Fils : Haha, le changement de date à pour but d'embrouiller la population, que l'invasion leur semble exister depuis des lustres ! En vérité, elle a 19 ans, et j'ai fait des erreurs dans les dernières dates ><. S'ils avait changé dès le début, cela n'aurait eut aucun effet sur les populations, car ils auraient su. Alors qu'en changeant par petit coup, cela à bien plus d'effet.
J'amène la suite de la fic :
Chapitre 1 : Thanatophobie
Les raclements de la brosses sur les assiettes crasseuses fatiguait le jeune renard surement bien plus que les mouvements répétitifs qu'il devait faire pour tenter de nettoyer ses assiettes qui contenait l'ignoble et infecte nourriture « Rich » manger par les Cochons... Devoir travailler dans une de ses horribles restaurant appartenant à Gasper Rich, ce faisait partit des trucs qui le désolait le plus depuis que ses parents avait fini en prison. Il n'avait que 14 ans et il était seul, il devait travailler toute la journée dans cette fichu cuisine... Anaku Irkass ne supportait plus cette vie depuis longtemps, mais il continuait... Il n'avait pas le choix, s'il voulait manger, et payer le loyer de son petit appartement. Le petit renard se retenait depuis longtemps de réagir au fouet du patron, mais il savait bien qu'un jour il craquerait, que la peur ne le retiendrais plus... Mais savait-il que ce jour arrivait à grand pas ?
Un grand bruit retentit derrière son dos. Son patron arrivait, et avec lui le flot d'injure quotidien contre lui, sa famille et son peuple. Tandis que les insultes résonnait derrière lui, le renard avait du mal à retenir la douleur qui le transperçait. Il serra les dents, continuant de frotter les couverts, tentant de ne pas réagir à ce que lui disait son chef... Anaku n'était qu'un non-citoyen, il n'y avait aucun avenir pour lui... C'était un bon résumé des phrase cruelle que lui faisait endurer son patron. D'un seul coup, il sifflement arriva dans le dos du renard, la terrible liane du fouet arrivait dans son dos. Le renard le connaissait bien, ce cordons de douleur qui aimait jouer avec son dos, à lui faire monter les larmes au yeux. Il serras de plus la machoire plus fort que jamais, il sentait bien que son maitre avait bu, le coup allait être plus violent que d'habitude. En effet, la morsure terrible du fout traversa tout son dos, déchirant sa maigre tunique, tandis que la douleur le faisait tomber à terre, et qu'une nouvelle chose envahissait son esprit, lui brouillait encore plus la vue que le fait que ses lunettes soit sur le sol : la haine. Il avait craqué, le jour n'arrivait pas, il était arrivé. Le renard prit une assiette et ses lunettes, puis se retournant, les yeux envahient par la colère, il remit ce qui lui offrait une vue, et envoya tel un freesby ce qui avait servi a manger au clients du patron, Comme le renard visait mal, ce fut pas le coté de l'assiette qui frappa l'homme, mais le plat. Frottant son nez, l'ivrogne insulta de plus belle le renard qui lui jetait tous ce qui passait à sa portée, avant de fuir par la fenêtre.
L'homme promit dix pièce d'or à celui qui lui ramènerait le renard fugueur, ce qui déclancha un veritable mouvement de foule vers le pauvre Anaku qui n'était pas un grand sportif. Face à tous ses fous déchainés par l'idée de se faire de l'argent facile, le jeune lodijoad ne savait pas quoi faire, il fuyait, mais n'avait pas d'idée pour se sortir du terrible, de l'effrayant pétrin dans lequel il se trouvait. Il tenta désespérément de hurler qu'une seule personne aurait ses pièces d'or, mais cela ne provoqua une bagarre entre trois un quatre de ses poursuivant, il ne savait pas quoi faire, quand tout d'un coup, Anaku vit une chute collective arriver chez ses poursuivant. Devant lui, adosser à un arbre, un jeune lion jaune, à la tenue particulièrement abimée, et portant d'épais gant noir.
« Yo, Anaku ! Comment ça va ? T'as craqué ? »
Le renard fit rapidement oui de la tête, mais vit les poursuivant se relever, et se placer devant les deux jeune loji'. Le lion, Katos Kazhnuz, eut un sourire, et se mit dans une position de combat, dirigé vers la bande de fou, devant Anaku, qui était désésperer du caractère excentrique du lion... Il allait encore faire sa vielle blague.
« Vous voulez la bagarre... Attention, je me dois de vous prévenir, je suis un champion... »
Le lion cala un pied vers l'avant, dans une pose d'art martiaux. Sans quitté son air calme, il jeta un sourire amusé au humains devant lui, puis secoua sa tête, pour chasser les mèches de sa crinière qui se déposait devant lui. Anaku, lui passait lentement sa main sur le visage... Il savait qu'en combat singulier, une cinquantaine de Katos ne pouvait pas tenir contre un seul des types de l'établissement... Tout d'un coup, Katos prit brusquement le bras du renard.
« En fuite !!! »
Anaku sentit le sol perdre sa consistance sous ses pieds. Il savait que le lion utilisait ses pouvoirs, liés à la terre. Il ouvrit les yeux, se voyant à l'intérieur d'une sorte de tube de couleur jaune translucide, à travers lequel il voyait au dessus de lui les humains fou de rage après la blague du lion, qui se semblait content de son humour, d'ailleurs. Tandis qu'ils était emporté par une sorte de vague d'un liquide d'une couleur indescriptible, Katos raconta l'idée qu'il avait eu à son ami.
« Ce soir, y'a une navette qui pars pour les astéroïdes ! C'est la terre de l'aventure, là-bas ! Que dirait tu d'y aller ? On se cache dans une capsule de survie, et on attend qu'on soit prêt de Céres pour se larguer ! »
Le renard ne répondit pas. Si l'idée l'emballait, il était par contre modéré par le fait que les capsules soit prévu pour une personne niveau oxygène. Tant qu'elle serait relié à la navette, tout irais bien, mais après... Il commençait à s'assoupir, quand d'un seul coup il émergea, dans un petit village, surement du « far-west », d'après le décors super-stéréotypé Western Spaghetti, avec de la bolognaise s'il-vous-plait. Anaku se demanda ce que faisait son ami, car il semblait chercher quelque chose... Katos le prévint qu'il faudrait marcher pour atteindre le prochain courant, celui qui les emmèneraient en Floride. Le renard fut impressionné par la logique qu'était d'aller tout à l'Ouest pour retourner à l'Est. Il espérait juste ne pas rencontrer de « Pig-Boy ». Derrière ce nom désolant se cachaient en fait des chasseurs de primes, et de non-citoyens. Bien evidemment, la loi de l'emmerdement maximum (désolé du mot) se vérifia à nouveau, et un de ses Pig-Boy se ramena, et trouva que les deux lodijoads formait des victimes de choix. N'écoutant que leur courage, qui ne leur disait rien, ils fuirent à toutes vitesses vers le courant tellurique.
Ils mirent quelque heure pour arriver en Floride. En chemin, Anaku s'était convaincu qu'il fallait qu'il passe à autre chose, après avoir perdu son travail, et surtout il savait que les astéroïdes serait un endroit ou il serait éloigné de son ancien patron, et de cette planète ou il voyait de plus en plus de problème... Une fois arrivés, le lion et le renard sortirent de sous terre juste à coté de la navette, bien après la ceinture de protection de la police.
« Les policiers ne prévoit rien, niveau des taupes ! » fit Katos en riant, fier de sa blague nulle...
Ils n'eurent pas de mal à se cacher dans la capsule, et le renard eut un mauvais pressentiment, il était sur que les problèmes allaient arriver plus tard... Mais il finit par céder au sommeil comme Katos l'avait fait, et en s'endormant, Anaku était sur que le lion avait du passer une nuit blanche rien que pour être sur qu'il s'endormirait, étant donné que sa liaison à la planète lui offrait un temps de sommeil plus bas.
Pendant ce temps, un éclair bleu fila à toute vitesse dans les landes anglaise, se dirigeant vers la cité scolaire du New Kingdom, prêt de Cambridge. Ce rayon de vélocité pure ne semblait pas s’embarrasser des routes, car tout le monde sait que le chemin le plus court d’un point A à un point B est la ligne droite. Ce concentré de vitesse n’était pas un être de chair, mais un appareil de course, de classe NtoV-456. On les appelait les braves anciens, à cause du fait qu’ils étaient obsolète depuis longtemps face au machine de course de toute dernière technologie. Celui-ci plus particulièrement se nommait le « Azure Thunder », et n’avait jamais participé à la moindre compétition.
L’appareil qui semblait incontrôlable se propulsa à toute vitesse depuis une colline pour effectuer un vol plané à travers le paysage, ce qui provoqua des cris à l’intérieur. En effet, dans l’intérieur du véhicule, c’était un adolescent qui conduisait et exaspérait ses deux amis, car, bien qu’il fût le plus vieux des trois, il semblait comme dément à chaque fois qu’il pilotait l’appareil, grisé par le paysage qui défilait à toute allure, ne semblant plus qu’un défilé de couleur. A ce moment précis, le rictus que portait le visage de l’ado ni mince, ni obèse, suffisait à se poser des questions sur sa santé mentale, avec ses cheveux pourtant relativement court qui était dressé en arrière par la vitesse. Le volume de la musique qu’il écoutait contribuait aussi à l’ouvrage. Malgré la démence qu’il dégageait, chacun des coups de volant était parfaitement calculé, et il ne perdait pas à un moment la concentration qu’il semblait pourtant ne pas posséder.
« Hé, Seweca, c’était sympa d’être venu nous chercher pour la rentrer, mais tu ne pense pas que tu devrais conduire plus prudemment ? » cria une jeune fille aux oreille de chat à l’arrière. « Les cochons nous surveille, je te rappelle ! »
« Ils s’en fichent… » fit un petit garçon, au cheveux roux. « Tout ce qu’ils veulent, c’est que le plan d’intégration marche… »
En effet, les trois gamins dans la machine venaient de peuples relativement hostiles au nouvel ordre mondial… Le pilote était un lycanthrope - plus précisément d’une ethnie d’homme-loup vivant dans proche du Mississipi, tandis que la jeune fille était une sorcière de Gales, ethnie spécialisé dans la magie noire, qui est en fait l’ensemble des magies se basant sur les ombres. Pour le petit dernier, il était un Kitsune, peuple d’humain-renard réputé pour leur sagesse.
« J’adore ce plan… » dit avec un sourire le pilote. « Grace à lui on est tranquille dans une école, au lieu d’être pourchassé et de courir des risques… Alors que l’on vient de leurs ennemis, ils nous offrent une vie plus ou moins paisible et facile… Pourquoi chercher à faire compliquer quand on peut faire simple et non-risqué ? »
« Leur idée n’est pas si mauvaise, d’un point de vue objectif » lui répondit la jeune sorcière. « On a moins envie de s’évader d’une école que d’une prison… Sinon, le plus drole, c’est que tout le monde pense que l’ont a des pouvoirs infinies et invincibles, et que c’est pour cela qu’il y a ce plan, alors que le but est juste que l’on provoque pas de problème… Faut dire aussi qu’on est les premiers de nos espèces capturées… Même si un certain loup garou s’est rendu de lui-même »
« Face à une dizaine de type armé, c’est toujours plus simple de se rendre. » retorqua le dénommé Seweca.
A ses mots, le jeune garçon freina brusquement - retournant à des vitesses raisonnables - et se gara à une place libre. Une fois sortis du véhicule, les jeunes fondirent vers le batiment en pierre apparente qui s'élevait face à eux, car ils étaient en retard, et ce dès le premier jour de l'année.
« Désolé du retard ! »
La voix de Seweca avait retentit dans la salle, couvrant le brouhaha qui régnait dans la salle ressemblant beaucoup à une vielle photo du début du XIXe siècle. Un surveillant qui essuyait le tableau noir soupira, en leur disant :
« Bon, allez à vos places... Tant pis pour les bulletins de retard, j'ai pas encore fait l'appel... Et votre professeur n'est pas encore arrivé »
Les trois enfant marchèrent entre les tables incliné en bois massif, regardant les vieux posters accrochés aux murs jaunis par le temps, leur rappelant les souvenirs de l'année précédente. En plus, leurs places sacrée, au fond à coté de la fenêtre, avait été laissées vides. Décidément, être considéré comme des monstres assoiffés de sang, cela avait des avantages. Sur la table ou quatre personnes pouvaient s'asseoir, quelqu'un était déjà en train d'écrire. C'était une jeune fille, avec des cheveux blond, portant évidemment l'uniforme de l'école, noir et sobre qui leur fit un bonjour auquel chacun des gamins qui répondirent à leur façon. C'est à dire que si Ki, le Kitsune, avait répondu avec un « bonjour » polie, les deux autres manquèrent de sauter sur la jeune fille qu'ils ne connaissaient pas, non pas pour l'attaquer, mais pour lui faire un « salut » un peu exubérant.
« Toujours aussi timbrés » songea Ki en soupirant
Chacun des quatre jeunes décida de ce présenté. Seweca, commença. Cynique et sarcastique, il avait comme grand but ultime de faire le moins possible dans la vie. C'était une quête comme les autres, après tout ! Il était un lycanthrope un peu spécial, ceci du au fait qu'il se transformait qu'en véritable loup, à la place de devenir un « homme-loup ». Cette modification entrainait aussi une particularité qu'était de se transformer toute les nuits, au lieu de ne devoir se contenter que des lui de pleine lune, et aussi le fait qu'il se contrôlait parfaitement sous cette forme.
Ensuite, ce fut Catherine, ou Kathi, la jeune fille chat qui se présenta. Née de parent humain et lodijoad (ce qui était considéré presque comme un crime), elle avait grandi chez des sorcière et acquis une maitrise de la magie des ombres. Elle s'énerva lorsque Seweca précisa qu'elle était une grosse buveuse d'alcool, et qu'elle pensait qu'a délirer, ce qui prouva une autre caractéristique : son sale caractère.
Ce fut finalement Ki qui se présenta. Le jeune kitsune était le plus puissant et le plus (l'unique ?) sage du groupe. En effet, il avait accès à tout les pouvoirs de son peuple, ainsi qu'a une forte sagesse collective. Mais malgré cela c'était aussi le plus timide des trois.
Tandis que la jeune fille allait se présenter, la voix du professeur, qui était en train de faire l'appel résona, prononçant un nom que jamais personne n'aurait cru entendre dans une classe de cour, même dans l'université :
« Kinami Nakoko »
C'était le nom de la fille du gourveneur de la Terre. Et quand ce fut la jeune fille qui leva la main, Seweca tomba de la chaise avec laquelle il se balançait, surprit. Il ne pu rien dire car le professeur, qui venait d'arriver, réclama le silence, pour présenter à la classe qu'elle serait leur seconde année d'étude. Tout d'abord ils apprirent qu'étant dans une classe « mixte » niveau des matière, ils allaient tous devoir avoir un enseignement scientifique, culturel, linguistique et social en même temps.
« Dans le premier de ses enseignement, vous traiterez la physique-chimie, la biologie et les mathématique. Dans le second, qui seras inaccessible d'un point de vue intellectuel au trois non-citoyen de cette classe, vous travaillerez sur la littérature, l'histoire et le Néo‑Catéchisme, la saintes religion née avec notre grand et si génial empire. Niveau des langues, vous aurez du cochonus, du français ainsi que du Néoesperanto, langue faites par la sublissime Dame au Cochon pour facilité les dialogues entre les grand et magnifique cochons et les minables non-citoyens. Et pour travailler sur la société, vous aurez un cours d'économie, de sociologie cochon et d'Héliographie, géographie à l'échelle du système solaire. »
L'année semblait ennuyante d'avance ! Il faut rajouter qu'en plus, tous ses cours était approuvée par le gouvernement cochon rose, et que cela voulait dire que tout les cours seraient a leur manière une ode à la gloire des porcs. Mais heureusement, la salvatrice sonnerie de la récréation sonna la divine mélodie qu'était le chant de la libération pour un quart d'heure des élève. Dans un élan joyeux et insouciant, les jeunes élèves fondirent vers la cour de l'académie, vers l'arcade pour la plupart, bien que sachant que ce serait les plus fort qui aurait leur droit sur les machines, mais vers les arbres pour notre petit groupe.
Une fois dans la zone sylvestre, les quatre jeune s'accroupirent dans l'herbe, pour discuter. Kinami raconta comment c'était d'être une princesse et parla de ce qui était le pire pour elle : Tout l'éducation qu'elle avait reçus et qu'elle recevait encore n'avait pour but que d'en faire la femme idéale pour celui à qui son père voudrait donner le gouvernement de la planète ! C'était pour cela qu'elle avait une très grande liste de prétendants, mais malheureusement pour son père, elle n'en supportait aucun...