Chapitre que j'ai écris pendant mes "révisions", j'ai pas fait grand chose, et j'ai cartonné pourtant =3
Enfin sur ce chapitre, on voit un aperçu des détenus.
Voilà, la fameuse salle. Cela ne faisait pas longtemps qu’elle était arrivée ici, sur cette étrange planète… Astra est une jeune chatte, d’une planète voisine. Une robe, une brassière, un bandeau pour tenir ses cheveux en arrière et des bandes pour recouvrir son œil droit. De peau grise, ses vêtements dans les mêmes tons, elle arborait un air neutre. La Festung était immense, il lui avait fallu plusieurs heures pour arriver dans cette pièce souterraine. Donc voici la personne endormie… Les humains noirs avaient dans l’idée de s’en emparer, pour la réveiller et naturellement la contrôler. Que faisait Astra ? Eh bien, en hybride, elle rend visite à des connaissances, et passe par là sous demande des humains pour faire un petit compte rendu. Aucune caméra sur elle ni de micro, elle était passée comme une fleur. En effet, la chatte grise était à la solde des ennemis bien malgré elle. Une puce électronique sous la peau, elle ne pouvait aller nulle part. Comme d’autres hybrides encore, d’autres races… Mais elle avait un plan, qui doucement avançait, dans sa tête et dans celle des autres… Oui, une résistance morale avait germée depuis que le réseau informatique était tombé. Chiron et sa suite avait pris la poudre d’escampette, on ne savait comment encore. Et ça enrageait les humains. Astra et ses compagnes en avaient profités pour élaborer quelques plans, en particulier pour enlever cette puce là. Ce serait déjà une grande avancée. Il y avait un chirurgien dans des otages, il pourrait les aider. Oui, ça se mettait en marche, doucement, bientôt ils seraient libres… Enfin, pour le moment elle était encore obligée de faire le sal boulot. Ici, regarder simplement… Mais quelle idée… Naturellement elle ne devait pas prendre la moindre goutte d’eau du sanctuaire, sinon elle se ferait tuer par la Rafle qui l’a à l’œil depuis tout le trajet… Quelle sale bestiole ! La chatte serra les dents, énervée, et pestant contre les hommes noirs… Leur groupe n’avait pas de nom, donc il y avait le choix. Au moins ça allait, ils n’étaient pas du genre mégalomane qui se faisait voir. Une « chance ». Et sa cousine qui était encore libre, Liebe… Oui, c’était sa cousine. Eloignée, mais cousine quand même. Depuis sa capture, elle ne l’avait plus vu… Non, elle ne devait pas la voir d’ailleurs ! Sinon, elle se ferrait capturer aussi. Et elle s’en voudrait à mort… Il valait mieux pour elle ne pas y penser : qui sait, peut être que ses pensées aussi étaient contrôlées... Non, n’y pensons plus. Astra s’avança vers la statue… Qui était cette personne, elle se le demandait. Elle tourna un peu autour, curieuse… De toute façon personne ne la verrait, il n’y avait pas de caméra, ni de micro… En effet, aucun système de surveillance en gros. Elle continua alors de tourner, tranquillement… Et vit alors un détail, à l’arrière de l’endormie. De brève écritures… Non, c’était des gribouillis ! Des traits sans logique… Ou alors, ce serait de l’ancien ? Oui, Elle en avait entendu vaguement parlé : de l’ère ou la planète Système 32 s’appelait… S’appelait… Comment déjà ? Elle ne s’en souvenait plus. Mince. Tant pis, elle se disait qu’a l’autre bout de la planète, des gens voyaient ce qu’elle voyait. Donc elle n’avait pas à s’en faire. Un des détenus était historien, il saurait lui en dire plus quand elle sera rentré… Alors, une sorte de croix, une spirale, un signe bizarre… Et d’autre suite encore… Voilà, mémorisé. Ravie, Astra prit la route inverse : direction la sortie. N’empêche, elle n’aimait pas l’étrange présence qu’elle avait ressentit à l’intérieur… L’endormie, peut être. Une fois dehors, elle se mit à courir, le plus vite possible vers la forêt. Voilà devant elle une machine de mort, la plus redoutée de la planète : une Rafle. Elle l’attrapa, et la souleva sur son dos. Direction la « maison » cette fois. En deux secondes, là revoilà dans sa cellule.
« Rapide… Marmonna t’elle en se frottant la tête.
- Oh Astra, quoi de nouveau ? Rien de casser ? Oh cette machine de malheur… »
Devant elle, une hybride hirondelle qui faisait une tête de plus qu’elle. De couleur bleue marine, elle état plus que ravissante, et son visage montrait un sourire immense. Voici Fleya.
« Alors, comment elle était ? Demanda t’elle.
- Qui ?
- Elle !
- Oh, comme d’habitude… Juste un petit détail qui nous a échappé… Des inscriptions, à l’arrière. C’était sous la glace, donc ça date du moment où elle s’est transformée comme ça.
- Donc il y a longtemps. Cinq milles ans, peut être… D’ailleurs, tu savais que si elle ne s’était pas transformée en glace, elle se serait décomposée en quelques secondes ? Tu te rends compte ?
- Oui… Etrange histoire quand même. Elle fait partie des légendes de l’ancien temps… Et c’est une des plus connues aussi. Dit, il est toujours en vie l’historien ?
- Je crois… »
L’hybride hirondelle se leva de sa couchette, et alla vers les barreaux. Elle cria un nom, on lui répondit par une injure.
« Il est encore vivant donc. »
Elle demanda au gardien de le voir, il l’amena. L’historien était un vieux hybride souris, caché sous une tonne de cheveux et de grandes lunettes. Il était un peu sonné, et ne cessait de rouspéter.
« Mais qui a idée d’embêter une vieille personne ! Non mais, la jeunesse, j’vous jure…
- Excusez nous… Mais j’ai une petite question à vous poser. Enfin, plusieurs. D’abords, c’était quoi le nom de la planète, avant leur arrivée ?
- Sombre idiote ! Pas capable de se souvenir de notre patrie d’origine !...
- Alors ?
- … Euh… Zut… Voilà une dizaine d’année que je n’avais pas vu… Ah si, je vois ! Euh non c’est pas celle là … Désolé jeune fille, j’ai oublié.
- Ce n’est pas … Gaïa ?
- C’est une traduction, dit alors l’historien.
- Alors dans l’ancienne langue, ça donne ?
- Je pense que c’est « Yggdrasil », mais je ne suis pas sûr … Il me faudrait mon livret de note. Mais je pense que c’est ce nom là.
- Yggdrasil… Ce n’est pas facile à prononcer, dit alors Astra en grimaçant.
- Je préfère dire ça que « Système 32 ». Ce dernier nom, c’est les hommes en noirs qui l’ont donné. Comme si c’était leur planète. Hors, ce n’est pas le cas.
- Merci beaucoup, Euréka. Et tu sais lire l’ancien langage ?
- Oh, une partie, vite fait… En fait, il y avait deux langages. Celui des hybrides, et celui des êtres éveillés.
-… La différence ?
- Je ne connais pas celui des Eveillés. »
Astra se mit à tracer alors les signes qu’elle a vus sur la pierre, à l’aide d’une craie qu’elle avait subtilisé. Il n’y avait que quelques signes, mais au moins, l’historien pourrait identifié le langage. Une fois fini, elle regarda la vieille souris.
« … Alors ?
- Pas de chance, du langage Eveillé. Je suis désolé, jeunes filles, je ne pourrais pas vous aidez. Et tu dis que tu as trouvé ça derrière l’endormie ? Oh, ça ne m’étonne pas alors… Pour rester si longtemps vivante dans cet état, il faut être un Eveillé, ou alors, il faut que ce soit un être éveillé qui a jeté le sort…
- Le sort ?
- Oui, les sortilèges, c’était le quotidien des Anciens. Et pas besoin de pouvoirs ! Je connais quelques formules élémentaires… Et grâce à cela, je connais le pourquoi du comment, vis-à-vis de l’endormie. D’ailleurs, elle a presque donné son nom… Mais il faut autre chose qu’une craie. Tu n’aurais pas un feutre ? Quelque chose qui tient, je veux dire, ça souffle un peu. »
L’objet donné, il se baissa, et commença à tracer un cercle, puis quelques signes autour, un autre cercle par-dessus, un autre gribouillis au milieu, et il tenait son crayon d’une manière plus qu’étrange, peu pratique pour écrire. Il scanda quelques mots, dans l’ancien langage, et une bourrasque de vent les balaya tous. Un petit tourbillon de vent était concentré au dessus du signe, et un personnage apparu alors.
« Signaux fantôme. C’est une trace, qu’on laisse sur une sorte de réseau invisible… Tout le monde laisse une trace. Mais voici le plus connu. Je vous présente l’endormie. »
C’était une hybride hérissonne, de couleur violet, avec des yeux fins, bleu gris. Le plus étonnant, c’est qu’ils étaient sans pupille. Astra se rappelait alors cette petite, qui était un jour avec Liebe… Non, ce message datait de quatre mille ans, c’était impossible.
A l’époque, l’endormie était plutôt jeune. Même très jeune. Elle portait des habits déchirés, artisanaux, et un bâton de marche orné d’une pierre précieuse était dans sa main. Elle semblait avoir un visage neutre, un visage d’adulte.
« Voyageur, je te souhaite la bienvenue sur cette planète. Normalement, tu aurai été accueilli avec la plus grande hospitalité qu’il se doit ici, mais hélas, sache qu’il n’y a plus grand-chose sur cette terre. Moi, Ryuuzaki, fille de Reakyuu, chef du clan de l’Eclat, et de Ryuuzaki, chef du clan du Crépuscule. Quelques jours me séparent de la guerre qui opposait ces deux clans. Et je suis la dernière vivante. Plus loin, voyageur, tu trouveras d’autres hybrides, mais normaux, des paysans qui vivent de leurs cultures, des seigneurs qui vivent de leur argent. Tu trouveras une meilleure hospitalité, voyageur. Il est inutile que tu saches mon prénom, voilà longtemps qu’il ne résonne plus dans l’ancienne demeure de Feu mes parents. Garde mon nom en mémoire, voyageur, peut être qu’un jour, tu reverras une Ryuuzaki encore vivante. Qui sait, moi ou mes descendant, si j’ai la chance d’en avoir. Maintenant, part, va vers un endroit sain autre que celui là… Sache malgré tout que l’ombre de mes ancêtres plane autour de toi. Va, et ne reviens plus jamais ici. »
Et l’image de l’endormie disparue alors, laissant place aux restes des marquages de Eurêka. Le silence qui suivit fut des plus glacial.
« … Eurêka, je te remercie. Fleya, va nous chercher la bouteille s’il te plaît…
- D’accord Astra… »
L’hirondelle alla prendre une bouteille de limonade bien fraîche qu’elle gardait secrètement sous sa paillasse, ainsi que trois verres bien propres. Oui, ils étaient détenus là, mais ils pouvaient avoir quelques effets personnels simples. L’hirondelle remplit les verres raisonnablement, et rangea la bouteille.
« Merci Fleya. Eurêka, tu nous as bien aidé, merci encore. Ryuuzaki, c’est son nom… Au moins on saura qui c’est. »
Ils burent sagement, en discutant silencieusement. L’hybride décoloré tournait son verre, dans un sens, dans l’autre… Pensive. Elle se savait plus quoi faire… Oui, partir déjà. Elle alla vers les barreaux, et demanda à voir une autre personne, d’une cellule voisine : le fameux chirurgien. En quelques secondes, un garde amena une personne bien rare dans ce monde : une plante mâle. Il avait la peau rouge claire, et les cheveux un peu plus foncés. Il était assez jeune, du genre à faire les quatre cents coups. Son habit était rouge vif, un peu déchiré par endroit.
« Oh, monsieur le grognon !
- Oh non pas le vieux… Marmonna la plante en se mettant une main sur le visage.
- Le premier qui se bat se prend un coup d’aile ! Menaça l’hirondelle en mettant le poing en avant.
- Non, on n’allait pas se battre, pas vrai Euréka ?
- Quoi ? Me battre avec toi, Hector ? Jamais, voyons. »
Tout en disant cela, ils se foudroyaient du regard, et juraient vengeance. En effet, ils ne s’entendaient pas du tout. Pas au point d’en arriver aux mains, mais presque. Enfin, ce n’était que du la chamaillerie d’enfants, pas grands mal…
« Tu as réussi à trouver tes outils ?
- Oui, je les ai gardé dans la Festung, par un ancien ami. Astra, quoi de neuf sur l’endormie ?
- Son nom de famille est Ryuuzaki, on doit juste trouver son prénom, et ça ira pour son identité…
- Ah, ce n’est pas trop tôt. La pauvre, manque plus qu’à enlever la lance qu’elle a et elle irait presque mieux…
- Oui… »
Ils discutèrent à nouveau du sujet, dérivèrent sur un autre encore, ainsi de suite… Et l’extinction des feux arriva bien vite, les renvoya dans leurs cellules. Astra et Fleya se préparèrent à aller dormir, en discutant de leur journée. Fleya n’avait rien fait de spécial, mis à part tourner dans la cellule et s’occuper de son tricot. Oui, l’hirondelle aimait bien tricoter et coudre. La jupe de Astra, c’était elle qui l’avait fait. Les deux hybrides s’entendaient très bien, elles étaient très amies. L’une aidait l’autre. Elles étaient arrivées a peu près en même temps là, donc elles étaient des habitués du coin. Des habitudes aussi justement. La façon d’être traité… D’ailleurs, elles avaient de la chance par rapport aux autres, elles avaient ce qu’elles voulaient. Enfin, dans l’ensemble, tous les détenus menaient une belle vie malgré tout. Juste les cas spéciaux, mais ils n’étaient jamais dans le lot de toute manière. Donc les détenus normaux ne savaient pas qui étaient derrière le rideau. Ni ce qui se passait. L’important c’est que tout le monde se portait bien et avait une bonne santé, c’était le plus important. Mais l’envie de partir était encore plus grande. Les idées volaient, et les hommes en noirs trouvaient ça presque amusant. Comme si c’était un jeu pour eux. Et personne ne savait que faire au final. Mais Astra avait de bonnes idées, c’était elle qui menait la résistance morale. Et quand elle aura enlevé la puce électronique, elle pourra mener une Résistance, une vraie ! Oui, c’était son rêve. Elle pourrait reprendre contact avec sa chère cousine… Et avec le reste de ses amis aussi, et de sa petite famille ! Sur sa couchette, elle rêvait. Elle rêvait d’un avenir, proche.
Liebe aussi rêvait. Elle se promenait sur une plage, il y avait Engel qui coursait Glanze parce qu’il avait mangé trop tôt, Zeit et Traum faisait des châteaux de sables, des grands châteaux de sable, avec des grandes tours, des grandes fenêtres, des grands drapeaux… Elles allaient faire de grandes choses dans la vie, la mère et la fille. Qu’est ce que Liebe était heureuse ici !... Il y avait un soleil resplendissant, une atmosphère agréable… C’est drôle mais elle n’appelait plus l’endroit « Système 32 ». Non. Un nom plus joli… Pas l’ancien non plus. Non. Un nom plus simple. Elle l’avait sur le bout des lèvres, elle le disait, sans cesse… Mais elle ne l’entendait pas. Oh bon sang, Liebe était une chatte, elle pouvait entendre ! … Mais pas là. C’était si doux pourtant… Un nom bien meilleur. Pas d’humains habillé en noir dans les parages… Pas d’ennemis… Rien de mauvais… Juste les amis. Sa petite famille. Oui. Et si elle revoyait Astra aussi… Quand elle était jeune, elle s’amusait bien avec. Puis après, correspondances par lettres, et plus rien. Elle s’était fait attrapé. Et elle avait peur pour elle. Comme pour les nombreuses personnes qu’elle avait vu partir comme ça. Et qui n’était jamais revenues.
« Liebe ? Liebe, ma petite, réveille toi ! »
La voix de la chouette la tira du sommeil. La chatte ouvrit les yeux lentement, et sentit quelque chose de humide sur ses joues. Des larmes ?... Elle avait pleuré ? Engel faisait triste mine, c'était sûrement pour ça qu'elle l'avait réveillé.
« Ma pauvre, tu as fais de mauvais rêves ? Là, c'est fini, n'y pense plus, je suis là. »
Les deux soleils étaient à leurs zénith, transperçaient la couche nuageuse de leur rayon chaleureux. Un hybride caché par une longue cape et un capuchon avançait dans les rues, sûr de lui, vers le plateau sans vie. Le traverser seul serait de la folie, mais il avait été prévenu un bon nombre de fois par les gens du coins. Il avait encore du mal à parler leur langue, mais ils se comprenaient, c'était le principal.
Il n'avait pas vu le soleil depuis qu'il était ici. Il était souvent caché par les nuages, c'était embêtant. Mais ça valait mieux pour lui. Oui.
Les maisons se faisaient de plus en plus rares, les gens aussi. Et pourtant, quelque chose de plus bougeait sous ce capuchon...
« Dépêche toi, idiot, je vais me faire repérer ! »
Un grognement lui répondit. Il accéléra le pas, et à l'abri des regards, une masse verte, gélatineuse et grotesque sauta de la tête de son chauffeur.
« Ah, ce n'est pas trop tôt ! Dit la bestiole en remettant sa tête en place.
- J'imaginais mieux comme remerciement.
- Oh tais-toi, je t'ai sauvé la vie, ce n'est pas un remerciement ça ? On est quitte, pas vrai ? »
L'individu à la cape poussa un soupir. Il n'obtiendrait rien de cette chose. Chose qui d'ailleurs, avait repris forme, si on pouvait dire. C'était comme un jouet de pâte à modeler verte, avec deux parties bien déterminé, la tête et le corps. Le bas était un peu plus petit que le haut, la tête donc. De grands yeux noirs, une grande bouche rouge, et... Des cheveux. Une vraie bête de foire. Pas de bras ni de jambe, la chose se déplaçait en rampant.
« Et tu dis être magicienne, c'est ça ?
- Oui je le suis ! Comment oses-tu douter de ça, jeune effronté ! » Brailla la chose en sautant sur place.
Nouveau soupir. Enfin, il n'avait pas à se plaindre, elle lui avait bien sauvé la vie, ce... Truc.
« Mamo, redis moi la route vers cette fameuse base ennemie. Je trouverais un moyen de partir là bas, au moins.
- Oh, on veut revoir sa planète chérie, hein ? Non, me tape pas je plaisante ! Je disais, tu traverse le plateau, droit devant sans t'arrêter, et tu y es. Sauf si tu tombe sur une Rafle, ça sera plus rapide... »
Elle ricana. Il lui donne un coup. Mamo se transforme alors en flaque, et se recompose aussitôt en aboyant de rage tout le malheur du monde sur l'individu à capuche, qu'on connaît tous très bien.
« Une Rafle, hein ? Ce truc fera pas le poids face à moi. »
L'individu qui s'avérait être un hérisson se leva, et retira sa capuche. Shadow dans toute sa splendeur. Mais il avait un bandage autour de la tête, signe qu'il n'était pas arrivé là en première classe. Le hérisson noir était ici depuis un bout de temps déjà, il ne savait pas combien à cause de cette histoire de changement de dimension... Mais ça faisait longtemps. Il était temps de partir, maintenant. Il avait attendu que ces fameux ennemis s'occupe d'autre chose, et cette histoire de faille dans le système informatique était incroyable, c'était le moment pour infiltrer la base, et retourner sur Mobius. Mamé continuait de pester contre lui, le maudissait sous diverses formes... Heureusement qu'elle avait appris sa langue, sinon, ça aurait été la catastrophe.
« Et tout seul quand même, tout seul... Tu es fou.
- Tu es pire que moi.
- Quoi ?! »
Et c'était reparti, la voilà qui recommençait à brailler... Shadow avait du soucis à se faire.
Voilà ! Et... Word me fait du mal pour le moment, donc je ne sais pas quand je vais pouvoir continuer... Parce que Vista, je peux pas poster de là, c'est très lourd comme saloperie. Vais devoir en réquisitionner un ailleurs...
Enjoy !
Oh, et deux invités surprise pour le prochain chapitre...