Désoler pour mon retard j'ai eu un blanc. Mais je poursuit.
(je suis tombée de fatigue en plein cours de math et mes parents mon dit de me reposer sans écran jusqu'a ce que j'aille mieux.)
Chapitre III : fuite ou ruse de renard
(Dans la peau de Nina)
Mais quand ce charabia va s’arrêter ! Depuis qu’ils sont ici, ses prétendus «héros» ne m’inspirent pas du tout confiance, surtout cette folle qui cogne n’importe qui avec un marteau géant pour rien. Il est vrai que le hérisson en bleu est toujours a la télé, mais seulement pour ça vitesse et ses actes. Qui ne me dit pas qu’il a une deuxième facette ? Qu’il là cache du public et qu’il agit en cachette. Il ma sauvée hier, mais ce n’ai pas cela qui va me faire changer d’avis.
http://www.youtube.com/watch?v=t9H3AP53ROkCela faisait cinq minute que l’épineux et la lapine était parti lorsque j’entendis le son de la musique entrer dans mes tympans. Cette fois-ci était de trop. Sans faire de bruit, je descendis de mon perchoir pour me faufiler à la cave. Rendu près de la porte, je me suis fait le plus silencieux possible pour entrer et sauter sur les potos du plafond. Personne n’avait remarqué ma présence excepté mes amis qui gardèrent le silence. Tant mieux. Je m’assis de dos de tout le monde, les jambes croiser. J’écoutais mes frères jouer de notre thème préférer exprès pour nos inviter. Mes queues se balançaient d’un coté à l’autre au rythme de la batterie. Black tapais dessus les yeux fermer. Caon s’amusait à mixer les voix, les sons et avait mit mon enregistrement puisque je n’étais pas sur la scène. D’habitude, je jouais du synthétiseur, mais au lieu, Max y était à ma place. Tous avait un microphone et chantais presque tous d’un ton bizarre du au dj qui avais du plaisir à mélanger leur voix. J’aurais aimé descendre et les rejoindre, mais je n’avais envie de me présenter devant tout le monde. Moi, je ne serai jamais capable d’être sur une scène avec un public. J’aime mieux rester derrière celle-ci et passer inaperçue.
(veuiller fermer la vidéo)
Après qu’ils eurent terminé, les quatre hybrides applaudissaient mes amis. Maintenant qu’ils parlaient tous ensemble, je tendis l’oreille pour mieux les entendres.
- Savez-vous chanter ? Demanda Max en se dirigeant vers le fond de la pièce.
- Bien sur ! Fit le hérisson bleu.
Le chien rapporta une boite pleine de papier.
- Choisis-en une et la scène est a toi !
L’épineux fit ce qu’il dit. Il fouilla dans la boite et se choisi l’une des partitions qui trainait dans le fond du carton. Il la donna ensuite a Max qui cria au lycaon la numéro dix-sept. J’ai senti que ça deviendrai intéressant. Caon se précipita sur son plateau, Black s’installa sur sa batterie, Max sortie sa guitare d’ont ne sait où et l’épineux monta sur la scène.
(veuiller allumer pso radio à la numéro 40 de la saga adventure)
Une plaque du plancher s’ouvrit et une télé assez petite en sortie. Le loup lui expliqua vite fait que se qu’il devait chanter était indiquer là. L’épineux prit le micro et Caon donna le signal. Il se débrouillait plutôt bien.
Chaque fois que j’entends cette chanson, elle me fait penser à quelque chose qui me manque. Sauf que se n’ai pas le temps d’y penser.
(veiller arrêter la musique)
Le soir venu.
Une fois qu’ils étaient tous partie, je me posai beaucoup de question. J’étais maintenant indécis. Lorsqu’il avait suivit les paroles, l’épineux avait l’air les dire avec son cœur et son âme. Je n’ai jamais trouvé les réponses à mes questions. Pour les trouver, mon cœur me disait de partir le plus loin possible, sans avertir personne. J’en ai donc pas parler a mes frères et j’ai fait du mieux possible pour paraître normale. Le reste de la soirée fut un peu mouvementé par Caon qui blaguait contre Black qui lui, le frappait sans cesse.
Une fois qu’ils furent tous endormie, je me suis dis «où-vais-je fuir?». Le seul endroit qui m’était familier, était là où mon passé régnait. Ce serait mieux que rien. A l’endroit où j’irais, ils me trouveront facilement. Je me suis diriger dans la cuisine et j’ai ouvert la porte de la penderie. Tous ce qu’il y avait à l’intérieur me tomba dessus, par reflexe, je fis un grand bon vers l’arrière pour éviter tous le matériel.
Une chance que mes ceux qui dorme en ce moment le font comme des bûches. J’ai pris tout ce dont j’avais besoin et je sorti par la fenêtre de la pièce. Tous les objets étaient dans un petit sac bleu marin accroché à mon dos. Je marchais, en m’enfonçant plus profondément dans la forêt, sans me soucier du noir. Même que j’étais plus à l’aise qu’avant. Trente minutes s’écoulèrent avant d’arriver au bord d’une petite plage. La lune reflétait sur la mer de son plein gré.
Je me suis mit a genoux pour déposer le sac au sol et j’ai fouillé a l’intérieur. Des lunettes de plongé était maintenant entre mes mains. Je mis ces verres derrière ma tête, mes yeux était fermé et les lunettes, devant ma figure. Lâchant prise, ceux-ci me pincèrent la nuque. Me dirigeant maintenant vers l’eau, j’ai remarqué quelle était assez froide, tans pis, je mi lance quand même. Mes pieds me propulsèrent vers l’étendu bleu. Un grand «splash» se fit entendre entre mes oreilles. L’eau était claire et vivifiante. Je me suis mit à nager comme le plus gracieux des dauphins. En ondulent ainsi à la surface, j’atteindrai surement ma destination en moins de deux.
Le temps passait. Lorsque la brume se mit à apparaître, le moment de plonger était venue. J’enfoui ma tête sous l’eau, suivi du reste de mon corps, m’en allant de plus en plus profondément vers le fond. Je nageais toujours vers le fond jusqu’à ce que j’aperçoive une grotte. Je mis suis faufiler a l’intérieur et je remontais a la surface de celle-ci. Ma tête sortie, mon souffle se remit en marche, et je me dirigeai hors de l’eau.
J’ai retiré mon sac de mes épaules, ensuite je l’ai déposé sur le sol rocailleux de la grotte, et je m’assis lourdement juste à coté. Je retirai mes lunettes et je l’ai rangèrent dans mon sac. J’entendis quelque minute pour me reposer de ma longue balade sous l’océan. Je me levai ensuite pour m’extirper de se trou. Dehors, il faisait encore nuit. La clairière ou je me situais était immense. Au milieu de celle-ci, un rocher faisant plus de deux fois ma taille, si situait. Je me dirigeai vers la pierre géante, qui était aussi grise et rugueuse que la peau d’un pachyderme. Rendu aux coté du rocher, je grimpai sur la roche.
Je levais maintenant la tête vers le ciel, observant la lune de sa splendeur, espérant qu’ils allaient entendre mon appelle. Je pris une grande bouffé d’air avant de hurler de toute mes forces. Comme je l’espérais, j’entendis un faible hurlement provenant de la forêt juste en face. Je descendis de mon rocher et je me suis mit à courir la ou la réponse venait. M’enfoncent ainsi dans la forêt et son noir linceul de la nuit.
A la base du docteur Eggman
(veuiller faire le silence totale et lire)
Eggman :- S’est ça, continue comme cela petite peste et tu finiras sous mon contrôle.
Robot :- Devon nous attaquer docteur?
Eggman :- Pas encore, aller juste vous préparer et je donnerais le signal.
Robot :- Oui chef!
Eggman :- Tu peux sortir de l’ombre, nous sommes seul.
Inconnue :- je préfère ne pas te dévoiler qui je suis réellement et causer des ennuie à ton compte. Je travaille seulement pour toi car j’ai un compte à régler.
Eggman :- Bon, je comprends, mais maintenant va donc cacher les robots pour l’assaut.
Inconnus :- Entendue!
Ils sorti de la pièce noire. Seul quelque écran éclaira à peine la pièce, là ou était assis le docteur qui éclatait de rire.
bien sur ce n'est pas très long, mais j'ai fais de mon mieux.
(vous savez surement ce que s'est de trouver quelque chose lorsque votre imagination est vide.)