J'me suis pas foulé sur le titre =D
Bref.

Voilà ma troisième fic. J'ai l'idée de base depuis Noël environ, mais j'aime faire dans les détails, alors j'ai affiner tout ça pour vous le présenter au mieux.
Question cette fic et la parodie, aucune crainte à avoir. Ces deux textes sont des choses complètement différentes et je peux tout aussi bien continuer la parodie qu'écrire cette fic là.
Je dois vous avouer que je ne PAS terminé d'écrire cette fiction. J'ai prit de l'avance, certes, donc en cas de problème (manque de motivation, surtout), j'aurais toujours des parties en réserves à poster.
Voilà voilà, je vous envoie le prologue plus une partie du premier chap'
Merci d'avoir lu mon petit discours d'entrée ~~


Cette fic se situe après l'histoire du jeu Sonic Heroes


Prologue

De grands bruits résonnaient dans le bâtiment, suivis souvent par des grognements affreux et des cris de souffrance. Dans le noir, seul illuminaient encore les néons des machines posées à même le sol, aux côtés d’étranges autres engins. Des sarcophages modernes aux couvercles vitrés dont l’intérieur était rempli d’un gaz étrangement bleuté. De ces engins ressortaient divers fils qui allaient se connecter à d’autres machines posées dans la salle. Des « bips » résonnaient, seules sources de bruit dans cette salle obscure. Pourtant elle n’était pas vide de forme humaine : un homme se tenait debout, immobile, silencieux, devant une de ces alcôves vitrées. Il semblait fixer un point dans l’univers brumeux et bleuté qui remplissait le sarcophage de fer de d’acier.
Les bruits se rapprochèrent dangereusement. Les cris se firent encore plus sonores. Les murs de la salle tremblèrent de plus en plus au fil des secondes qui s’écoulaient. L’homme ferma les yeux, les bras rigides bringuebalants sous les coups de tremblements qui s’intensifiaient de plus en plus. Il repensait sûrement à une époque plus heureuse. Une époque où la recherche scientifique avançait à son rythme ; une époque où il n’avait pas perdu sa famille. Celle où ces monstres n’étaient pas encore arrivés sur cette bonne vieille planète Terre…
Un « bip » le sortit de sa torpeur. Il avait une chose à accomplir. « Ils » n’allaient pas s’en sortir ainsi. Les humains ne capituleraient jamais sans combattre. Mais il fallait agir vite. Très vite : les bruits se prolongeaient le long du couloir où était située la salle. « Ils » ne tarderaient pas à arriver. L’homme fit volte-face et se dirigea vers l’une des grosses machines dans le fond de la salle. Il pianota sur les boutons du clavier ancré sur la plate-forme horizontale, tout en regardant l’écran qui lui faisait face. Un étrange jet de vapeur fuma avec un petit bruit strident alors que les alcôves se levaient verticalement une par une. Quelques secondes plus tard, un long vrombissement se fit entendre dans toute la navette spatiale. De gros tuyaux descendirent du haut de la salle et englobèrent toutes les capsules. L’homme soupira, ses yeux brillants scrutant les tuyaux qui renfermaient le seul espoir des habitants de la planète, et appuya une dernière fois sur le bouton « Enter ». Dans chaque tuyau se fit entendre un grand souffle d’air puissant. Après quelques secondes, ils remontèrent pour disparaître dans le plafond : plus aucunes traces des alcôves. L’homme ferma les yeux, imaginant les différentes capsules tomber dans l’espace et franchirent la barrière qui s’était levée, invisible, entre ce temps et cet espace pour ouvrir une brèche dans un siècle passé…
Un bruit sinistre éclata juste devant la porte de la salle : tout indiquait qu’« ils » étaient enfin arrivés à destination et qu’« ils » avaient tué, d’une manière plus ou moins violente, le garde qui était restés posté là. Un grand coup éclata contre la porte. Un deuxième, suivi d’un  grognement rauque et menaçant. L’homme ne s’était pas retourné. Il conservait le dos à la porte, resté devant la machine, les yeux fermés. Un craquement sonore retentit : la porte avait cédé. Une odeur de chair pourrie et de sang s’empara de son esprit. Ce dernier serra les poings ; Les créatures sautèrent…



Chapitre 1 : Rencontres

Les klaxons fusaient de partout à chaque seconde. Des dizaines de voitures, peut-être même des centaines, stationnaient sur la route qui menait aux vacances. LA route, effectivement, car même s’il en existait d’autres, on aurait pu croire que toutes ces voitures s’étaient données rendez-vous exprès sur cette route-là, à cette heure-là, ce même jour là. Une tornade bleue passa soudainement entre les véhicules, créant un rapide courant d’air frais bien accueillis par les automobilistes assiégés par la canicule. Mais personne ne se demanda d’où cela pouvait bien venir. Les gens étaient comme ça, maintenant. Quand quelque chose leur tombait dessus, ils l’acceptaient et ne cherchaient pas à savoir d’où cela venait. En même temps, cela était un avantage pour le hérisson bleu qui était passé à toute vitesse. Si les humains étaient bêtes et orgueilleux, il n’allait certainement pas s’en plaindre. Après quelques secondes, Sonic se trouvait déjà bien loin de l’embouteillage. Il s’arrêta sur une colline surplombant une immensité d’eau comme il n’en avait jamais vue auparavant : la mer s’étendait, grande, profonde, sa surface bleutée reflétant les rayons du soleil de ce début d’après-midi. Pour Sonic, ce n’était qu’une grande rivière, un lac profond et salé. De toute façon, peu lui importait les affaires liquides : Sonic ne savait pas nager et ne voulait pas apprendre. Son domaine, c’était courir, et l’on ne pouvait pas courir dans ou sous l’eau, point final.
Sonic s’allongea sur le sol et poussa un profond soupir. L’herbe était sèche : il n’avait pas plu depuis plusieurs semaines. Mais un vent agréable soufflait, dégageant les parfums des fleurs éparpillées sur la colline. Il lui fallait bien l’avouer : les humains étaient vraiment peu intelligents. Sonic ne comprenait pas pourquoi ils se déplaçaient à bord des ces engins à roues qui faisaient du bruit et qui dégageaient de mauvaises odeurs. De plus, pourquoi partaient-ils aussi loin ? Pourquoi restaient-ils tous coincés sur une même route ? Pourquoi allaient-ils tous dans les mêmes coins pour savourer le bonheur et la tranquillité, alors que des endroits comme cette simple colline à la vue splendide et aux parfums envoûtants se trouvaient à quelques kilomètres seulement de leurs grandes villes polluées et blindées de machines et d’engins bizarres ? Le hérisson comprendrait peut-être avec le temps… Si du moins il en aurait : Tails était en ce moment même en train de fabriquer une machine pour tous les ramener sur leur planète. Ils n’avaient aucune envie de rester cachés indéfiniment sur cette planète en compagnie de ces humains étranges.
Sonic n’arrivait toujours pas à comprendre comment ils avaient pu quitter Mobius. Du jour au lendemain, ils s’étaient retrouvés ici, sans explications, sans comité d’accueil, sans endroits où aller se réfugier. Heureusement qu’ils s’étaient retrouvés ensemble dès l’arrivée. Knuckles fulminait à l’idée d’avoir laissé ses Emeraudes sans surveillance et, au fond, Sonic le comprenait parfaitement. Chacun était d’accord pour accuser Eggman d’être le responsable de cette fâcheuse histoire, mais Sonic en doutait.
Poussant un nouveau soupir, il regarda le ciel. Où qu’il puisse être, celui-ci était le même que sur Mobius. C’était la même chose pour le soleil, les étoiles et la lune. Peut-être était-ce toujours la même planète, et qu’Eggman leur avait fait faire un voyage dans le temps pour leur jouer un mauvais tour… Non, si le scientifique aurait su contrôler le temps, il s’en serait servi pour faire de plus grands projets que d’envoyer ses pires ennemis dans le futur. Sonic voyait mal, en tout cas, Eggman faire ça pour se venger. Ce n’était pas son style.
Le hérisson bleu se releva et contempla une fois encore l’étendue bleutée. Puis il s’étira et dirigea son regard vers la droite. La colline descendait en pente douce, pour aboutir à une route de campagne sèche et abîmée. S’étendaient alors de longs champs aux couleurs parfois différentes. Sonic soupira une troisième fois avant de partir en courant à toute vitesse. Les pousses d’herbes se plièrent sous l’impulsion de la vitesse puis reprirent leur position initiale.


Voilà pour la présentation de cette nouvelle fic. J'aimerais que vous fassiez attention aux moindres détails, ceux-ci sont très importants pour le reste de l'histoire. En espérant vous avoir mis l'eau à la bouche ~~

Je n'ai qu'une chose a dire. Whaou.  :D

BlackDoom est de retour avec une de ses super fics. J'espere qu'elle sera aussi bien que les autres.

Pour le moment, on ne sais encore rien de l'histoire mais quelque chose me dit qu'elle va être genial.
Je trouve que tu t'es beaucoup amelioré au niveau de l'orthographe et des descriptions depuis ta derniere fictions. ^^ On imagine sans mal les décors, les pensés et les actions des personnages. C'est vraiment genial.

J'ai vraiment hate que tu nous poste la suite, en espérant y retrouver les autre membre du jeu Sonic Heroes.
Continus comme ca, c'est parfait.

En général, des paragraphes plutôt longs, beaucoup de précisions familières peu motivées, la progression de l'ennemi peu marquée dans le prologue avec une chute assez peu expressive, à revoir peut-être, mais c'es mon avis personnel.
Outre le genre humain très con, j'ai trouvé deux insistances intéressantes :


Nombreuses occurrences du bleu.




Forte insistance sur la canicule.

Il y a peut-être cette idée de contingence "ici et maintenant" qui désigne les automobilistes puis revient avec les doutes de Sonic. D'ailleurs, l'appelatif "Sonic" revient un peu trop souvent à mon goût dans un paragraphe.
Ensuite, d'expérience je sais que le lecteur est aveugle au détail. Pour le moment, je ne me prêterai pas à l'interprétation.
Plutôt une analyse linéaire, pour le coup.

Prologue :


« Souffrances » au singulier, à moins qu’il y ait plusieurs souffrances différentes.


« Illuminer » est plutôt transitif, l’emploi intransitif « les phares illuminent » est potentiellement inexistant. L’inversion de position sujet-verbe transforme le sujet en complément, d’où difficulté pour comprendre la phrase.


Phrase sans verbe, on peut pinailler pour « des sortes de » puisqu'après la comparaison devient image. Je préfèrerais « contemporains » à « des temps modernes ». « De fer et d’acier », impression d’une expression commune employée ici sans motivation.


« Alcôve » est un mot technique, il demanderait plus de précision pour se rapporter aux capsules. Vérifier si ce mot est bien choisi.
EDIT : après vérification, non, alcôve ne désigne pas une capsule mais l'espace où pourrait être cette capsule (plus communément le lit). Du moins d'après le dictionnaire.


« Bringuebalants », plutôt familier pour une scène futuriste qui se veut tragique. Egalement « tremblement », pluriel plutôt.


« Repensait » plutôt, si « sûrement » doit nuancer la véracité de l’information.


« Battrent », infinitif, etc… « comme ça », formule familière, préférer « sans combattre » ou variante.


« Située », l'auxiliaire "être" demande l’accord avec le sujet même en cas d’inversion.


Là, petit plaisir, je me suis demandé pourquoi le clavier était encré. « Ancré », bien entendu.


« D’une des autres machines », précision plutôt inutile, la vapeur et le bruit suffisent.


« Ils » n’est pas assez solidement reporté à « tuyau ». Aussi « levèrent et remontèrent » offre presque une répétition, le mouvement est soit trop précis, soit trop vague.


Trois emplois de « et » dans une même phrase. « Franchir » à l’infinitif.


Auxiliaire « avoir », accord avec le complément (garde) quand il est avant le verbe : « tué ».


La phrase aurait gagné à avoir un verbe.


« Retourné » et « tournait » se répètent. « Gardait », « maintenait » ou « conservait », par exemple.


« Craquement » aurait suffi. « Bruit de craquement », c’est la première fois que je lis ça.


Ici « avoir » n’est pas un auxiliaire, « cédé ».


« Chair », pas « chaire » qui désigne un siège (ou autre chose). « De l’esprit de l’homme », je préfère « de son esprit » qui évite la répétition de « de ».

Premier chapitre :


Mon correcteur automatique me souligne ce verbe.


Je pourrais croire que cette insistance est motivée et j’espère que c’est le cas.


« Soudainement à toute vitesse », plutôt redondant, un seul suffit.


La virgule est discutable, « par » se répète quand même.


Même chose, virgule discutable.


« A toute vitesse »… comment le dire ? On sait.


« Vu », auxiliaire « avoir », accord avec complément, ici « en » anaphorique, report à « immensité d’eau » au féminin, donc « vue ». Néanmoins, inexplicablement, je préfère le masculin, peut-être l’expression « comme il » qui fige l’expression.


« Peu », pas « peut ».


On ne sait plus à qui prêter les propos, entre le personnage et le narrateur. Attention avec le style indirect libre.


« Ses », possessif anaphorique, donc les engins à qui ? « Ces ».


Le chapitre n’est pas terminé, j’attendrai donc la motivation de ce passage.


A reformuler, du conditionnel avec du futur formulé au passé, non, ça ne passe pas. « Si du moins il en aurait », par exemple.


Structure très amusante qui reporte « eux » sur « ils », d’autant que « animaux étranges » se rapporterait facilement à eux, c’est dire. A reformuler, donc.


Le « malgré tout » ne reprend aucun contenu pertinent. Reformuler ou développer. La question du malgré tout n’est pas « est-ce Eggman » mais « va-t-on rester ».


« Au fond » mériterait une virgule devant pour l'isoler.


Les soupirs semblent rythmer la scène. Leur contenu semble n’avoir aucune relation sûre avec les autres éléments. Voir s'ils ont une signification.


Syntaxiquement, « celui-ci » se reporte à « il »… Pour le plaisir : Sonic est-il le ciel ?


Structure orale, préférer « peut-être était-ce », ou pas.


« Avait su », même si je ne suis pas contre la généralisation du conditionnel. « Servi », c’est un participe.


« S’étendaient », pluriel car sujet de « champs ». « Alors » n’est pas un connecteur suffisant, préférer « s’y étendaient » ou « s’étendaient plus loin »… voire abandonner l’inversion.


Là aussi, troisième, mais je le crois beaucoup moins motivé.


Nouveau plaisir : l’herbe n’a pas de doigts. « Pousses ».

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L'idée qu'enfin les détails contiendraient quelque chose me rend ce texte intéressant, même si au final je le trouve encore assez disparate. Pas mal de termes et tournures familiers, quelques imprécisions mais dans l'ensemble le texte est assez bon et pousse à connaître la suite.
Attention, au moment de travailler sur les détails, à bien les souligner pour un lecteur qui est le plus souvent aveugle même aux plus grosses évidences.

On dirait que le correcteur d'orthographe est passé avant moi. Tant pis, je vais donc te féliciter, Blackdoom, car ce début de fic me plait bien pour le moment. Voilà. Fais gaffe aux accords et aux lettres en trop comme te l'a fait remarquer Feurnard.

Bonne continuation !

Une nouvelle fic ? Youpi !!
Bon c'est vrai il reste encore quelques fautes mais il faut quand même avouer que tu as fait de sacrés progrès depuis Sonic the end, autant au niveau orthographe qu'au niveau rédaction.

L'histoire en elle même, pour le moment c'est trop juste pour se faire une opignon mais j'attends avec impatience les prochains chapitres.

Bon courage.

Merci beaucoup à vous quatre ^^
Je me doutais bien que mon texte n'allait pas être parfait, cependant, je dois bien avouer que je ne m'attendais à avoir à corriger autant de fautes (et parfois grossières). Merci beaucoup à toi, Feurnard, pour ce commentaire détaillé. J'ai édité mon texte et corrigé la plupart des fautes que tu as relevé (pour ne pas dire toutes), sauf quelques tournures que tu as souligné mais que, personnellement, je trouve tout à fait convenable dans le contexte. J'ai répondu à une des "règles" de Miko, comme ça : je ne tenais pas à laisser derrière moi un passage aussi mal orthographié. Il n'est sûrement pas encore parfait, mais il est au moins exampté des fautes les plus grossières ~~

Merci beaucoup à toutes les trois pour les compliments et les encouragements. Merci ! ;_;
Feurnard, je compte quand même t'étonné au moins une fois au cours de cette fic \o/
Voilà la fin du premier chapitre :

Chapitre 1 : Rencontres
Suite

Sonic courait encore… et toujours. Passant de la mer à la forêt, puis d’une colline à une montagne, le hérisson bleu avalait les kilomètres à une vitesse hallucinante. La seule trace qu’il laissait derrière lui était ce rapide courant d’air qui le suivait partout où il allait. Au milieu de la journée, le hérisson bleu décida de diminuer la cadence. Il allongea ses foulés et prit plus de temps pour découvrir les paysages qu’il traversait. La nature était belle… Au moins quelque chose qui lui plaisait sur cette planète.
- Hep, monsieur le hérisson !
Sonic avait à peine perçut cette voix. A la vitesse où il était passé, il n’avait entendu distinctement que le début, puis la fin de la phrase avait glissé dans ses oreilles tel un murmure lointain. Le hérisson bleu stoppa et revint sur ses pas en engageant la même route. Il vit alors un enfant un peu moins haut que lui qui tenait une peluche dans ses mains. Ce dernier, quand il le vit arriver, leva un bras et l’agita en signe de salutation, le sourire aux lèvres, sa chevelure blonde et coupée courte brillant presque sous la lumière du soleil. Le hérisson s’approcha en marchant, scrutant les environs pour s’assurer qu’il ne s’agissait pas d’une embuscade, puis, rassuré, il sourit à l’enfant.
- Qui tu es, monsieur l’hérisson ? Tu sais parler ?
Sonic évita une grimace.
- Bien sûr que je parle. Pourquoi ça ?
Le petit garçon émit un « Oh » de surprise.
- C’est la première fois que je vois un hérisson bleu qui parle !
- Ah bon ? Demanda Sonic, interloqué.
- Ceux que j'ai vus sont tout petits, et ils ne sont pas bleus du tout.
- Mais tu les as vus où ?
- Dans des livres, et puis aussi quand papa en a écrasé un sans faire exprès.
Sonic avala de travers.
- Et… Où est ton papa en ce moment ? Qu'est-ce que tu fais tout seul sur cette route déserte ?
Le petit garçon baissa la tête et serra sa peluche contre lui.
- Mon papa m'a grondé tout à l'heure. Il a arrêté la voiture et il m'a descendu avec Tricky. Il m'a dit qu'il viendrait me chercher plus tard et que c'était ma punition.
- Tricky ?
- Tricky, c'est lui ! S'exclama d'un coup le garçon en montrant fièrement sa peluche.
- Je vois. Et qu'est-ce que tu as fait comme bêtise ?
- Je ne sais pas, mais ma maman et mon papa se sont disputés hier soir. Et à la fin maman a dit que c'était ma faute s'ils n'avaient plus d'argents. Papa a dit que oui, qu'il fallait me nourrir, s'occuper de moi. Et dès qu'il m'a vu derrière la porte, il m'a frappé, et il m'a monté au lit en fermant la porte. J'ai peur du noir… Raconta-t-il en baissant la tête.
Le hérisson bleu resta silencieux. Quels animaux suffisamment immondes pouvaient parler de la sorte de leur propre progéniture ? Il s'agenouilla pour se mettre à la hauteur du garçon et lui posa une main sur l'épaule.
- Ecoute petit… Je crois que ton "papa" et ta "maman" ne viendront pas te chercher.
Le petit garçon leva la tête, les yeux brillants.
- Tu mens ! Papa et maman, ils m'aiment ! Ils m'ont toujours dits que j'étais leur "petit soleil" ! Et si papa m'a dit qu'il viendrait me chercher, alors il viendra !
Puis, furieux, il se tourna vers la route.
- J'attendrais.
Sonic se releva, et resta silencieux. Après quelques minutes, il se retourna lui aussi et reprit son chemin en marchant. Le petit garçon le regarda partir, triste, mais résolu à attendre ses parents.


Dans une sombre forêt, où la lumière du jour était cachée par les arbres géants et le feuillage dense, une silhouette était accroupie près d’un arbre. Le souffle court, elle semblait reprendre sa respiration tout en faisant le moins de bruits possible. Soudain, un bruit dans les feuillages lui parvint. Le jeune garçon serra les dents et reprit sa course effrénée. Une silhouette plus grande et mieux camouflée se leva d’un arbuste, tenant à la main un objet plus menaçant qu’accueillant. Un tir déchira l’écorce d’un arbre en sifflant près de l’oreille de l’adolescent. Celui-ci redoubla de vitesse et raccourcis ses foulés : des racines et des branches basses le menaçaient de toutes parts. Sans compter l’escouade qui le poursuivait sans qu’il sache pourquoi.
Il aperçut soudainement une ombre noire et furtive se déplacer au-dessus de lui, d’une branche à une autre. N’y accordant pas plus d’intérêt, il coupa d’un seul coup vers la gauche, essayant par tous les moyens de semer la patrouille qui le poursuivait. Mais des bruits sourds le stoppèrent brusquement. Par prudence, il s’allongea sur le sol, humide et frais par le manque de clarté, et attendit quelques minutes. N’obtenant aucun signe de vie, il retourna sur ses pas silencieusement, avançant accroupis derrière les gros troncs d'arbres. Mais plus aucun signe des hommes qui le poursuivait. Le garçon en profita pour souffler un peu. Puis, décidant qu’il n’avait plus rien à faire ici, il reprit sa route à travers la forêt, alors que quelques mètres plus loin reposaient les corps des quatre hommes, portant l’insigne de l’armée sur leur veste, sans vie. La même silhouette noire descendit d’une branche et atterris habilement sur le sol, le sourire aux lèvres.

Et bien, je voit que comme d'habitude, tu nous offre de superbe fanfic!
Celle-ci commence très bien, il y a du suspence, les différentes situation sont très bien détailler.
Tu coupe tes chapitres au bon moment, ce qui nous laisse en plein suspence et qui nous donnent vraimment beaucoup envie de lire la suite! J'ai hate de voir la suite. Bonne chance!

Une nouvelle fic ! C’est génial, elle m’a l’air vraiment intéressante. Ce chapitre est un peu court à mon goût, mais c’est sûrement pour préserver le suspense qui est déjà au rendez-vous, comme toujours. J’espère que Sonic ne va pas laisser ce gamin tout seul, le pauvre ! On verra au prochain chapitre, que j’attends avec impatience. Bonne continuation

Tiens... j'ai des soupsons sur le qui est l'ombre... >3
Ben oui, depuis peu, je suis a fond dans lal ecture de fanfics, alors ben voila, je poste un ptit com.
A part une ou deux fautes auquelles je n'ai pas prete grande attention, je trouve que c'est un bon debut, comme d'habitude, on reste avec le suspens, voulant decouvrir la suite. Pauvre petit garcon. Si je rencontrais ses parents... Argg je les mordrais, massacrerais et je sais pas quoi d'autre mais ils passeraient un sale quart d'heure !
Bonne continuation.

HS: Une fois encore je m'excuse pour le manque d'accents, l'ordi les bouffe...   :?

Ouais !
Blackdoom s'est mis à écrire une nouvelle Fanfic !
Elle commence TRES bien et m'intéresse beaucoup, comme tout le monde je crois. Les fautes d'orthographe, je n'y aie pas prêté grande attention mais j'ai vu le lot bien remplie que Feurnard à pû remarquer et ça m'a fait peur ^^... Je commence à me poser des questions comme qui est cette ombre ? Comment Sonic, Tails et Kunckles ont-ils pû arriver ici ?
Je pense que c'est l'effet désiré et je t'encourage fortement pour la suite !

Il me semble t'avoir déjà donné mon avis voilà longtemps, mais je vais redire juste une chose.

C'est sympa ^^

Je trouve dommages tes fautes. Peut être ça qui ne me fais pas pencher inconsciemment vers ta fiction. Dommage...

Non, je crois plutôt que j'accroche pas à ton style. Un peu lourd à des moments, je trouve, qui auraient dû mériter plus d'attention. Le passage de la rue, par ex...

Bonne continuation.

Je ne comprenais déjà pas ce que tu voulais dire avant, et j'avoue toujours ne pas comprendre maintenant. De quelle longueur parles-tu ? Et de quelle rue, surtout ? ._.
Tu voulais peut-être parler d'une route, je présume. C'est toi qui devrais te montrer attentif XD
Mais sérieusement il faudra que tu m'expliques.

Sinon merci aux quatre autres, que je suis content de retrouver.

Stim' : Je suis content de retrouver un de mes tout premiers lecteurs \o/
Merci d'être passé, et merci pour ces encouragements.

Will : Le chapitre est court ? Normal, c'est de moi ~~
T'as trop été fourré ton nez dans ceux de Sephyra, toi ! =D

Carn : Weuha, ça faisait longtemps o_o
Merci d'être passé, ça fait toujours plaisir d'avoir un com' de toi XD
PS : Ton ordi est méchant !
/me sort

Rouge : Oui, moi aussi la longueur du post de Feurnard m'as fait peur, mais bon, d'un autre côté c'est tant mieux : j'ai encore beaucoup à apprendre pour ma série L de l'année prochaine \o/
Sinon merci pour tes encouragements ^^

J'espère juste avoir une réponse de Darky, si elle ne vient pas, alors j'éditerais ce message. Merci encore à ceux qui ont postés ^^

Je ne sais pas si le terme est approprié ici, mais je dirais que tu manques d'envolée. Est ce que ça te dit quelque chose ? C'est difficilement qualifiable. Je trouve ton style un peu trop... Scientifique pour la chose parfois. Un manque d'approfondissement dans la psychologie.


Mais peut être ne te dis je ça qu'en fonction de mon type littéraire personnel, et à relire mon post, je me dis que c'est peut être bien le cas ^^

Bonne continuation, quoiqu'il en soit. Et soigne tes fautes, c'est vraiment honteux è_é

Ca va te paraître bizarre si je te dis que je comprends parfaitement ? Et bien en effet, en lisant ton post, j'ai enfin définis ce qui ne me plaisait pas à ma propre fic : le manque d'envolée, comme tu le dis ^_^
Un approfondissement des caractères et de la psychologie sera revu, je t'en fais la promesse. Je M'en fais la promesse aussi, d'ailleurs.
Quant aux fautes, je ne manquerais pas d'être vigilant ~~
Merci d'avoir répondu, tu m'as permis d'y voir un peu plus clair :')

Passons maintenant au petit blanc qui a suivis ceci, et bien non, je n'étais pas frustré, ou en colère, ou quoique ce soit d'autre (frustré envers Darky ? o_o). Disons que j'ai fait un "retour aux sources" à ma manière, mais bref. Osef, comme dirait quelqu'un que je connais et qui ne passe plus que rarement par ici.

Je bosse donc sur cette fic qui est ma troisième (j'ai quand même perdu la main après ces quelques mois =D) en corrigeant les erreurs que vous m'avez soulignés. Je ne dis pas que je vais me dépêcher, croyez pas que je vais me donner à fond pour qui que ce soit, mais je vais à mon rythme, histoire de ne pas vous décevoir non plus.
Pour ceux qui attendent, soyez encore un peu patient \o/