant Metropolis, la ville où devait se trouver Rouge.
   Arima, qui contemplait aussi la métropole, pensive, cria sans préavis :

" NOUS SOMMES LES VENGEURS, OEIL DE SANG, ET NOUS VENONS POUR TOI !!! "

Puis elle s'élança en la direction de la ville. Les deux autres partirent à sa suite précipitamment, et très vite Espio prit la tête du groupe de par sa vitesse. Arima suivait toutefois sans aucune peine. Ils dévalaient la pente en direction du feu ardent des foules, alors que Rouge était aux prises d'un mystérieux individu et les autres à la recherche des Chaos Emeraudes. Si ils savaient ce que les Chaotix venait de vivre, pensait alors Vector... Les herbes ployaient sous l'effet de leur passage à grande vitesse. Ils n'étaient plus qu'à une centaine de mètres du premier bâtiment. Un grand immeuble noir et tortueux ; ils se répartissaient baies vitrées et annexes reliés par des couloirs que protégeaient de l'extérieur des parois de verres. Arima stoppa net devant. Il faisait chaud, très chaud à l'intérieur de la ville, résultat des multiples feux dont les propageurs faisaient tant de vacarme. L'anarchie ! La mort vivante respira un bon coup. Elle apposa sa main squelettique au bulding, il était effroyablement froid. Elle murmura que ce devait être la chambre froide du bâtiment. Vector se mit à le détailler sous tous ses abords. Sa couleur noire avait été pâli par le temps et les intempéries ce qui le rendait commun et passe partout. Des poubelles étaient apposées au mur tout près d'eux, ce qui signifiaient qu'ils se trouvaient probablement à son arrière. Les vitres étaient toutes fermés, et les baies vitrées sans teint ; on ne pouvait voir de l'extérieur ce qu'elles contenaient. Soudainement, le regard du crocrodile fut arrêté sur une encoche sur ses côtés. C'était une espèce de griffure, qui en voisinait une autre. Et encore une. Elles couvraient une bonne partie du mur ! Et c'était... c'était... Les mêmes que celles du tunnel ! Tout le corps de Vector se raidit sous la découverte.
  L'atmosphère était lourde, alors que sur le ciel rosé, un soleil rouge passioné se levait romantiquement.

Fantastique, bien que court mon cher Revy. En passant, t'as fait un double-post, c'est pas gentil ça!!! Peu importe, c'est toujours aussi bon et on espère vite savoir qui est véritalbement cette Arima!!!(même si moi je le sais déjà!!! :twisted: )(t'inquiète, je le dirai pas, il faut pas révéler le suspence!!!)

Bien un nouvelle suite, que dire sur ton texte. De nombreux passages descriptifs qui permettent de bien visualiser la scène. Une intrigue toujours aussi bien construite, plus tu avances moins t'en dis. ^^



En fait le seul gros défauts que l'on peut te reprocher ce sont les petites fautes d'orthographe.



Heureusement, elles sont peu fréquentes et mineures noyées dans la masse.
Bon courage pour la suite.

Merci à vous deux, même si vous gâchez tout le suspens de ma fic ^^
Au passage Miko, je suis flatté que tu passes sur ma fic :)
Bon, même si à chaque fois tu me trouves des fautes et me fait descendre de mon petit nuage, j'apprécie tes passages ^^

La suite est prévue quand j'aurais eu encore 5 comms ( car les doubles post ça fait con mdrr )

Hé hé, pas mal.

Ah, oui, sinon, il y a ceci qui m'a fait sourire :



Je me suis bien spoilé, jeu de mots facile, je vous l'accorde. Gnhihihi, que je suis vilain...

Mais je vous en prie, continuez votre fanfic, ne faites pas attention à mes déblatérations et autres inepties destinées à divertir ce forum en perte de vitesse.

C'est bien d'être passé sur mon topic Iname, je t'en remercie, mais franchement, ton comm est un peu hs... Beaucoup même :)

Merci de poster par rapport à la fic, c'est quand même le sujet du topic... On est pas dans la Casino Night Zone >_<

 Sinon, j'aimerais savoir votre avis sur l'état d'esprit de Vector, car j'ai pas l'impression que ce soit très cohérent ^_^'

Et bie, je sais que j'ai déjà posté, mais ça fait toujours plaisir de ce faire encourager par quelqu'un qu'on POSSÈDE!!! Donc, je t'encourages dans a suite, Mon Revy et on espère qu'elle arrivera bientôt!!! :wink:

Come back.

     Chapître 6 : Eggman



   The Transversal... Ce bâtiment de glace dans une cité de feu. Les Vengeurs allaient affronter L'Oeil de Sang, il était là et Arima le sentait. Une bataille sanglante semblait se profiler devant eux... Qu'elle était fort dominante, cette haine en ce groupe ! Elle allait en ligne directe à Arima de la part de Vector et Espio, qui la renvoyait sur L'Oeil de Sang. The Transversal... Quel était l'être qu'il abritait ?


  Loin d'ici, une armée de robots semblable à une montagne mouvante s'avançait vers une forêt gigantesque. Ils sortaient d'une antre qui leur était en tout point identique ; un vaisseau rouge et noir gargantuesque qui portait le symbole du génie de leur constructeur, Eggman. Eggman, l'homme si génial en robotique mais si inapte à tout autre chose ! Un désir fou l'animait vers la conquête du monde, et pourtant,  il savait que jamais il n'y arriverait...Il n'en avait pas l'étoffe... Mais il s'acharnait, pour dominer son adversaire bleu Sonic et ses compagnon. Pour égaler l'homme qui était son grand père, pour mériter son ascendance génétique formidable. Quelle idole était ce ! Lui qui avait réussi l'impensable, avait crée Shadow et l'Ark à lui seul, lui qui laissa emporter la folie sur son génie dans un tourment sentimental...  De la création de l'Ark à Shadow, seul un désir de protection de l'humanité l'animait. Il vouait aux hommes ses inventions, jusqu'à ce qu'ils tuent sa petite fille chérie... Qu'il vengeait encore par Shadow !

" Oui, que je t'admire grand père... "

 Eggman soupira, et contempla son armée depuis cette immense baie vitrée. Il voyait des milliers de robots marcher en cadence vers cette forêt qu'il allait ravager. Son armée fouillerait tout et trouverait la troisième émeraude qui lui revenait de droit. Et son plan pourrait commencer... Cela se passait toujours ainsi, une recherche des émeraudes incluant un affrontement entre lui et Sonic, dont son ennemi sortait toujours vainqueur ! Il variait ses plans, pourtant, mais ce hérisson venait à bout de tout ! Chaos, Metal Sonic, Shadow, tout ses plans avaient invariablement et lamentablement échoués. Il devait innover, changer sa manière de faire... Ou trouver un allié plus puissant, quelqu'un qui le renforcerait sur ses failles. Mais, qui  ?
Lorsque soudain un tourbillon aux couleurs primaire débarqua parmi les rangs des robot. Pertubés, ils ne surent comment réagir, ne faisant qu'accroître la confusion déjà omniprésente dans ce champ de bataille que le nom de cimetière métallique commençait d'or et déjà à remplacer. Quel carnage ! Les éclats si reluisants il y a peu des cuirasses des robots n'étaient plus que souvenir ; une étincelle rouge, bleu et jaune dévastait tout sans pitié. Des fils, des membres robotiques composaient leur sillon plein de carcasses. Eggman voyait tout cela, avec horreur bien sur mais un soupçon de remake, comme si il s'y attendait... Sonic et ses amis devaient venir, c'était certain, comme toujours !
Tandis que Sonic anéantissait son armée, Eggman reconsidéra ses plans. Il comptait capturer les émeraudes, fidèle à son habitude, préparer ses légions et envahir la Terre... Il secoua la tête. Non, cela ne servait à rien, une nouvelle fois son adversaire le surpasserait ! Il devait utiliser tout les éléments à sa disposition, puis il avait avec lui déjà deux émeraudes ! La tête de Robotnik lui sembla alors semblable à une tempête du désert, tellement les idées se bousculaient. Que choisir ?
 Une chose coordonnait le tout, l'obstination bornée et certaine, qu'il devait changer de méthode, du tout au tout. Aussi prit-il une décision qui sortirait de l'habitude, une solution osée, fou à son goût, même si il y était acculé. Celle de parler avec son adversaire, puis négocier. Une étincelle divine viendrait, avec de la chance. Il sortit donc du vaisseau, et s'avança vers Sonic. Des robots se bousculaient pour charger sans méthode sur leurs trois ennemis si rapides que le scientifique ne pouvait vraiment les distinguer. Cependant, il les voyait de plus en plus nettement... Ils arrivaient, et des morceaux de robots signalaient leur approche endiablée, des fils, des fragments de corps... Eggman dût éviter bien des particules de ferrailles qui s'écrasaient à ses côtés, lorsque enfin il fut près d'eux. La lueur bleue s'avança alors tout en laissant le soin à ses comparses de neutraliser l'armée de robots. De son ton ironique, il entama la discussion par ses moqueries habituelles ;

" Alors vieux crâne d'oeuf, que nous mijotes tu ce coup ci ? Ark ? Machine diabolique ? Parle, si tu veux pas partager à l'omelette format familiale qu'on fait avec tes petits acolytes ! "

Eggman inspira un grand coup. Non seulement ce hérisson se moquait de lui, une fois de plus, pendant qu'ils détruisaient son armée ! Mais il ne devait pas se laisser dépasser par les évênements, et changer radicalement ses plans. Peut être que le hérisson ferait un faux pas si il l'entraînait sur une autre danse que celle qu'il connaissait par coeur ?

" L'entraînait sur d'autres pas que ceux qu'il connaît déjà... Une autre valse..." , pensa t'il.

Il ouvrit sa main, et vit dans son gant immaculé le reflet de son visage. Il se faisait si vieux, les rides lui creusaient des sillons dans la peau ! Le temps passait si vite ! Bientôt il serait trop vieux pour profiter de cette hypothétique domination du monde ! Soudainement, il claque des doigts ; il avait trouvé.

" Sonic, déclara t'il avec un grand sourire, il faut battre les cartes, changer les donnes ! Les temps changent, nous devons changer avec eux, ou se laisser dépérir ! "

Le hérisson le regarda de sa mine la plus interloquée et la plus étonnée. Ses sourcils se arquèrent en une expression de totale incompréhension, le savant déjà fou perdrait t'il ses restes de raison ? Etait ce un trait de génie qui luisait dans le regard du docteur, ou un éclat de folie ?
Impertubable aux expressions de son ennemi juré, Robotnik fixa son adversaire droit dans les yeux froidement. Le son des batailles les engloutissait, les sonorités presque musicales des poings de l'échidné sur les automates, les déplacements d'airs élégants et destructeurs du renard, et les feux de la zizanie de son armée... La forêt qui pointait ses canopées vers les cieux ! Ses vaisseaux faramineux, son armada qui flottait dans les airs ! Tout ceci, tout ceci, disparut soudainement, il n'y eut plus de champs de bataille, il n'y eut plus de robots, ni de forêt ou d'armada. Il y eut seulement un être reluisant dans cet univers de vide fictif, qui après des luttes acharnées et violentes pour des plans faramineux, un être qui entrevoyait le remède à ses problèmes avec l'accomplissement de ses rêves de domination. Le docteur Robotnik, surnommé Eggman, savant fou, personne incroyablement intelligente mais doté de capacités qui ne lui permettaient pas le contrôle du monde son rêve, mûrissait son véritable plan. Faire mourir ses ennemis, s'emparer du pouvoir enfin ! Dans cet espace pratiquement hors temps, cet espace où seuls les plus grands génies avait accés, ce plan temporel où l'esprit vogue plus vite que la lumière ! Des milliers de conclusions, d'hypothèses et d'interrogations lui vinrent alors, comme si son cerveau concevait enfin la véritable mesure de ses propres capacités. Quelle révélation ! C'était si simple finalement... Comment un homme pouvant concevoir des centaines de milliers d'armée à ses ordres pouvait avoir commis tant d'erreur, tandis  que maintenant il comprenait tellement de choses ! Et comme si un soleil émergeait de la brume pour lui indiquer la marche à suivre, une phrase défila alors devant ses yeux, une pensée qui tranchait ses incertitudes. Il voulait offrir la mort à ses ennemis, et accéder au pouvoir absolue, et pour ceci, il fallait concéder des sacrifices... Tromper le monde entier, et se tromper soit même. Des ombres dansaient devant lui, son esprit embrumé lui faisait voir des choses... Des mots luisant, brillants dans l'obscurité ! On ne peut donner sans prendre... Gagner, sans se rendre !


"  Mon cher Sonic, je m'abandonne entre tes mains ! Entends tu ? Je me RENDS ! "

   Sonic resta un court moment stupéfait. Il se rendait ? Il battit des paupières plusieurs fois, et, ne perdant pas son temps, il empoigna le professeur, et lui ordonna de désactiver tout système d'armements et tout ses robots. Ce qu'il fit, prenant juste le temps d'effectuer quelques commandes sur ses machines. Même si ils étaient méfiants, Knuckles et Tails, pourtant en alerte ne détectèrent rien, le hérisson étant encore trop occupé à détruire le reste des troupes. Ils étaient pourtant alertes et vigilants, malgré le fait qu'ils n'avaient jamais affronté une telle situation. Quoi ? Robotnik se rendait ? Alors, qu'allait-il se passer ensuite ?

   
    Knuckles referma les barreaux de la cellule, le fer résonnant sur la pierre dure et froide. Le son se répercuta longuement dans ce couloir silencieux et austère, tandis que l'échidné sortait du bâtiment hostile. Une prison conçue presque spécialement pour Robotnik, même si lorsque qu'elle fut construite peu croyaient en sa capture. Possédait t'il une sorte d'immunité ? Si immunité il y avait, c'était dû au fait que les gouvernements n'accordaient que peu de foi à la menace Robotnik. Puisque la Sonic Team l'arrêtait toujours, pourquoi s'en faire ? Une menace n'a aucune valeur si elle est contrée systématiquement, ce qui la rendait ridicule, insignifiante. Robotnik était insignifiant, et ridicule de surcroît. Sa nature même n'engageait que le mépris, il n'avait pas l'allure et le charisme de ces hommes diaboliques légendaires. Quoique ? Le hérisson était accoudé au mur blanc, devant le banc de bois où le savant s'était installé. Il avait les mains croisés et le visage penché au sol, son visage voilé par l'ombre que projetait un pâle rayon lunaire partant de la minuscule fenêtre. Une ombre rougeâtre, du rouge de cette fameuse lune rouge, maudite !

" Tout change, décidément... ", dit Sonic avec un soupir.

Eggman en prison lui semblait encore plus dangereux que en liberté, car il était certain qu'il s'était fait enfermé de son plein gré. Lassitude ? Quoique il en soit, c'était suspect. Sauf que c'était le hérisson qui avait les deux émeraudes du scientifique, la grise et la bleu, qui brillait encore d'un éclat trahissant leur puissance immense. Cette puissance quasi illimité ! Sonic revint à son problème présent, le scientifique. Bien qu'inoffensif cloîtré en ces murailles épaisses et solidement gardé, il lui restait quelques doutes sur les motivations du professeur. Enfin, il avait les émeraudes, et pouvait poursuivre leur enquête sur la lune rouge. Il devait sûrement partir à la recherche des autres émeraudes, ou des autres membres de la Sonic Team, puis convenir d'une phase d'attaque. Shadow était censé enquêter, et Shadow ne faiblissait jamais à la tâche. Il était détenteur, lui aussi d'une puissance comparable à celle des émeraudes. Le rival attitré du hérisson bleu ! Sauf que, ignorant mutuellement leurs différents, ils se maintenaient tout deux une mission, celle de protéger le monde. Shadow pour Maria et Sonic par pur sentiment d'héroïsme. Un héros... Oui, la lune rouge nécessitait bien des héros, car la situation allait en empirant ; les révolutions poursuivaient à travers le monde, des religions s'adaptaient à la violence de la situation, et la planète partait vers une dégradation sans fin. Le gouvernement tremblait sous l'insurrection, personne n'avait de réponse ! Les humains ployaient encore plus sous la crainte, et se plaçaient sous la possible protection de sectes ou de mafias armées. Quelle folie !

" L'esprit humain est bien fragile pour se laisser ainsi dominer par la folie... ", conclut le héros .

La situation avait fait baissé l'estime de Sonic pour les humains, c'était certain. Sonic secoua la tête, en écho à ses réflexions.

" Je dois les protéger, c'est mon devoir, ce pourquoi je suis ici. Je protégerai les humains. "

Une tempête bleu s'enfuit alors de la prison, tel un courant électrique farouche.

                         




Au passage, je trouve ça chiant à lire le jonglage entre tous les personnages, non ? Je pense donc laisser la Team Rose de côtés ( désolé pour Amy, dieu sait combien je l'aime cte ptit sorbet à la fraise... ) et enchaîner avec Shadow.

Qui est pour le Shadow powaaa ?

Salut Rev, j'aimerais te féliciter pour cette suite qui est superbe, tu nous offre un Eggman sous un autre angle, qui m'a vraiment fasciné. Ta description m'a vraiment plongé dans le texte, j'ai adoré la facon dont tu decris Eggman comme un homme tragique, voir pathétique, qui ne possède rien d'autre que son génie, et voulant ressembler à son grand père dont les idéaux lui sont pourtant totlemment oposé.Tout ça m'a vraimment plus et je te souhaite bon courage pour la suite :).

Une suite passionnante comme d'habitude. Dommage quelques fautes à corriger.


C'est la haine qui est fort dominante.


Faute d'inattention.


Ce sont les hommes qui ont tué Maria.


Les éclats ... je pense qu'il y en a plusieurs.


La mine : féminin.


Erreur de frappe.


Si tu ne conjugues pas le verbe, c'est plus une phrase.^^


Une phase d'attaque ou la face de Robotnik ?

Je dois t'avouer que j'ai certainement loupé quelques fautes, trop prise par la lecture. ^^
Tu as un don  et un réel talent pour décrire les sentiments, impressions et caractères des personnages. Je te souhaite bonne chance pour la suite.

Que dire ? Que à part quelques fautes d'accord que Miko a déjà citées, tes descriptions sont romanesques, et infaillibles ? Enfin, je crois que tu as fait une erreur sur ton verbe "conclure" à la fin :

conclua le héros .
 
C'est plutôt "conclut", non ?
Sinon, bah encore bravo. Je suis médusée, complètement, et je crois que je vais pleurer aussi. Bouhou...
Allez, bon courage pour la suite même si t'en as pas besoin, et scincèrement, encore bravo.

Je viens de lire toute ta fic, et très franchement, à part un certain nombre de fautes (déjà citées), je n'y vois pas de défauts majeurs. Des descriptions exellentes, un scénario à la fois intrigant et captivant, que demander de plus?
Une fois les fautes corrigés, cette fic se rapprochera, selon moi, de la fic parfaite!!

Les fautes que tu fais sont vraiment des fautes très très bêtes, Dark. Avec une bonne relecture et une attention à ce que l'on écrit, ça s'évite facilement.

Par ailleurs, le texte en lui-même est bien mené, bien qu'un peu long sur quelques passages (ok, j'aime bien les passages psychologiques comme ça, mais pas quand c'est trop long). Mais ça ne gâche pas particulièrement, ne t'inquiète pas.

Eggman m'as l'air de devenir un très redoutable ennemi. Et Sonic avec tout ça, je le sens tomber du mauvais côté... Beaucoup de réflexions, j'attend la suite avec impatience.

Petit bonjour aux nouveaux, embrassade aux anciens ; je reviens !

Chapitre 7 : Menacée.

    " Un revolver chargé est toujours plus convaincant qu'un discours n'est ce pas ? "

 Cette phrase incisive et directe revenait sans cesse aux oreilles de Rouge, telle une ribambelle sans fin. Ces mots avaient été prononcés avec un tel accent, sous entendant un tel sens, que la chauve souris ne pouvait que se remémorer ces mots, sans s'arrêter. Elle était effrayée par une phrase, une simple phrase ! Cet homme était un ennemi redoutable, elle n'en doutait pas, d'autant plus que pour l'instant, c'était lui qui dominait le duel, lui qui savait dominer les mots. Elle était entre ses mains, livrée à son service, à son bon vouloir. Elle ne se risqua pas à imaginer les missions qu'elle devrait accomplir. Pour l'instant, elle se trouvait dans une chambre, en sécurité, seule, sans possibilités d'évasions et sans raisons de s'évader. Elle n'était, somme toute, qu'une captive passive. Si ce n'était cette phrase qui le martelait les tympans, elle serait presque tranquille. Le calme avant la tempête, songea t'elle. Et en effet, on sonna à sa porte. Rouge estima qu'il c'était écoulé à peine quelques dizaines de minutes depuis la visite de son nouvel employeur, il ne perdait pas de temps. Elle ouvrit. Ce n'était pas lui, mais un homme de grande taille en tenue de cuir noir dont le visage était mangé par une barbe broussailleuse. Ses jambes campées parfaitement droites et perpendiculaires au sol, son maintien, indiquaient de longs entraînements militaires qui avait dû lui coûtaient cher. Il lui en restait une cicatrice le balafrant de la joue droite jusqu'au bas du menton. Le bras droit par excellence, la loyauté même s'exhalait de toute sa personne. Elle ne fut donc pas surprise quand la voix qui s'éleva de l'impressionnant thorax du brave petit soldat s'avéra grave, puissante et bourrue.

" Espionne au service du gouvernement nommée Rouge depuis plusieurs années, a fait ses preuves dans plusieurs affaires compromettantes envers le gouvernement et dans l'affaire de l'A.R.K. Qualifiée. Passion inconnu envers les bijoux, collectionne les amours. "

   Il s'arrêta un petit moment le temps de reprendre son souffle puis décolla les yeux de sa fiche et regarda la fichée dans les yeux.

" En d'autres termes, un débris de femme vulgaire qui doit être éradiquée de notre société. Je ne comprends vraiment pas pourquoi l'Oeil vous a recrutée. "

Très vive, Rouge déchargea son regard de velours noir comme un orage et envoya son pied comme un éclair dans les parties génitales de son ficheur.
" Femme, et fier de l'être, déclama l'espionne hautaine. Petit soldaillons, je ne suis pas un débris et encore moins vulgaire, par contre la tête avec laquelle tu vas sortir fera une bien méchante grimace si ça continue ! "
  Le souffle coupé et la cible atteinte, plié en deux, il émit un long grognement. Puis se releva, très digne. C'était vraiment un militaire pur sang. Indignée, mais impressionnée par le rétablissement si rapide, elle se demanda si elle y était allée assez fort. Et recommença donc, rien que pour vérifier. Le pied partit, sauf que, en bon lieutenant que la même erreur ne peut surprendre, il anticipa d'un vif recul, et répondit à l'attaque manquée d'une claque retentissante.

" L'Oeil mise beaucoup sur vous, j'éviterais donc de vous abîmer. Cependant, soyez avertis, je suis le Lieutenant en chef de l'Oeil de sang, son plus proche allié, son plus intime commandant. J'ai donc, sur vous, autant droit de vie que de mort...

Il lui caressa alors le menton, et esquissa un geste vers sa poitrine...

" ... mais ce serait vraiment gâché de la bonne matière première. Vous pouvez m'appeler Gonzales. "

Rouge ne trembla pas. Elle le fixa intensément, plongé dans les yeux marrons broussailleux du lieutenant, sans sourciller. Des hommes, elle en avait vu sous tous les revers, sous toutes les coutures, les connaissait et n'en avait pas peur.

- Jamais.

- Cela viendra... Enfin, venons en au motif de ma visite. Soyez heureuse, vous avez votre première mission ! Vous allez devoir hem... subtiliser des documents dans un laboratoire côté de cette ville. C'est un labo inintéressant avant la Lune Rouge, mais ils ont découvert quelque chose qui pourrait bien renverser le cour des choses. Il est à l'est de la gare, un tour à gauche et vous y êtes, mais prudence ; il y a des émeutes, vous en profiterez et éliminerez tout ce qui s'oppose à vous. Tous les moyens sont bons, votre victoire sera récompensée en joyaux et en ... temps de vie. Dans le cas contraire où vous échouerez, j'ai tous pouvoirs sur vous...

   Il la prit par la taille, et l'embrassa dans le cou.

" J'ai des goûts assez spéciaux, mais vous ferez bien l'affaire, allez... "

 Il desserra son étreinte et sortit vivement.

Rouge s'effondra. Qu'allait elle faire en prise avec cet homme brillant qu'était l'Oeil de Sang, et la brute perverse qu'était son Lieutenant ? Que faire ? La porte était restée ouverte... Était ce le commencement de sa mission ?
    En tout cas, elle sortit. C'était un long, très long corridor avec de multiples chambres semblables à la sienne, même teintes, si ce n'est un numéro pour chacun et ... un nombre d'étoiles variant de 1 à 5. Elle avait 5 étoiles. Devait elle se sentir flattée ? Elle marcha pendant un temps qui lui sembla infini, jusqu'à trouver une large fenêtre entrouverte, d'un espace suffisamment grand pour lui permettre de s'y faufiler, et s'y introduisit. Elle s'envola, pour survoler une magnifique vision. Quel paysage ! D'une beauté infinie sur une légère colline dans la ville enflammée par la révolte, l'édifice qu'elle venait de quitter comportait en réalité un nombre incalculable de chambres visibles à travers le mur quasi transparent du bâtiment. Pour elle, c'était une poésie architecturale... Sinueux, tels des milliers de vipères mortelles, dangereuses et séductrices... Elle ne s'attarda toutefois pas : sa mission, le sentait Rouge, ne tolérerait aucun retard. Repérant des lignes de chemins de fer, elle se lança à la suite d'un qui traversait la cité. Elle se retrouva devant une gare des plus banales, au milieu de gens banals qui cherchaient désespérément à quitter cette ville. L'exode. Comme quoi, à leur époque, c'était encore possible. Donc, devant l'arrêt des lignes ferroviaires, elle prit à droite, puis à gauche, pour s'arrêter à un immeuble blanc resplendissant avec comme enseigne peu entreprenante :

" Institut de Recherche de Metropolis. "

   Plongeant en piqué, elle fondit sur le toit. De là, aux prises du vent, elle eut quelques difficultés à trouver une prise où s'accrocher, et quêtant des yeux une trappe, la trouve enfin sous l'allure d'une plaque métallique. Elle la tira, et entra.

*tape du pied* hem... C'est ta belle excuse pour nous avoir abandonnés si longtemps ? Même moi j'ai montré plus de signes de vie, c'est pour dire ! En plus ton texte était plein de fautes bêtes qui m'ont crevé les yeux, t'aurais dû mieux te relire...

Voilà, tous ces mots gentils pour te souhaiter la bienvenue, cher compatriote, et j'espère voir un peu plus de suites à l'avenir. Pour parler de cette suite-là, j'y ai plain Rouge. La pauvre, quand même, elle se fait maltraiter par un enfoiré de lieutenant qui me rappelle sacrément Nakata Shirô.

Allez, continue vite ! J'attendrai ta suite ^^

Des fautes ? Quels fautes ? XD, trouve en une que je me marre ^^

Non sans blague, j'ai fait un break pour vous donner une fic d'un peu moins piteuse que l'ancienne... et aussi parce que j'en avais marre  :o

  J'espère que quant à vous, vous avez continué et fini vos fics, car je vais bientôt venir vérifier è_é

Ok Revy, comme ça, tu vas rire.

la chauve souris ne pouvait que se remémorait ces mots
"remémorer"

qui avait dû lui coûtaient cher
"lui coûter"

elle se demanda si elle y était allé assez fort
"allée"

elle en avait vu sous tous les revers, sous toutes les coutures, les connaissaient
"connaissait"

vous en profiterez et éliminerais tout ce qui s'oppose à vous
"éliminerez"

l'embrassa dans le coup
"cou"


Voilà. Mais le coup de "remémorait" et de "coûtaient" m'a vraiment tétanisée. De telles fautes de ta part, quand même... T'as intérêt à mieux faire niveau ortho la prochaine fois. XD

Saphyr mon inspiratrice, Saphyr ma correctrice, Saphyr, Ma Muse ? Décidément, je te dois beaucoup ! Je suis impardonnable de ne plus lire ta fic... J'ai été tellement débordé ces temps ci ! Enfin, débordé... Pas par le travail ^^ Merci de m'avoir lu, et d'avoir pris le temps de me corriger. Tu es vraiment un joyau.

Maintenant, pour tous les autres à l'éclat un peu plus discret, je compte bien vous décider à poster ^^ Eyh oui ; je ne posterais ma fic que quand elle atteindra un certain nombre de commentaires. Oui, oui ! Un nombre que je garde pour moi XD
Alors, si j'ai des lecteurs, postez :)

Je repasse derrière Sephyra pour te prouver à quel point ton innatention te coûte chère.


Ces mots avaient été prononcés avec un tel accent, sous entendant un tel sens, que la chauve souris ne pouvait que se les remémorer sans s'arrêter.

Elle était entre ses mains, livrée à son service.

Elle n’était, somme toute, qu'une captive passive.

Si ce n'était cette phrase qui lui martelait les tympans.

Il s'était écoulé.

La voix qui s'éleva de l’impressionnant thorax.

Dans un laboratoire à côté de cette ville.

C'était un labo inintéressant avant la Lune Rouge.

De multiples chambres semblables à la sienne, mêmes teintes, si ce n'est un numéro pour chacune.

Suffisamment grand pour lui permettre de s'y faufiler et de s’y introduire.

Elle se lança à la suite d'un ??? qui traversait la cité.

De là, aux prises avec le vent, elle eut quelques difficultés à trouver une prise où s'accrocher, et quêtant des yeux une trappe, la trouva enfin sous l'allure d'une plaque métallique.


Ya encore du travail question relecture, mais la rédaction et le choix des mots n'est pas mal.

Tutututut, ma fic tombe en désuétude ?
Pas de problème, je réponds en l'illustrant ; si vous voulez avoir une idée de la Lune Rouge, regardez mon pseudo et son image...