Oui, je ne suis pas fier des rimes du poème, et de toute les maladresses. C'est un de mes premiers essaie, mais il fallait que je remanie le poème originel, qui ne convenait pas assez à ce que je voulais. Je suis d'ailleurs soulagé que le poème prenne du sens à un moment. Ma pire peur était qu'il soit ridicule. Je verrais peut être un jour pour l'améliorer.
Le problème des descriptions, je vais voir cela. Je vais aussi m'occuper de cette description problématique de la salle du président. Et je suis bien d'accord : L'unité de lieu m'a aidé. Je laisse maintenant le premier chapitre, ou plutot, le premier fragment de rune. A la fin je laisserais un petit commentaire expliquant quelques choix de ce chapitre.
Fehu ~ Fragment Premier : Levé de rideauAn 142 du CIS, Calendrier Impérial solaire. (15 ans après l'invasion)
Cette nuit, on entendit du bruit.
Cette nuit, on entendit des cris.
Cette nuit, ils n'entendirent plus rien.Le soleil se levait, diffusant des rayons sanglant sur le camp meurtrie, au pied d'une falaise de roches nues fracturés par le froid. Le vent soufflait et sifflait violemment entre les tentes éventrés, les idoles fracassés. Le sol enneigé était constellé de tache de sang et nombre de corps inertes était brisés sur le sol, ou alors à l'agonie encore agité de spasme tandis que de leurs museaux sortaient des râles. Tous étaient des lodijoads du peuple de la terre, les lions Léoss. Il semblait qu'il n'y aurais quasiment plus âmes qui vivent d'ici la nuit, le temps que les derniers blessés expirent. Ceux qui avait organisé ce massacre n'avaient eux aucune pitié. Sous des gravats, jeune lionne inerte tenait dans ses bras une petite léoss au pelage noire de geais ensanglanté, mais qui respirait et pleurait encore. A sa souffrance physique s'ajoutait celle morale, d'avoir perdu ses proches. Elle se demandait si elle aussi elle allait mourir. Mais jamais ce genre de détails serait connus. Le drapeau solaire triomphant au milieu du camps à l'agonie prouvait que cette nuit, il n'y avait eut qu'une victoire épique de l'empire sur un peuple sauvage.
C'était tout ce que retiendrait l'histoire. Les souffrances seraient gommés.
Le ciel était ironiquement bleu. La pluie et l'orage n'était que dans la tête des rares survivants. Mais tout n'était pas encore calme. La fin de cette terrible attaque se produisait. Une machine de guerre, amalgame de fer et d'acier, était en train de tirer sur un lion qui se déplaçait avec une vigueur surprenante. Il portait une tunique rouge tel un rubis, avec des couleurs d'or dessus. Son visage était grave et dégageait une solennel puissance. Une barbe blanche lui donnait un faux air de sage, et ses yeux améthyste semblaient jeter des hallebarde. C'était Charon, roi des Léoss. Sa crinière flottant au vent, il se jeta sur la machine, armé de son sabre d'airain. Les balles ricochait sur le sol autour de lui. Quand la machine ajusta ses tirs, le lion se concentra. Il sentit l'énergie profonde, immense, grandiose qui circulait sous ses pieds, sous le sol. L'énergie d'un courant tellurique.
Il la fit sortir de sol, et la rependit, force invisible, dans l'air tout autour de lui. L'atmosphère était tellement saturé de puissance autour de lui que des petits éclairs se formait. D'un coup, il sembla se concentrer, et sauta d'un bond prodigieux vers la démoniaque machine. Autour de lui, l'énergie formait une sphère tournoyant translucide, sur laquelle les balles s'écrasait, impuissante. Le lion fondait sur le canon principale de la machine humanoïde sans que l'humain au commande puisse faire quelque chose. Quand la protection transparente percuta le métal de ce qui séparait le canon et la machine, celui ci sembla s'effriter comme s'il vieillissait de plusieurs siècles en quelques minute. Le sabre du roi Léoss s'illumina d'un feu incolore et frappa l'acier, le coupant comme du beurre, tranchant câble hydraulique et électrique sans difficultés, lentement, mais surement. Le canon d'acier finit par être tranché et le roi retomba à terre lestement, et se retourna.
Il vit deux rayons de lumières sortir de sous la terre. Les deux guerriers non-loin d'être légendaires, Myrkur et Dahor, avait répondu à son appel. « Ombre » et « Mort » étaient de retour de leur vie de nomades. Ils avaient quittés le peuple Léoss à cause de la brutalité de leur chef. Mais maintenant, il venait sauver les derniers survivants. Le premier était revêtu d'une cape épaisse et noire comme la nuit, et seul le bout de son museau, ainsi que quelques mèches rousse caractéristiques des crinières Léoss étaient visible. Le second était revêtu d'une armure blanche comme l'ivoire, décorés de motifs macabres de crânes et de squelette.
Les deux nouveaux arrivants furent immédiatement pris pour cible par les bras d'aciers armés de fusils mitrailleurs de la machine de guerre de Zanie. Les deux firent des sauts prodigieux, et se placèrent sur des courants telluriques. Myrkur fit un signe de la main, et des milliers de bras translucides sortirent de sa cape pour aller attraper un des deux membres supérieur de la machine. Au même moments, Dahor projeta une myriade de lame de poignard, reliés à son armures par des chaines immaculées. Les lames se plantèrent dans le second membre. D'un coup, les deux guerriers revinrent sous terre. Les chaines et les bras transparent qui semblait sortir du sol tels des arbres belliqueux se mirent à fondre à toutes vitesse, s'éloignant du géant d'acier qui s'effondra sur le sol.
Charon chargeait pendant ce temps son sabre d'énergie de la terre. En voyant la machine de mort étandu, comme morte, il eut un sourire de joie. Il se mit en position de combat, et chargea de l'énergie sous ses pieds. D'un coup, il fut propulsé à une hauteur prodigieuse. En refondant vers le sol, il se mit à crier de sa voix forte, dans sa langue natale, un phrase qu'il voulait être la dernière qu'entendrait celui qu'il contait bien tuer pour avoir participer au meurtre de son peuple.
- Et maintenant, le coup de grâce ! Que la vengeance de ma lame te fasse fondre en enfer !
Mais tandis que le lion fondait sur ce qu'il voulait être sa victime avec un cri de rage, un cylindre d'acier noir sortit du thorax de la mécanique diabolique. Il y eut un déclic. Puis, un coup de feu. Aussitôt après, sous les yeux effarés des deux lions, le roi porta ses main à son cœur, une grimace de douleur à son visage. Sa tunique devenait sombre autour de ses mains, mains qui se couvrait de sang, sang qui retombait en fine gouttes, gouttes qui s'écrasait sur la machine à tuer. Tandis que le sabre ayant perdu toute puissance tombait inutilement avec un tintement métalique sur le robot, le roi des Léoss s'effondra sur le sol.
Charon était mort avant d'avoir touché terre.
Au commande de la mécanique, le soldat se réjouissait. Il venait de vaincre un redoutable ennemi de l'impératrice Zanie. Pour cela, il allait avoir une immense récompense. L'Imperator Solaris avait promit pour celui qui tuerais le terrible roi des Léoss une vie loin des combats, dans des terres offertes par le gouvernement solaire lui même. Malheureusement pour lui, il ne vit par la lame à chaine de Dahor arriver droit sur lui. Et ce fut trop tard quand elle transperça son crane, le tuant sur le coup. Le corps de l'humain s'effondra sur le tableau de bord.
Les deux guerriers Léoss regardaient la dépouille de leur chef. Ils devaient aller chercher les derniers survivants et les réunir. Pour pouvoir enterrer avec eux le Roi et le Peuple défunts. Myrkur et Dahor se dirigèrent vers la dépouille de camps, avec l'espoir qu'il y restait quelques autres êtres en vies qu'eux. Tout le restes de la journée durant, ils cherchèrent quelques survivants viables. Mais les rares survivants expiraient les uns après les autres. Et à force de marcher dans le camps, entourés de corps, ils commencèrent à perdre toute trace d'espoir, à penser qu'ils étaient les derniers survivants que leur peuple s'éteindraient à leur mort. Ils n'avaient plus le choix. Ils allaient devoir bruler le camps, ainsi que le corps du chefs. Cela, ils le savaient depuis le début. Mais ils avaient eux l'espoir qu'ils n'auraient pas été seul. Ils commencèrent à chercher les bidons d'un liquides très inflammable de leur peuple. Mais tandis qu'il versait le liquide dans le camps, il entendirent des cris étouffés sortant d'un tas de gravats.
Immédiatement, ils se jetèrent sur les décombres et finirent par en sortir la petite léoss noire, qui toussait et crachait. Elle était blessé, mais non mortellement. Elle semblait également mourir de soif. Les deux guerriers allèrent dans une tente et prirent de l'eau dans un tonneau, pour que la petite léoss puisse boire. Une fois la soif de la jeune lionne étanché, ils lui demandèrent son nom. Elle se nommait « Vekina ». Les deux guerriers se regardèrent, et firent signe à la jeune lionne de les suivres.
- Il ne faut rien laisser du Peuple. Le Peuple est mort. Ils faut pas que nos secrets se découvrent. fit un des deux guerrier.
Elle acquiesça. Elle savait que ce qu'ils allaient faire était terrible, allait tuer ceux qui agonisait. Mais ils ne pouvaient rien pour eux, et il fallait détruire le savoir. Après avoir finit d'asperger tout le camp de l'étrange produit, ils gardèrent un dernier bidon, et sortir une dernière fois du village. Après, ils envoyèrent de l'energie tellurique sur le liquide, laissant les flammes embrasé le village et ses secrets. Une fois cela terminé, ils se dirigèrent sans un mots vers la dépouille de leur chef. Et avant qu'il ne verse dessus le produit inflammable, ils remarquèrent un papiers ensanglanté dépassant des mains du lion.
Ce papier, écrit à la va vite avant que l'attaque ne se déclenche vraiment, expliquait que le roi s'était douté qu'il allait perdre la vie. Et la fin des Léoss lui avait semblé inévitable. L'armée avait déjà détruit bien d'autres peuples. Il expliquait aussi qu'il n'avait qu'un seul et unique regret. Celui d'avoir chassé son propre fils. Il l'avait fait pour le bien du peuple, ce gamin étant bien trop rebelle par rapport aux idées du peuple. Mais maintenant, ironiquement, celui qui avait été un danger pour le peuple devenait son dernier espoir. Pour finir, le message formulait une demande. Celle de protéger celui qui avait du fuir les Léoss, celle de le défendre contre les danger qui le menaçait dans le monde. Le fait d'être un des derniers léoss était pour lui une menace constante et mortel. Il fallait le défendre.
Après cela, le liquide translucide, un peu orangé, aspergea le corps inerte de Charon. Et les énergies de la terre embrasèrent le corps. Ce fut ainsi que finit un roi controversé, qui avait été jusqu'à maltraiter et chasser son propre fils, qui avait passé son temps à se battre contre le pouvoir. Mais c'était aussi la fin d'un stratège avisé, qui avait réussi à tenir quinze année en guerre totale contre un pouvoir omniprésent.
Un nouveau peuple venait d'être vaincu par Rosie Aldéphine Marie Adélia Zanie.
***
An 147 du CIS, Calendrier Impérial solaire. (20 ans après l'invasion)
Le lycée de Cusco se déployait, bâtiment de pierre de la renaissance européenne au cœur de l'ancienne capitale de l'empire déchu de Atahualpa. Sur le toit de cet établissement, qui comptait parmi les plus respecté de l'empire s'il n'était pas le plus respecté, se tenait une jeune lodijoad. Une petite chatte étrange, au pelage violet et à la chevelure teinte de bleu, qui ne devait pas avoir plus de douze années. Son regard aux iris noir était sombre, et son visage sérieux s'appuyait sur ses mains croisé, coude posés sur ses jambes. Elle observait les batiments grandiloquents, les parcs exagérément grand, et surtout, l'unique drapeau du gouvernement solaire qui tronait fièrement sur le hall du lycée. Elle soupirait, l'ennuie s'emparait d'elle. Elle s'allongea sur le toit, regardant les étoiles de la voute céleste. Au bout d'un moment, qui aurait pu lui sembler des heures comme quelques minutes, une lourde voix retentit.
- Le toit est interdit d'accès !
La jeune chatonne regarda l'homme qui venait de parler. Il était gros, avec une moustache et un reste de chevelure blanches, et son regard sévère se posait sur la petite chatte qui le regardait qu'a moitié. De plus, il semblait passablement ivre. Il s'avança vers l'enfant, et la frappa d'un coup de balais. Il fut surpris en ne la voyant même pas broncher. En pestant contre les lodijoads et les non-citoyens qui se croyaient tout permis et qui causaient les crises et causeraient la ruine de l'empire, il abattit une seconde fois le balais sur la chatonne. Cette fois, elle arrêta d'une main le balais, et le tint fermement. Le concierge s'efforça d'essayer de tirer son arme improvisé, mais ne put retirer le balais des mains de la petite fille de douze ans.
- Donc, vous m'avez frappé une première fois car j'avais fait une chose d'interdit. résuma la petite lodijoad. Mais maintenant, vous voulez me frapper car je fais, à ce que vous pensez, partit d'une classe sociale qui vous est soit-disant inférieur, et que vous haïssez. Vous avez présumé que je suis non-citoyenne par mon espèce, qui est celle que vous estimez inférieurs. Mais savez vous le nombre d'élèves lodijoads qui sont citoyens dans ce lycée ?
-Des ordures ! Qui profitent d'un statut qu'il ne devraient pas avoir ! cracha le concierge.
-Et à coté de cela, vous qui n'êtes surement que non-citoyen, et qui devez avoir besoin de cette haine pour vous sentir quelqu'un, non ? Et aussi, savez vous qu'il y a le plus tabou du tabou ? Des hybrides !
Le concierge eut un air de dégout en entendant cela, causant un rire cristallin chez la petite lodijoad. Les hybrides étaient des êtres nées de parents lodijoads et humain. Le tabou absolu. Ils ressemblaient généralement à des humains, mais présentaient quelques signes animaux, tel que des oreilles et queue d'animaux. S'ils étaient tabou, c'est parce qu'il représentait la proximité d'espèce des Homo Zoomorphis et des Homo Sapiens. Car en plus d'être parfaitement viables, ils pouvaient procréer.
Furibond, le concierge chercha un moyen de coller la jeune chatte, et ce fut à ce moment qu'il remarqua sa tenue, composée d'une longue tunique verte à manche très courte, avec en dessous un polaire bleu au manche très longue et large, comme était également son pantalon vert au motifs or sur le coté. C'était loin de l'uniforme règlementaire. Quand le concierge lui cria dessus pour cela, la jeune chatte lui fit remarquer qu'elle n'était pas élève ici. Ce qui redoubla la colère du concierge.
- Si t'es pas élève, que fous-tu là ? s'emporta-t-il, tout en tirant de plus belle le balais avant de se remettre à l'injurier.
L'enfant commençait à en avoir marre de subir les insultes de cet humain qui comblait comme tant d'autre son manque d'importance dans une stupide croyance en une hypothétique supériorité. Elle décida de continué ses piques, dans le but de pousser le concierge a bout. De plus, cela lui permettait de voir à quelle point la population « lambda » - sans être la plus conséquente en terme de population - constituée en grande partie de citoyens humains, réagissait face aux dérives faces aux dogmes de l'empire... En plus, l'alcool rendait plus locace l'homme !
- Et dire qu'en plus on est dans une académie privée, appartenant à la RichCorps ! soupira hypocritement la chatonne. Même Gasper Rich, dirigeant de la multinational officielle de l'empire, déclaré « purement solaire » par Zanie laisse des non-citoyens et des lodijoads entrer dans ses établissement !
- On est dans une des meilleurs académie privée, et on subit les même crasse que le publique ! s'emporta de plus belle l'humain. Même Rich se laisse avoir par ses fientes, qui ne veulent que s'accaparer ce que méritent les vrais citoyens de l'empire, et non pas ces barbares comme toi, venant de Vénus !
- Je ne viens pas de Vénus. rigola la petite chatte
- Ta race viens cette planète, tu le sais, petite peste ! Pour qui tu te prend, pour parler de la sorte à quelqu'un qui t'es supérieur ? Tu ne vois pas ce que tu es ? Tu es l'échelle la plus basse de la création ! Une bête sauvage !
- Oui ! ria la petite lodijoad. Je suis ce que vous haïssez le plus ! Et je me permet de vous répondre au lieu de vous obéir ! Révoltant, n'est-ce pas ?
La petite lodijoad aux habit verts et bleu s'amusait à regarder la veine saillante sur la tempe de l'homme qui s'énervait de plus en plus. L'enfant ne comprenait nullement les possibilités de danger, et semblait se penser parfaitement maîtresse de la situation. Elle ne remarqua pas que l'homme avait sortit un couteau, sans quitter des mains le balai. Et quand il se jeta sur elle, seul un bond en arrière la sauva d'être tuée par le poignard, qui s'enfonça pourtant sa jambe. Criant de douleur, la jeune chatte jeta au concierge un regard nouveau. Il était plein de colère, de haine. Et surtout de sadisme et de cruauté. Quand il tenta à nouveau de ficher le couteau dans la chair, la petite lodijoad se défendit en le soulevant grâce au balai, et en le faisant se cogner contre les ardoises du toit. Elle se réjouit des jurons de douleur poussé par l'humain et quand il tenta de nouveau de la poignarder, elle le souleva grâce au manche de bois, et l'homme se retrouva perché au dessus des cinq mètres le séparant du sol. Celui-ci agrippait comme il pouvait, tout en continuant d'injurier la petite chatte.
- Ordure, petite conne, salope, va crever, toi et les tiens ! crachait-il
Le regard de la petite fille n'était plus de rage. Plus de rire. Plus de colère. Plus d'amusement. Plus de sadisme. Juste vide, fatigué. Elle regardait le spectacle pitoyable sans vraiment le voir. Elle écoutait les insultes sans vraiment les entendre. L'homme tenta un dernière fois de la tuer, oubliant se qu'il se passerait si la petite lodijoad mourrait dans sa position actuel. Pour se défendre, la petite chatte ne fit qu'un geste simple. Elle lacha le balais. L'homme chuta dans un cri, et s'écrasa sur le sol. Quand elle regarda en bas, elle vit qu'il était déjà mort. Son propre couteau était fiché dans sa chair.
- Blackus va me tuer... se plaignit-elle en regardant la voute étoilée.
Il fallait le plus possible éviter que sa présence soit connu, car elle n'avait rien à faire dans cet établissement, en temps normal... En fait, il aurait bien fallut à un moment qu'elle se débarrasse de ce témoin gênant. Elle allait devoir faire quelque chose pour faire en sorte que sa présence soit naturelle, qu'elle n'est rien de bizarre. Il y avait bien une solution, mais qui ne l'enchantait guère. Enfin, elle allait en reparler le lendemain à son frère. Elle soupira et jeta un regard vers le corps désarticulé du concierge.
- Repose en paix, sinistre crétin. fit-elle tandis que le soleil se levait.