Le Chevalier Noir affrontant Mecha Sonic(Cliquez sur l'artwork pour écouter la musique d'ambiance du chapitre)
(Art par
KANNA)
Drapé de métal-Nous l’avions toujours su de toute façon ! Ca ne surprend personne !
-Il est grand temps que le gouvernement apprenne à ces animaux à se tenir !
-Winston est vraiment patient, je le plains !
Les commérages allaient bon train sur la place du marché de la principauté de Genosha, une citée état sous le dominion des nations unies. Genosha était une ville de jeux, de patrimoine et d’histoire, mais il s’agissait également du plus gros nid à mafiosi au monde, ceux-ci venaient s’installer sur cette petite principauté indépendante pour toucher moins d’impôts et blanchir de l’argent loin des regards inquisiteurs des nations unies. Genosha était connue également pour son existence sectaire et sa ville composée à 98% d’humains où les mobiens étaient en proie aux pires préjugés. Il s’agissait du fond électoral de Winston à chaque élection. Assis à la terrasse d’un café un homme agitait la tête en silence, son portable à l’oreille.
-Je vois. Vous êtes libre de le punir de la façon dont vous le souhaiterez une fois que la crise sera passée, mais gardez-le moi en vie.
Il raccrocha et trempa les lèvres dans son martini, bien à l’ombre, protégé par un parasol, il s’entretenait avec un homme à l’allure des plus banale. Ils étaient tous les deux vêtus de costumes de grand luxe. L’homme au téléphone portable était blond et possédait une soyeuse moustache. Il avait un certain âge et un air de businessman toujours occupé à quelque chose. Il regarda son interlocuteur qui portait une écharpe, un imperméable, une paire de lunettes et un feutre. L’homme découvert commanda un journal à un garçon qui passait
-Vous n’avez pas trop chaud ?
-Ne vous inquiétez pas, ça va aller. J’ai quelques kilos à perdre.
-Vous ne pourriez pas envoyer un agent à sa recherche des fois ? Le blondinet envoya une pièce au garçon alors qu’il dépliait le journal et commençait sa lecture tout en écoutant l’homme mystérieux qui lui parlait.
-Nous n’avons pas de temps à perdre à faire votre travail. Je leur communiquerais les informations, mais en aucun cas je ne les enverrais chercher votre homme. Cela me surprend Mr Bernstein, je pensais que la Tolliver était plus disciplinée.
-Les éléments les plus efficaces sont souvent les plus rebelles, cela me surprendrait que vous n’ayez jamais eu ces problèmes avec vos agents les plus efficaces.
-Pour être totalement franc…Vous avez raison. Mais revenons-en aux faits. Comment se déroulent les opérations ?
-Grâce à votre soutien nous sommes en place.
-Vos hommes m’ont-ils fourni la marchandise ?
-Tout est passé comme sur des roulettes, nous avons utilisé un appât pour orienter le GUN du mauvais coté pendant que les armes de contrebande passaient la frontière.
-Je vois.
Bernstein était arrivé au milieu de sa lecture quand il haussa un sourcil circonspect avant de sourire et de montrer un article en particulier à son interlocuteur.
-On dirait bien que les services de l’organisation Phénix ne sont plus ce qu’ils étaient. Vous auriez dû laisser nos services s’occuper de la proie.
Cyrus Bernstein était l’émissaire du mystérieux ponte de la mafia Tolliver. Nul ne connaissait l’identité de leur mystérieux boss qui se faisait appeler Tolliver, à son exception près bien sur, car il était le N°2 de l’organisation. Devant lui, un émissaire de l’organisation Phénix, réputée pour ses assassins redoutables et de qualité et qui disposait d’une organisation similaire dirigée par une main sortant de l’ombre. L’émissaire tiqua et lança :
-A la lumière des dernier évènements, tout cela n’à plus beaucoup d’importance de toute façon.
Fit il en écrasant son cigare sur le fait divers qui proclamait « Un homme survit miraculeusement à un tir de fusil en pleine tête. » La discussion battait son plein quand soudainement l’atmosphère se fit plus pesante, le soleil était caché par des nuages, et tout apparaissait plus sombre. Soudain, des gens se mirent à pointer le ciel du doigt et à hurler. Les deux chefs mafiosis regardèrent en l’air et leurs yeux s’écarquillèrent.
Dans les cieux se trouvait une immense citée volante de métal construite sur un énorme croiseur à tête de taureau, le long de ses cotés de longues cornes acérées apparaissaient tandis qu’au nez de la tête de proue pendait un énorme anneau qui devait bien faire un kilomètre de diamètre. Il laissait pendre de lourdes chaînes remontant sur les flancs du vaisseau tandis que des éoliennes ça et là absorbaient la puissance des vents. Le vaisseau à lui seul couvrait tout entier Genosha. Il s’agissait du Tank Roger, le vaisseau personnel de l’amiral. Les deux mafieux, préférant le CAC40 aux effusions de violence eurent tout le temps de foutre le camp avant qu’il leur arrive malheur. Mais ce n’était pas contre eux que l’attaque était dirigée.
A bord du vaisseau, Tank lança à Inari
-Nous sommes en position ! A toi l’honneur !
-Wheeeeeeeeeeee ! Cria Inari en actionnant le levier.
Depuis la plus haute tour du Tank Roger, les trois capsules furent tirés dans le ciel, elles montèrent à des centaines de mètres de haut avant d’être séparées et de partir aux trois points cardinaux.
La réponse de l’Eggman Army était en route.
Royaume de Mercie.
Ils étaient venus de tout le royaume pour assister à l’oraison funèbre, toute la noblesse était réunie autour du cercueil du prince de Mercie mort en territoire humain. Dans la grande chapelle de l’église, ce n’était plus que pleurs et lamentations alors que les gens se succédaient pour faire des discours sur la grandeur du prince et sur la tragédie qui l’avait arraché trop tôt au monde des vivants. Vladimir avait statufié sur la grandeur de l’homme qu’il avait côtoyé de près depuis sa naissance, en compagnie de feu son père et sa mère partis trop tôt. Achille exprima à quel point il avait été un homme de courage et de trempe… Et plus cela avançait, plus la cérémonie était larmoyante, cela faisait à présent un jour entier qu’ils pleuraient leur roi. Achille revint s’asseoir près de Bragelonne qui le soutint de l’épaule.
-Mon ami, tu devrais te reposer.
-Non mon ami, je dois assister à cette cérémonie. Lança un Achille tombant de fatigue. Peu m’importe ce qu’il m’en coûtera. Je dois… Faire mon deuil.
Le chat ne dit rien, il comprenait les motivations d’Achille, lui non plus n’arrivait pas à croire que leur jeune prince était à présent étendu dans cette boite en bois, lui si prometteur, si plein de vie était parti pour toujours. Le chat joignit les mains sous son menton et écouta en silence les proclamations du grand prêtre, faisant frapper son bâton sur le sol pour réclamer l’attention.
-Mes amis. Lança le renard au pelage flamboyant avec une voix nouée par le chagrin. Comme vous l’avez compris, notre bien aimé prince Zackiel est parti trop jeune. C’est une mauvaise fortune terrible mais la terre ne choisit pas qui elle rappelle en son sein. Quand je vois à quel point vos larmes coulent, ô braves habitants de Mercie, je pense que notre prince serait heureux, heureux de voir à quel point il est aimé, et que si celui-ci le pouvait, il nous renverrait cet amour que nous lui donnons.
Lança le prêtre en levant son grand baron, à ce moment précis un météore frappa le donjon du palais avant de percuter le sol, faisant trembler toute la chapelle.
-Qu’est ce que c’était ? !
-Quelque chose s’est écrasée dehors !
-Maudits humains ! Ne pensent t’ils donc qu’à faire la guerre ? !
-Avec moi la garde !
Cria Achille alors que les Myrmidons s’engouffraient à travers les portes de l’église et sortaient dehors. L’impact avait revigoré le renard qui ne demandait qu’un moyen de se venger. Bragelonne accompagné par le prêtre sortirent de la chapelle tandis qu’il se retournait vers Vladimir qui était encore choqué par la secousse.
-Je… Je vous rejoins dans une minute !
Lança la chauve souris tandis que le chat et le renard, dans le feu de l’action, bondissaient vers l’extérieur. Ils arrivèrent au lieu de l’impact du météore et là, dans une longue traînée de terre, se trouvait une large capsule oblongue en forme d’œuf estampillé du logo de l’Eggman Army. Le capot de celle ci s’ouvrit et dans un nuage de fumée une forme en sortit.
Central City, White Hall.
-Voici donc mes projets pour le gouvernement une fois que la guerre sera finie.
-Brillant monsieur le président ! Brillant ! Cria le ministre de la politique intérieure
-Grâce à vous tous nos problèmes seront résolus. Conclu le ministre des finances.
Winston se retira en souriant. Depuis que la princesse avait lavé le cerveau de ses ministres il n’avait aucun soucis pour être approuvé de ceux-ci à chaque fois qu’il proposerait quelque chose. Il pouvait même décider de construire un fast-food qui servirait de la viande mobienne, ils l’acclameraient comme ils venaient de le faire. Le président se dirigea vers son bureau. Le téléphone sonna et il décrocha pour tomber sur une voix des plus excentriques lui parlant sur ce ton.
-J’espère que vous tiendrez vos promesses monsieur le président ! Je me démène pour vous ! N’allez pas encore tomber sous des coups d’états politico-sociaux hein!Il n’y avait qu’une seule personne pour se passer ainsi de politesse et aller directement au but ainsi, et il savait qui c’était, même si ça n’était pas le cas, il l’aurait reconnue grâce à sa voix empreinte de folie. Il répondit.
-Ne vous inquiétez pas. Je passerais vous voir personnellement. Au revoir.
Auguste Winston raccrocha son combiné téléphonique et se massa l’arrête du nez quelques secondes, il se leva de son bureau et marcha jusqu’aux fenêtres du White Hall. Le travail était impeccable, les femmes de ménage avaient même réussi à reprendre le tapis malgré que la cervelle de son prédécesseur l’ai souillé, et les vitres étaient comme neuves. Dehors, on ne prenait pas le temps de reconstruire. On attendait que la guerre soit finie, que tout ça soit fini. Mais lui avait pu se faire réparer le White Hall sans aucun problème. Après tout il était au pouvoir, et le White Hall était l’endroit le mieux protégé du monde, en particulier après que son prédécesseur ait été descendu d’une balle dans le crâne.
Auguste alla jusqu'à la fenêtre et inspira l’air frais du matin alors qu’il s’accoudait à celle-ci, son café en main. Il aimait se détendre un peu entre deux paperasseries à remplir, et pour le moment tout se déroulait comme prévu. Alors pourquoi s’inquiéter ? Bien sur, il y avait quelques imprévus par-ci et par-là. Mais c’était cela qui rendait la vie excitante au final, et tant qu’ils ne sortaient pas des rails il suivrait ce petit train avec calme et sérénité, même si celui ci gravissait une pente qu’il allait descendre à toute allure.
-Vous n’avez rien d’autre à faire que d’écouter aux portes ?
Adossé sur le rebord de la fenêtre, le chevalier noir croisait les bras. Ils étaient bien au premier étage, mais il semblait aussi à l’aise que s’il était au rez-de-chaussée. Sur la gauche de la fenêtre le mystérieux Bellum se tenait debout en silence, dans une symétrie presque identique à celle de son maître, sa lance positionnée au pied comme un petit soldat de plomb.
-Comment pouvez-vous penser que je ferais une telle chose ? Susurra le chevalier noir un ton mielleux.
-Un bon conseil, chevalier, n’essayez pas de me doubler, vous n’avez pas la moindre idée de ce à quoi vous vous attaquez, cantonnez-vous à votre rôle.
-Ne cesserez-vous donc jamais de me vilipender mon cher Auguste ? Je suis votre garde du corps, un honnête garde du corps. Je donnerais ma vie pour vous. Lança-t-il avec sarcasme.
Auguste allait l’envoyer se faire voir chez les grecs quand il put apercevoir depuis sa fenêtre un projectile apparaître dans le ciel et s’abattre en plein centre ville, de lourds nuages de fumée s’envolèrent depuis celui-ci. Le chevalier lui lança avec sarcasme.
-Et ça, vous l’aviez prévu ?
-Allez voir ce qu’il se passe au lieu de dire des âneries.
-Et qui va vous protéger pendant ce temps ?
-J’en ai bien assez de devoir supporter votre exécrable compagnie, un peu de temps sans vous me fera le plus grand bien ! Fichez-moi le camp.
-Si c’est un ordre. Bellum ?
Le mobien hocha la tête et lui et le chevalier noir partirent vers le centre ville, le premier se mit à courir à toute vitesse à travers la ville, faisant des bonds impressionnants tandis que le second se contentait de voler vers les lieux, sa cape noire battant au vent.
En centre ville, un des principaux buildings avait vu sa façade voler en éclat. Fort heureusement, les immeubles étaient conçus pour résister à des attaques de l’Eggman Army, et étaient capables d’encaisser l’impact d’un bombardier sans s’écrouler. Aussi, la capsule se trouvait figée sur un des derniers étages, stoppée par les plafonds précédents et les fournitures de bureau. La capsule s’ouvrit en silence et une main en sortit.
Lac Rocky, Angel Island, centre névralgique de l’ARM. Dans une grande salle de fortune que les échidnés avaient aménagée sur l’île en étendant des draps blancs entre les arbres pour créer des murs, se trouvaient réunis autour d’une même table les généraux les plus importants de l’armée révolutionnaire. Tous assis autour d’un grand banquet que présidait Brain. Celui ci leva sa coupe et lança.
-Mes généraux, je voudrais porter un toast à notre réussite. Nous avons vaincu là où nos illustres ancêtres ont échoué et nous avons récupéré le continent d’Adabat aux forces oppressantes du GUN !
-A poil ! Cria une voix dans le fond qui fut couverte par la voix des autres généraux qui discutaient.
-Aujourd’hui nous ripaillons sur leur propre nourriture, la nourriture qu’ils élevaient sur nos terres, mais en face de laquelle nous ne pouvions que saliver pendant qu’ils en profitaient !
-ON S’EN COGNE ! ENVOIE LA GNOLE !
Les échidnés tournèrent vers l’une de leur officiers qui ripaillait à quelques sièges de Brain. Démonika la régente des ténèbres eut l’air gêné, elle comptait sur le fait que les gens parlaient pour brailler n’importe quoi et faire mine qu’elle suivait le mouvement mais apparemment elle s’était faite un peu trop remarquée. Brain lui assena un sourire ambigu avant de continuer son discours.
-Quoi qu’il en soit, notre gardien s’excuse de ne pas pouvoir être présent avec vous, sa santé se dégrade, mais vous êtes ceux qui lui donnent du courage et la volonté de se raccrocher à la vie.
-Passe-moi la mayo Theo !
Lança Demonika alors qu’elle arrachait une lourde cuisse de poulet en l’empoignant à pleine main. Theorem soupira et lui fit passer d’un geste négligeant le pot de mayonnaise. Maximi et Theorem avaient reconnu sans trop de mal qui se cachait derrière ce masque de lutteur mexicain, pour ceux qui avaient connu l’excentricité de l’échidné, il n’était pas bien difficile de la reconnaître. Aphrodite plongea sa cuisse de poulet dans la mayo, en bouffa la moitié et balança ce qui restait en arrière pour le chien. Bien sur qu’elle savait se tenir en société, bien qu’elle connaissait les règles de politesse et de bonne conduite, mais pour une fois elle pouvait se bâfrer sans que personne ne la reconnaisse, elle serait stupide de ne pas en profiter un minimum. Derrière elle, le chien se leva et rattrapa l’os encore plein de viande dégoulinante de mayonnaise d’une main. White soupira. Elle avait vraiment des goûts dégueulasses, et le fait qu’elle lui envoie ses restes n’allait pas soulager ses maux d’estomac. Aphrodite avait apparemment juré de ne plus se séparer de lui et l’emmenait partout, suspectant White d’avoir une de ces crises d’héroïsme qu’ont les militaires dès qu’elle aurait le dos tourné. Elle voulait l’avoir en permanence sous ses yeux, comme ça pas moyen de le louper s’il tentait quoi que ce soit. Brain continuait à discourir en essayant de parler assez fort pour couvrir les bruits de mastication de leur maître stratège qui n’avait jamais pu résister à un buffet gratuit.
-Les combats qui nous attendent seront bien plus durs dans les semaines à venir, et j’aimerais profiter de ce buffet pour boire à la mémoire de notre camarade Noval, capturé pendant qu’il menait à bien sa mission.
Maximi se sentit rapidement mal à l’aise. Noval. Le sceau que lui avait placé Kuamy sur ses pouvoirs avait volé en éclat lorsque ceux-ci avaient été décuplés tout comme les leur l’avaient étés. Il avait été localisé avant de faire de trop gros dégâts par l’armée révolutionnaire et le docteur Brain s’était entretenu avec lui pendant de longues heures. Après quoi il avait accepté de rejoindre leurs rangs à la condition expresse que personne ne tente de l’empêcher de se venger. Néanmoins le docteur l’éloignait toujours du QG quand ils étaient dans celui-ci, ce qui faisait que pour le moment, ni lui, ni Theorem n’avaient pu le voir. Le discours fut soudainement interrompu quand un projectile immense fusa dans les airs et s’écrasa, provoquant une secousse qui fut ressentie sur l’île sainte. Brain fut le premier à réagir.
-Nous sommes attaqués ! Protégez le quartier général à tout prix, aucun humain ne doit fouler du pied le sol de l’île sacrée !
-Tu me le diras pas deux fois Maurice !
Démonika fit signe à Ceera de récupérer White et de le placer sur son épaule tandis que ses mains étaient occupées à pousser le fauteuil roulant vers la sortie. Les autres généraux sortirent de la salle en utilisant les pouvoirs octroyés par le croissant de lune, ce qui leur permettait d’utiliser le réseau des ombres des rejetons pour se téléporter. Le problème était qu’Aphrodite ne pouvait emmener personne avec elle si elle faisait ça, ce qui l’empêchait d’utiliser ce pouvoir comme elle le voudrait puisqu’elle était coincée dans un fauteuil roulant jusqu'à nouvel ordre. Une fois sortis d’Angel Island elle put voir que leurs troupes positionnées aux alentours avançaient déjà vers le météore, ils croisèrent Rude qui attendait sagement devant les rives du lac, et Aphrodite lui lança :
-Attrape !
Ceera saisit White et le balança vers Rude qui le réceptionna au vol et utilisa la longue chaîne à laquelle il était attaché d’habitude pour le ficeler, et le balancer aux subalternes d’Aphrodite pendant qu’il courrait la rejoindre. Bientôt elle rejoignit le front tandis que les autres mobiens regardaient la capsule s’ouvrir et une forme sortir de celle ci dans la fumée épaisse.
-Rendez vous sans histoire et tout se passera bien. Lança Theorem en essayant de se focaliser sur l’esprit de son adversaire. En vain, la chose sortit de la fumée et toisa du regard les échidnés qui se mirent à déchanter. Aphrodite serra les dents et lança.
-Oh merde. Je crois qu’on a le bonjour de l’Eggman Army
-Mission : Capturer Knuckles. Début de la mission.Lança Metal Sonic