C'est sûr que pour le moment l'humour est restreint
Bien sûr, je n'avais pas l'humour de maintenant ! Le début est pas mal premier degrés.
alors je vais continuer à lire ce que tu fais
Il manque un "a", parce que c'est du passé, j'arrête pas de le dire !
Sinon, pour les autres, aussi, la particularité de cette fiction c'est qu'il y a tout un monde de créé, par rapport aux autres où on prend Mobius par défaut, et les personnages soniciens n'apparaissent, pour ainsi dire, jamais. (sauf Sonic, comme vous avez pu le lire, et un autre perso plus tard mais je n'en dit pas plus. =p)
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Edit au 15/03/2007Bien, voici le chapitre où ça commence à devenir presque plus long, j'arrivais à faire des textes un peu plus sérieux, aussi, j'y arrive toujours mais c'est juste que j'ai beaucoup moins envie.
Chapitre 5 : songes étranges« Je me demande comment une si belle fille peut-elle être aussi combative ? Cela me plait. »
Ces mots je ne les ai pas entendus par mes oreilles, mais par mon cœur. Cette partie sera narrée par moi, Quetzalaña. Ni mon Kneemerls ni les autres de la Team Black Mask ne peuvent le dire, étant donner que ce morceau d’histoire se passe dans mes rêves.Tout est confus. Je ne vis qu’une lumière blanche m’aveuglant. Une créature aux contours mal défini se présenta devant moi. La lumière m’empêchait de savoir de quel espèce elle appartenait. La créature me parla : «
- Salutation Quétzalaña.
- Qui êtes-vous ? Comment connaissez-vous mon nom ? Où somme-nous ? Suis-je morte ?
- Toutes ces questions auront réponse quand tu seras prête à les entendre.
- Je suis prête !
- Tu croies l’être, mais tu n’as pas la force mentale pour les assimiler.
- Je ne comprends toujours pas. Si vous ne voulez pas me répondre, je vais…
- Tu vas faire quoi ? Me frapper ? Tu peux toujours essayer mais tu perds ton temps, ici tout n’est pas de matière.
- Encore une énigme ? Je commence à en avoir assez ! Comment sort-on de cet endroit ?
- Tu ne peux pas partir. Tu es condamnée à errer dans ce monde pour l’éternité, tu as profané le nom de ton peuple en te battant par plaisir. Et en te combattant contre cet échidné tu as perdu le symbole de ta tribu. Cette plume ne te donnait pas qu’une longue durée de vie, elle t’assurait la sécurité de tout ton peuple. Tu as perdu ce don. Et pour cela nous te bannissons du monde des vivant en te mettant dans un coma éternel. Ton corps pourrira mais ton esprit restera ici.
- Non ! Je ne le veux pas ! cria-t-elle, puis murmura, Kneemerls…non…je ne peux pas mourir maintenant…
- Tu as laissé ton compagnon derrière toi par vanité, tu ne peux t’en prendre qu’à toi-même.
- Si je dois rester ici à tout-jamais, je veux voir ton visage, esprit.
- Je te l’accorde. »
La créature leva les mains vers le « ciel » et la lumière s’atténua. La créature était un étrange quetzal male. Son plumage était d’un pourpre terne, son bec était gris et des crocs sortaient, dans ses yeux il y avait des pupilles blanche en fente et ses plumes de la queue était tellement abîmées que l’ont pouvait croire qu’un enfant cruel c’était amusé à les dépiauter, il portait aussi une armure rouillée par endroits et un casque où était posée une couronne fantomatique. Quétzalaña, le choc passé, lui demanda son nom. Il s’appelait Quetzalcóatl, le dieu de son peuple.
Pendant ce temps Knee’s avait réuni tous les fragments de la plume de Quétzalaña et il commença à les assemblés dans un ordre précis. Au bout d’une semaine sans dormir, il finit par réussir à refaire la plume exactement comme elle était. Il prit soin de la remettre à l’endroit exacte sur le corps, toujours inerte, de la jeune femme.
Je perdais touts espoirs, quand tout à coups le dieu repris la parole : «
- Tu as de la chance. Ton ami a réussi à réparer ta « plume de vie » il l’a remis en place selon un rituel compliqué que l’opossum lui a appris. Tu vas pouvoir revoir la lumière du jour.
- Kneemerls m’a sauvé ?
- Oui. Tu peux être fière d’avoir quelqu’un qui a pris soin de veillé sur toi aussi longtemps.
- Je suis libre alors ? Je peux repartir ?
- Oui. Mais n’oublie pas de te battre pour une juste cause et non pour ton plaisir personnel.
- Je n’oublierais pas. Quetzalcóatl, dieu de toutes choses. »
Un éblouissement plus tard.
J’ouvris les yeux. Tout était noir. Ma vue était brouillée mais je put percevoir un feu à mes pied. Tous étaient endormis autour de celui-ci. Un seul était prés de moi, Kneemerls, je le vis fixer le feu comme s’il était fasciné par quelque chose. Je me rendis compte plus tard qu’en fait il dormait les yeux ouvert. Je pensa à lui avant de m’endormir, réellement, cette fois, et aller vers des rêves emplis de dorures.
A suivre…