Je suis un peu dingue de commencer une autre fan-fic' alors que j'ai même pas fini l'autre, mais je voulais absolument écrire cette histoire et j'ai trouvé dommage de ne pas la partager.
(Mots: 1564)
Blanc-seing
Le bruit du fer se croisant, le sang dégoulinant sur le sol, le feu détruisant tout sur son passage... Voila ce qu’a connu Mobius pendant cette ère, une ère de terreur. Prit d’une haine profonde envers les Overlands et d’une soif de pouvoir, l’empereur-chat Nitros désirait plus que tout anéantir le peu d’humain qui lui tenait tête. Ayant une force et une stratégie militaire plus importante, il reussi à tuer l’empereur Overland et arracha de la couronne de ce dernier, le joyau représentant la force Overland. Devant les troupes ravagé, Nitros sourit toutes dents dehors et s’exclama:
-Prosternez vous lamentable vermine, et craignez pour votre sort et celui de votre espèce!
Dans un dernier geste, il jeta la pierre Overland dans l’océan qui coulait. Sombrait. Disparaissait dans la profondeur des eaux... Les légendes Overlands raconte que le joyau, aussi appelé “Joyau de vie”, aurait le pouvoir de faire renaitre une civilisation de ses cendres, de guider les peuples vers un monde meilleur... Et cela est surement exact. La puissance du joyau influait sur le comportement des habitants de la mer, les faisants marcher sur deux pieds et parler comme des hommes... Le joyau avait fait renaitre une civilisation: les Atlantes. Le peu d’atlantes existants pour l’instant récuperairent la pierre pour la placer en un sanctuaire et la rebatisaire... Le coeur de l’océan.
-Hey! Scherp! Debout!
La règle du professeur tapotait ma coquille, et me fit me redresser immediatement. Je m’étais endormi en classe, et je pouvais voir les sourires amusés s’afficher sur le visage de mes camarades. Le professeur était situé à ma gauche, le regard sévère, inhabituel pour un poulpe...
-Je sais qu’un livre d’histoire c’est très confortable mademoiselle... Mais pourriez vous éviter de l’utiliser pour faire vos siestes en cours?
L’immonde tas de graisse qu’est ce céphalopode me laissa seule, parmis les fous rires, pour retourner à son tableau noir... Je ne suis pas venu dans une école d’art martiaux pour écouter l’histoire Atlante, mais pour me battre. Depuis ma plus tendre enfance, je rêve d’intégrer les forces samuraï de l’ordre... Je veux donc apprendre les différentes téchniques défensives, et pas l’histoire. Le gong sonna, annonçant la fin des cours, ainsi que l’arrivé d’un des moments les plus important de ma journée. Mon sac sous le bras, je pris la porte pour le découvrir: Yarn. Lui était un soldat samuraï au service de notre seigneur, peut être que mon envie de devenir également samuraï vient de lui... Il m’attendait devant le corail fleurissant, dans son kimono de soie, le sourire au lèvres... Yarn et moi somme promis l’un à l’autre depuis toujours, nos parents voulant nous marier depuis notre plus jeune âge comme union entre nos deux familles. Il me prit par la main et nous descendîmes ensemble la coline pour nous rendre à notre endroit favoris: le lac subglaciaire. L’eau de ce lac est différente grace à un réchauffement géothermique qui ne la mélange pas à l’eau salé de l’océan, c’est pratiquement aussi magique que “le coeur de l’océan”. Yarn me serrait contre lui et caressait la coquille se trouvant sur mon crâne, un moment attendrissant... Et alors que mes yeux étaient fermés, les soldats samuraïs surgirent et pointairent leurs lances en direction de notre personne. Un d’entre eux, désarmé, s’avança avec entre ses mains, un parchemin:
- Yarn Sharkiku, soldat samuraï et fils de Go Sharkiku, vous êtes accusé de haute traitrise envers son altesse, de tueris multiples envers vos compagnons soldats et responsables des immigrations de nombreux Atlantes. Qu’avez vous à répondre?
Yarn désserait son étreinte, j’en profitais pour me relever et pour protester:
-Comment osez-vous accuser Yarn d’avoir commis de tel crime! Il a toujours été loyal envers son altesse et n’a jamais fait de mal a qui que ce soit!
Yarn me coupa d’un geste de la main, les yeux rivés au sol, comme pleins de remords. En voyant son regard, mes jambes ne pouvaient plus me soutenir et me laissairent tombé sur les genoux. Il se leva, avança en direction du samuraï et tendis ses poignets.
-J’assume mes fautes, et je suis pret à en payer le prix.
Le samuraï noua une corde autour des mains de mon aimé, et le traina en laisse comme un vulgaire clébard, lui qui était si majéstueux... Mes mains vinrent taper le sol rocheux et griffer le corail accroché sur ce dernier. Je ne pouvais croire qu’une tel chose soit possible. En larme, je partais en direction de la demeure des Sharkikus, pour les prévenir. Je bousculais pratiquement tout les gens sur mon passage, je renversais de nombreux vases et écrabouillais de nombreuse marchandises... pour enfin arriver au dojo des Sharkikus. Devant la porte, Go, le père de Yarn, se tenait debout avec sa canne. Quand il me vit, il devina en me fixant que quelque chose de terrible avait eu lieu, et d’une voix tremblotante:
-Y-Yarn... Il.. Il a été... Emprisonné...
L’expression du père ne changea pas, il ne fit que baisser les yeux. Il expliqua de sa voix de petit vieux, que Yarn était surment victime de persécution par la famille royale, car jamais Yarn ne serait du genre à commettre des délits graves. Plus que de la colère, je ressentais une profonde haine en moi qui faisait bouillonner mon sang de mollusques. Mon poing vint rencontrer avec rage les murs de protection entourant la demeure et ma respiration était plus rapide...
-Je vais le chercher...
Go leva un sourcil en signe d’incompréhension, mais à la vue de mon regard, il compris tout de suite. Il commença par protester, que c’était incensé! Que je ne faisais que tous nous courir à notre perte! Quand y allant je n’allais que déclencher sa mort... Non, je ne pouvait pas rester assise bien sagement en attendant que l’orage passe... Je devais forcer pour que mon soleil revienne. Malgrès le vieux Go essayant de me retenir, je réussi tant bien que mal à atteindre ma maison où m’attendait mon équipement. Dans l’armoire de mon père était rangé une vieille tunique d’assassin que je pris sans hésiter, et dans la chambre de ma mère, un katana ancien transmis dans notre famille... Que je dégainais pour admirer le brillant de sa lame. Le vent soufflait légerement, faisant danser l’eau me caressant le visage. Je courais, le long des toits, dévalant les tuiles à une vitesse folle pour au final, atteindre la prison centrale où se regroupait brigands et soldats.
Deux gardes tenaient la porte d’entré, et les murs de la forteresse contenaient des centaines de soldats samuraïs. Je m’approchais tranquillement de la porte, quand un des deux gardes me stopa de sa lance:
-Hola ma jolie! Les visites sont interdites pour soldat et bandits, alors tu ferais mieux de-
D’un habile geste de lame, le parleur fut éventré et son compagnon, égorgé comme un veau. Le sang poisseux ne me dérangeait guère, je suis née pour tuer... J’ouvris soigneusement la porte d’entré en faisant attention aux soldats rodants aux alentours. Tous, où presquent, finissairent éventré ou égorgé avec mes plus grands soins... Ma course vers mon aimé continua encore, et encore... Jusqu’au moment, ou les soldats me coursant furent trop nombreux et me prirent au piège. Ses petits camarades s’agglutinèrent pour me sauter dessus et m’immobiliser, mais ma colère était si forte que je ne ressentait ni la douleur ni le poid des lances plantés sur moi. Ils furent tous blessé à mort, moi avec mais je tenais encore debout... Je remarquais que la bagarre m’avait emmené dans un endroit non visité, la place central de la prison, où je le vit enfin. Il était là, il me fixait de ses beaux yeux bleus, le sourire aux lèvres... J’étais paralysé, les larmes de regrets coulaient sur mes joues, et je couru vers lui pour le faire prisonnier de mon étreinte, lui qui maintenant n’est plus qu’une tête ensanglanté planté sur une pique. J’étais tellement malheureuse...
- Je suis desolé pour toi ma pauuuuvre enfant... Ricana une voix.
Mes yeux se relevèrent en direction d’une femme muraine, richement vétue, riant de me voir aussi malheureuse devant un “vulgaire boût de chaire”. Elle sortie un éventail de la manche de son kimono et le pointa dans ma direction.
- Tu dois être Scherp? L’aimée de ce pauvre Yarn... Je dois t’avouer que j’avais des vues sur lui... Mais évidemment, au lieu de bien servir sa princesse, il a préféré me tenir tête... Il a commit un acte impardonnable!... Mais il vient de payer sa dette.
Une profonde envie de vengeance s’éveilla en moi, je ne voulais qu’une chose, la tuer. Encore et encore. Elle ? Une princesse? Un monstre oui! Ma main agrippa un lance planté dans mon dos et la lança en direction de la femme en kimono. Pour mon plus grand malheur, deux hommes vétus de noir stoppairent la lance à l’aide de deux vulgaires kunais... La princesse prit une mine colèrique et tempêta:
-Comment oses-tu agir de la sorte envers un membre de la famille royal?! Pour la peine tu seras enfermé, et tu subiras diverses tortures qui te passeront l’envie de te lever contre ta futur reine!
Les deux hommes en noir me neutralisèrent, l’un ayant la mine triste et l’autre n’affichant aucun sentiments... Et ensemble, ils me guidèrent vers une porte, aussi noir que leurs costumes, aussi noir que l’esprit de cette princesse, aussi noir que mon coeur...
____________________________________________________________________________________________________
Les fautes sont surement nombreuses, même si j'ai fait de mon mieux. Je vais appliquer la technique de Miko, me relire la semaine prochaine histoire de tout bien déceller.