Salut! Cette histoire est celle de ma perso Sonic, Bridget the fox, que vous pouvez voir sur mon avatar ou ma sign. Bonne lecture et ne faites pas trop atention au fautes d'orthographes n_n"
Fan-fic : Une sœur oubliée…
Dans la vie, on dit toujours qu’il y a beaucoup de malheur, mais que la chance existe quand même… Certains n’y croient pas… Moi j’y crois, et je vais vous raconter pourquoi…
J’étais pensionnaire dans une école militaire… Mes parents m’y avaient abandonnée en promettant de revenir me chercher au plus vite. Je leur avais souri, et ils étaient partis… Mais un mois avait passé, et toujours aucun signe de mes parents. Je commençais à croire qu’ils m’avaient oubliée… Mais c’était bien pire que cela. Je passais devant le bureau du Directeur de l’école, quand je l’entendis parler au téléphone….
-Oui,oui, nous avons bien une certaine Bridget Manford dans l’établissement, pourquoi ?/…/ Ah…. /…/ Ses parents sont portés disparus sur la planète Astrid… /…/ Non, je ne pense pas le dire à Bridget…Voyez-vous, elle n’a que 13 ans et demi.. /…/ Oui… Merci du renseignement. /…/
A ce moment là, je compris que si je ne réagissais pas, je passerais ma vie dans cette école, sans savoir comment se portaient mes parents. C’est là que je décidais qu’il était temps de fuir.
Je n’y avais jamais fait allusion avant, mais au soir, je préparais un plan de fuite. C’était simple : Demain on faisait une sortie en vaisseau spatial avec notre prof de géo. Il disait que c’était une idée géniale pour nous apprendre la position des planètes. Là, je prendrais un vaisseau de secours et irais en direction d’Astrid, pour retrouver mes parents.
-Allez, allez ! Le vaisseau va décoller sans nous si vous n’arrivez pas tout de suite ! criait le prof de géo.
Je me mis à courir, un lourd sac sur les épaules.
-Et bien miss Bridget, pourquoi un sac si lourd ?
-J’ai tout le strict nécessaire sergent !
-…Bien miss. Entrez, le vaisseau va partir…
Il me regardait, avec un air de pitié. Le directeur avait dû tout raconter…
Je rentrais dans le vaisseau et m’asseyais sur le siège du fond. Le plus près possible de la salle de secours. Quelques minutes plus tard, le vaisseau avait décollé. Il devait y avoir pas mal de temps pour arriver à Astrid, mais j’étais prête à tout… J’crois même à tuer. De toute façon, je n’ai aucun ami… C’est sûr que dans l’école militaire, difficile de se faire des amis avec des règles aussi strictes tel que celle qui oblige à manger seul à la cantine, et d’être un par table en cours… Une heure de trajet passa, et le prof se leva pour nous montrer toutes les planètes autour de la notre. Il nous montra la terre, qu’il disait être habitée par des créatures sans scrupules, Efira, la planète de feu et je partis quand il commençait à parler de Aqua, la planète entièrement couverte d’eau. Je pénétrai dans la salle de secours, de nombreux vaisseaux y étaient disposés. Je pris le plus proche, un vaisseau rouge assez petit pour ne pas être repéré. Je m’assis à l’intérieur, et appuyai sur le bouton « démarrage ». La porte s’ouvrit, laissant une vue imparable sur l’espace. Mon vaisseau prit de l’altitude, et partie en vitesse lumière. Je naviguai tranquillement, comme si j’avais toujours su conduire un vaisseau, quand je me demandai où je voulais aller. Bien entendu, ma destination était Astrid, mais je ne savais pas la position de la planète… Je croyais tout espoir perdu, quand le guide des planètes s’ouvrit instantanément.
-Bonjour ! Bienvenue sur le guide des planètes. Si vous cherchez un planète humide, tapez 1, si vous cherchez une planète de lave en fusion, tapez 2, si vous cherchez une planète boisée et humide, tapez 3.
Je tapai 3, et le guide me présenta 3 planètes : Zéphira, Octave et Astrid. Je sélectionnai Astrid, et le vaisseau se mit en guidage automatique. J’étais fière d’être sur la route d’Astrid, sur le chemin de mes parents… Je pensai déjà à eux. S’ils étaient dans une petite cabane avec un vieux peuple perdu, s’il étaient seuls à habiter dans un arbre, ou… Ou étaient-ils morts…. Je n’en avais aucune idée, mais je voulais savoir ce qu’ils étaient devenus. Le cœur plein d’espoir, je me blottis contre le siège, et contemplai les planètes.