-Hs- Ceci est ma toute prmière fanfic, et pour cela je voudrais savoir vos commentaires à propos de la prèmiere partie de la prologue (Episode 0). Vos commentaires me seront bien utiles, merci! -Hj-
Prologue (Episode 0)
Partie 1: Le Fantome Noir
"Alors ça viens?"
"Oui, Maître! s'écria un petit esclave hybride, C'est juste cette fichue machine de générateur qui est hors service. Quelqu'un a du sectionner plusieurs fils pour couper l'électricité des étages inférieurs…..Heursement que nous avons celui de secours pour nous….."
"Et bien? coupa le sergent légionnaire, Dépêchez-vous, bande d'incapables, avant que je me fâche!"
"Ou…. Oui-oui, Maître! dit l'esclave en gémissant, tout en mettant ses bras devant sa tête pour éviter une autre baffe de son supérieur, Je le fais tout de suite!"
" Et plus vite que ça! Vous ne voulez pas rencontrer Dimitri en personne à ce que je sache? Alors, mettez-vous au travail, inférieurs!"
Les prisonniers hochèrent en chœur, et commencèrent à réparer les dégâts de la salle des machines. Le chef échidné avait horreur de ces pitoyables créatures, complètement inutiles, et bon pour le casse-pipe pour les missions suicides. Tel était la pensée de Brawn, un hybride grand comme un humain, de couleur noir, et équipé de nombreux bioniques implantés partout dans son corps. Ses dents grinçaient à l'idée de penser qu'un intrus s'est infiltré dans leur quartier général de la Dark Légion, dans les sous-sols de la plus grande ville mécanisée de Mobius, sous le nom célèbre de Chemical Plant Zone. Dans tout la base, l'alarme retentissait plusieurs fois, les soldats, surpris au début par l'attaque soudaine se mirent en formation dans toutes les salles prêt à accueillir l'intrus, et les systèmes de défense se mirent en marche dès l'alerte sonné. Les portes de métal se fermèrent les unes après les autres. Brawn sut immédiatement que, même si la défense de surpasser pas celle de la demeure du Grand Dimitri, celle de Chemical Plant Zone était une véritable forteresse, et personne n'en n'est sorti après y avoir entré dans la base. Alors qu'il regarda les grandes colonnes de Dark Légionnaires se déversant vers les étages inférieurs, il ne sentit pas tout de suite, une personne qui se trouvait derrière lui….C'était un échidné blanc, plus petit que Brawn, avec des bandes noires sur ses cheveux, et vêtu dans une splendide robe bleue, avec de nombreuses décorations, comme de bijoux et de colliers. Lorsque le sergent se retourna finalement, il reconnut tout de suite, le visage du commandant Kharnôs. Ce dernier était un grand philosophe ayant rejoint la cause de la Dark Legion et ayant fait des preuves, au niveau charismatique que tactique, qui lui a permit de prendre le poste de commandant. Lorsque l'échidné blanc commença à parler, il avait une voix très douce mais autoritaire.
"Alors, dites-moi mon ami, adressa t'il à Brawn, quel est la situation de maintenant?
"Et bien, Commandant, il ne répondit pas tout de suite, toujours surpris par l'apparition soudaine du Commandant, l'ennemi a réussi à pénétrer Dans nos quartiers supérieurs, mais les défenseurs stoppent toujours l'avancé des intrus, enfin selon ce que nous ont dit par radio. Quand pensez-vous commandant?"
"Eh eh eh! Comme le proverbe dit: "Il faut battre le fer pendant qu'il est chaud"."
"Comment?"
"Non rien…Occupez-vous plutôt des régiments 57 et 55. Il ne faut laisser des simples intrus prendre possession de ce lieu. Nous serions la risée de toute la Dark Legion…."
"Oui Commandant! A vos ordres"
Le sergent Brawn salua Kharnôs avant de quitter la salle sans remarquer le visage souriant du commandant……
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Alors que les deux régiments rejoignaient les dernières troupes dans les étages au-dessus, dans le grand couloir, le silence régnait maître dans la base, malgré le bruit des pas des Dark légionnaires. Après plusieurs minutes de marche, les détachements arrivèrent afin vers l'entrée de la base, mais découvrit avec horreur le spectacle qui les attendait. Devant eux, la grande salle était devenu vide, il n'y avait plus rien, plus aucune trace des gardes et d'un moindre intrus, même pas la moindre trace de sang par terre. Même Kharnôs, de nature très calme, était assez troublé de ce qui s'est passé. Alors que les soldats se posèrent des questions entre eux et cherchèrent la moindre indice de la mystérieuse disparition du 56e détachement, une fumée noire avança tranquillement vers les Dark Légionnaires, plus précisément vers Kharnôs. L'ombre commença à prendre forme matérielle et fit apparaître à la place un grand robot mince à l'apparence squelettique. Il était vêtu de décorations glauques et de tissus sombres en lambeaux et portait un long bâton noir et doré avec une faux en croissant (représentant étrangement une lune) et se terminant par une boule de cristal, brillant de mille feux. Son visage métallique de trahissait en aucun cas la moindre émotion humaine, comme si il avait perdu toute trace d'humanité.
Brawn était peu rassuré en voyant cet inconnu, et même si c'est la première fois qu'il voyait cet être étrange, il savait dans son for intérieur, que ce robot devait être le mal incarné. Mais contrairement au sergent, Kharnôs n'avait pas peur du squelette en métal. Le commandant s'approcha de lui et lui parla d'un ton un peu trop rassureur:
"Voyons voir….Vous m'avez l'air spécial, mon ami! Voyez-vous…C'est la toute première fois de ma vie que je vois un badnick de ce genre. Qui êtes-vous mon cher et dites-moi pourquoi êtes-vous ici et que c'est t'il passé exactement? Vous n'êtes pas au moins cet intrus qu'on cherche?
Le robot ne répondit pas tout de suite, et avant qu'on ne put voir quoique ce soit, quelques mouvements rapides de l'être mécanique, avec son bâton, lui permit de sectionner le bras droit du commandant et de lui trancher la gorge. Les Dark Légionnaires n'en croyaient pas à leur yeux, "Kharnôs tué par…..cette chose?" disaient-ils en tremblant. Puis le robot répondit enfin aux questions une fois le dernier soupir du général eut lieu. La voix de l'inconnu était froid et glacial….
"Première erreur, vous êtes trop rassureur, à mon goût, face à un ennemi que vous ne connaissez pas. Deuxième erreur, vous êtes trop bavard. Troisième et dernière erreur, vous m'avez pas l'air très doué pour un général…. "
Puis il se retourna face aux deux régiments, et il sembla lâcher un ricanement dans sa bouche immobile….
"Et c'est ça la défense de cette base? Peuh….Pitoyable! Serviteurs, débarrassez-moi de cette vermine grouillante…"
A ces mots, le sol trembla et des robots commencèrent à remonter à la surface, comme des morts-vivants se réveillant de leur sommeil éternel. Ces grands badnicks (un peu plus petit que le grand être mécanique les dirigeant) étaient bossus, et leurs doigts se terminaient par de longues griffes. Alors que Ten'Shant leur prononça quelque murmurments incompréhensible, les robots se mirent à charger vers les Dark Légionnaires, plantant leur griffes sur les premiers soldats qui rencontrait sur leur route. Brawn se mit à suer de grosses gouttes, impuissant face au massacre qui se tenait devant lui, et cria vers ses soldats:
"Repliez-vous! Repli……"
Avant qu'il ne put terminé sa phrase, on entendit un grand fracas, provenant du plafond. Le toit céda au poids de trois grosses machines volantes, dont la formes faisaient penser à des insectes métalliques géants, suivis par des nuées de petits insectes mécaniques, attaquant et mordant sur leurs proies, tandis que les gros insectes en créèrent davantage de petites créatures identiques. Les Darks Légionnaires tentèrent de reculer en rangs disciplinés, mais nombreux d'entre eux se faisaient déchiqueter par les badnicks ou finirent écrasés sous le poids des petits insectes métalliques. Le Sergent Bawn se força à tourner les talons pour s'enfuir.
Ce qu'il fit par l'affolement, la vue brouillé par les larmes. Il voulait ordonnez le repli, mais les mots refusèrent de sortir. Ses soldats se faisaient massacrer, tombant à genoux les uns après les autres, comme des enfants terrifiés à leur approche, et il n'y avait pas le moindre échappatoire. Il trébucha sur quelque chose et s'affala lourdement. C'était un corps écorché, dont les blessures continuaient à cracher du sang qui venaient de tacher le sol. Il releva la tête pour voir un des serviteurs de l'être mécanique: il s'était drapé de la peau du lieutenant Lumn et se rappochait d'un pas lent. Brawn voulut hurler, mais il ne fit que s'étouffer en avalant de travers sa salive.
La créature mécanique tendit ses griffes vers lui…..
Puis le noir….