Alors, je commence une fan-fic', même si je sais pas écrire! Yolo! *sbarf*
Je ne saurais dire si c'est un récit d'aventure, c'est ma première fan-fic' donc je suis un peu incompétente pour le moment. :3
(Total de mots: 1227-1228.)

Chapitre I: Un réveil de solitaire.

Cela faisait un moment que Séléné avait déposé son voile noir dans le ciel, ne laissant à la vue des êtres vivants que sa brillante boucle d’oreille de nacre, la lune. Cette dernière envoyait ses rayons en direction de la forêt. Cette sombre forêt renfermait en son sein, travaillant la neige, une fillette. Elle jouait. Elle riait. Elle rassemblait boules de neiges et flocons pour fabriquer une forme pratiquement humaine. Elle posa un noyau de cerise sur le visage du monstre de neige, et planta deux feuilles de bette sur le haut de son crâne.
Tandis que les branches des arbres dansaient dans la nuit, tandis que les brins d’herbes dépérissaient sous la froide neige... Elle caressait le monstre, essayant de le sculpter à la perfection. Ses moufles en peau de renard empêchaient la froideur d’atteindre sa peau délicate. Quand enfin elle eut fini, elle posa deux graines de lotus en guise d’yeux et murmura:

- Si tu peux porter ces signes du printemps sans fondre, alors tu seras encore là quand je reviendrai aux saisons chaudes.

La fillette fuit alors en riant, comme elle était venue... Son oeuvre finie alors seule, perdue parmi l’ombre des arbres. Les heures, les jours, les mois, les années peut-être! Passèrent... Encore et encore. La fillette ne revenant pas le saluer, le monstre commença à fondre doucement avec la neige autour de lui... Son coeur de glace devint eau, qui s’écoulait par les graines de lotus lui servant d'yeux... La main de glace commençait à bouger doucement, les stalactites suspendues à son museau tombèrent au sol, et le monstre de neige marcha. Ses oreilles feuillues remuèrent, sa graine de nez renifla l’air... Ses yeux en graines de lotus clignèrent et fixèrent les arbres noirs.

- Où est-elle partie?... Où se trouve-t-elle?... Souffla le monstre.

Poussant le feuillage des arbres, piétinant les hautes herbes, il avança en quête de sa créatrice, vers l’inconnu... Ses pieds le guidèrent derrière les arbres, derrière les buissons, en direction d’une marre géante. Il se pencha au dessus de l’eau opaline qui refléta son visage, qu’il fixa un bon moment avant d’être interrompu dans son action par un petit couinement, suivi d’une voix féminine ajoutant:

- J’ai rarement vue une chose pareille...

Une jeune échidné, accompagnée de plusieurs petites créatures volantes, fixait le monstre penché au dessus de l’eau. Comme si de la neige bougeant en pleine saison chaude était étrange... Elle s’approcha d’un pas furtif, alors que le monstre reculait par crainte.

- Qui es-tu donc? Je n’ai jamais eu connaissance d’une telle créature dans ses bois...

Le monstre ouvrit sa mâchoire givrée, et grogna, accompagné de son souffle froid:

- Prin... Printemps...

L’échidne esquissa un sourire amusé, et murmura qu’il était amusant pour une créature de neige de s’appeler Printemps. “Printemps” releva la tête et ouvrit légerement sa gueule, comme pour protester, mais aucun son ne voulait sortir. Les boules volantes tournoyèrent autour de la masse glacée, amusées par l’aura fraiche qu’il dégageait.

- Ce sont mes amis... Des Chaos, ils sont gentils. Ils ne te feront pas de mal, ricana l’échidné. Sans être indiscrète, d’où viens-tu? Tu es perdu?

La créature expliqua en quelques mots qu’il était à la recherche de sa créatrice, une fillette humaine l’ayant sculpté il y a de cela un bon moment, et qui lui avait dit qu’elle reviendrait aux saisons chaudes. L’oditoire fronça légerement les sourcils, et s’écarta de quelques centimètres.

- Je vois... Je comprends mieux... Je n’ai donc pas besoin de jouer la comédie avec toi...

Lança-t-elle en fuyant en courant, laissant derrière elle une longue étendue de givre. Plongé dans l’incompréhension, Printemps ne vit pas venir l’attaque des petits Chaos qui le poussèrent violemment au sol, quelques mètres plus loin... Non, ce n’était pas des Chaos à présent... De petits monstres de brindilles mortes volants dans les airs à l’aide d’ailes en toile d’araignée. Ils crachaient leur sève et montraient leurs dents de pierre en direction de la créature des glaces, titubant, cherchant une porte de sortie. Les monstres encerclèrent ce dernier, tournoyant autour, se rapprochant de plus en plus... La peur pouvait se ressentir dans les ye-... Les graines de Printemps, il sera les poings et dans un dernier élan, fonça dans l’eau se trouvant à côté de lui. Les monstres, en voyant Printemps couler comme une pierre, s’empressèrent de partir en poussant des cris à en glacer le sang...

Printemps pouvait sentir l’eau glisser sur la surface de son corps, et emporter quelques particules de glace... Il pouvait sentir son corps se consumer doucement, dans la douleur. Peu à peu, ses yeux se fermèrent, engourdis... Mais ce n’était pas la fin.
Printemps, sentant l’air souffler sur son visage, ouvrit lentement les yeux. Le monde avait changé autour de lui... Les fleurs aux mille couleurs, les feuilles d’un vert tendre, l’eau ondulante... Les Chaos et l’échidné... Maintenant, le monde qu’il avait vu à son réveil était semblable à sa personne: Froid. Les arbres étaient dépourvus de leur feuillage, le sol était recouvert d’une épaisse couche de neige et de verglas, l’eau était gelée... Et les Chaos, ainsi que l’échidné avaient disparu.

-Tu t’es fait avoir, chantonna une voix.

Printemps tourna la tête en direction de la voix et tomba nez à nez avec un phoque, possédant un long foulard enroulé autour de sa tête. Installé sous l’ombre d’un arbre, il parla sans regarder la créature.

-Vu ta composition, tu as eu de la chance que je passe par là. En quelques heures, l’eau t’aurait transformé en vulgaire glace fondue! Comme je l’ai deja dit, tu t’es fait avoir... t’as surement du rencontrer l’aut’ échidné non?

-Tu... M’as donc sauvé?... Demanda Printemps. Mais sans faire attention à la question du monstre de glace, le phoque continua son bla-bla:

- C’est une manipulatrice et une illusionniste de talent, elle a réussi à faire croire à pratiquement tous les résidents de cette région que les saisons chaudes étaient de retour grâce à elle... Mais évidemment, nous sommes encore plongés dans la froideur de l’hiver... Nous ne sommes au printemps qu’en apparence, nos problèmes de nourriture restent les mêmes... Mais les habitants sont trop bêtes pour comprendre que nous ne sommes pas aux saisons chaudes, et que cette échidné ne fait que profiter d’eux en les “menaçant” de faire revenir l’hiver... Maintenant qu’elle profite de tout le monde, je me demande ce qu’on va bien pouvoir devenir...

Printemps remua une de ses oreilles et releva la tête.
- Saisons... Chaudes?...

- Tu as brisé l’illusion toi aussi... Tu vois maintenant le paysage que les autres ne voient pas. J’ai entendu ton discours tout à l’heure... Alors comme ça, c’est une humaine qui t’a sculpté?
Printemps hoche mécaniquement la tête.
-Oulalala! Ca nous rajeunit pas tout ça! Et donc elle t’as annoncé qu’elle reviendrait te voir aux saisons chaudes?

Printemps hocha de nouveau, mais avec un air plus inquiet.

-... Navré de te l’annoncer mon vieux, mais il n’existe plus d’humain sur ces continents depuis des lustres... De plus, ils ont disparu en laissant leur pollution, qui a créé c’t’hiver, derrière eux avant de disparaitre... Ca explique aussi pourquoi ta copine est jamais revenu.

Le phoque se lèva et s’approcha, son regard perçant fixant celui du monstre des glaces.

-Comme le printemps n’est jamais revenu, elle n’est pas venue te voir... Et elle a fini par crever comme les autres.


To be continued.
(J'espère que ça vous à un peu plu! J'ai remarqué un peu tard qu'il me manquait 300 mots... J'espère que ça reste acceptable! En tout cas,  j'aurais 1500 mots au prochain chapitre,  je le jure!  )

Alors personnellement j'aime bien. Je sens que tu t'es inspiré de La Reine des neiges pour écrire le scénario, à cause de l'hiver sans fin, je me trompe?

Ah et je ne sais pas si c'est une erreur mais à : "Je n’ai donc pas besoin de jouer la comédie avec toi... Lanca-t-elle en fuyant en courant," tu as créé un long paragraphe mélangé avec la phrase de dialogue, est-ce volontaire?

Moi j'aime beaucoup, je trouve que le scénario est original et assez touchant, franchement j’attends une suite ;).

Pour le dialogue, c'était involontaire! J'ai corrigé ça! :)

Merci pour votre avis, et en effet, je me suis peut être inspirer inconsciemment de Frozen, vue que j'avais vue le dessin animé peu de temps avant de commencer l'écriture.

Alors toi tu mérites des félicitations On te savait déjà douée en dessin mais tu montres aussi un certain talent pour l'écriture. D'une part tu dois être la seule nouvelle à avoir prit le temps de lire et d'appliquer les règles de la section. Pas grave pour les 300 mots manquant.
Seconde chose cela faisait bien longtemps qu'on avait pas eu de fic aussi innovante. Autant dans le scénario que dans le personnage principal. Je suis vraiment curieuse de voir la suite.
On va passer aux points négatifs : tu es fâchée avec le mot échidné. A chaque fois tu as oublié le dernier accent. Sinon ton principal défaut ce sont les répétitions. Pour corriger ça n'hésite pas à te faire des champs lexicaux et également à consulter régulièrement un dictionnaire de synonymes.
Niveau orthographe y'a rien de catastrophique, il y a peu de fautes mais elles sont énormes. Je pense qu'une autre méthode de relecture t'aiderait. Une fois que tu as écrit ton texte ne le relis pas immédiatement attends au moins une semaine voir plus et en attendant écrit la suite. Tu verras qu'avec une relecture à distance tu verras plus facilement les fautes et les répétitions.

Niveau syntaxe : il faut mettre un espace avant et après les points double : (: ; ! ?) et seulement un après les points simple : (,.)

Pour finir j'ai corrigé rapidement ton texte (il y a surement d'autres fautes qui m'ont échappé surtout que j'ai fait ça en m'occupant des mes enfants  ^^).

Chapitre I: Un réveil de solitaire.

Cela faisait un moment que Séléné avait déposé son voile noir dans le ciel, ne laissant à la vue des êtres vivants  que sa brillante boucle d’oreille de nacre, la lune. Cette dernière envoyait ses rayons en direction de la forêt. Cette sombre forêt renfermait en son sein, travaillant la neige, une fillette. Elle jouait. Elle riait. Elle rassemblait boules de neiges et flocons pour fabriquer une forme pratiquement humaine. Elle posa un noyau de cerise sur le visage du monstre de neige, et planta deux feuilles de bette sur le haut de son crâne.
Tandis que les branches des arbres dansaient dans la nuit, tandis que les brins d’herbes dépérissaient sous la froide neige... Elle caressait le monstre, essayant de le sculpter à la perfection. Ses moufles en peau de renard empêchaient  la froideur d’atteindre sa peau délicate. Quand enfin elle eut  fini, elle posa deux graines de lotus en guise d’yeux et murmura:

- Si tu peux porter ces signes du printemps sans fondre, alors tu seras encore là quand je reviendrai  aux saisons chaudes.

La fillette fuit alors en riant, comme elle était venue... Son œuvre finit  alors seule, perdue parmi  l’ombre des arbres. Les heures, les jours, les mois, les années peut-être ! Passèrent... Encore et encore. La fillette ne revenant pas le saluer, le monstre commença  à fondre doucement avec la neige autour de lui... Son cœur de glace devint eau, qui s’écoulait par les graines de lotus lui servant d'yeux... La main de glace commençait  à bouger doucement, les stalactites suspendues  à son museau tombèrent au sol, et le monstre de neige marcha. Ses oreilles feuillues  remuèrent, sa graine de nez renifla l’air... Ses yeux en graines de lotus clignèrent  et fixèrent les arbres noirs.

- Où est-elle partie?... Où se trouve-t-elle?... Souffla le monstre.

Poussant le feuillage des arbres, piétinant  les hautes herbes, il avança en quête de sa créatrice, vers l’inconnu... Ses pieds le guidèrent derrière les arbres, derrière les buissons, en direction d’une marre géante. Il se pencha au dessus de l’eau opaline qui refléta  son visage, qu’il fixa un bon moment avant d’être interrompu dans son action par un petit couinement, suivi d’une voix féminine ajoutant:

- J’ai rarement vue une chose pareille...

Une jeune échidné, accompagnée  de plusieurs petites créatures volantes, fixait le monstre penché au dessus de l’eau. Comme si de la neige bougeant  en pleine saison chaude était étrange... Elle s’approcha d’un pas furtif, alors que le monstre reculait par crainte.

- Qui es-tu donc? Je n’ai jamais eu connaissance d’une telle  créature dans ses bois...

Le monstre ouvrit sa mâchoire givrée, et grogna, accompagné de son souffle froid:

- Prin... Printemps...

L’échidné  esquissa un sourire amusé, et murmura qu’il était amusant pour une créature de neige de s’appeler Printemps. “Printemps” releva la tête et ouvrit légèrement  sa gueule, comme pour protester, mais aucun son ne voulait sortir. Les boules volantes tournoyèrent autour de la masse glacée, amusées  par l’aura fraiche  qu’il dégageait.

- Ce sont mes amis... Des Chaos, ils sont gentils. Ils ne te feront pas de mal, ricana l’échidné. Sans être indiscrète, d’où viens-tu? Tu es perdu?

La créature expliqua en quelques mots  qu’il était à la recherche de sa créatrice, une fillette humaine l’ayant sculpté  il y avait  de cela un bon moment, et qui lui avait dit  qu’elle reviendrait aux saisons chaudes. L’auditoire fronça légèrement  les sourcils, et s’écarta de quelques centimètres.

- Je vois... Je comprends  mieux... Je n’ai donc pas besoin de jouer la comédie avec toi...

Lança -t-elle en fuyant en courant, laissant derrière elle une longue étendue de givre. Plongé dans l’incompréhension, Printemps ne vit pas venir l’attaque des petits Chaos qui le poussèrent violemment au sol, quelques mètres plus loin... Non, ce n’était pas des Chaos à présent... De petits  monstres de brindilles mortes volant dans les airs à l’aide d’ailes en toile d’araignée. Ils crachaient leur sève et montraient leurs  dents de pierre en direction de la créature des glaces, titubant, cherchant une porte de sortie. Les monstres encerclèrent ce dernier, tournoyant autour, se rapprochant de plus en plus... La peur pouvait se ressentir dans les ye... Les graines de Printemps, il sera les poings et dans un dernier élan, fonça  dans l’eau se trouvant à côté de lui. Les monstres, en voyant Printemps couler comme une pierre, s’empressèrent  de partir en poussant des cris à en glacer le sang...

Printemps pouvait sentir l’eau glisser sur la surface de son corps, et emporter quelques particules de glace... Il pouvait sentir son corps se consumer doucement, dans la douleur. Peu à peu, ses yeux se fermèrent, engourdis... Mais ce n’était pas la fin.
Printemps, sentant l’air souffler sur son visage, ouvrit lentement les yeux. Le monde avait changé autour de lui... Les fleurs aux mille couleurs, les feuilles d’un vert tendre, l’eau ondulante... Les Chaos et l’échidné... Maintenant, le monde qu’il avait vu à son réveil  était semblable à sa personne: Froid. Les arbres étaient dépourvus de leur feuillage, le sol était recouvert d’une épaisse couche de neige et de verglas, l’eau était gelée... Et les Chaos, ainsi que l’échidné avaient disparu.

-Tu t’es fait  avoir, chantonna une voix.

Printemps tourna la tête en direction de la voix et tomba nez à nez avec un phoque, possédant  un long foulard enroulé autour de sa tête. Installé sous l’ombre d’un arbre, il parla sans regarder la créature.

-Vu ta composition, tu as eu de la chance que je passe par là. En quelques heures, l’eau t’aurait transformé en vulgaire glace fondue  ! Comme je l’ai déjà dit, tu t’es fait  avoir... t’as surement du rencontrer l’aut’ échidné  non?

-Tu... M’as donc sauvé?... Demanda Printemps. Mais sans faire attention à la question du monstre de glace, le phoque continua son bla-bla:

- C’est une manipulatrice et une illusionniste de talent, elle a réussi  à faire croire à pratiquement tous les résidents de cette région que les saisons chaudes étaient de retour grâce à elle... Mais évidemment, nous sommes encore plongés  dans la froideur de l’hiver... Nous ne sommes au printemps qu’en apparence, nos problèmes de nourriture restent les mêmes... Mais les habitants sont trop bêtes pour comprendre que nous ne sommes pas aux saisons chaudes, et que cette échidné ne fait  que profiter d’eux en les “menaçant” de faire revenir l’hiver... Maintenant qu’elle profite de tout le monde, je me demande ce qu’on va bien pouvoir devenir...

Printemps remua une de ses oreilles et releva la tête.
- Saisons... Chaudes?...

- Tu as brisé l’illusion toi aussi... Tu vois maintenant le paysage que les autres ne voient pas. J’ai entendu ton discours tout à l’heure... Alors comme ça, c’est une humaine qui t’a sculpté ?
Printemps hoche mécaniquement la tête.
-Oulalala! Ca nous rajeunit pas tout ça! Et donc elle t’as annoncé qu’elle reviendrait te voir aux saisons chaudes?

Printemps hocha  de nouveau, mais avec un air plus inquiet.

-... Navré de te l’annoncer mon vieux, mais il n’existe plus d’humain sur ces continents depuis des lustres... De plus, ils ont disparu en laissant leur pollution, qui a créé  c’t’hiver, derrière eux avant de disparaitre... Ca explique aussi pourquoi ta copine est jamais revenue.

Le phoque se leva et s’approcha, son regard perçant fixant celui du monstre des glaces.

-Comme le printemps n’est jamais revenu, elle n’est pas venue te voir... Et elle a fini  par crever comme les autres.

Oulala! J'avais repéré des fautes mais celles là... Wow! J'étais morte de rire en me relisant! x'3

Oui je fais beaucoup de fautes grosse comme ma tête... C'est un gros problèmes que je dois corriger. (Et comme mon ordi est anglais, il considère tous les mots français comme une faute... J'ai du rouge partout du coup! Comme sur mes copies de français! *_*)

Je vais corriger toutes les fautes que tu as repéré. Merci beaucoup pour cette longue correction, ça a du te prendre un bon moment quand même. ^^

En faite il est beaucoup plus facile de relire les autres que se relire sois même. Tu devrais voir les fautes que j'ai fait dans mes fics parfois c'était véritablement catastrophique. Et encore aujourd'hui les personnes qui me relisent notamment pour mon roman doivent s'arracher les cheveux. Ils se reconnaitront ^^'

Un ordi anglais ? ça explique les accents manquant. Par contre si tu travailles sur word tu dois pouvoir changer la langue du correcteur. Il faut aller dans l’outil correction tu changes la langue du dictionnaire.
Certes ça prend du temps de corriger mais pas tant que ça Je le fais en même temps que je lis. Et je sais à quel point c'est important pour un auteur d'avoir quelqu'un qui vous aide à relire. Bon courage pour la suite.

La suite de l'aventure de not' p'tit bonhomme de neige va attendre un peu, j'ai trop de truc à faire pour me concentrer sur l'écriture et de plus, j'ai un léger soucis avec mon Libre Office.

La suite sera là pour la semaine prochaine j'imagine, désolé de faire attendre.

Le message à été modifié.
(Mots: 1877)
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Chapter 1 : Un réveil de solitaire, part.2

Les griffes de glace, acérées par la colère, vinrent écorcher la joue du phoque dans l'élan d’une baffe. Le bonhomme de neige se retint de crier sur son sauveur, de postillonner des grêlons au visage de ce dernier… Mais il se contenta de larmes et d’un écroulement sur le sol. Le phoque caressa ses poils sanguinolent, renforçant alors par l’acidité de la crasse recouvrant ses mains, sa douleur. Il agrippa l’oreille de bette planter sur la tête du zigue de glace, et la tira d’un coup sec, ne provoquant pas la douleur du malheureux.
-Tu te calmes direct bonhomme, ici on est la pour s’entraide. Pas pour se détruire. Je sais qu’t’es choqué par ce que je viens de te dire, mais faut pas s'effondrer pour si peu.

Printemps forcer de fixer le phoque qui tenait fermement son oreille en otage, il pouvait petit a petit sentir sa colère s’envoler… Mais une lueur, un reflet du soleil, vint frapper sa pupille. Au loin, dans les bosquets de brindilles, dépassait la flèche d’un archer. Prit par un courage énorme, Printemps plaqua le phoque au sol, s’arrachant sa feuille de bette au passage. Étalé sur le sol, totalement perdu, l’animal fixa le gonze aplatit sur son torse avec un regard interrogateur.

-Méchants… Méchant pointu… Buissons.
Couina ce dernier, pointant la foret de sa patte givrée, le museau plongé dans le manteau du phocide.

L’aplatit releva le museau vers la direction pointé par Printemps, et manqua de partir dans un fou rire des plus bruyant. Sonné, Printemps se gratta la tête, fixant le phoque pouffant de rire, comme si il se foutait de sa gueule. Le rieur posa ses deux mains gantées sur les épaules du bonhomme, souriant, la larme à l’oeil, puis fit un geste rapide vers le planqué. Par la suite, la silhouette du jeune fille se laissa discerner dans l’ombre, armé de son arc féroce, si grand qu’il pouvait presque toucher les branches des arbres… Malgré le sourire qu’affichait le phoque, elle resta de marbre, voir même intrigué par cette situation.

-Vieux, j’te présente ma fiancée, Olga. Olga j’te présente euh…

-Et ben bravo, tu fais copain-copain avec des gens dont tu ne connais pas le nom… C’est comme ça qu’on finit par se fire voler, cracha l’archère.

-Roh ça va! C’est un bon ami! C’est juste que je me rappel plus d’son nom!… C’est quoi ton p’tit nom deja?…

-Et arrête de lui parler comme si c’était une meuf… Grogna de nouveau l’archère.

Le phoque lança un regard mauvais en direction de la jeune fille avant de relever les pommettes pour faire un grand sourire a Printemps.

-Prin…Temps.

-Et ben, l’a un nom marrant ton copain pour le temps que la météo nous a annoncé… Ricana Olga.

Fait pas attention à elle Prin’, elle est juste lourde parfois, mais elle est pas si exécrable. Au fait, j’me nomme Nolan, c’est pas un super nom… Mais c’est l’mien.

Nolan cracha dans sa paume recouverte d’un cuir brun, puis la tandis a Printemps pour une poignée de main.

-Maintenant on se connaît bien, murmura-t-il. Évite de cracher d’ta main aussi, je préfère pas savoir ce qui se trouve dans ta gueule…

Dans un rire étouffé, la glace vint rencontrer la chair, et toutes deux s’assemblèrent pour créer quelque chose de nouveau: L’amitié. S’avança ensuite Olga, cette fois avec un petit sourire perché à ses lèvres, et caressa la tête dure de Printemps.

-Je suis désolé pour ton oreille, j’espère qu’on pourra arranger ça…

-Mince, navré Prin’, brailla Nolan. J’voulais pas te faire mal! On va essayer de trouver une autre feuille!

-Et tu comptes en trouver où espèce d’abruti! Plus rien ne pousse maintenant!

Olga débuta une discussion endiablé avec Nolan, emplit de rire et de rage, n’attirant pas l’attention de notre ami… Non… Quelque chose d’autre l’inquiétait… Ça n’allait pas, le danger approchait… Il poussa un cri pour obtenir l’attention de ses camarades.

-Plus. Plus grave maintenant.

-Hein? Qu’est ce que tu veux dire… Attend tu-

Olga stoppa son temps de parole, et renifla l’air, le museau levé. Ses petits yeux semblables a deux billes de verre s’écarquillèrent pour afficher l’expression de la terreur.

-Et merde! Les affreux! Lança-t-elle en fuyant à toutes jambes.

Nolan pesta un moment, agrippant fermement un fouet accrocher a se ceinture, puis suivi le chemin empreinté par sa compagne. Ses pieds accrochant les particules de glaces et les diverses flocons tombés au sol, Printemps avait de plus en plus de mal à suivre sa troupe, sentant les cris des créatures se rapprocher… Incapable par la suite d’avancer, il resta immobile parmi les flocons… Attendant la venue du monstre.

-Putaing mais qu’est ce que tu fous Prin’?!

Printemps releva la tête, son regard croisant celui de Nolan revenu pour le trouver, paniqué par la situation, tirant le bras de Printemps pour le forcer à avancer. Jetant un coup d’oeil à ses pieds, Il comprit la situation et ricana faussement:

-Tu t’arrêtes juste à cause de ça?

Nolan retira son foulard qu’il sépara en deux pour finalement, après avoir retiré la neige collante, enrouler le tissu autour des arpions du bonhomme de neige, puis se releva en trépignant, faisant signe de se dépêcher. Printemps fit quelques pas et puis, inutile. Non loin parmi le bois mort, volait une des créatures de l’échidné, fonçant droit sur Nolan. Printemps tenta de donner un coup de ses griffes, mais elle esquiva avec une habilité impressionnante pour finalement atteindre sa cible. Le phoque, tentant tant bien que mal à sortir son fouet de sa ceinture, ne parvint pas a stopper le monstre a temps… C’est fini pour lui.

-°-°-

Soudain, surgissant des bas nuages masquants l’horizon, une lumière aveuglante vint frapper
la poitrine en rameau de l’agresseur. Titubante et surprise, la créature fuyait alors dans un glapissement ridicule. Soulagé d’être encore en vie, Nolan, abattu, se reposa sur son derrière, essuyant les gouttes de sueur ruisselant de son front… Printemps ne s’attarda pas à rejoindre son compagnon, les griffes encore dehors. Mais un intense trait luisant vint séparer sa tête de son corps, celle si encore vivante roulant sur le sol. Le responsable de cette attaque était un vagabond vêtu de lanières et d’autres peaux, de longues oreilles velus franchissant le sommet d’un haut chapeau de sorcier, sa source lumineuse dans la main: Un vieux neon relié à son poignet par une chaîne cuivré… Il lançait un regard aussi froid que l’hiver au corps de Printemps, le tournant par la suite en direction du phoque, figé et stupéfait. Nolan se jeta sur l’homme, des éclairs dans les yeux.

-Putain Ari’!! Tu viens de décapiter un allié là!!

-Je viens de te sauver de deux luciférien de la Fautrix, et c’est comme ça que tu me remercies?... Souffla le dénommé “Ari’” entre deux grincement de dents.

-Deux?! Juste d’un seul! L’aut’ neigeux il était avec nous! J’voulais lui proposer de nous rejoindre!

-Nolan, toutes les créatures de l’hiver sont des créations de Fautrix, c’était forcement un espion de l’aut’... T’aurais vraiment voulu tous nous détruire?! Les derniers révolutionnaires?!, maugréa Ari’, son neon manier tel un couteau, glissé sous le menton du phoque.

Nolan n’osa pas lever le ton, et baissa son regard en murmurant quelques mots inaudibles qui firent rengainer le vagabond. Les deux mâles s’éloignèrent petit à petit, laissant de plus en plus d’espace vide entre eux et les restes de Printemps, qui, réalisant sa situation, ne pu s’empêcher de héler le nom de son ami. Alerté par cela, Nolan et Ari’ se retournèrent tous les deux, chacun exprimant un sentiment différent. Le phoque tourna les talons pour rejoindre la tête roulante, ne pouvant se retenir de lâcher un : “Tu cesseras pas d’m’étonner toi! Tu pourrais vraiment être utile à nos côtés!”, son grand sourire habituel suspendu a ses lèvres. L’autre ne semblait pas aussi ravie, normal. Lui aussi s’approcha à son tour pendant que Nolan recolait la tête sur le corps neigeux, mais plus menaçant que jamais. Alors qu’il redécouvrait le plaisir de contrôler ses membres, Printemps fut de nouveau viser par l’arme et le regard inexpressif de Ari’. Il tenta alors de s’expliquer, racontant son histoire, la petite fille, l’échidné… Mais Ari’ ne bougeait pas, toujours aussi effrayant qu’au départ… Mais finalement, il finit par ranger son neon en crachant milles et une insultes et en baissant le regard. Il tourna alors le dos au phoque et au bonhomme de neige, avant de soupirer.

-Si il devient un quelconque menace pour nous, je le tue de sang froid… c’est clair Nolan?...

Nolan aquiesca, ravi de la nouvelle, il tapota le dos de Printemps comme si il s’agissait d’un vieil ami. Printemps resta immobile, comme surpris d’être accepté, jusqu’au moment où Ari’ hurla au deux traîneurs de se magner. Nolan commença un moment la marche mais murmura à Printemps avant de continuer:

-T’inquiète pas, c’est un lapin prudent et têtu, mais j’suis sur qu’un jour il va finir par t’adorer comme jamais!

-J’ai une ouïe fine, je t’entend parfaitement Nolan… Lança Ari’.

                                                                     *
                                                                  *     *

Les flocons d’une tempête de neige caressaient les joues de Printemps, comme pour lui dire de fixer le ciel et de ne plus bouger, d’être juste de la neige. Mais en suivant les deux compères qui l’accompagnait, il pouvait ressentir comme une sorte de chaleur au fond de lui, plus forte que celle du soleil. Nolan jetait encore et encore quelques petits coups d’oeil derrière lui pour s’assurer que Printemps n’était pas à la traîne. Devant lui, le bouquin de cuir dénommé “Ari” se battait contre la neige.

-Nolan! Où est Olga?!, Criait il, gêné par la tempête.

-Je l’ai laissé retourner au camp seule! Je voyais pas Prin’ arriver! Répliqua le phoque.

-Inconscient! Tu as laissé ta propre fiancée rentrer seule et t’as préféré sauver un étranger?!

-De la neige qui parle on en trouve pas tous les jours! Même les créatures de Fautrix savent pas dire un mot!! Et puis Olga est la plus forte des chasseuses! Elle sait se débrouiller seule!

Plus les conversations défilait, plus les trois confrères arrivait au pied d’un chaînon de glace, si haut qu’il touchait les nuages. Ari’ fit signe à Printemps de se stopper, indiquant du doigt par la suite une vieille cabine rouillé et cabossé semblant être reliée au sommet de la montagne. Lui, Printemps et Nolan se dirigèrent en direction de la cabine, mais Ari’ tenait en main une drôle de pince. Intrigué, le bonhomme de neige s’interrogea sur l’utilité de l’objet, ce que l’oryctolagus allait vite lui dévoiler. Pendant que le monstre de neige et le phoque s’installaient tranquillement dans la cabine, Ari’ insérait la pince dans le mécanisme de la cabine, appuyant dessus encore et encore comme une pompe à eau. Au fur et à mesure, la cabine survolait la surface de la montagne, suspendu à un fil… Pour au final arrivé à une grotte illuminé. Nolan se dépêcha de descendre, suivit de Printemps qui imitait ses gestes, et Ari’ qui retira vite la pince, en sautant de la cabine, glissant à toute allure sur le fil pour retourner en bas… Voila pourquoi elle était aussi abîmée… Nolan s’extasia avec un grand sourire et frotta frénétiquement la tête de Printemps.

-Vieux, Bienvenue chez les Cuivrés!!

Fin du Chapitre 1.
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J'espère que cette suite vous a plu et que je vais avoir la puissance de continuer a écrire! *Se prend un coussin*

Youpie une suite! Bon alors y'a des fautes un peu partout (mais bon t'as dit que ton correcteur était défaillant donc bon...) alors tu reliras dans une semaines ce que tu as écrit, comme l'avait conseillé notre chère Miko :)

J'ai pas grand chose à dire a part ça, mais j'attends la suite.

La suite a été entièrement rédigé! Je vous souhaite une bonne lecture et à la prochaine! :D

(Ce message sera supprimé.)

Edit: Comme la demandé Lirane, j'ai mis un petit "-°-°-" au début de la suite que j'ai rajouté, même si c'est pas vraiment important vue que les deux parties ne font qu'une. mais bon!

l’oryctolagus...
*ouvre un dictionnaire*

...

Dis-moi, quand tu vas à la recherche de synonyme tu cherche vraiment à fond et loin 0_0     Je me sens toute petite à coté...

Il faudrait aussi que tu mettent un petit truc dans le texte pour montrer où est la suite (parce que j'ai cru que c'était après les astérisques mais sa c'était le paragraphe  )

Donc voila j'attends le prochain chapitre de cette fic ou de l'autre et à la prochaine 

Edit: OMG je viens de lire ta phrase qui est cencé être sous l'avatar, je rie xD
Tu n'es pas stupide ma chère, tu es bien tout le contraire :')