Titre: Turquoise Posté par: Odd-Eye le Mai 22, 2008, 08:34:13 pm Je ne sais plus depuis combien de temps ce premier chapitre traînait dans mon ordinateur. Finalement, je me suis dit qu'il ne sera pas idiot de le soumettre à l'avis du public. Et puis, contrairement à mes autres ébauches, je suis partant pour finir cette fic-là, donc...
Les critiques positives seront tolérés (encore heureux !), même si je préférerais quelques remarques négatives. Petite précision, je risque probablement de mêler des éléments des jeux avec des éléments de Sonic X. C'est un choix : même si Sonic X n'est pas une référence, certaines idées ne sont pas mauvaises. Donc, pas de remarques à ce sujet : c'est comme ça ! Chapitre 1 : Calm Before The Storm (http://www.deezer.com/track/173389) Green Hill, 14H21, trois heures avant l’incident : Coups de tonnerre assourdissants, éclairs flamboyants et violentes rafales de vent. Oui… Il arrivait parfois que Green Hill connaisse un temps assez peu clément. D’ailleurs, on n’avait pas vu un tel orage depuis bien longtemps. Le dernier remontait déjà à quelques années et n’avait pas cette intensité. On était loin des tempêtes glacées qu’on pouvait trouver à Aurora Icefield, mais pour une région habituée à avoir toujours un ciel bleu et un Soleil chaleureux, ce changement météorologique avait tout de même de quoi inquiéter. Le plus souvent, on ne cherche pas à affronter les éléments déchaînés : on essaie plutôt de s’abriter. Au mieux, on se réunit tous chez quelqu’un afin de se sentir plus en sécurité. C’est ce que Sonic aurait dû faire lorsque Tails lui avait annoncé le risque de tempête. Comme à son habitude, il avait préféré pratiquer son activité favorite. Cependant, quand la pluie commença à tomber, notre héros se trouva bien ennuyé. Il fit promptement demi-tour en direction de l’atelier de son meilleur ami, se promettant de suivre ses conseils la prochaine fois. C’est donc un hérisson trempé jusqu’aux os qui vint frapper à la porte d’un des meilleurs bricoleur de Green Hill. Le renard ouvrit la porte et afficha un sourire très ironique devant la mine déconfite de son ami. « Pas trop trempé ? » Sonic ne prit même pas la peine de répondre. Un nouveau grondement lui confirma que ce n’était pas un temps à mettre un hérisson dehors et il entra dans l’atelier de Tails. Ce dernier alla lui chercher de quoi se sécher. Sonic, lui, se rendit compte que bien du monde était venu chez Tails, aujourd’hui. Il retrouva Cream et sa mère ainsi que les trois détectives de l’Agence Chaotix. En voyant Vector, le chef de la meute, et en se rappelant sa verve et son esprit d’initiative assez discutable, le hérisson bleu se mit à penser que la pluie n’était finalement pas une chose si difficile à affronter. Mais quand Tails revint tout sourire avec une couverture et une tasse de chocolat encore fumante, Sonic laissa tomber ses dernières objections et alla rejoindre la petite communauté. On lui adressa quelques mots de bienvenue, puis il prit place à côté d’Espio. Nouveau coup de tonnerre et nouvel éclair. Chacun sursauta, excepté Espio qui ne se laissait pas impressionner si aisément. Par contre, d’autres comme Charmy se montraient bien moins courageux. Quand à Cream, elle semblait au bord des larmes. « Maman, pourquoi ça s’arrête pas ? Je veux que ça s’arrête, ça me fait peur ! » Sa mère essaya de la rassurer, mais la jeune lapine n’avait probablement jamais connu une telle tempête. On pouvait donc comprendre ce qu’elle ressentait. « En tout cas, commença Tails, vous avez eut de la chance. J’avais prévu de m’absenter aujourd’hui. Heureusement que je ne l’ais pas fait. -Je ne te le fais pas dire, grogna Vector, entre deux gorgés de chocolat bien chaud. On s’est vraiment fait surprendre, chose que je ne m’explique pas étant donné que tout avait été bien préparé. Mais comme quoi, même les meilleurs peuvent faire des erreurs. » Il tenta un regard bien peu discret en direction Vanilla, mais celle-ci n’avait d’yeux que pour sa fille. Tails s’approcha d’elle et lui parla d’une voix rassurante : « Ne t’en fait pas Cream. C’est parfaitement normal : on ne peut pas vivre que de Soleil. On a parfois besoin de pluie. Ca s’arrêtera bien à un moment. - Mais imaginez que ça ne s’arrête pas ! cria un Charmy surexcité. Imaginez que ça ne finisse jamais. Qu’après la pluie, il n’y ait pas le beau temps. Qu’est-ce qu’on ferait ? » D’un ample mouvement de la main, Vector attrapa Charmy et le fourra sans ménagement sous une couverture. « Mais heu ! se plaignit l’enfant indigné. » Quartier Général d’Eggman, 14H28, trois heures avant l’incident : Bien loin de Green Hill, au plus profond d’une jungle où la végétation était reine, un bâtiment s’élevait. Ce bâtiment, qui faisait tâche avec le décor alentour, n’était autre que la dernière création du génial scientifique de Mobius : le docteur Eggman en personne. Il avait récemment eut l’idée de cacher une base secrète là où personne ne viendrait jamais le chercher. Et pour parer à tout risque, il l’avait enterrée et dotée d’un système de sécurité à toute épreuve. Enterrée, oui. La portion de la base que l’on pouvait voir de l’extérieur n’était qu’une infime partie du complexe. La taille n’égalait pas celle qu’avait le Death Egg au temps de son apogée, mais les nouvelles installations du savant fou avaient tout de même une proportion plus qu’acceptable. C’était un enchevêtrement de tuyaux, d’antennes, de tôles et de capteurs. Si une couleur prédominait, c’était bien le gris acier. Et pourtant, il suffisait de faire demi-tour pour voir la jungle luxuriante qui entourait l’installation. Mais là encore, la mégalomanie du docteur Eggman avait eu des conséquences malheureuses : entre les gaz nauséabonds, les déchets toxiques et la nuisance sonore, la nature avait commencé à se dégrader. Les feuilles tombaient des arbres, les fleurs se fanaient, on entendait de moins en moins souvent le chant des oiseaux. La technologie prenait bien évidemment le pas sur le naturel. Triste destin pour Mobius. Pourtant, ce jour-ci, le quartier général n’avait rien de bien impressionnant. Pas de ronronnement de machines, pas de caméras ou de robots patrouilleurs, pas la moindre trace de vie dans cet empire métallique. La base était muette et inactive. Quelqu’un qui aurait voulu entrer à ce moment là n’aurait eu aucune difficulté à le faire, étant donné qu’aucun système de sécurité ne marchait. Par contre, il aurait eu du mal à progresser dans l’installation, car aucune lumière ne venait éclairer le dédale de fer et d’acier que le docteur avait conçu. Et partout ce silence oppressant… Pas un souffle de vent, ni un cliquetis de badnicks. Si ce n’était la propreté des lieux, on aurait pu croire l’endroit abandonné. Mais ce n’était pas le cas… Au plus profond de la base, à des dizaines de mètres sous terre, une salle montrait encore un signe de vie. Dans cette salle, une simple ampoule se chargeait de l’éclairage, illuminant à peine le panneau de contrôle devant lequel le docteur Eggman était installé. Dans la pièce, on pouvait deviner un certain nombre de machines complexes et sophistiqués reliés à trois caissons transparents. A première vue, ils étaient remplis d’un liquide sombre, mais en y regardant de plus près, on pouvait deviner des formes à l’intérieur. Le docteur pianotait fébrilement sur le clavier de son ordinateur : il était tendu, on le sentait. Derrière lui, impassible, se tenait un robot. Mais pas n’importe lequel : sa plus grande création ! De ses yeux rouges, Metal Sonic observait son maître finaliser ses préparatifs. Ce dernier interrogea alors le clone métallique de Sonic. « Toute la puissance a bien été dérivée jusqu’ici ? Il ne reste pas la moindre parcelle d’énergie disponible dans la base ? - Plus rien ne fonctionne. répondit le robot. Même vos badnicks ont été débranchés pour que leurs batteries viennent alimenter le régénérateur. Je suis le seul encore en activité. - Bien, très bien… Commençons… Début de la phase 1 ! » Des diodes s’allumèrent sur le premier caisson et le ronronnement des machines se fit entendre. Au fur et à mesure que le savant entrait certaines commandes dans la console principale, divers instruments prenaient vie à l’intérieur du caisson, se mettant immédiatement à l’œuvre afin d’accomplir la tâche qui leur avait été confiée. Il fallut une vingtaine de minutes avant que le docteur n’abaisse un levier qui déversa un fort potentiel électrique dans la chose sur laquelle il travaillait. Le brusque coup de jus causa l’arrêt de tout ce qui se trouvait dans la salle, qui fut plongée dans l’obscurité. On ne voyait que la lueur malsaine provenant des yeux cybernétiques de Metal Sonic. Soudain, le moniteur sur lequel Eggman opérait se remit en route et afficha des lignes de données. Le scientifique sentit une goutte de sueur glisser sur son front pendant qu’il attendait, anxieux, les résultats. Remise en route du système… En cours… Systéme de contrôle principal opérationnel. Vérification de la viabilité des expériences… Expérience 1 : Prête pour activation Expérience 2 : Inactivable Expérience 3 : Données incomplètes Nécessité d’un examen complémentaire… En cours… « Ca suffira comme ça. » Le scientifique de génie annula l’analyse complémentaire que l’ordinateur avait pris l’initiative de lancer. Il tapa une ligne de commande pour faire avancer le premier caisson face à lui, puis ordonna au système de vider le liquide contenu dans ce même caisson, puis de l’ouvrir. La machinerie s’exécuta sans la moindre discussion. On put entendre un bruit d’eau qui s’écoulait, puis le caisson se dépressurisa. Le docteur Eggman se pencha à nouveau sur son ordinateur et recommença à manipuler le clavier. « On va voir… On va savoir… » Vérification de l’état de l’expérience numéro 1… Niveau d’énergie des batteries : 100 % Système interne : opérationnel à 100% Armement : opérationnel à 100% Les données s’accumulaient sur le panneau de contrôle. Et au vue des résultats, l’expérience avait réussi. Une fois tous les tests et vérification terminés, Le savant se leva et alla jusqu’à sa création. Il l’observa un moment, songeur. Cela faisait des années que cette machine attendait sa réactivation. A une époque, elle était pourtant une des armes les plus puissantes qu’Eggman possédait. Les temps avaient changé, ainsi que la technique. Mais finalement, mieux valaient utiliser des choses simples pour vaincre. Le docteur prit une télécommande et la pointa sur le robot. Il composa un code et appuya sur le bouton de confirmation. La machine revint alors à la vie, prête à servir les desseins de son maître. Avec un sourire satisfait, le scientifique retourna à l’ordinateur. « Début de la phase 2 ! » Sur l’écran, une nouvelle ligne s’était affichée. Silver Sonic activé et opérationnel Le tout premier clone métallique de Sonic venait d’être ramené à la vie. Le robot alla rejoindre la deuxième version de clone du hérisson bleu. Aucune des deux machines n’exprima la moindre antipathie ou réjouissance. Elles n’étaient pas programmées pour ça. Et si cela avait été le cas, pourquoi se seraient-elles haïes ? Metal Sonic avait toujours été le préféré du docteur Eggman, malgré sa rébellion récente. Quelques mises à jour avaient corrigé le problème. Quand à Silver Sonic, le docteur lui avait fait la grâce de le faire revivre. Rien que par reconnaissance, il ne pouvait qu’approuver les choix de son maître. Y compris coexister avec Mettalla. Pendant que les deux machines se contentaient de s’évaluer l’une l’autre, le scientifique de génie avait entamé la seconde expérience : plus délicate, plus incertaine et plus pointilleuse. Tout en manipulant les machines, Eggman parlait à haute voix, plus pour lui-même que pour quiconque d’autre. « Il était dans un tel état… Toutes ces années passés au fond de l’océan… Mais il reste une chance ! Il n’est pas impossible qu’il puisse retrouver toutes ses capacités… » Le savant passa une main sur son front à présent trempé de sueur : il était tendu. Il s’apprêtait à réactiver une autre machine. Une machine très particulière, qui possédait un pouvoir qu’aucune autre n’avait jamais eu. Une erreur d’expérience, un oubli, une simple distraction,… Eggman ne savait pas exactement comment il avait réussi à créer cette particularité. Toujours est-il qu’il avait vu le robot à l’œuvre. Et si un bête problème de gestion d’énergie n’avait pas tout gâché, le docteur aurait pu être maître de la Master Emerald, en plus du reste du monde depuis des années. Tout ce temps déjà depuis le duel final de Knuckles sur les restes de Sky Sanctuary. Le temps passait si vite. Il fallut plus d’une heure pour achever la réactivation. Le grand génie qu’était le docteur savait qu’il prenait des risques, dans cette base non protégée. Mais à côté de ça, il avait ses deux plus féroces robots pour le défendre. Bientôt trois. Le caisson s’ouvrit, révélant un nouveau hérisson métallique. Il était plus grand que Metal et Silver Sonic. Et même s’il était plus gros, il donnait une impression de rapidité assez étonnante. C’était une technologie de pointe, déjà à l’époque. Le robot était une version amélioré des deux autres clones de Sonic. Et avec les nouveaux ajouts que le docteur venait de mettre, c’était devenu une machine parfaite ! « Réveille-toi, Mecha Sonic. » Le robot s’activa et se redressa. Il contempla un moment son créateur et maître et inclina docilement la tête, en signe de soumission. Puis, il alla rejoindre ses deux collègues. Trois ! L’armée du docteur comprenait à présent trois hérissons métalliques. Trois atouts mortels et terriblement efficaces. Peut-être une promesse de victoire pour Eggman ? Peut-être une promesse d’avenir pour l’empire qu’il souhaitait forger ? Mais cette fois-ci, il ne voulait plus prendre le moindre risque : il avait trop souvent été vaincu par ses adversaires, trop souvent ridiculisé, trop souvent déçu. Le savant ne voulait plus voir la défaite : il en avait assez. Et c’était justement pour se donner toutes ses chances qu’il s’occupait à présent du troisième et dernier caisson. C’était quelque chose de nouveau, quelque chose qu’il n’avait jamais expérimenté à une si grande échelle. Quelque chose qui pouvait se révéler dangereux. C’était d’ailleurs pour parer à cet éventuel danger qu’Eggman avait d’abord réactivé ses trois robots les plus puissants : pour pouvoir se défendre au cas où l’expérience tournerait mal. A nouveau, il entra des lignes de codes dans l’ordinateur. A nouveau, les machines se mirent au travail pour réanimer l’être qui attendait, plongé dans un sommeil artificiel. Et pour une fois, le chercheur eut de réelles difficultés. En fait, cela venait du support sur lequel il travaillait. Il avait très souvent manipulé du métal ou de l’électronique, mais encore jamais de l’organique. Là, il ne s’agissait pas de maintenir quelqu’un endormi comme il l’avait fait avec Shadow : il s’agissait de donner une vraie vie, et pas le simulacre que permettait la robotique. Robotique qui avait montré ses limites en se faisant toujours vaincre par Sonic. Les habitudes n’étaient visiblement plus suffisantes : il était nécessaire de passer au stade supérieur. Même s’il fallait s’en débarrasser une fois les objectifs accomplis. Il se passa plusieurs minutes et peut-être même plusieurs heures. Eggman se moquait un peu du temps qu’il passait là, à pianoter sur le clavier à présent humide de sueur, les yeux rivés sur l’écran, à se demander encore et encore si l’expérience allait réussir. Jusqu’à cet instant, jusqu’à la dernière ligne de commande, jusqu’à la phase finale de l’expérience… Activation en cours… Titre: Re : [FanFic] Turquoise Posté par: Miko le Mai 23, 2008, 11:15:06 am Je suis bien contente de te lire, il y a une certaine maîtrise de lécriture et de lexpérience ça se voit. Lintrigue ou du moins le suspense est présent dès le début donc il est facile de vouloir la suite et tu finis ton chapitre au bon moment pour laisser le lecteur sur sa faim.
Puisque tu veux aussi des reproches, ça je le comprends bien on ne progresse pas avec des « cest super continue !!» Des petites fautes dinattention, comme il arrive souvent : Citation A première vue, ils étaient remplis dun liquide sombre, mais en y regardant de plus prêt, on pouvait deviner des formes à lintérieur. A première vue, ils étaient remplis dun liquide sombre, mais en y regardant de plus près, on pouvait deviner des formes à lintérieur.Citation Une fois toutes les tests et vérification terminés, Le savant se leva et alla jusquà sa création. Une fois tous les tests et vérification terminés, Le savant se leva et alla jusquà sa création. Citation Le plus souvent, on ne cherche pas à affronter les éléments déchainés : on essaie plutôt de sabriter. Le plus souvent, on ne cherche pas à affronter les éléments déchaînés : on essaie plutôt de sabriter. Citation Et cétait justement pour se donner toute ses chances quil soccupait à présent du troisième et dernier caisson. Et cétait justement pour se donner toutes ses chances quil soccupait à présent du troisième et dernier caisson.Metalla ne s'écrit pas avec un seul t ? Lorthographe ou plutôt la grammaire révise tes règles daccord du participe passé et la conjugaison, tu te trompes assez souvent : Citation On était loin des tempêtes glacées quon pouvait trouver à Aurora Icefield, mais pour une région habitué à avoir toujours un ciel bleu et un Soleil chaleureux, ce changement météorologique avait tout de même de quoi inquiéter. On était loin des tempêtes glacées quon pouvait trouver à Aurora Icefield, mais pour une région habituée à avoir toujours un ciel bleu et un Soleil chaleureux, ce changement météorologique avait tout de même de quoi inquiéter.Citation Cest ce que Sonic aurait dû faire lorsque Tails lui avait annoncé le risque de tempête. Comme à son habitude, il avait préférerpratiquer son activité favorite Cest ce que Sonic aurait dû faire lorsque Tails lui avait annoncé le risque de tempête. Comme à son habitude, il avait préféré pratiquer son activité favoriteCitation -Je ne te le fait pas dire, grogna Vector, entre deux gorgés de chocolat bien chaud. -Je ne te le fais pas dire, grogna Vector, entre deux gorgés de chocolat bien chaud. Citation Il avait récemment eut lidée de cacher une base secrète là où personne ne viendrait jamais le chercher. Et pour parer à tout risque, il lavait enterré et doté dun système de sécurité à toute épreuve. Il avait récemment eut lidée de cacher une base secrète là où personne ne viendrait jamais le chercher. Et pour parer à tout risque, il lavait enterrée et dotée dun système de sécurité à toute épreuve.Enterré, oui. Enterrée, oui. Ces la base qui est enterrée le participe passé saccorde avec le COD, l, en présence de lauxiliaire avoir. Citation . Mais là encore, la mégalomanie du docteur Eggman avait eut des conséquences malheureuses : . Mais là encore, la mégalomanie du docteur Eggman avait eu des conséquences malheureuses : -_- participe passé de avoir cest eu pas eut. Cette faute est revenue plusieurs fois. Citation Quelquun qui aurait voulu entrer à ce moment là naurait eut aucune difficulté à le faire, étant donné quaucun système de sécurité ne marchait. Par contre, il aurait eut du mal à progresser dans linstallation, car aucune lumières ne venaient éclairer le dédale de fer et dacier que le docteur avait conçu. Et partout ce silence oppressant
Pas un souffle de vent, ni un cliquetis de badnicks. Si ce nétait la propreté des lieux, on aurait put croire lendroit abandonné. Quelquun qui aurait voulu entrer à ce moment là naurait eu aucune difficulté à le faire, étant donné quaucun système de sécurité ne marchait. Par contre, il aurait eu du mal à progresser dans linstallation, car aucune lumière ne venait éclairer le dédale de fer et dacier que le docteur avait conçu. Et partout ce silence oppressant
Pas un souffle de vent, ni un cliquetis de badnicks. Si ce nétait la propreté des lieux, on aurait pu croire lendroit abandonné. Si il ny a aucune lumière il ne peut pas en avoir plusieurs en général on met au singulier. Citation « Toute la puissance a bien été dérivé jusquici ? Il ne reste pas la moindre parcelle dénergie disponible dans la base ? « Toute la puissance a bien été dérivée jusquici ? Il ne reste pas la moindre parcelle dénergie disponible dans la base ?Accord avec le sujet si en présence de être. Citation - Plus rien ne fonctionne. répondit le robot. Même vos badnicks ont été débranché pour que leurs batteries viennent alimenter le régénérateur. - Plus rien ne fonctionne. répondit le robot. Même vos badnicks ont été débranchés pour que leurs batteries viennent alimenter le régénérateur. Au fur et à mesure que le savant entrait certaines commandes dans la console principale, divers instruments prenaient vie à lintérieur du caisson, se mettant immédiatement à luvre afin daccomplir la tâche qui leur avait été confié.. Le brusque coup de jus causa larrêt de tout ce qui se trouvait dans la salle, qui fut plongé dans lobscurité. Au fur et à mesure que le savant entrait certaines commandes dans la console principale, divers instruments prenaient vie à lintérieur du caisson, se mettant immédiatement à luvre afin daccomplir la tâche qui leur avait été confiée. Le brusque coup de jus causa larrêt de tout ce qui se trouvait dans la salle, qui fut plongée dans lobscurité. Citation Le scientifique de génie annula lanalyse complémentaire que lordinateur avait prit linitiative de lancer. Le scientifique de génie annula lanalyse complémentaire que lordinateur avait pris linitiative de lancer. Citation Une machine très particulière, qui possédait un pouvoir quaucune autre navait jamais eut. Une machine très particulière, qui possédait un pouvoir quaucune autre navait jamais eu. Certaine phrases sont lourdes à la lecture, bien que dans lensemble cela reste assez fluide pour passer inaperçu. Citation . Il contempla un moment son créateur et maître, puis inclina docilement la tête, en signe de soumission. Puis, il alla rejoindre ses deux collègues. La répétition de puis est lourde le premier nas pas indispensable. .Il contempla un moment son créateur et maître, inclina docilement la tête, en signe de soumission. Puis, il alla rejoindre ses deux collègues. Titre: Re : [FanFic] Turquoise Posté par: Odd-Eye le Mai 23, 2008, 02:45:24 pm ...
... J'ais honte... Vraiment honte... Le pire, c'est que je sais pourquoi il y a tant de faute : je n'ais sans aucun doute pas pris assez de temps pour relire mon texte et retirer ces horreurs grammaticales. Bon, à présent, un homme averti en vaut deux : je m'arrangerais pour ne pas réiterer cette torture visuelle dans mes prochains chapitres. Félicitations pour avoir eu le courage de relever tout ça, Miko ! Et merci pour ta sincérité. Je corrigerais tout ça dès que j'aurais un peu de temps. Avant la publication du deuxième chapitre en tout cas. Même si la forme laisse à désirer, je suis tout de même content si le fond plait. Titre: Re : [FanFic] Turquoise Posté par: Miko le Mai 23, 2008, 07:09:59 pm ^^ Tu n'as pas à avoir honte, tout le monde fait des fautes il est très difficile de se relire soi même. J'en sais quelque chose. lol
Deux petits trucs pour se relire efficacement : 1 Relire par petits bouts, pas plus d'une page, pour éviter d'être pris dans l'histoire. 2 Attendre plusieurs jours avant de se relire pour "oublier" ce que l'on à écrit. Citation Félicitations pour avoir eu le courage de relever tout ça, Miko ! Et merci pour ta sincérité. J'ai horreur de l'hypocrisie, alors attends toi à avoir toujours de ma part un commentaire exposant les points faibles du texte. C'est comme ça qu'on progresse !!XD Pour les fautes, cela ne pas prit plus de temps que la lecture de la fic. L'habitude, puisque je suis plus ou moins le béta lecteur de quelques fics sur le forum, je commence à avoir l'habitude de trouver les fautes au premier coup d'oeil. Dommage ça marche pas sur la mienne. lol Titre: Re : [FanFic] Turquoise Posté par: Hunter le Mai 24, 2008, 08:12:40 am Bien, bien ...
Bon ba écoute, j'ai lu tout ça, moi j'aime bien ... Bon ya des fautes, mais c'est normal, personne n'est parfait ! M'enfin ... ya du suspense (surtout quand on voit comment finit le chapitre) Tu as déjà écrit la suite ou tu comptes finir le projet ? En tout cas, j'attends la suite ! ^^ Titre: Re : [FanFic] Turquoise Posté par: Odd-Eye le Juin 04, 2008, 05:00:06 pm J'ais l'intention de terminer cette Fic, mais pour ça, j'écris au fur et à mesure. La raison est simple : dans mes précédentes fics (à l'époque où j'écrivais plusieurs chapitres avant de poster), une fois arrivé au chapitre 4 ou 5, mon premier chapitre me parraissait tellement mauvais qu'au final, je ne postais rien et ne finissais jamais la fic. Je ne referais pas cette erreur.
Bon, chapitre 2 et en même temps, mise à jour du premier chapitre avec la version corrigée. Chapitre 2 : Why Does My Heart Feel So Bad ? (http://www.deezer.com/track/38632) Green Hill, 18H42, une heure après l’incident : « Et à ce moment là – Tenez-vous bien ! - j’attrape la valise d’une main et repousse le kidnappeur de l’autre. S’ensuit un petit combat, duquel je sors bien entendu vainqueur. C’est alors que… » Vector racontait ses plus brillantes aventures depuis assez longtemps. Assez pour que plus personne ne l’écoute. Charmy et Cream s’amusaient ensemble, tandis qu’Espio donnait quelques renseignements à Tails pour mettre au point un champ de camouflage. Seule Vanilla semblait attentive au discours du crocodile. Elle avait ce petit sourire en coin, un peu amusée. Sonic, lui, ne cachait en rien son ennui : il s’était allongé et faisait nonchalamment tourner un anneau entre ses doigts. Il ne comprenait pas que quelqu’un puisse raconter autant de bobards en si peu de temps. « Ils arrivaient de partout : j’en tenais un plaqué au mur avec ma main droite, j’échangeais des coups avec un deuxième grâce à main gauche. J’en tenais un troisième en respect avec… » « Avec ta langue ! Tu nous ennuies, Vector ! » Le hérisson n’en pouvait plus : s’il n’avait pas interrompu le flot de paroles de Vector, il aurait fini par sombrer dans un état second, avachi et passif. Pendant quelques secondes, le chef de l’agence Chaotix parut déconcerté. Mais il répliqua du tac au tac : « Allons, allons, Sonic… Il ne faut pas être jaloux. Je suis sûr qu’avec un peu d’entraînement, tu deviendrais presque aussi doué que moi. » Notre héros faillit s’étouffer en entendant la réponse du crocodile. Il préféra s’éloigner pour ne pas éclater de rire devant la logique fulgurante de Vector. Ce dernier ne faisait déjà plus attention à lui et s’était relancé dans un récit plus ou moins captivant où il était question de vol de gâteaux. Le hérisson était en train de s’approcher de Tails et d’Espio lorsqu’il vit le renard courir à toute jambe vers l’étage, visiblement en proie à une certaine inquiétude. Plutôt que de se ruer à la poursuite de son ami, et peut-être faire preuve d’un manque évident de discrétion, Sonic préféra interroger le caméléon qui semblait lui aussi très surpris par la réaction de Tails. « Je n’ais pas tout compris : je lui parlais des difficultés de se camoufler dans des endroits très colorés, un champ de fleurs par exemple, quand il est devenu tout pâle et qu’il est monté à l’étage. » « J’ai peur de comprendre… » A l’étage, Tails venait de fermer une fenêtre qui était, semblait-il, restée ouverte lors de l’orage. On pouvait le voir rien qu’aux les divers plans totalement imbibés d’eau qui jonchaient le bureau, juste devant cette fenêtre. Mais le renard ne s’inquiétait pas pour son travail : il ne se faisait de soucis que pour une seule chose. Une fleur en pot. Il alla la déposer avec d’infinies précautions sur un meuble, à l’abri du mauvais temps et de tout autre danger. Il inspecta la plante sous tous les angles afin de s’assurer qu’elle n’avait pas souffert de l’orage. « Excuse-moi, Cosmo. Je n’aurais pas dû te laisser comme ça. J’ai été distrait, j’avais plein de chose en tête, je… Je t’ai oublié… » Tails serra les poings et baissa la tête, honteux. Les larmes commencèrent à couler et s’écrasèrent une à une à côté de la fleur, seul souvenir de sa dulcinée. Cosmo… Celle qu’il avait aimé, celle pour qui il était prêt à tout, celle à qui il n’aurait rien refusé, celle qu’il avait lui-même tué. A ce douloureux souvenir, la tristesse imprégna encore plus l’esprit du renard. Depuis qu’ils étaient tous revenus sur Mobius, Tails faisait tout pour cacher sa souffrance : il se montrait amical, joyeux et plein de vie quand les autres étaient là. Mais en réalité, il avait toujours mal au fond de lui. S’il avait pu repartir à zéro, il l’aurait fait. Cependant, il n’y arrivait pas : il ne pourrait pas l’oublier. C’était impossible ! « Cosmo… murmura-t-il dans un souffle. Excuse-moi… Excuse-moi…pour tout. » Il caressa un instant la fleur d’un rouge éclatant qui avait autrefois été sa bien-aimée. Le jeune hybride continuait à espérer qu’avec le temps, elle reviendrait. N’était-elle pas de la race des plantes ? Elle ne pouvait pas mourir comme le ferait un animal : chez les plantes, tout n’est qu’une succession de mort et de renaissance. Tails en était certain. Ou peut-être n’était-ce là qu’un moyen d’apaiser sa douleur ? « Tails ? » Le renard se retourna vivement pour voir Sonic à l’entrée de sa chambre. Il tenta vainement de cacher ses sentiments, mais c’était peine perdue. Il tenta de parler, comme pour se justifier, mais aucun son ne sortit de sa bouche. L’émotion lui étreignait la gorge, l’empêchant de s’exprimer. Mais il n’avait pas besoin de parler : Sonic avait parfaitement compris ce qui se passait. Il s’approcha de son ami et le prit dans ses bras. Sentant cette présence amicale et réconfortante auprès de lui, Tails réussit enfin à avouer ce qu’il avait caché si longtemps. Mais ses paroles étaient ponctuées de sanglots. « Pauvre Cosmo… Un an, déjà… Je… Je crois que je ne m’y ferais jamais… » Que vouliez-vous répondre à cela ? Impossible de dire qu’on comprenait : il fallait vivre quelque chose d’aussi douloureux pour pouvoir se vanter de comprendre. Compatir ? Et en quoi la compassion allège-t-elle la souffrance d’un chagrin d’amour ? Non… On ne pouvait rien y faire. Seulement être là et prier pour que le temps fasse son effet. Il se passa plusieurs minutes avant que Tails ne réussisse enfin à dompter ses sentiments. Non pas qu’il soit moins triste, mais à présent, sa douleur était telle que les larmes n’exprimaient plus grand-chose. Perdre l’être aimée, c’était souffrir dans son âme, se sentir comme déchiré, coupé en deux. Et avoir mal… « Tu penses qu’elle… Tu penses que Cosmo reviendra ? » Sur le coup, Sonic ne sut pas quoi réponde. Intérieurement, il avait des doutes sur le retour éventuel de Cosmo. Il l’avait vu se faire anéantir par un tir du Blue Typhon. La seule chose que le hérisson bleu avait pu récupérer était une graine. Ultime souvenir de la jeune Metarex à qui Tails tenait tant. Néanmoins, il aurait manqué de cœur en avouant ses pensées réelles. Parfois, le mensonge était préférable à la dure vérité. « Bien sûr qu’elle finira par revenir. Il faut juste lui en laisser le temps. » Il semblait que le renardeau soit presque consolé. Sa tristesse passagère s’en était allée pendant que dehors, l’orage se calmait et que les premiers rayons de Soleil commençaient à percer la masse nuageuse. Soudain, tout se passa très vite. Il y eut une sorte d’éclair vert et immédiatement après, une violente détonation se fit entendre. Tellement violente que les vitres de l’atelier de Tails volèrent toutes en éclats. On put entendre des cris de surprise venant du rez-de-chaussée. Sonic et Tails s’y précipitèrent pour s’assurer que tout le monde allait bien. A priori, c’était le cas. Ils étaient encore sous le choc, mais les bris de verre n’avaient, fort heureusement, blessé personne. On pouvait même en trouver certains qui, comme Vector, trouvaient le moyen d’être en colère. Selon toute vraisemblance, cette détonation avait gâché la chute d’une blague désopilante qu’il racontait à Vanilla. Le crocodile ne cachait en rien sa hargne. « Bon sang ! Mais c’était quoi, ce truc ? » Ce fut Espio qui répondit. Il avait compris très rapidement ce que signifiait tout ce qui venait de se dérouler. « J’ignore ce qui a causé ça, mais une chose est sûre : c’était supersonique. » Supersonique. En effet, voilà qui expliquait tout. Tout sauf la source de ceci : chacun savait bien que sur Mobius, seul Sonic avait réussi à atteindre la vitesse du son. Il existait donc quelque chose d’aussi rapide que lui. Peut-être plus… Sauf que le hérisson ne voyait ni le possible danger, ni les conséquences de cette révélation. « On dirait que quelqu’un peut enfin faire la différence avec moi ! Pas trop tôt ! Je vous laisse, ce type n’a pas l’air d’être patient ! » Il partit comme une fusée, laissant ses amis en plan. Même eux ne comprenaient pas toujours les réactions de Sonic. Quartier Général d’Eggman, 18H57, une heure après l’incident : Metala et Silver Sonic fouillaient activement les décombres de ce qui était, quelques heures auparavant, la base secrète du docteur Eggman. Les deux robots retournaient chaque tôles, soulevaient chaque pierres, se tenaient prêt à foncer au moindre appel de détresse. Ils ne laissaient rien au hasard. Dire qu’en l’espace de seulement quelques minutes, la gigantesque infrastructure qu’avait bâti le savant fou s’était retrouvée changée en champ de ruines, un agglomérat de métal calciné et tordu. A un moment, les capteurs de Metal Sonic s’agitèrent. Il demeura une seconde immobile, à écouter, puis se précipita au milieu des décombres et commença à fouiller. Il ne mit pas longtemps à retrouver le corps inerte de son créateur. Malgré son inconscience, le scientifique respirait toujours. C’était justement le bruit de cette respiration qui avait permis à son robot de le trouver. Etant de retour à l’air libre, il ne lui fallut pas longtemps pour revenir à lui. Sa première sensation fut un violent mal de crâne, associé à une odeur de brûlé qui saturait son odorat. Il regarda lentement autour de lui avant d’ouvrir de grands yeux, comme s’il ne croyait pas ce qu’il voyait. Pourtant, la vérité était là : l’installation qu’il avait mis des mois à bâtir n’était plus. Eggman laissa échapper un hurlement de colère ! « Il me le paiera ! Il n’avait pas le droit de me faire ça ! Pas à moi ! Je l’ai créé ! » Il reprit son souffle pour s’intéresser à ses deux robots encore opérationnels. Il voulait une confirmation, juste pour être certain qu’il ne cauchemardait pas. Il s’adressa à Silver Sonic. « C’est bien lui, n‘est-ce pas ? » « Affirmatif, docteur. Peu après son activation, l’expérience numéro 3 est devenue hostile et a détruit la base. Impossible de repérer la direction de sa fuite. De plus, je crains que Mecha Sonic n’ait été perdu durant l’attaque. » « Non… Oh non ! Il est toujours opérationnel. Je lui avais juste donné des ordres particuliers au cas où ce genre de chose arriverait. Normalement, il doit être en train de les appliquer. » Le chercheur retira de sa veste un objet qui ressemblait à une montre à gousset. Mais lorsqu’il l’ouvrit, cela se révéla être une sorte de mini radar. Une fréquence était déjà enregistrée dans l’appareil et le cadran affichait la position approximative de l’objet auquel correspondait cette fréquence. En l’occurrence, il était en train de survoler l’océan. Le docteur bascula sur une autre fréquence et, une fois de plus, écarquilla les yeux de surprise. « Green Hill ? Il est à Green Hill ? Quelle prodigieuse vitesse ! C’est ahurissant… Je ne m’imaginais pas de tels résultats. Cependant, étant hors de contrôle, il est irrémédiablement dangereux. Pourquoi faut-il que ce genre de choses m’arrive à moi ? » Il rangea son radar et actionna un émetteur afin que son Egg’omatic viennent le chercher. Après un rapide examen pour s’assurer que l’engin n’avait pas subi trop de dégât, le scientifique décolla promptement en direction de Green Hill, les deux clones métalliques de Sonic se collant dans son sillage. Il fallait à tout prix intercepter cette expérience ratée avant qu’elle ne cause trop de dommages. Green Hill, 19H01, une heure après l’incident : Pas de nom. Pas de souvenirs. Pas d’histoire. Je viens de regarder à quoi je ressemblais dans un ruisseau tout proche. Ce visage que j’ais vu se refléter dans l’eau est pour moi celui d’un étranger. Je ne sais pas qui je suis. Je ne sais pas où je suis, ni pourquoi j’y suis. Je ne sais rien. Et pourtant ma mémoire n’est pas vide. Seulement, rien ne correspond. Je me souviens du visage d’un hérisson qui n’est pas moi. J’ai en mémoire le nom de Sonic et je ne crois pas que ça soit le mien. Ce gros type de tout à l’heure… Savait-il quelque chose ? Etait-il responsable de mon état ? Aurait-il pu me dire pourquoi j’ais en mémoire le visage d’un autre ? Pourquoi je me rappelle du nom d’un autre alors que je suis incapable de me souvenir du mien ? Et surtout pourquoi, pourquoi suis-je si hargneux ? Pourquoi ais-je envie de briser, de détruire, de faire mal ? J’ignore d’où je viens. J’ignore où je vais. Mais je fonce. Sans m’arrêter. Dans l’espoir que plus loin, il y aura peut-être une réponse. Ou au moins de l’espoir. Titre: Re : [FanFic] Turquoise Posté par: Hunter le Juin 04, 2008, 05:27:51 pm Bien, une suite où on apprend plus de choses ...
Par contre, il y a quelque chose qui commence à me taper sur les nerfs : Citation « J’ais peur de comprendre… » Citation « Il me le paiera ! Il n’avait pas le droit de me faire ça ! Pas à moi ! Je l’ais créé ! » Citation J’ais en mémoire le nom de Sonic et je ne crois pas que ça soit le mien. Tu ne peux pas savoir à quel point ça m'énerve ... Je sais, tu n'y es pour rien, mais je ne supporte pas XD On écrit "J'ai" ou bien "Je l'ai" mais ce s n'a rien à faire ici ! Bon, désolé, j'ai poussé une gueulante, mais j'y peux rien, cette faute m'énerve ... Ne t'inquiète pas, je continue à suivre ta fic ^^ |