Bah vous allez entendre l'histoire de Mozmanson, j'éspère que vous allez aimer !
- Prologue -
Je m'appelle Mozmanson, un hérisson rouge qui a 12 ans.
J'ai beaucoup d'amis qui vivent dans la rue avec moi.
Je me rappelle peu de mes parents, avant leur disparition, mais je vais vous raconter ce dont je me souviens.
Chapitre 1 - Le désastre à la campagne
J'habitais dans une maison à la campagne, et je ne connaissais pas grand monde, je devais être à 4 ou 5 Kilomètres de la ville.
Mon père était un hérisson bleu clair, Sam, qui devait partir chaque jour au travail de l'autre côté de la ville, qui était à 20 km.
Il devait partir tôt, et il revenait tard le soir.
Ma mère, une échidnée rose qui portait toujours un collier avec une photo de famille, Mariana, était la patronne de Sounasou, une petite boulangerie qui était très sympathique grâce à son style chalet qui faisait penser à la montagne.
Elle était à l'entrée de la ville, parfois mon père prenait quelques minutes à midi pour lui parler car il avait 3 heures de repos.
Il prenait souvent des sandwichs, et dès qu'il arrivait, ma mère se précipitait au comptoir pour lui parler.
Souvent elle donnait des coups de ses piques sur les serveuse, elles avaient ensuite de grosses marques rouges sur le visage...
Elle faisait vraiment les meilleurs sandwichs de la ville, car elle ne se précipitait pas pour les faire, peu de gens venaient.
Elle revenait vars 18 heures le soir, pour me faire à manger.
Moi j'étais à mon école et je devais aller à la cantine, toujours avec un repas que ma mère faisait, elle adorait cuisiner.
Je regrette ce qu'il s'est passé ensuite.
Ses plats étaient toujours délicieux, je partageais parfois avec les autres de la cantine, mais les permissions de partager par les surveillants étaient très rares, et la nourriture de la cantine avait l'air parfois vraiment périmée depuis une bonne année.
En même temps c'est normal, l'école était à la campagne, et loin de la ville, mais très paisible.
On pouvait être contents de manger, si on restait plus de trois mois à la cantine, les repas de la cantine devenaient gratuis.
De toute façon ça devait pas leur coûter bien cher...
Je revenais tout le temps à 16 heures, où je commençais à préparer la table, et arroser les potagers de ce petit terrain.
Les légumes qui en sortaient étaient délicieux, mais en été, nous n'avions pas assez d'eau pour arroser, on appelait cette saison : "La saison des achats", car d'habitudes nous pouvions manger beaucoup avec nos potagers.
Quand j'ai eu 10 ans, j'ai bien eu un cadeau, mais je ne sais pas si le reste devait en être un.
Mariana - Ne l'ouvre pas avant ce soir !
Sam - Roh laisse le, tu vois bien qu'il en as envie
Mariana - Arrête de me donner des ordres, c'est comme ça chaque année !
Sam - Et ?
Mariana - Arrête ça, tu m'agaces !
Sam - Non mais tu n'as pas à me donner d'ordres !
Mariana - On devrait discuter de ça dans la cuisine !
Moi - M'man je dois aller à l'école.
Mariana - Vas-y mon chéri.
Sam - C'est ça allez vas-y !
Il allèrent dans la cuisine, en ouvrant la porte, j' ai entendu un bruit, une sorte de coups, et un cri.
C'était ma mère qui avait crié.
Soudain, je regardais dehors, c'était un camion de cambrioleur, je regardais par derrière la maison, car il y avait une fenêtre qui menait à la cuisine.
Un voleur les agressait.
Le coleur - Toi, dis-lui de me donner son fric, ou je la tue.
Sam - Donne-lui, donne lui Mariana !
Mariana - Prenez tout, l'argent est caché dans ma veste !
Le voleur - Et tu crois que je vais y aller seul ?!
Sam - Mariana va avec lui.
Le voleur et Mariana commencent à sortir de la pièce, lorsque Sam lui met un coup de pieds dans le dos.
Mariana - Non, attend !
Le voleur tombe à la renverse, et fait un faux mouvement, tire dans le ventre de ma mère.
Sam - Oh non !
Mais je me suis en allé, en courant pour me cacher dans les près.
De loin je voyais la maison, mais d'un seul coup, j'ai vu une flamme.
La maison prenait feu, et les voleurs s'en allaient !
Je couru pour retrouver mes parents, mais ils n'étaient plus là.
Sauf le collier de ma mère.
En or, avec une petite vitre qui contenait la photo de famille.
Je la mis, et couru à la ville...
Je vivais dans la rue, et j'ai rencontré des amis assez marants...