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[Terminé] Imaginaire
(Fan Fic) Imaginaire
« Répondre #60 le: Avril 26, 2007, 09:06:38 pm »
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Oui!!! Un magnifique combat, je dois l'avuoer! Un mystère de moins, un autre de plus. Je viens ed réaliser que Kaly est la seule des six que les autres n'ont pas revue...la pauvre... :? Exceptionnelle!!! :D J'ai vraiment adoré, je m'en veux de pas avoir posté à la suite précédente(...même si j'étais sûre de l'avoir fais...) J'ai vraiment hâte de voir la suite!!! Une hsitoire qui s'annonce très prometteuse dans son action prochaine! :D
Journalisée
omme par magie, un scintillant collier de cuir noir paré d’une pierre cristalline apparut autour du cou de Calixa, qui s’était maintenant relevé.
-S’ils savent que tu es leur sauveuse, leur dernier espoir de survie, ils te laisseront rencontrer…l’un de tes pères…

Une prophétie extraordinaire.
 
 
(Fan Fic) Imaginaire
« Répondre #61 le: Mai 01, 2007, 07:16:07 am »
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Merci Mysti ! Il faut croire que les lecteurs sont fort occupés, en ce moment... Je vais quand même poster la suite, au cas où ils reviennent ^^


  Lorsque Yorick et Luceria furent de retour, les quatre mobiens qui les attendaient dans le salon étaient presque endormis.
- Hum... Excusez-nous, je ne retrouvais plus le désinfectant. Hum...
  Yorick et son amie allèrent se rasseoir sur leur siège respectif.
- Maintenant, le plus important est de retrouver vos deux amis qui ne sont pas encore là, déclara l'échidné gris. Mais vous devez être fatigués. Je vous propose qu'on ne parte pas d'ici avant demain.
  Chacun approuva : il est vrai que le voyage dans la forêt du Temps n'avait pas été de tout repos.
- Au passage, on pourra aller chercher d'autres orbes, aussi. Je crois avoir compris quelque chose à leur sujet : par leur grande puissance magique, les orbes peuvent, au fil du temps, modifier la nature du paysage où ils se trouvent, et ce qu'il s'y passe. Par exemple, lorsque j'ai ramassé l'orbe de l'Eau, il s'est arrêté de pleuvoir sans cesse dans la région où il se trouvait.  
- Et pour la forêt du Temps, ajouta Luceria, lorsque nous avons récupéré l'orbe qui s'y trouvait, la forêt s'est remise à vivre...
- Oui. Je pense qu'on va pouvoir retrouver les orbes, en allant dans les régions où il se passe des choses étranges. On pourrait commencer par l'est. Il paraît que là-bas, le soleil ne s'y couche jamais.
  Seth bailla sans retenue. Yorick jugea alors qu'il était grand temps d'accorder à ses nouveaux Héros un peu de repos. Tous passèrent le reste de la journée ensemble, et ce jusqu'au soir.
  Malgré le fait qu'elle était très encombrée, la maison de Yorick était plutôt grande. Seneka, Seth et Tora purent dormir dans une chambre presque épargnée par le bazar de l'échidné. Celui-ci dormit dans son lit toujours défait, et Luceria et Caela dormirent dans la même chambre, avec un lit chacune. En voyant la petite chambre, Caela était soulagée : elle était rudement propre et jolie, on n'aurait pas dit qu'elle appartenait aussi à la maison de Yorick. Il n'y avait que trois lits et un petit bureau, avec une armoire et une table de nuit pour le plus grand. Luceria alla ranger son sac de provisions et d'équipements de rechange dans l'armoire, tandis que Caela s'asseyait sur le plus petit des trois lits. Il était si confortable ! L'échidnée s'installa pour sa part sur le plus grand. Elle ôta ses bottes et ses gants, puis alla fermer les rideaux de la petite fenêtre. Caela ôta elle aussi ses bottes et gants de métal. Elle remarqua alors un miroir sur le mur à côté d'elle. Elle se leva et contempla son visage dans la glace. Ses yeux verts étaient la seule chose qui n'avait pas changé chez elle. Sauf, peut-être aussi, ses longs cheveux blancs et sa triste mine. Elle avait toujours ce long pique de chaque côté de sa tête ronde, plus deux autres bien plus courts. Elle avait vraiment l'air d'une toute autre personne.
  Luceria souhaita bonne nuit à son amie, et se glissa sous les couvertures. Caela, épuisée, fit de même. Elle posa sa tête sur l'oreiller moelleux et ferma les yeux. Après quelques minutes de patience, elle sombra dans d'obscurs songes.

  Tout était sombre autour d'elle. C'était le néant, le vide inquiétant, insonore, inodore, ni grand ni vaste. Ni haut ni bas. C'était simplement le néant, sans rien, sans même la moindre couleur. Tout n'était que ténèbres.
  Caela était dressée dans cet espace. Elle se demanda tout d'abord ce dont il s'agissait. Était-ce la mort? Un rêve? Ou bien, allait-elle bientôt mourir?
  Soudainement, son corps tout entier se crispa, elle ouvrit grand les yeux, tomba à genoux, une main sur le coeur, l'autre posée dans le néant. La sueur perla son front, elle ne pouvait pas parler, sa gorge était bloquée par la douleur, et son corps tendu pour la même raison. Son coeur s'arrêtait donc de battre? Elle allait mourir, alors? Sans se poser plus de questions, elle s'effondra. Elle vit les ombres de la mort couvrir ses yeux, ces derniers vides de tout sentiment. Elle était incapable de faire le moindre geste. C'est alors qu'avec le peu d'esprit qui lui restait, elle commença à voir une silhouette blanche s'avancer vers elle. Grande, reluisante, splendide, cette silhouette s'approcha du corps immobile de la hérissonne, et se baissa pour lui poser sa main sur le front. Une voix acide lui susurra alors :
- Mon enfant... ne pleures pas... tu ne vas pas mourir maintenant. Je t'ai sauvée, tu vois? Ton coeur est reparti, il marche à merveille... grâce à moi, ton temps de vie sera rallongé...
  La silhouette se releva, et déclara :
- Tu m'es maintenant redevable, Caela... c'est pourquoi tu me rejoindras, l'heure venue... N'oublie pas qui je suis. Mon nom est Jahëkumra. Rejoins-moi l'heure venue, Caela...
  Avec ces mots si proches et pourtant si lointains, la silhouette scintillante s'éteignit dans les ténèbres. Caela se sentit revivre. Elle ne sut pas pourquoi, mais au fond d'elle, elle eut l'impression que cette silhouette disait bien toute la vérité...
  Soudain, elle plaqua sa tête dans le néant, à nouveau crispée. Son corps se renversa sur le dos, et elle haletait, souffrante et déstabilisée. La douleur venait de revenir. Ses poings se serraient, ses mâchoires se crispaient, ses paupières se plissaient ; mais la douleur était toujours là. Implorante, elle essaya de gémir pour appeler la silhouette blanche au secours. Elle avait de plus en plus mal, avait de moins en moins de forces, mais continuait d'appeler, son coeur et son corps écrasés par la souffrance. Elle entendit alors une voix très lointaine, et très calme, lui demander d'ouvrir les yeux. Ce n'était pas la voix acide de la silhouette. Alors, la hérissonne détourna la tête, décidée à ne pas obéir. Elle ne pouvait avoir confiance qu'en l'apparition blanche qu'elle avait vue, et qui l'avait tirée de son mal...
  La même voix, toujours aussi calme, s'exprima à nouveau, renouvelant son ordre. Obstinée et aveuglée, Caela refusa toujours d'obéir. Elle était, en cet instant, prête à n'importe quoi pour rejoindre son sauveur, cette silhouette, cette splendeur.
- Jahë... kumra... gémit-elle, à bout de souffle.
  Une main brûlante se posa alors sur son front, et la hérissonne hurla de douleur. Elle allait à nouveau appeler à l'aide lorsqu'elle entendit la voix calme, l'appeler par son nom avec une voix ferme :
- Caela. Caela !
  La hérissonne se tordit une dernière fois sous la douleur, avant de se redresser d'un coup.

  Le soleil était levé depuis deux heures maintenant. Seule Caela dormait encore, les cinq autres mobiens se demandaient ce qui la prenait de dormir autant. La connaissant, elle n'arrivait pas à fermer l'oeil lorsqu'elle ne se sentait pas en sûreté dans un endroit qu'elle connaissait bien. Tora, Seth et Seneka en étaient persuadés.
  Luceria, qui était allée la voir, revint dans le salon où tous étaient réunis. Elle leur déclara que la hérissonne semblait plongée dans un sommeil si profond qu'il semblait impossible de l'en tirer.
- C'est bien le moment, lâcha Yorick. On était pourtant censés aller chercher les autres orbes!
- Au fait, il y a quelque chose dans ton histoire que je n'ai pas compris, dit Tora à l'échidné gris.
- Hum. Et c'est quoi?
- Tu as dit qu'il existait seize Hydres jadis, et que douze sont mortes. Pourtant, tu n'as ensuite parlé que de quatre Hydres survivantes. S'il y en avait bien seize au départ, alors deux autres auraient dû survivre, non?
- Hum... je vois ce que tu veux dire. Oui, c'est vrai. Pourtant j'ignore totalement qui sont ces deux Hydres. Il semblerait que jamais personne n'en ait entendu parler, et pourtant, nous les prophètes, nous savons qu'elles existent. Elles sont sûrement des divinités aux pouvoirs encore plus grands, peut-être chargées d'équilibrer le monde, ou quelque chose comme ça. En vérité, c'est l'une des rares choses que j'ignore vraiment.
- Ah bon.
- Hum... je vais aller voir Caela. Elle est peut-être juste malade.
  Yorick disparut dans la chambre de Caela. Seneka regarda l'échidné gris partir et repéra le moindre de ses mouvements, toujours méfiant.
- Je me demande qui il est réellement, confia ensuite le loup noir à ses amis.
- Qui ça? dit Tora. Yorick?
- Oui.
- Tu te méfies toujours de lui? se surprit Seth.
- Oui. Imagines qu'il soit un résistant. Il aurait très bien pu nous berner depuis le début, et...
- Je t'arrête, répliqua Luceria. Yorick est l'un de mes amis de longue date. J'ai confiance en lui, il a rencontré Nelson plus souvent que moi encore.
- Au moins, il y a Nelson à qui on peut encore faire confiance... répondit Seneka.

  Yorick s'approcha à pas lents de la hérissonne, allongée sur le dos sur son matelas, une couverture d'hiver posée sur elle. À première vue, elle semblait dormir paisiblement. Mais en s'approchant, Yorick adopta un regard perçant et profond. Le visage de Caela semblait s'être crispé, comme si la hérissonne était en train de vivre un cauchemar.  Le regard de Yorick était devenu méconnaissable. Il continua de fixer Caela, comme s'il était fasciné par elle. Mais il semblait tout à fait sérieux. La hérissonne se mit à gémir faiblement, et à se tordre comme de douleur. Yorick lui parla alors, de la voix la plus calme qu'il put :
- Réveilles-toi, maintenant.
  Dans son sommeil, Caela fronça les sourcils et détourna la tête, comme si elle refusait d'écouter Yorick. Celui-ci resta un instant silencieux, avant de renouveler son appel :
- Réveilles-toi, maintenant.
  Caela fit la sourde oreille une fois de plus. Pourtant, elle semblait souffrir intensément, et dans son délire, elle souffla avec peine :
- Jahë... kumra...
  Yorick fronça les sourcils. Puis il posa sa main sur le front de Caela, qui poussa un cri de douleur.
- Caela. Caela ! s'exclama Yorick sans ôter sa main.
  La hérissonne remua encore avant de se redresser brusquement, yeux grand ouverts, haletante. Elle regarda partout autour d'elle, vit Yorick, puis s'effondra à nouveau. Allongée, elle regardait le plafond, en respirant fort. C'est alors que Seth fit irruption dans la salle :
- Qu'est-ce qui se passe, ici? lança-t-il à Yorick.
- Tout va bien, répondit celui-ci. Elle avait fait un cauchemar.
- Ah bon... Je vous laisse, alors.
  Le porc-épic fit demi-tour. Seuls, Yorick et Caela restèrent un instant silencieux. La hérissonne, une fois qu'elle eut repris son souffle, s'assit sur le rebord de son lit.
- J'ai l'impression de sortir tout droit des Enfers... murmura-t-elle.
- Tu n'as pas vécu quelque chose de banal, à l'instant, figure-toi. Au fait, ce Jahëkumra, qui était-ce?
- Ja... Jahëkumra? La silhouette blanche?
- Une silhouette blanche? questionna Yorick en fronçant les sourcils.
- Je... crois, balbutia la hérissonne. J'avais très très mal, et une silhouette est apparue... Elle m'a ôté d'un coup toute ma souffrance...
  Yorick sembla alors perdre son sérieux, et il regarda Caela avec un sourire en coin.
- D'après ce que m'ont dit tes amis, tu refuses encore, quelque part, de prendre tout ce que tu es en train de vivre pour une réalité, n'est-ce pas?
  Silencieuse, Caela regarda Yorick. Elle fut alors intimidée par la lucidité de son regard.
- C'est vrai que c'est surprenant ce qu'il t'arrive, continua l'échidné. Mais il faut que tu le vives avec force, car tu en auras bien besoin. Ne t'en fais pas, je ne vais pas chercher à te convaincre que tu ne rêves pas. Tu es libre de penser ce que tu veux. Cependant, ouvres les yeux. Parce que si tu penses vraiment être dans un rêve...
  Yorick émit un petit rire, puis se pencha vers la hérissonne intimidée. Il la regarda dans les yeux avec son air étrange, et de sa voix inquiétante, il lui souffla :
- Alors dans ce cas, Caela... Bienvenue dans le plus impitoyable des rêves.
  Les paroles de Yorick furent suivies d'un silence inquiétant pour Caela. Heureusement pour elle, Seneka arriva dans la salle rapidement peu après.
- Caela, tout va bien? demanda-t-il.
  Puis il regarda Yorick, méfiant. Celui-ci esquissa un sourire, et déclarant qu'il ne faisait aucun mal à la hérissonne, il quitta la salle. Le loup noir questionna alors Caela sur ce que Yorick lui avait dit, mais la jeune mobienne ne semblait déjà plus inquiète. Avec un sourire forcé, elle se ravisa à tout raconter.

  Dans les environs de dix heures, tous furent fin prêts. Les six mobiens quittèrent la demeure de Yorick, et marchèrent sans se presser dans le joli bois. La splendeur soleil matinal dans les arbres eut bien vite fait de rassurer tout le monde. Pour le moment, ils s'occupaient des orbes, et de leurs souvenirs. L'assassinat, pour sa part, était lointain, lointain...
  À un moment, Caela vit sur le rebord du chemin des fleurs magnifiques, blanches et éclatantes, aux pétales triangulaires ornées de fines tiges d'argent. Intriguée et émerveillée, la hérissonne s'en approcha et huma leur parfum. Aussitôt après, elle sembla oublier tous ses soucis. Vraiment, elle adorait cette forêt.
- Ce sont des Euresias, déclara Yorick en remarquant Caela agenouillée devant les fleurs. Avant elles poussaient par milliers sur une île du même nom, qui a été entièrement incendiée il y a longtemps.
- Une île entière incendiée? Comment cela? s'étonna Tora.
- Oui, il y a environ dix, quinze ans. Sans doute par une Hydre, pour que ce soit aussi peu naturel.
- Mais... Pourtant, les Hydres ne se sont retournées contre ce monde il y a seulement quatre ou cinq ans, non?
- À vrai dire... non. Certaines se sont rebellées il y a plus longtemps que cela. Mais comme ça avait été de très courte durée, on ne s'en est pas soucié longtemps...
- Je vois.
  Caela se décida finalement à se relever, et elle marcha un peu maladroitement vers ses amis.
- Ca sent bon, pas vrai? fit Yorick en riant.
  La hérissonne semblait complètement déstabilisée par ce parfum. Il était si exceptionnel pour elle! Rapidement, elle retrouva pourtant ses esprits, et put repartir avec ses amis, sans omettre de jeter un dernier regard aux magnifiques Euresias.

- Nous allons nous rendre au sud d'ici, déclara Yorick. Là où une vieille cité abandonnée s'est vu recouverte par la nature, et ce en un temps record. J'y suis jamais allé seul, parce qu'il paraît que c'est dangereux. Hum...
- Mais tu sais combattre? questionna Seth.
- Oui. L'air de rien, je me défends plutôt bien.
  Caela baissa la tête. Remarquant sa mine attristée, Luceria s'approcha d'elle et lui demanda :
- Caela, ça ne va pas?
  La hérissonne resta un moment silencieuse, avant de dire d'une voix faible :
- Je ne sais pas ce que je vais faire si un nouveau danger se montre. Je pensais qu'avec le carella, je pourrais enfin me battre, mais... je suis bien trop faible.
- Ne t'en fais pas, ça viendra petit à petit.
- Comment fais-tu pour avoir encore confiance?
- Tout le monde mérite qu'on lui fasse confiance à un moment.
  Caela ne répondit pas. Elle posa sa main sur les cartes qu'elle portait sur sa hanche gauche, rangées dans son carella.
  Soudain, des buissons sur le rebord de leur chemin, surgirent devant les six amis un groupe de mobiens. Surpris, Yorick et ses compagnons se stoppèrent et regardèrent les loups nouveaux-venus qui les fixaient aussi, méfiants. Ils avaient leurs armes de guerre serrées dans leurs mains, et dévisageaient le petit groupe. Ils devaient être une quinzaine, pas plus.
- Qui êtes-vous? questionna Yorick d'une voix qui tâcha d'être dure. Vous êtes sur les terres du défunt Allendil.
  Les loups restèrent un moment silencieux. Caela, à demi cachée derrière Luceria, les regardait avec un mélange de peur et de curiosité. Ils se ressemblaient tous, mais avait sur eux des tatouages et peintures, semblait-il de guerre, qui différaient de l'un à l'autre. Un loup particulier semblait diriger le groupe, un loup blanc avec un perçant regard bleu. Il était vêtu de maigres équipements de guerrier, légers et parfaits pour les longues randonnées non sans risque. Il portait aussi un long sabre dans son dos, magnifique semblait-il, et tout aussi impressionnant. Quelques mèches blanches lui tombaient sur le visage, et sur son front, on pouvait voir tatoué un complexe symbole noir. En remarquant ce symbole, Yorick changea de regard, il obligea ses amis à reculer, sortit ses armes : deux poignets de fer ornés de solides griffes. Le leader loup ne bougea pas, pour sa part. Il dit d'une voix tout à fait calme :  
- Des corrompus foulent ces terres, et ce sont nous qui devrions partir? Qui sont les impurs, ceux qui veillent au destin de mobius, ou ceux qui s'allient avec les humains traîtres?
- Battez-vous si vous en avez le courage, résistants, rétorqua Yorick.
  Ses compagnons s'apprêtèrent à se battre. Essayant de lutter contre la peur, Caela sortit une carte de son carella dans la première rangée, et se mit en garde à son tour.
- Athem, devons-nous les tuer? demanda au leader un autre loup, gris et pourvu de tatouages sur les bras.
  Athem ne répondit pas. Il restait toujours aussi fier immobile, et ce malgré les quelques coupures qu'il avait sur son corps. Yorick et ses compagnons purent alors remarquer qu'en effet, ces loups étaient blessés. Sans doute les avait-on déjà attaqués, car en ces années sombres sur Mobius, être résistant était téméraire, étant donné la minorité qu'ils représentaient.
  Finalement, Athem sortit lentement son sabre et se mit en position à son tour. Il dit alors à Yorick :
- Viens, mais ne t'en fais pas. Je sais tenir mes promesses. Et j'ai promis à mes soeurs de rentrer vivant.
  Sur ce, il fonça sur l'échidné à grande vitesse.
Journalisée
Citation
Niark! :] dit :
*tu me choques ._.
Cae-La ~ Télépathie Elric ! Connecte-moi ! dit :
*Désolée.
*('tain pour une fois que c'est moi qui te choque... )
 
 
(Fan Fic) Imaginaire
« Répondre #62 le: Mai 01, 2007, 06:59:32 pm »
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Journalisée
Très belle suite qui apporte quelques questions. Comme tu le sais déjà, j'aime beaucoup ta fiction Sephyra. Très bien écrite comme toujours, les descriptions sont parfaites, franchement j'ai rien à dire. ^^ Peut-être au début, la découverte un peu trop rapide à mon goûts des amis de Caela et évidemment, tu réserves quelque chose de spéciale pour Kaly, je le sens :)
Bonne chance pour la suite Sephyra, je l'attends énormément.
   
(Fan Fic) Imaginaire
« Répondre #63 le: Mai 06, 2007, 08:38:36 am »
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Y'a de moins en moins de lecteurs, ici! Heureusement que t'es là, Yoh. ^^ tu me sauves XD
Merci beaucoup d'être venu !

J'apporte la suite pour les rares que ça intéresse. XD


 Vif, Yorick para le coup avec une habilité impressionnante. Aussitôt, Caela lança de toutes ses forces sa carte, qui au début prit une trajectoire non désirée, au plus grand désespoir de la hérissonne. Cependant, elle revint à toute vitesse, tournoyant dans une lumière bleue intense, et frappa trois loups à la chaîne en faisant jaillir trois rideaux de sang. Abasourdie, Caela resta immobile, et rattrapa sa carte lorsqu'elle revint de son côté. Seneka, Seth et Tora étaient tout aussi impressionnés. Luceria, pour sa part, semblait rassurée : comme elle l'avait senti, la jeune hérissonne cachait en elle de nombreux talents.
  En même temps surpris par cette attaque vive et énervés par la douleur, les trois loups blessés par la carte se ruèrent sur Caela, qui trembla de tous ses membres. Heureusement, ses amis étaient toujours là pour elle : Seneka, Tora et Seth bondirent devant elle et réceptionnèrent les coups des canidés. Chacun fut rapidement pourvu de quelques adversaires, car les loups étaient fort nombreux comparé au petit groupe d'amis. Armé de son épée, Seneka luttait avec hargne. Les trois loups qui lui faisaient face étaient maîtres en l'art du combat, et tout ce que pouvait faire le jeune mobien, c'était gagner du temps. Grâce à son excellente maîtrise des esquives, Seth donnait du fil à retordre à ses quatre adversaires : les armes de ceux-ci frappaient le vide, et ils recevaient en prime un beau coup de poing ou de pied si vif qu'ils n'avaient pas le temps de le voir. Avec son long bâton fin, Tora contrait les attaques des trois loups qui lui faisaient face. En dépit de son jeune âge, il se défendait avec talent. Luceria, blessée à une main, combattait de l'autre, toujours aussi agile face aux deux loups qui la menaçaient. Elle restait près de Caela, qui faisait pleuvoir les cartes magiques sur ses ennemis. Mais Yorick et ses alliés restaient essentiellement sur la défensive, ne pouvant attaquer trois adversaires à la fois. Yorick et Athem se battaient toujours entre eux, pour leur part. Ils étaient aussi agiles, aussi forts, aussi rapides. Yorick ne parvint à effleurer son adversaire qu'une seule fois durant l'affrontement de courte durée, car Athem se souvint qu'il avait une autre mission. Bloquant la nouvelle attaque que l'échidné lui porta, il recula ensuite puis rappela ses compagnons. Les loups revinrent à ses côtés sans discuter, puis toisèrent de loin leurs adversaires.
- Je n'ai plus de temps à perdre avec vous, lâcha Athem. Si nous nous revoyons, vous savez ce qui s'ensuivra.
- Tu t'enfuis? questionna Yorick en mettant ses poings en valeur.
- Je vous l'ai dit, j'ai autre chose à faire. Surtout que d'adresser la paroles à des traîtres de corrompus.
  Yorick commença à s'avancer vers Athem, menaçant, mais celui-ci repartit avec les siens en courant, au plus profond de la forêt. Tremblant de rage, l'échidné les regarda partir.
- On est en sécurité nulle part, marmonna-t-il. Mais eux non plus. Ils en ont certainement conscience.
  Puis, adressant un sourire quelque peu forcé à ses compagnons, lui et ces derniers reprirent aussi la route.

  Après deux minutes de marche en silence, Seth ne supporta plus les questions qu'il avait en tête, et demanda à Yorick :
- Dis, Yorick... Ces gars-là, c'étaient des résistants?
- Oui, répondit l'échidné. Mais en tant qu'allié de Nelson, il était de mon devoir de les provoquer. Pardon de vous avoir mis en danger.
- Comment t'as su qu'ils étaient résistants, au fait?
- Le loup, qui menait leur groupe. C'était sans doute un prince d'un royaume caché. C'était ce symbole... le symbole noir sur son front disait tout.
- Ah oui, j'ai remarqué qu'il en avait un! Mais alors, tous les résistants le portent?
- La plupart, oui. C'est leur symbole pour eux ; il est sacré. Les plus grands résistants le portent de manière à ce qu'ils soient très visibles ; les autres ne l'ont pas ou le dissimulent.  
- Alors c'est parce qu'il était sur son front, que tu as compris que ce loup était sans doute important? questionna Seneka.
- C'est cela. À la base, les plus grands résistants sont des loups, qui plus est. C'est la première fois que je vois un loup qui ne l'est pas, ajouta-t-il en regardant Seneka avec un sourire.
  Sourire qui ne lui fit pas rendu.

  Le reste du voyage se fit dans le calme. Ils arrivèrent en fin de journée dans une forêt particulièrement dense, et inquiétante. Partout où l'on portait son regard, tout n'était que verdure humide dans un univers chaud et calme. Des lianes pendaient de tous côtés, et la taille des feuilles de certains arbres atteignait des sommets. Il était difficile pour les six mobiens de circuler parmi les maigres sentiers tortueux que quelque courageux aventurier avait pu tracer, il y a longtemps. Seulement, les plantes avaient déjà en partie recouvert le sol, offrant des abris sûrs à toutes sortes d'arthropodes ou tout autre invertébré. Caela restait très proche de Luceria, de peur qu'une bête les attaque soudainement, brisant le silence comme elle briserait une proie. Mais le calme demeurait. Seuls les bruits de pas assourdis par la végétation se faisaient entendre dans cette immensité. Même les oiseaux s'étaient tus.
- Où sommes-nous? questionna finalement Caela, de plus en plus tremblante et apeurée.
- Là où nous nous rendions en partant de chez moi, répondit Yorick avec un sourire malicieux. Ne t'en fais pas, plus grand-chose ne vit dans cette forêt.
- T'aurais pas pu le dire avant? soupira Seth en détendant ses poings.
- Hum... excusez-moi. Les ondes magiques que répand certainement l'orbe qui, je crois, n'est pas bien loin, gêne la plupart des animaux. Même les oiseaux ne vivent pas dans la forêt.
- Effectivement... c'est bien calme, dit Seneka.
- On ne devrait rien avoir à craindre pour le moment, si ce n'est cette humidité et cette chaleur!
  En tant que mobiens, les six amis résistaient bien à la soif et à la faim, en plus de tenir sous le poids de la température. Mais au fond, comment pouvaient-ils avoir envie de rester ici? Une telle tension régnait dans la forêt, et ce malgré la prétendue absence de tout animal dangereux! Sans doute encore l'oeuvre d'un orbe.
  Heureusement, la randonnée forestière fut de courte durée. Car lorsque la première étoile se fit voir dans le ciel encore clair, Yorick et ses amis parvinrent à un endroit si étonnant, qu'ils en restèrent bouche bée quelques instants.
  Une cité abandonnée. Une immense étendue de bâtiments couleur ocre, en pierre ancienne, jonchés de toutes parts par des plantes de toutes sortes. Abasourdis, les six amis s'avancèrent sur le sol en dalles vertes de mousse, pour pénétrer au coeur de la cité. Il n'y avait pas un bruit, et la voûte du ciel était entière au-dessus d'eux. Les bâtiments qui avaient demeuré malgré quelque carnage passé étaient maintenant le domaine de la nature, mangés par les plantes et les fleurs qui y avaient élu domicile. Sur la grande place où se trouvaient maintenant les mobiens, on pouvait voir un puits à moitié détruit par les longues plantes qui avaient poussé à l'intérieur, de petits bancs maintenant vert feuille, des voûtes et des statues usées par le temps et la végétation. C'était vraiment un spectacle étonnant, inquiétant, tranquille. Il ne restait rien d'autre que des pierres ocres et des végétaux de toutes parts. Certains ne se gênaient pas pour faire pousser des fleurs et ajouter une teinte de couleur à toute cette étendue désolée.
  Caela était vraiment apeurée par cet endroit. Et malgré le silence qui régnait, elle avait mal aux oreilles. Cela lui semblait totalement stupide ; comment était-ce possible, alors qu'il n'y avait pas le moindre son dans la cité? Elle plaça l'une de ses mains de sorte à protéger son tympan gauche, mais elle avait toujours aussi mal. Elle poussa un maigre gémissement. Yorick l'entendit le premier et se retourna :
- Caela, ça ne va pas?
  La hérissonne secoua la tête négativement. Remarquant qu'elle avait une main sur l'oreille gauche, le regard de Yorick changea pour se faire beaucoup plus perçant.
- Tes oreilles bourdonnent?
  Cette fois, Caela répondit par l'affirmative. Alors Yorick regarda le reste du groupe et déclara :
- Il faut vraiment avoir l'ouïe très fine pour avoir mal aux oreilles à cause d'ondes magiques...
  Caela regarda Yorick, surprise. L'ouïe fine? Ainsi, elle avait au moins une qualité?
- Les amis, cette fois j'en suis certain : un orbe se terre quelque part ici!
  Tous le regardèrent avec stupéfaction.
- Comment peux-tu en être si certain? demanda Tora.
- Voyons, je connais les orbes! répliqua Yorick. Je sais qu'ils produisent des ondes magiques que nos tympans ont parfois du mal à supporter. Et ceux qui entendent fort bien captent ces ondes rapidement, et en souffrent quelque peu. N'est-ce pas, Caela?
  Celle-ci baissa la tête.
- Dis, tu penses pouvoir nous guider jusqu'à l'orbe?
  La hérissonne regarda Yorick, surprise. Elle hésita un instant, puis bafouilla :
- Je... je ne pense pas... Moi? Être capable de quelque chose de tel?...
- Bien sûr, affirma Yorick avec un sourire. D'où viennent les ondes, d'après toi?
- Je...
  Toujours hésitante, Caela ferma cependant les yeux. Elle laissa son corps entier se détendre dans le silence, quitte à tout oublier autour d'elle. Et elle se concentra. Ses oreilles continuaient à bourdonner, mais elle perçut, au fin fond du calme, de lointains sons stridents qui filaient et jaillissaient, brisant le calme par leur énergie et leur musique. Caela rouvrit soudainement les yeux, pointa son doigt à sa gauche, et déclara d'une voix sûre :
- Par là.
  Le chemin que démontra Caela était une petite route qui semblait s'enfoncer dans la cité. Il semblait encombré de débris, mais pas au point de ne pas pouvoir y circuler. Yorick regarda la petite ruelle avec un sourire, puis déclara :
- La nuit tombe, nous ferions mieux de partir voir l'orbe demain. Il ne devrait pas s'envoler d'ici là!
  Personne ne sourit, malgré le fait que ce fut l'intention de l'échidné gris. Ce dernier continua alors sa phrase, gêné :
- Hum... dans ce cas, trouvons-nous un endroit pour dormir.

  Les six amis ne mirent que peu de temps à trouver le logis idéal. C'était un vieux bâtiment qui avait le mérite d'avoir gardé son toit, encombré par les plantes grimpantes et la mousse qui poussait entre ses pierres ocres. Dans la salle où les six amis posèrent leurs bagages, un vent frais mais pur circulait d'une petite fenêtre à un grand espace détruit, où se trouvait jadis un mur, et qui donnait alors sur l'extérieur. Précisément, sur la place principale de la cité. Malgré la circulation de l'air frais, il faisait bon dans la salle. Et malgré son humidité, tous s'y sentirent bien rapidement. Le sol était sec, pour sa part ; beaucoup n'attendirent donc pas pour s'allonger et fermer les yeux. Ce fut le cas de Seth, de Tora et de Luceria. Yorick était accroupi dans un recoin sombre, et maniait l'orbe du Temps qu'il avait emmené, gardant sur lui de grands yeux de passionné. Seneka était assis sur le rebord du sol détruit, et regardait de haut la place principale de la cité. Il leva ensuite les yeux pour voir le ciel. Il était plus sombre que tout à l'heure ; et les étoiles s'étaient allumées en grand nombre. Une sensation de pureté intense l'envahit, et il laissa le vent du soir le bercer. L'aider à oublier tous ses problèmes et angoisses. Sa solitude était quelque chose de si fort qu'il ne jurait que par elle. C'est pourquoi il ressentit une pointe d'agacement lorsqu'il entendit Caela s'approcher de lui, et lui demander :  
- Seneka, tu vas bien?
  Sans quitter l'extérieur des yeux, le loup noir répondit :
- Bien sûr.
- Tu sais... Yorick ne me fait plus peur, maintenant. Et moi aussi, je veux faire confiance à Nelson. Il nous sauvera des résistants, n'est-ce pas?
- Caela, tu ne deviendras jamais plus forte en ne comptant que sur la protection des autres.
  La hérissonne baissa la tête.
- Tu l'as bien compris lorsqu'on s'est battu contre Athem et sa bande, non? Alors efforce-toi de devenir plus forte, ainsi, tu pourras non seulement te protéger toi, mais également les personnes auxquelles tu tiens.
- Et... tu me penses vraiment capable de tout cela?  
- Oui. Je n'ai pas encore retrouvé mes souvenirs, et pourtant, je te devine faible. Comme si je t'avais toujours su faible. Mais c'est l'occasion de changer.
  Caela redressa la tête, surprise.
- Si ce qu'on vit en ce moment a bien surgi de notre imaginaire à tous, alors c'est le moment de prendre ton courage à deux mains, tu ne crois pas?
- Je... tu as sûrement raison...
  La hérissonne s'éloigna sans bruit de son ami, et alla se coucher à son tour. Seneka, pour sa part, resta longtemps à regarder les étoiles, avant de repartir lui aussi auprès de ses amis. Il n'attendit pas pour laisser le sommeil s'emparer de lui.
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Citation
Niark! :] dit :
*tu me choques ._.
Cae-La ~ Télépathie Elric ! Connecte-moi ! dit :
*Désolée.
*('tain pour une fois que c'est moi qui te choque... )
 
 
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« Répondre #64 le: Mai 06, 2007, 03:18:34 pm »
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Enfin Caela à une qualitée ! ^-^ Mais où sont passé les les fautes d'orthographe ? j'en ai pas trouvé ! et j'ai chercher (cette fois!). Toujours aussi bien, Continue !
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/\ - /\ °°°{Le monde réel te bottes le cul, là! X)}
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« Répondre #65 le: Mai 06, 2007, 05:10:55 pm »
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:oops:

Je suis vraiment à la bourre, comme d’hab. Désolée je vais me rattraper, j’te fais une synthèse des trois derniers morceaux. . Alors voyons voir que puis je trouver pour t’embêter.  :twisted:

 :arrow: Des petites répétitions :
 
Citation
c'était Sha-Lin, le chef du Clan Odori, qui vivait avec son clan dans les lointaines montagnes du même nom.


Citation
Alors j'ai pas hésité, vous comprenez... continua Yorick. Hum... j'avais un orbe chez moi, l'orbe de l'Eau, que j'avais découvert pas loin de chez moi.


Citation
Seneka, Seth et Tora purent dormir dans une chambre presque épargnée par le bazar de l'échidné. Celui-ci dormit dans son lit toujours défait, et Luceria et Caela dormirent dans la même chambre, avec un lit chacune.


 :arrow: Une faute ^^
Citation
Il y a la falaise aussi! Le seul endroit où pousse encore de quoi manger! Si elle brûle, on sera obligés de quitter la ville...

Le sujet est singulier, on sera obligé.


 :arrow: Des phrases mal tournées.
Citation
La créature qui avait brûlé ses terres natales ainsi que toute sa famille, et tous ses semblables...

Je l’aurais mis dans l’autre sens La créature qui avait brûlé ses terres natales ainsi que tous ses semblables, toute sa famille...

Citation
Si, certainement. Mais pour le moment, je dois vous dire pourquoi est-ce que c'est vous que j'ai choisis.

Si, certainement. Mais pour le moment, je dois vous dire pourquoi je vous ai choisis. Ou : Mais pour le moment, je dois vous dire pourquoi mon choix c’est porté sur vous.

 :arrow: Un petit problème de math :
Citation
Tu as dit qu'il existait seize Hydres jadis, et que douze sont mortes. Pourtant, tu n'as ensuite parlé que de quatre Hydres survivantes. S'il y en avait bien seize au départ, alors deux autres auraient dû survivre, non?

Alors petit calcul 16 hydres – 12 mortes + 4 restantes = d’où sortent les deux dernières ?
 
 :arrow: Et pour changer au niveau de l’histoire en elle même, je vais encore critiquer un manque de personnalité pour tes persos.
Citation
Il prit Luceria par l'autre main et la guida rapidement hors du salon, en demandant à ses hôtes de bien vouloir l'excuser un instant. Lesdits hôtes se regardèrent en soupirant : en fin de compte, ils ne semblaient pas près de rentrer chez eux.

Je les trouve  bien complaisant après avoir appris une telle nouvelle. Tu devrais approfondire les différentes personnalités, la curiosité de Tora , la colère contenue pour Seneka et l’incompréhension pour Caela qui se croit toujours dans un rêve.

 
Citation
Sephyra, Ferox et Kerin s'envolèrent vers la tête du monstre et la frappèrent ; mais leurs coups, face à une créature aussi grande, n'étaient pas très efficaces. Sha-Lin lança ses couteaux ninja en direction des flammes, visant le corps du monstre ; mais l'incendie était trop violent. Caelum et Nox sortirent chacun un pistolet, mais les balles ne semblaient pas efficaces non plus.

On a vraiment l’impression que Sephyra, Ferox et Kerin s’approchent du monstre et le frappe. Ils sont immunisés contre le feu, plutôt que de donner des coups qui ne portent pas pourquoi ne pas avoir fait en sorte qu’ils ne puissent pas simplement approcher le dragon à cause de la chaleur ?


M’enfin, pour le reste, ^^ change rien c’est super. Bon courage pour la suite.
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« Répondre #66 le: Mai 07, 2007, 10:01:05 am »
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*arrive en courant pour ce jeter sur son PC et trébuche sur ses valises qui traînent encore*
Je suis de retour, avec une belle bosse sur le front, mais bon :roll: J’ai eu de la lecture très intéressante à faire. Enfin de compte, Yorick n’est pas le méchant dans l’histoire, je me suis trompé. Il y a de l’action cette fois-ci et je suis contente de voir que Caela a osé de battre. Je me pose beaucoup de question sur elle, elle a l’ouïe fine ! C’est intriguant. Cette histoire est toujours aussi fascinante, je t’encourage, continue ! :D
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Je suis une rêveuse, Une simple rêveuse

Ma fiction: Sonic et la guerrière du chaos
http://www.planete-sonic.com/forum/fanfics/fanfic/sonic-et-la-guerriere-du-chaos-s3230.htm
 
 
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« Répondre #67 le: Mai 10, 2007, 12:30:30 am »
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VIII!!! C'est trop génial! Jamais je n'aurait imaginé qu'il puisse y avoir autant d'imagination dans une seule petite tête, surtout dans la tienne, Seph :twisted: Nah, je blagues, tu le sais, hein? C'est vraiment bien comme histoire! J'ai franchement hâte de voir de quoi la suite aura l'air! C'est vraiment excitant, y'a de l'action dans l'air et des persos géniaux, même s'ils sont là depuis le début, en fait, j'aurais pu faire cette remarque bien avant. En tout cas, résumons en un seul mot:
FANTASMAGORIQUE!!!!

Je réclame la suite! :D
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omme par magie, un scintillant collier de cuir noir paré d’une pierre cristalline apparut autour du cou de Calixa, qui s’était maintenant relevé.
-S’ils savent que tu es leur sauveuse, leur dernier espoir de survie, ils te laisseront rencontrer…l’un de tes pères…

Une prophétie extraordinaire.
 
 
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« Répondre #68 le: Mai 13, 2007, 11:16:25 am »
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...
Euh...
*entre timidement dans le topic*
Désolé, j'suis un peu en retard...
...
*entre en courant*
Mais ce n'est pas pour autant que tu échapperas à la...
*s'enveloppe dans sa cape et ne laisse dépasser qu'un regard sournois*
Crrritique négative !
*retire la cape*

Citation de: "Sephyra"
Et pour TTH : ptêt que je t'ai toujours pas eu, mais ça viendra. Il y a cinq parties dans cet histoire, alors j'ai le temps. Je finirai par t'avoir, t'inquiète ^^


P't'êt'e ben qu'oui, p't'êt'e ben qu'non ! Mais en attendant, histoire est féminin. :P
Et sache aussi que si tu cesses les inexactitudes orthographiques ou de conjugaison...
... j'attaquerai par un autre front. Celui de la rédaction. T'es pas sortie d'affaire. :P
Enfin sinon, j'vais faire court pour rattraper mon retard. Ben ouais, j'étais en Espagne, mais même après être revenu, j'ai pas pris le temps de m'occuper de ça... ce sera désormais chose faite. Même si ça m'aura pris deux semaines, ou je ne sais quoi. AAAAAA-

« elle se hâta d'entrer à l'intérieur. »
Depuis quand on peut entrer à l'extérieur ? :P

« Mais elle n'en entendit pas une. »
Très maladroit. Le "une" à la fin fait tout chuter.

« ce chant embelli par toute la beauté de la mélancolie »
À la limite de la répétition. C'est plutôt une reprise mais... au lieu de "beauté", j'aurais mis "splendeur".

« la falaise qui se trouvait au bord de la ville depuis sa création »
On ne peut pas placer une falaise. Ainsi, ce n'est pas la falaise qui se trouvait à côté de la ville, mais la ville qui se trouvait à côté. Et, non, ce n'est pas du pareil au même, il y a une nuance. :P
Enfin oui, bon, je pinaille, mais ça, c'est parce...
*agite sa mèche*
... Parce que je le vaux bien.

« elle sauta de toits en toits »
Hum... Bon, alors le doute du jour, c'est : « toit n'aurait pas plutôt dû être au singulier ? »
Enfin, j'le répète, c'est le doute du jour. Donc voilà quoi.

Citation
Droit devant elle, elle vit la grande falaise proche de la forêt, la falaise qui se trouvait au bord de la ville depuis sa création. Nox se hâta en direction de l'édifice naturel. Sentant que le froid quittait peu à peu l'air qui l'entourait, elle sauta de toits en toits pour finalement mettre les pieds dans l'herbe glacée. Car étrangement, aussi glacée et dénuée de vie qu'était Yvanesca, la vieille falaise avait gardé en elle le secret pour faire pousser la nature, quelle que soit la température contre laquelle lutter. Et derrière elle encore, il y avait même la mer, toujours vaste et tranquille...
Nox traversa quelques buissons, et arriva au bord de la falaise.

Il falaise fallait que tu fasses des répétitions... :P
Bien sûr, la véritable répétition était à la première phrase, mais... le mot falaise revient à une fréquence trop élevée, je trouve... Par contre, je n'ai pas tellement d'alternative à proposer, sauf pour la première phrase : « Droit devant elle, elle vit la grande falaise proche de la forêt, celle qui se trouvait au bord de la ville depuis sa création. »
(Note : j'ai conservé les "fautes de style". Bien sûr, c'est arbitraire, parce que c'est moi qui dis ça. Falaise.)

« ... ni celui qui a amené Athem à partir. »
C'est pas plutôt "mené" ? Non parce que non voilà quoi.

« Pardon. Je vous doit excuses et explications. »
Il dois avoir fait une permutation... Hum... ... Hum, bon... Enfin voilà quoi.

« j'ai usé des pouvoirs d'une sphère bleue, qu'ici, on appelle »
Elle me fait un peu bizzare, cette phrase... "qu'ici on appelle", j'aurais plutôt dit "que l'on appelle ici".

« Ce devait déjà être la première fois qu'elle entendait tellement sa voix en une journée. »
Ce n'aurait pas plutôt dû être "autant" au lieu de "tellement" ?

Ah oui, ce n'est pas une histoire d'orthographe ici, mais...
« Par exemple, Hiéron, c'est le fils de Sonic et Amy. »
« de Sonic et Amy. »
« Sonic et Amy. »
« Sonic et Amy. »
NAAAAAOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON NON NON NON NON ATYEFSDYUCV GETYISDGIZ SEGUYX VYUDH BFGB FUIDGHUV !!!!!§!§paragraphe!!§!!
C'est tout.

« des phénomènes à priori naturels »
Hahaha ! On écrit "a priori", sans accent, parce que c'est du latin ! Et ça marche également avec "a posteriori" et quelques autres que j'ai oublié mais que de toute façon ça ne change rien !

Bon sinon, c'est tout pour ce chapitre-ci.
...
En avant, dernière chose.
Falaise. :P
Chapitre suivant.

« il ne reste plus rien d'eux ou de leurs descendants. Sauf de moi »
c pa trés francé mdr
Le "de" est trop... euh, de trop. Parce que sinon, ça voudrait dire qu'il a perdu des morceaux de lui-même. :P

« Tout ça parce que la prophétie est encore là! Elle n'a pas été brûlée, on ne l'a pas jetée à la mer. Alors tant qu'elle existe, ça veut dire qu'elle va se réaliser. Donc mon rôle, c'est de trouver six autres Héros semblables à ceux qui ont péri, pour enfin réaliser la prophétie. »
Tic...
... Tac...
...
Tac, tic.
Une répétition particulière... elle aurait pu être neutralisée, avec par exemple
« pour enfin réaliser cette fameuse prophétie. »
On ralonge la phrase et on ajoute un démonstratif qui aura pour but d'insister, et là, peu importe qu'il y ait des réitérations rapides, car ces fameuses itérations auront un aspect moins lourd. Enfin ça, c'est ce que je dis. Donc, BDD.

« Sephyra la reconnut sans mal, malgré le fait qu'elle ne l'avait pas vue depuis longtemps : c'était Sha-Lin, le chef du Clan Odori, qui vivait avec son clan dans les lointaines montagnes du même nom. »
Deux choses :
Premièrement, l'emploi du plus-que-parfait à la place du subjonctif. Alors certes, ça reste correct, mais j'trouve ça lourd. Mais bon, c'est comme ça, je suis comme ça.
Deuxièmement, répétition, encore. Eh oui, on a dans la même phrases deux fois le mot "clan", bien que la première fois il soit inclu à un nom.

« les arts martiaux ninja »
Bon euh... J'y connais pas grand chose, mais une intuition féminine me dit que c'est un pléonasme. Bien sûr, vu qu'j'y connais rien, ça vaut pas grand chose. Mais j'dis quand même.

« Sephyra ouvrit de grands yeux. Puis elle ouvrit ses ailes et s'éleva dans les airs. »
Je me l'ouvre pour dire que le Louvre ouvre à 9 heure. Le Louvre, où l'on peut admirer des ouvres... des œuvres d'art et...
...
Oui bon, je me la ferme. Mais il est ouvertement évident qu'il y a un petit problème. :P

« La créature qui avait brûlé ses terres natales »
Euh... En principe, de terre natale, on n'en a qu'une seule.

« Mais il a mal choisi son endroit. Car à l'est, il y a la mer. Et s'il tombe dedans... »
Bon. Voilà une question à laquelle toi, et toi seule, pourras répondre. Inferis, ici désigné(e) par "il", est un mâle, une femelle, ou un asexué ? Car en cas de féminité ou d'asexualité, Inferis devrait être désigné(e) au féminin. C'est une Hydre, non ? Eh bien voilà.

« Il ne doit pas pouvoir toucher à la falaise. »
La manière de formulation transforme cet ordre en supposition d'un fait d'occurence actuelle. (Mais nan, je cherche pas midi à quatorze heure quand il s'agit d'exprimer le fond de ma pensée.)
En retirant le mot "pouvoir", l'hypothèse devient ordre.

« renvoyer Inferis de là où il vient! »
Aaaaarf... Pour ma part, j'aurais dit « là d'où il vient ».
Toutefois, je ne peux pas affirmer que c'est inexact, vu que je ne sais pas non-plus si c'est la forme correcte. Donc, BDD encore.

« Vous êtes en train de retrouver vos souvenirs et c'est bien »
Oui, c'est bien, et boire, c'est mal ! :P
La phrase est très maladroite. Ça fait, désolé, limite gamin.

« c'est certainement l'orbe de l'Eau qui vous a fait amnésiques »
On ne fait pas amnésique quelqu'un, on le rend.
...
Par contre, j'ai oublié pourquoi.

« je dois vous dire pourquoi est-ce que c'est vous que j'ai choisis. »
Ouuula... Le "est-ce que" est nettement de trop. C'est une faute assez peu pardonnable.

« Mes boules de cristal »
*tousse* *tousse* *tousse* Arrr*tousse*rrrf. Bon désolé, mais euh... Oui non, bon. Il aurait été préférable de mettre "Les" au lieu de "Mes" afin d'éviter l'effet... indésiré. XD

« Je les avait justement amenés ici »
Ho, ho, ho ! Il y avais sûrement eu une autre permutation ici !

« Sha-Lin lança ses couteaux ninja »
Bon, j'ai dit que j'y connaissais pas grand chose en ninja et tout ça... mais les couteaux ninja, ça s'appellerait pas des "kunaï" par hasard ? Je demande, hein...

« Nox profita que la tête de son adversaire était à proximité, pour lui décocher un furieux coup de pied. »
J'aurais plutôt dit :
« Nox profita que la tête de son adversaire fût à proximité pour lui décocher un furieux coup de pied. »
Premièrement, l'accord du temps. Ensuite, la virgule parfaitement inutile qui trainait au milieu de la phrase.

Bon, fini pour ce chapitre.
Suivant.

« Je vous propose qu'on ne parte pas d'ici avant demain. »
À sa place, plutôt que de compliquer le sens, j'aurais proposé de rester jusqu'au lendemain plutôt que de ne pas partir avant le jour suivant.

« Il paraît que là-bas, le soleil ne s'y couche jamais. »
Le "y" est inutile, étant donné que le lieu ("là-bas") a déjà été précisé, même si ce lieu est défini de façon abstraite.

« Malgré le fait qu'elle était très encombrée, la maison de Yorick était plutôt grande. »
Concordance. « Malgré le fait qu'elle fût très encombrée... » Ben ouais.

« Elle ôta ses bottes et ses gants, puis alla fermer les rideaux de la petite fenêtre. Caela ôta elle aussi ses bottes et gants de métal. »
Ô, tas de répétitions !
...
Oui bon, je dis "tas", j'exagère,
mais il n'empêche qu'"ôta" se réitère !
J'aurais pour ma part mis "Caela fit de même avec ses bottes et gants de métal."

« ni grand ni vaste »
Ce n'est ni répétitif, ni réitéral.
...
Oui bon, j'veux dire que grand et vaste, c'est pratiquement la même chose. Tu devais sûrement parler de "ni grand, ni petit", m'enfin j'dis ça, j'd... oh et puis, c'est lourd à la longue. XD

« Mon enfant... ne pleures pas... »
Les impératifs, en général, ne prennent pas de S à la fin.

« La douleur venait de revenir. »
Et moi, je suis venu pour venir te dire que ça se répète que ça se répète.
« La douleur était de retour. »
Et moi, je suis venu pour venir te dire que ça se répète que ça se répète.
Et moi, je suis venu pour venir te dire que ça se répète que ça se répète.
Oui bon, hein. Ce n'était pas incorrect, mais ça sonnait la répétition.
Et moi, je suis venu pour venir te dire que ça se répète que ça se répète.

« Elle avait de plus en plus mal, avait de moins en moins de forces »
"Force" n'aurait pas dû prender de S à la fin. Des forces "générales", elles n'en a pas plusieurs. Et c'est le cas pour tout le monde, quand on parle de la force "qui nous fait ternir debout". C'est une image, bien sûr...

« ce qui la prenait de dormir autant. »
Ce qui lui prenait. Alors, certes, Caela est une fille (Sauf preuve du contraire. :P ), mais ici, c'est un "lui". Quand, par exemple, quelqu'un donne un objet à une fille... Il "lui" donne l'objet en question, ou bien il le "la" donne ? Et PAF ! Ça fait des Chocapics.

« Elle leur déclara que la hérissonne semblait plongée dans un sommeil si profond qu'il semblait impossible de l'en tirer. »
Sans faire semblant, il semblerait que le verbe "sembler" semble se réitérer.

« Au fait, il y a quelque chose dans ton histoire que je n'ai pas compris, dit Tora à l'échidné gris. »
Un accord. "Une chose" est un féminin, ainsi, "compris" aurait dû s'accorder et deviendre devenir "comprise".

« Tu as dit qu'il existait seize Hydres jadis, et que douze sont mortes. Pourtant, tu n'as ensuite parlé que de quatre Hydres survivantes. S'il y en avait bien seize au départ, alors deux autres auraient dû survivre, non? »
2 + 2 = 5, donc je suis le Pape. AAAAAAAAAAA-

« Ah bon. »

... Désolé.

« Oui. Imagines qu'il soit un résistant. »
Encore une histoire d'impératif qui ne doit pas prendre de S à la fin.

« Réveilles-toi, maintenant. »
Idem.

« Cependant, ouvres les yeux. »
Même chose.

« La splendeur soleil matinal dans les arbres »
Je crois du qu'un mot a filé et s'est planqué quelque part...

« Nous allons nous rendre au sud d'ici »
D'accord. Et le sud de là-bas, c'est où ? À l'ouest ? :P

« Là où une vieille cité abandonnée s'est vu recouverte »
Double-accord. Je crois. Et je crois donc que "vu" aurait donc dû prendre un e à la fin.

« J'y suis jamais allé seul, parce qu'il paraît que c'est dangereux. »
Il y est déjà allé, mais il suppose toujours. C'est un peu contradictoire.

« Ils se ressemblaient tous, mais avait sur eux »
Le "avait" aurait dû être un "avaient". Ben oui, hein.

Sinon, là, c'est fini pour ce chapitre.
Suivaaant et dernier.

« et frappa trois loups à la chaîne en faisant jaillir trois rideaux de sang »
Deux fois trois. Une fois de trop. Deux plus deux font cinq. AAAAA-
Tu aurais plutôt dû mettre "des" au lieu du deuxième "trois", ç'aurait évité la répétition. Répétition. Répétition.

« les loups étaient fort nombreux comparé au petit groupe d'amis. »
Les loups, pluriel, le groupe, singulier. "comparé" aurait donc dû prendre un s. Une autre formulation peut, en quelque sorte, le montrer :
« comparés au petit groupe d'amis, les loups étaient fort nombreux. »

« Les plus grands résistants le portent de manière à ce qu'ils soient très visibles ; les autres ne l'ont pas ou le dissimulent. »
Le gras parle de lui-même. Mais non, pas le goinfre, le gras ! On parle ici d'un symbole, donc d'un nom singulier. Or, ensuite, il est désigné par "ils", donc un pluriel, et à la fin, on a un "le". C'est pas cohérent, ça.

« jonchés de toutes parts par des plantes de toutes sortes. »
Deux fois "toutes", c'est pas un peu beaucoup ? :P
Et c'était évitable, en plus.

« sur le sol en dalles vertes »
C'est un détail, et j'en ai sûrement oublié d'autres du genre, mais on dit "le sol de dalles vertes". Enfin, je crois. Feur.

« La nuit tombe, nous ferions mieux de partir voir l'orbe demain. »
Ouuula, C pa tré fransé sa lol
Premièrement, on ne part pas voir, on va voir.
Ensuite, on ne peut pas se "déplacer" dans le temps, du moins de la même manière que de se déplacer d'un point à un autre. Demain est une précision de temps, pas de lieu, ce qui fait que ta phrase est... obsolète. On comprend le sens, mais ça ne veut quand même pas dire grand chose. Implore Hādhoqs ! Par Hādhoqs !

Aussi, pour généraliser, certaines phrases sont un peu lourdes. Je ne les ai pas (toutes) relevées, mais l'ajout d'ajectifs "inutiles" ou "inappropriés" rendent par moment la lecture un peu pénible. Toujours est-il aussi que certains passages

Voilà, ce sera tout.

Bon sinon, au niveau de l'intrigue (des quatre chapitres que j'ai "massacrés"), ça commence à vraiment devenir intéressant. Et on a enfin des scènes d'actions, aaah...
On a de nouveaux éléments (les orbes tro lumineuz) et on en apprend un peu plus sur les personnages (même si ces derniers, comme l'a dit Miko, pourraient avoir une personnalité plus approfondie), dont notament Caela (Encore heureux ! XD).
Enfin bref, c'est tout ce que j'avais à dire... enfin, non. J'ai oublié un petit truc. "sais tro bi1!!!lol" :P
(Aha, j'ai fait un post pratiquement aussi long que tes chapitres. :P )
Journalisée
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Oui, j'ai rien d'autre à foutre.
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J'ai même un "artDéviant". tro lumineu

Membre des Conn'arts. (Ou plus. Je sais pas.)
 
 
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« Répondre #69 le: Mai 14, 2007, 06:47:41 am »
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Le Roi de la CHipote est de retour ! XD

c'est vrai que t'as grillé un nombre d'erreurs impardonnables. Mais tu chipotes encore trop je trouve, TTH. ^^
Enfin bon, ceci dit je finirai quand même par t'avoir. Sois patient. ^^ Merci à toi !

Mysti : voici un post qui me réconforte, enfin XD je plaisante. Je te remercie de rester fidèle à cette histoire tellement bourrée d'erreurs XD

Miko : Merci à toi aussi ! Apparemment, mes répétitions sont apparemment un gros défaut apparemment apparent chez moi. Je vais apparemment devoir y remédier ( bien que j'eus apparemment déjà dit cela. Apparemment. )

pour le problème des Hydres comme quoi il en manque deux, je pense l'avoir corrigé, dans un passage, non?  A part cela, je dois vous dire que mon Mac où j'écrivais mes fics a rendu l'âme récemment. Donc il n'y aura pas de suite avant longtemps. Voyez m'en navrée.

Sinon, merci à tous ! Vous le valez bien.
Journalisée
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« Répondre #70 le: Juin 26, 2007, 06:27:33 pm »
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Sal...

*se prend une épée énorme dans la gueule*

Quel charmant accueil... C'est Donf qui vous a payés ou quoi? Bon ok j'arrête.
Mon mac a ressusité. Je vais donc reprendre cette fic apparemment bourrée de répétitions. Apparemment, je ne vous ai apparemment pas trop manqué. Ca tombe bien, vous non plus XD

Allez, pardon pour le double-post, et voici la suite.
Bon elle est pas très longue mais c'est mieux que rien ^^








- Caela. Eh, Caela!
  Elle fronça les sourcils légèrement avant de rouvrir les yeux, déroutée. Elle qui était en train de passer une si bonne nuit! Pourquoi la réveillait-on? Elle redressa la tête, et vit Yorick qui la regardait avec beaucoup d'intérêt. Dans ses mains, il tenait l'orbe du Temps. La hérissonne vit qu'elle était toujours dans la cité abandonnée, qu'il faisait nuit noire, et que tout le monde dormait encore, même Seneka. Les bagages éparpillés un peu partout n'avaient pas bougé depuis la veille. Alors elle se demanda ce qu'il pouvait bien se passer de si important.
- Excuse-moi de te réveiller de si bonne heure, demanda Yorick. Mais vois-tu... j'ai enfin réussi.
- Réussi quoi? questionna Caela, de plus en plus agacée.
- À dialoguer avec cet orbe, répondit l'échidné gris fièrement. Je sais comment, grâce à son pouvoir, toi et tes amis allez pouvoir retrouver tous vos souvenirs.
- Vraiment?
  L'espoir était remonté en flèche chez Caela, si bien qu'elle ne se trouva plus mécontente d'être réveillée de si bon matin. Au contraire, elle fut reconnaissante envers son compagnon.
- Alors je vais retrouver mes souvenirs? demanda-t-elle, toujours pleine d'espoir.
- Mais toi seulement, répondit Yorick.
- Seulement moi?
- Te faire retrouver ta mémoire va demander à l'orbe la quasi-totalité de son énergie. Ainsi, il n'en aura plus assez pour rendre les souvenirs d'un seul autre de tes amis.
- Vraiment? Mais alors...
- Ne t'en fais pas, nous trouveront d'autre orbes pour tes amis...
  Caela regarda l'orbe, qui s'était mis à luire intensément.
- Prends-le, ordonna Yorick. Fermes les yeux, et admire...
  Intimidée, Caela prit tout de même l'orbe de ses mains. De cette sphère aux couleurs orangées émanait comme une maigre chaleur, douce et agréable. La hérissonne ferma les yeux sans même l'avoir voulu, et se plongea dans un autre monde. Son coeur et son esprit commencèrent alors à s'égarer dans autre monde, par delà les terres et les mers, le réel et les songes. Elle était partie pour un très long voyage.
  À l'issue de quelques minutes seulement, Caela rouvrit pourtant les yeux. Elle lâcha l'orbe qui roula sur le sol, maintenant presque éteint. Yorick le récupéra vivement, puis regarda son amie avec un sourire. Elle restait comme abasourdie, les mains tremblantes, le regard fixé dans le vide. Des larmes apparurent alors aux coins de ses yeux.
- Allons, allons, fit Yorick. Ca va aller?
  Essuyant ses larmes d'un revers de main, Caela approuva d'un maigre signe de tête.
- Ca a fonctionné? questionna l'échidné.
  La hérissonne regarda alors Yorick dans les yeux. Celui-ci en fut presque déboussolé. Le regard de la jeune mobienne paraissait si différent! Il avait gagné une profondeur hors du commun. Ses yeux d'émeraude parlaient pour sa voix. C'était certain : Caela avait non seulement retrouvé ses souvenirs, mais aussi son comportement d'antan, et sa façon de regarder les gens et les choses. Un regard désespéré. Comme si la vue simple lui apportait du malheur. Et malgré ce désespoir qui lisait en lui, Yorick retrouva le courage de sourire.
- Je savais que ça marcherait, déclara-t-il. Eh bien, tu n'auras plus qu'à tout raconter à nos amis une fois ceux-ci réveillés.
  La hérissonne baissa la tête pour regarder le sol. Mais elle renonça à dormir. Tout comme avant, elle avait oublié comment trouver le sommeil.

  Lorsque le soleil se leva, il fit éclater toute sa splendeur sur la cité. Une lumière orangée arrosa la salle de lumière, réveillant progressivement les compagnons endormis. Caela était assise contre un mur, et les regarda ouvrir les yeux un à un. Le premier fut Seth. En voyant Caela immobile, le regard perdu dans le vague, il s'approcha d'elle et lui demanda :
- Caela, tu vas bien? T'es réveillée depuis longtemps?
- Oui...
- C'est bizarre, t'as l'air complètement déprimée. T'es sûre que tout va bien?
- Une fois les autres réveillés, je vais tout vous raconter.
  Perplexe, Seth ne questionna pas plus son amie. Plutôt, il alla se balader dans le vieil immeuble en cherchant à faire le plus de bruit possible, afin que les autres se réveillent vite. Sa technique fonctionna à merveille, mais lui coûta malgré tout la rancune de quelques uns.
- Tout le monde est là, dit Yorick à Caela. Allez, tu peux leur raconter ce que tu as vu cette nuit.
  Pour commencer, Yorick avait expliqué à tout le monde qu'avec l'orbe, il avait fait retrouver sa mémoire à Caela. Cependant, il restait le plus important à écouter : l'histoire de Caela elle-même. C'est pour cela que les amis firent silence lorsque la jeune hérissonne commença à raconter.

"- Je suis née dans une région qui m'est inconnue. À vrai dire, je ne me souviens pas des détails de mon enfance. Ce qu'il me reste de mes parents n'est qu'images floues et voies douces... Le vague souvenir d'êtres si importants pour moi...
  Lorsque j'avais cinq ans, ces images floues m'ont quittée. Je ne sais plus pourquoi, mais je me suis retrouvée seule. On m'a placée à l'orphelinat. J'ai ensuite été adoptée. Et à partir de ce jour, mon existence est devenue un enfer...
  Faible, j'avais une constitution fragile, un corps maigre et une grande timidité. Je suis allée à l'école, sans m'y faire d'amis. J'étais rejetée de toutes parts. Personne ne voulait de moi. Pire : certains élèves se sont même mis à me martyriser. En un rien de temps, j'étais devenu le souffre-douleur de service. Et ce dont je me souviens avec précision, c'est que j'en souffrais horriblement.
  La femme qui m'avait adoptée était une personne qui bénéficiait de ce que je croyais être de l'autorité, avant de me rendre compte qu'il ne s'agissait de rien d'autre que de la cruauté. Tous les jours, en rentrant de l'école, j'avais de nouvelles blessures, de nouveaux trous dans ma robe, une nouvelle coiffure gâchée. Je la suppliais de me croire que c'étaient les autres qui avaient cette habitude mesquine de me faire le plus de mal possible. Les maîtresses, elles, n'avaient jamais la moindre preuve. C'était à me demander si elles étaient réellement de mon côté. Chaque soir, j'avais le droit à une punition. De la gifle aux "privée de dîner", j'avais le choix entre les sentences. Au moins, j'aurai reconnu une qualité chez cette femme : son imagination.
  Ma vie en est donc devenue monotone. Le matin, j'avais le droit à toutes les reproches sur ma façon de m'habiller, de me comporter. Je me faisais fusiller de réprimandes à chaque bâillement, et j'en passe. Ensuite j'allais à l'école, et devais supporter les regards plantés sur moi avant même mon premier pas dans la cour. Tous ces regards déjà riants, en train d'imaginer tout ce que j'allais prendre ce jour...  
  La cantine, c'était tout aussi atroce. Déjà que je n'aimais pas les plats, il fallait en plus qu'on me les gâche au sel et au poivre pendant un moment d'inattention. Et le pire, c'était que j'avais trop peur pour me plaindre. Je mangeais mes plats tant bien que mal, les larmes aux yeux tant je souffrais. À la gorge. Au coeur. Oui, surtout au coeur.
  En rentrant le soir, c'était la punition quotidienne. La fessée, la douche froide, les baffes, l'interdiction de sortir les jours suivants ou de manger... Tant de détails de ma vie qui étaient assez forts pour me la gâcher.
  Lorsque j'eus huit ans, mon entourage décida cependant d'agir. Les voisins, les maîtresses, tous ceux qui étaient persuadés que j'étais maltraitée, vinrent sonner à la porte. En entendant ces voix et ces reproches envers elle, la femme qui m'avait adoptée avait compris qu'on avait découvert ses manigances. Sans même prendre le temps de m'accuser de cette arrivée soudaine, elle était sortie par la fenêtre, avait sauté du deuxième étage. Horrifiée, je m'étais précipitée à la fenêtre. Je la voyais tout en bas, elle bougeait encore. J'avais hurlé, je la voyais souffrir, elle avait fait une mauvaise chute. On l'a vite retrouvée. Mais c'était trop tard. Elle était morte.  
 
  Cette femme... a tout de même eu le droit à une tombe, et à quelques personnes à son enterrement. Dont moi. Lorsque ce fut le tour aux gens de parler, il n'y avait pas un bruit. Seulement le bruit des voitures, le souffle du vent. Comme personne ne disait rien, je me suis avancée vers la tombe. Tout le monde me regardait. Et sous les regards ébahis de toutes ces personnes qui m'avaient sauvée, j'ai lâché sur la tombe de cette femme une fleur blanche que j'avais cueillie de ma main frêle, et j'ai fait quelque chose qui a encore plus surpris tout le monde. Je me suis mise à pleurer.
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Citation
Niark! :] dit :
*tu me choques ._.
Cae-La ~ Télépathie Elric ! Connecte-moi ! dit :
*Désolée.
*('tain pour une fois que c'est moi qui te choque... )
 
 
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« Répondre #71 le: Juin 27, 2007, 09:07:56 am »
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Wow, une partie des souvenirs de Caela... pas très heureux tout ça.
Pourquoi elle a mit cette fleur ? Drôle d'histoire...
La suite est super, vivement que les autres retrouvent un peu leur tête ^^
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(Fan Fic) Imaginaire
« Répondre #72 le: Juin 28, 2007, 10:30:45 am »
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Pourquoi, c'est facile, en ce temps-là elle avait une famille, aussi horrible fut-elle.
Première impression : toujours trop de dialogues. Bon, d'accord, il y a le long monologue, mais c'est quand même Caela qui parle. Pour moi, il y a entre un et deux paragraphes de description seulement, selon mon exigence, le reste ne servant que de transition dans les gros blocs de discours. Après plus de quatre tirets alignés, j'ai tendance à me dire que c'est déjà trop.
Bref, inexplicablement, je souhaiterais de bons gros pavés illisibles de description lourde et lente, bien matraquante, pour changer.

Le reste, une légère impression de gaminerie "plus mécontente d'être réveillée" - "en cherchant à faire le plus de bruit possible". Que mon attention se soit arrêtée là-dessus marque assez la légèreté des autres descriptions. Vu qu'il s'agit quand même du premier retour de mémoire (dont en fait je ne pèse pas vraiment l'importance, j'aurais préféré que Caela soit remplacée par une hérissonne héroïne des temps anciens... enfin bon, ce n'est pas mon histoire), quelque chose de plus formel, de plus tendu, aurait été de rigueur.

Seul commentaire :
Citation
- Tout le monde est là, dit Yorick à Caela. Allez, tu peux leur raconter ce que tu as vu cette nuit.
Pour commencer, Yorick avait expliqué à tout le monde qu'avec l'orbe...

Il lui dit de parler et ensuite il prend la parole ? Revoir l'enchaînement, ou au moins dire qu'il a capté l'attention des autres, quelque chose, n'importe quoi. Ici, c'est vraiment "puisque vous savez, passons". D'ailleurs nous n'avons aucune réaction des autres au moment où la révélation va être faite, un peu comme si on allait leur dire quel serait le repas du jour.

Quant à la nouvelle version de Caela, je me demande juste quelle influence cela aura sur l'histoire. Entre ce que lui disait Seneka et ce qui s'est passé avec l'orbe, outre que je ne vois pas le lien, j'ai l'impression qu'on a perdu le personnage.
A méditer, pour ceux que ça intéresse.
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« Répondre #73 le: Juin 29, 2007, 09:03:34 pm »
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« Ne t'en fais pas, nous trouveront d'autre orbes pour tes amis... »
Crack. (Pluralité.)

« Fermes les yeux, et admire... »
Boum. (Conjugaison.)

« j'avais le droit à toutes les reproches »
Huuue. (Genre.)

*SBLAF !* >_O
Aïeuh...
Et pourtant, j'ai même pas chipoté. Je ne les ai pas relevées, mais, il y avait des fautes d'accents, enfin, il manquait des accents circonflexes. :P
Pis moi, j'fais que relever les fautes d'orthographes, pas les fautes de style... ou à la rigueur, celle qui sont vraiment aberrantes, mais c'est tout.

Alors, nous avons droit à un long monologue racontant l'histoire de Caela. Mais, j'espère au moins que ça apportera quelque chose à l'hist *SBLAF* >_O;;
Bon d'accord, ma remarque était stupide. Mais ça ne t'empêche pas de retenir tes coups.
Enfin bon. À part cela, je n'ai pas grand chose à dire... 'faut dire aussi que ce chapitre était plus court que les autres — ce qui ne m'a pas empêché de traquer tes fautes :P —, toutefois, on y apprend un trait de la personnalité de Caela du fait qu'elle ait pleuré devant la tombe de sa marâtre. Ça sent la torture psychologique à plein nez. :P Mouarf arf arf ! D'la torture psychologique ! Ça va déméninger !
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Oui, j'ai rien d'autre à foutre.
http://terry-the-hedgehog.deviantart.com/
J'ai même un "artDéviant". tro lumineu

Membre des Conn'arts. (Ou plus. Je sais pas.)
 
 
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« Répondre #74 le: Juillet 17, 2007, 09:36:39 am »
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Je passe peut-être une dernière fois ici, parce que je crois que je vais laisser tomber cette fic. C'est dommage, j'avais énormément bossé dessus et tout, mais bon. Les lecteurs sont rois. XD Je suis certaine que cette histoire ne vous plaît pas suffisamment pour que ça en vaille la peine de la continuer. Donc voilà. Si ça se trouve, je reviendrai pendant les vacances et peut-être même que je sauterai la partie chiante de la fic (à savoir le début) pour la terminer une bonne fois pour toutes. Mais faut pas trop compter sur moi. XD
Voilà voilà, donc laissez couler cette source de désarroi et d'efforts vains s'il vous plaît, je vous abandonne lâchement mes chers lecteurs. Merci pour tous vos commentaires, qui m'ont permis de comprendre que je m'enfonçais dans l'erreur depuis un moment ^^ Ca m'a fait plaisir d'écrire tout ça pour vous, même si au final ça s'est pas très bien passé. À bientôt j'espère ^^
("ça, ça dépendra de toi", me direz-vous... et vous aurez bien raison, une fois de plus.)
Journalisée
Citation
Niark! :] dit :
*tu me choques ._.
Cae-La ~ Télépathie Elric ! Connecte-moi ! dit :
*Désolée.
*('tain pour une fois que c'est moi qui te choque... )
 
 
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