MOTHER 4

PROLOGUE

 Mobius. Une autre version de notre planète Terre. Mais une autre version localisée dans un autre univers totalement différent, un autre univers où l'évolution animale s'est déroulée autrement, au point que la moitié des animaux soient anthropomorphiques... Sept pierres à la puissance infinie régissent cette dimension. Des passages vers d'autres mondes ont été découverts, de plus.

 Spagonia. Une ville sympathique. Dans un appartement, on peut voir un hérisson vert jouer à un jeu vidéo. Un hérisson anthropomorphique âgé de treize ans. Il semble de mauvaise humeur et a des cernes assez visibles, et ses piquants poussent dans tous les sens et donc donnent l'allure qu'il est décoiffé. Il a une grande pilosité pour son âge, ayant une petite moustache et presque des rouflaquettes. Ce hérisson porte des lunettes – mais on ne sait pas comment elles tiennent, elles ont d'ailleurs tendance à flancher – et des yeux marrons. Cependant, ses sourcils assez touffus sont froncés, et il semble encore de mauvaise humeur. Ses bras sont poilus, tout comme ses jambes, et il est muni de gants blancs. Il porte un tee-shirt bleu représentant le personnage de jeux vidéos le plus connu de ce monde – Mario – même si il aime aussi Sonic, qui est une personnalité réelle dont les aventures épiques sont adaptées en jeu. Notre hérisson porte aussi un jean bleu, et des baskets noires à rayures jaunes. Celui que nous décrivons est plutôt laid, mais aussi paresseux, peu cultivé et son odeur corpulente est assez désagréable du fait qu'il ne se lave que rarement à cause de sa paresse. C'était aussi un no-life, une personne sans vie sociale et passant tout son temps libre sur les jeux vidéos et sur son ordinateur. Ses cheveux étaient sales et gras, et pelliculeux aussi. Il avait beau être empli de défauts, il avait une qualité... en quelque sorte: il ne laissait jamais tomber ce qu'il comptait finir.

« J... J'y suis presque !! ; s'exclamait le jeune hérisson, du nom de Koopalmier. »

Pourquoi Koopalmier ? En réalité, quatorze ans plus tôt, un chemin entre Mobius et un autre univers a été découvert. De cet univers ont migré des tortues anthropomorphiques, que l'on nomme des Koopas. Un an plus tard, ils trouvèrent un bébé hérisson abandonné et l'adoptèrent. Le nom du père adoptif ? Koopalmier. Un ancien soldat. Le nom de la mère ? Koopadia. Une femme sans défauts.

« Allez, allez, saute !!! Tu vas sauter, nom de... ; disait Koopalmier en s'énervant devant sa Wii, car il était sur le point de réussir un niveau extrêmement dur.
-A table ! ; s'exclama Koopadia en entrant soudainement dans la chambre où se trouvait le hérisson vert.
-Heu, oui, attend, je... ET MERDE !!!! J'ai encore raté... J'y... j'y était presque... Et j'ai raté...
-Oui, bon, on t'attend.  ; répondit Koopadia sans faire attention aux complaintes de son fils adoptif. »

Koopalmier souffla et se dirigea vers la salle à manger. Mais dans le couloir... Un bâton en bois, laissé là étant donné de la rénovation – presque finie – du couloir dans lequel Koopalmier était, se mis à bouger puis à flotter dans les airs !

« ...Mais c'est quoi ce bordel... »

Le bâton frappa le hérisson vert et le poursuivit. Plusieurs meubles, appareils électroménagers et surtout objets coupants vinrent à la vie et se mirent à poursuivre le no-life, qui, recroquevillé dans un coin de la chambre de sa mère, semblait être mené à sa fin...
...ou pas ! Koopalmier se sentit fiévreux quelques secondes et tout à coup se sentit étrange... Et d'un coup, il repoussa tous ce qui allait l'écraser / le découper / le taper ! Les appareils électriques étincelèrent et s'arrêtèrent, les meubles pourrirent et s'effondrèrent, et les appareils métalliques et tranchants rouillèrent et tombèrent.

« ...Pinaise !
-Mon Dieu, Koopalmier ! Qu'est-ce qui se passe ?! ; dit Koopadia en arrivant affolée dans sa chambre.
-Oh, rien, laisse tomber...
-Pourquoi y' a des couteaux, cure-dents, tiroirs et tout autour de toi ?!
-Heu, rien, rien... J' m'amusait, c'est tout. Par contre faudra nettoyer. »

Dès qu'il le pu, Koopalmier fonça dans sa chambre et fit des recherches Internet sur les pouvoirs psychiques – visiblement ce qu'il venait de réaliser – et trouva selon un site que peu de gens dans les mondes ont des pouvoirs psychiques, et il semblait que Koopalmier était l'un d'eux. Il appris aussi que pour développer ses capacités psychiques il faut s'entraîner et apprendre à se concentrer. Ainsi chaque week-end il travaillera sa concentration jusqu'à ce qu'il réussisse à réaliser trois capacités psychiques: LifeUp α, Move α et PSY Eau α, les deux dernières étant uniques à lui. Prêt, il décida de mener l'enquête dehors, mais demanda à ses parents d'abord.

« QUOI ? Mais tu te fiche de la gueule de qui ?! Sortir dehors tout seul ?! Mais ça va pas ?! ; s'exclama Koopalmier Sr.
-Pfff, c'est bon, pas la peine de t'énerver, tu pouvait juste dire non, hein... ; répondit Koopalmier Jr.
-Non mais sérieux, franchement !!
-Mais j'ai des pouvoirs psychiques pour me défendre et même me soigner !
-...Quoi ?
-Bah oui, regarde ! »

Koopalmier utilisa un PSY Move alpha et déplaça une table par la force de sa pensée.

« …Bon, c'est d'accord, mais tu as pris de quoi te...
-J'ai pris ma DS, mes clés, un sac à dos, des biscuits, de quoi me goinfrer, mon portable, mon porte-monnaie... Ouais, c'est bon !
-Au revoir, mon fils...
-Ciao ! ; s'exclama le hérisson alors qu'il franchissait la porte de chez lui. »


« Bon, maintenant que j' suis dehors, j' vais m'informer pour voir si d'autres gens ont eu des machins qui les ont attaqués. »

Koopalmier avançait en boitant légèrement de la jambe gauche à cause d'une douleur inconnue comme depuis quelques mois, et interpella plusieurs personnes. Cela lui permis d'apprendre qu'il n'était pas le seul a avoir été victime d'une attaque de la part de ses propres affaires, et cela lui confirma que quelque chose se tramait et que son aventure ne faisait que commencer. Mais alors qu'il allait avancer... Une explosion se fit entendre, suivie d'une vibration intense. Ni une ni deux, le hérisson au tee-shirt bleu couru vers la direction de l'explosion... Il arriva au sommet d'une colline, où un météore encore fumant venait de s'écraser. Koopalmier grimpa donc, et arriva près de l'astre qui s'était écrasé...


« Il... Il y a quelqu'un ? ...Personne ? Bon, bah, ça reste bizarre. »

Alors que le hérisson à lunettes allait s'en aller, il entendit un bourdonnement et sursauta avant de s'enfuir. Mais la source de ce bourdonnement se téléporta devant Koopalmier et l'empêcha d'aller plus loin.

« Serait-tu Koopalmier Jr. ? ; demanda la petite boule noire d'où venait le bourdonnement.
-...Hé ! Je... J' croyais que vous étiez un insecte ! Pfiou...
-Peur des insectes ? Alors, pas de toute, tu es Koopalmier Jr.
-Koopalmier tout court, en fait... Qu'est-ce qui y a ?
-Je suis un habitant venu de 50 ans dans le futur... Un être maléfique s'est emparé de Mobius. Je suis l'un des seuls survivants...
-J'ai pas déjà vu ça quelque part ?
-Selon la légende, quatre personnes âgées de moins de trente années sont élus pour sauver le monde mais ne le savent pas... Koopalmier... Je suis persuadé que tu es le premier héros. Ta grande force psychique peut se faire ressentir de très loin. Mais je n'ai aucune idée sur qui sont les trois autres. En tout cas... Je connaît l'identité du prochain héros. C'est... »

Quelque chose apparu et commença à parler, coupant la phrase de la boule noir ailée.

« Monsieur S.t.H., pour votre contradiction de la loi, nous devons vous détruire. »

Cet être était d'une forme étrange. Il faisait au moins quatre mètres de haut et avait six doigts à chaque main. Il semblait porter une combinaison métallique, une sorte d'armure une pièce. On ne distinguait rien derrière le casque de cette créature, même si il y avait une ouverture.

« S.t.H. ? Ca veut dire quoi ? ; questionna Koopalmier.
-Oh... Je t'expliquerait après. Quant à cette chose-là, ce sont les soldats les plus faibles de l'armée ennemie. Ils veulent qu'on les appelles des Lizardmens, même si c'est un nom totalement ridicule... ; répondit S.t.H.
-En garde ! ; annonça le Lizardman. »

La boule noire ailée créa une barrière psychique qui protégea Koopalmier et lui, tandis que le Lizardman utilisa un PSY Rayon beta qui se refléta sur la barrière psychique et tua l'attaquant en un seul coup.

« Et ben, ça a été rapide !
-Non seulement ils sont faibles, mais en plus ils sont stupides... Bon, alors, déjà, mon nom est S.t.H car avant j'était S... »

Le Lizardman presque mort utilisa ses dernières forces pour tirer un mini-missile qui détruisit S.t.H.
 
« … ; Koopalmier était bouche bée.
-Haha... ah... haha... la race... notre race... vous vaincra... ce n'est que... le... commencement... ; dis le Lizardman presque mort, en s'essoufflant. »

Il s'écroula et disparut.

« ...Qu'est-ce que... Enfin, peu importe. Je doit aller trouver le second héros. Mais je vais retourner à la maison, déjà... … Pourquoi je parle tout seul ? »

Il retourna chez lui en croisant des policiers qui venaient sur les lieux. Arrivé dans son appartement...

« M'man, j'suis rentré !
-Il était temps ! ; répondit son père.
-Qu'est-ce qui s'est passé ? On a entendu une explosion il n'y a pas dix minutes... ; demanda sa mère.
-Une météorite s'est écrasée sur la colline du coin. Enfin, bref... On mange quoi ?
-Quiche au carottes ! ; répondit Koopadia. »

Le soir, un rêve arriva à Koopalmier... Un rêve où S.t.H lui parlait...


« Koopalmier... Le destin des univers est entre tes mains... Au plus profond d'Apotos, tu trouveras... Mais tu devras passer à travers de nombreux obstacles... Ta destinée t'attend, et agira sur la destinée des autres... Sert-toi de tes pouvoirs pour éviter de toucher une fin tragique... Adieu... »


 Le lendemain matin, le jeune hérisson repris ses affaires et dépensa un total de 40 rings en train, étant donné la distance entre Spagonia et Apotos. Cependant, il lui restait 50 rings. Il arriva donc à Apotos, et sans perdre de temps fonça en ville pour s'informer sur ce que son rêve pourrait vouloir dire...

J'aime bien, j'attends la suite, pas de fautes, des descriptions, du suspens. Je me demande qui seront les 3 héros, bref j'attends la suite avec impatience.

J'suis d'accord c'est un bon début, t'as interet à continuer comme ça coco !

Yeeees! Troisième! =P


Alors le voilà, ton fameux projet..... J'étais impatient de le découvrir.

 J'aime bien. Non.... Je dirait même que j'aime beaucoup. Pas mal de rebondissements, un héros otaku pas héroïque pour un sou, du suspence dès le 1er chapitre... C'est super. J'espère que tu continuera sur ta lancée. ^^

Attention, c'est pas le 1er chapitre hein. C'est juste le prologue. Les chapitres seront plus long que ça.

Ben pour un prologue, c'est très bon !

Chapitre 1: L'aventure commence mal

Koopalmier se rua donc mais dès qu'il sortit de la gare il se cogna contre quelqu'un, et tous deux tombèrent au sol.

« Ah, heu... Désolé, mais je suis un peu pressé... Je vous aide ? ; s'excusa Koopalmier.
-Non mais faites gaffe quand même !! Regardez, mes courses sont toutes éparpillées par votre faute !
-Oui, bon, c'est pas la mort non plus hein... Bon, je vous aide oui ou non ?
-Non, c'est bon, ça ira, mais merci quand même. »

Cette personne était une lionne. Une lionne dont la tête était marron mais le reste du corps était d'un beige orangé. Contrairement au lionnes habituelles, elle n'a pas de moustache. Elle avait une mèche rebelle et sa bouche était jaune. Elle était dotée de gants blancs serrés par un bracelet, et d'un tee-shirt orange à rayures horizontales noires. Elle avait aussi une ceinture noire qui serrait son short en jean jaune. Elle portait des bottes de garde-forestier et on pouvait clairement voir qu'elle avait une arme – sûrement un pistolet – dans la poche droite de son short.

« Bon, j'ai une question. Y' aurait pas un truc ici en rapport avec les profondeurs d' Apotos ? ; demanda le hérisson.
-Avec les profondeurs d' Apotos ? Pourquoi d' Apotos alors qu'on est à Appotos ?
-...gné ? Comment ça ? On est pas à Apotos ? Mais alors... MERDE !!! J'ai claqué 50 Rings pour me retrouver dans une ville je sais pas où !!
-Ah, ça doit être ennuyeux... Moi j'adore cette ville, c'est ici que je suis née mais là je suis juste en visite chez mes parents. En effet, j'habite à la Zone Green Hill maintenant !
-Oui, oui, bon... Où ça se trouve, Appotos ?
-En Afrique, tiens.
-...et beh, je suis pas près d'arriver à Apotos moi.
-Tu veut que je t'aide ?
-Hé, ho ! Je doit déjà vous aider à ramasser ce bordel, déjà ! »

Moins de cinq minutes plus tard, toutes les courses étaient déjà remises dans les sacs que portait la lionne.

« Au fait, comment tu t'appelle ? ; demanda-t-elle.
-Koopalmier... Et toi ?
-Bledengor ! Bledengor the Lioness ! Ravi de te connaître ! »

Les deux ne perdirent pas de temps à discuter (principalement à cause de la mauvaise humeur constante du hérisson vert) et se dirigèrent vers l'aéroport de la ville.


« Donc tu dit que tu t'appelles Koopalmier, c'est ça ?
-Ouais, je suppose...
-Hé, pourquoi tu fait la tête !? Ca ne va pas ?
-... »

Les deux attendaient que l'avion pour Apotos arrive. En effet, un peu plus tôt Bledengor retourna chez ses parents, déposa les courses et leur expliqua qu'elle devait partir: celle-ci avait quelque chose d'inconnu à régler à Apotos.

« Sinon, t'aimes bien les coutumes africaine ? ; demanda Bledengor à Koopalmier.
-...
-Et ben, t'es pas très bavard toi !
-Non, je m'ennuie, c'est tout.
-Et pourquoi tu réponds pas à mes questions ? Je suis curieuse, c'est tout !
-Parce que j'ai pas de réponses à apporter. Je connaît rien des coutumes dans le monde, et je sais pas pourquoi je suis coincé et pas sympa. Là, ça te va ?
-Hé, parle-moi sur un autre ton au moins ! Je t'ai rien fait, moi !
-Ouais, désolé... »

Finalement l'avion arriva. Les passagers embarquèrent et l'avion décolla.


« C'est la première fois que je monte dans un avion... ; pensa à voix haute Koopalmier.
-Quoi ?
-Non, rien. C'est long l'avion ? Parce que j'en ait eu ma claque d'attendre plusieurs jours assis dans un train...
-Pas d'inquiétudes, ça ne met que quelques heures !
-Bah, de toute façons je m'en fiche un peu. »

Il sortit de sa poche une Nintendo DS Lite et commença à y jouer. Bledengor regardait, et voyait qu'il se débrouillait pas mal sur son jeu.

« Hé, tu joues super bien ! T'as déjà pensé à participer à des concours ?
-...C'est trop loin pour que j'y aille. Y' en a jamais eu à Spagonia.
-Alors t' habites à Spagonia ? Ca doit être joli, non ?
-Franchement je m'en fout complet, j'y fait même pas attention.
-...Pourquoi t'es méchant comme ça ? Je t'ai rien fait, moi ! Au contraire, je t'aide !
-Parce que je suis méchant. Si ça te gêne, t'avais qu'à pas m'aider déjà. »

Soudainement, un groupe de quatre personnes qui était caché dans la cabine de pilotage apparurent dans la salle en entrant par la porte de cette même cabine. C'était un groupe d'hommes grands et sûrement musclés de par leur carrure d'athlètes. Ils portaient une cagoule militaire et des vêtements en cuir en-travers desquels on entrevoyait un gilet pare-balles. Chacun de ces hommes menaçants portait une mitraillette dans la main.

« CECI EST UN ATENTAT !!! NE RESISTEZ PAS OU NOUS N'HESITERONT PAS A VOUS TUER !!! ; cria de façon colérique un des hommes.
-NOUS ALLONS NOUS DEPOSER DANS UN ENDROIT PRES DE SPAGONIA POUR Y FAIRE UN TRAFIC QUI NE VOUS INTERESSE PAS !!! NE TENTEZ MEME PAS DE VOUS ENFUIR OU DE VOUS PROTEGER !!! ; cria un autre homme.
-DONNEZ-NOUS TOUS VOS PORTABLES ET APPAREILS ELECTRONIQUES !!! ; ordonna un troisième homme alors qu'ils avançait et fouillait les gens avant de prendre ce qu'ils avaient de précieux. »

Ce fût au tour de Koopalmier.

« ALORS, T'AS QUOI DE BIEN LA D'DANS ? ; cria l'homme en pointant le sac à dos du hérisson.
-Heu, rien, rien... Rien du tout. ; répondit-il.
-AH OUAIS ? »

L'homme fouilla le sac et en sortit toute les affaires.

« ET CA, C'EST RIEN PEUT-ETRE ?
-...oui ?
-TU VAS VOIR CE QUE CA FAIT DE SE FOUTRE DE NOUS !!! »

Il attrapa la console du hérisson et la jeta fort par terre avant de lui lancer plusieurs coups de pieds. Ceci mît le hérisson hors de lui...
« NON MAIS BORDEL DE PUTAIN DE MERDE, QU'EST-C' TU FOUT ???!!! ; hurla-t-il.
-TU OSES TE DEFENDRE ?
-OUAIS !!!! »

Il sauta sur l'agresseur de sa console et le frappa très violemment, à tel point que même les trois autres hommes avaient du mal à le tirer. Finalement la victime de Koopalmier tomba, assommée.

« …
-...
-...vous êtes sûrs que c'est un gamin ? ; les trois terroristes restants étaient abasourdis.
-VOUS AUSSI VOUS ALLEZ PAYER !!! ; cria le jeune hérisson. »

Il utilisa un PSY Move α pour faire tomber et s'approcher les armes des ennemis, puis il en attrapa une.

« VOUS ALLEZ FAIRE CE QU'ON... ce qu'on vous dit. OK ?! ; ordonna le hérisson qui commençait à se calmer.
-O... Oui. Pas la peine de s'énerver, hein, c'est qu'un jeu après tout... »

Cette remarque énerva Koopalmier, qui pointa son arme sur l'homme qui venait de le dire.

« Toi, ta gueule ou je te transforme en gruyère, OK ? Je vais dire au pilote de nous déposer à Apotos, comme prévu. Et pas de coup fourré de votre part ou mon doigt va glisser ! ; menaçait le anti-héros en mettant son doigt sur la détente de l'arme. »

Il entra dans la cabine de pilotage et remarqua que le pilote n'était pas celui qu'il attendait... Ce n'était pas un humain, en tout cas. Trop grand et musclé. Le pilote mystérieux se retourna...

« Qu'est-ce que t'as, toi ? ; demanda-t-il. »

Ce n'était en effet pas un humain. Un gorille. C'était un gorille anthropomorphique, en tenue de militaire. Il était gigantesque et touchait facilement le toit de la cabine.

« ...Heu, non rien...
-Qu'est-ce que.. Hé ! »

En un coup d'oeil, il remarqua la mitraillette dans les mains du hérissons, et trois hommes debout les mains en l'air et un homme couché par terre avec une bosse visible.

« C'est toi qui a fait ça ?
-Heuuu... non ?
-Désolé, mais ce sont les ordres du chef. Pas de prises d'otage sur nous, ou les preneurs d'otage doivent en payer leur vie. Hé, au moins ça m'occupera. Ah, au fait, avant qu'on ne se revoie plus: mon nom est Tough. On me surnomme... »

Il sortit un couteau suisse ouvert de sa poche.

« ...Mr. T.
-C'est pourri.
-Je sais.
-Ah.
-Hé...
-Bon.
-... »

Mr. T fonça sur Koopalmier, son couteau très aiguisé en avant, mais le hérisson évita à temps en se jetant sur le côté. De plus, le gorille trébucha sur la mitraillette laissée par terre et trébucha, mais se releva aussitôt et se retourna pour voir un Koopalmier assez effrayé quand même.

« ...Qu'est-ce que je faisait déjà pour pas avoir peur... ? Ah, oui, oublier que je peut mourir ou me faire mal. ; réfléchissait le hérisson vert tandis que Mr. T approchait lentement. »

Il fonça dans Tough et agrippa la main qui tenait le couteau suisse, et réussit à le lui enlever avant de tenter de le lui planter dans un bras. Etrangement, il n'y arriva pas: le bras du gorille était trop dur. Le couteau se tordit et fût donc inutilisable, cependant. Entouré de Tough / Mr. T et des 3 autres hommes – venus apporter du soutiens à leur supérieur – et coincé dans un coin de la cabine de pilotage, Koopalmier était vraiment dans des problèmes... Mais il utilisa le peu de concentration qu'il lui restait pour exécuter un PSY Eau α et ainsi faire... exploser ses attaquants ?

« ...Gné ? Comment ça se fait qu'ils aient explosés ? Enfin, bref, au moins je les ait battu. Pour une fois que j'ai de quoi frimer, je vais pas en profiter quand même. Pas que a à foutre non p... »

Tandis que Koopalmier pensait à voix haute et commençait à sortir de la cabine, le bras de Mr. T se mis à flotter et traversa la vitre de la cabine avant de s'envoler au loin.

« ...Quoi ? »

Le trou créa un appel d'air qui aspira Koopalmier et ferma la porte. Mais... il n'y a pas de pilote, non ? Le hérisson frôla de justesse l'un des réacteurs de l'avion et s'accrocha à l'aile au-dessus du réacteur, mais avec difficulté puisque l'avion commençait à tomber, et les bords de l'aile étaient coupants. Finalement, il lâcha prise...

« Hé ! Réveille-toi ! Tu vas te réveiller, oui ?!
-Je crois qu'il est mort.
-Oh, raconte pas n'importe quoi ! Un mort qui respire ?
-Tu sais, ça continue à bouger le ventre plusieurs heures après être mort, ces trucs...
-Mais tu vas la fermer oui ?! Arrête, tu délires !! Bon, c'est quand qu'il se réveille l'autre ?
-Mmmh...
-Ah, tu t' réveilles enfin ! »

Koopalmier ouvrit les yeux. Il était sur un lit en bois, et ses vêtements sentaient l'iode. Il y avait deux personnes à côté de lui: une jeune hérissonne et un vieil homme.

« Où je suis ? ; demanda le hérisson vert.
-T'es sûr le Mont Kilfécho ! ; répondit la hérissonne.
-Nous t'avons retrouvés naufragé sur la plage, jeunot. Après l'explosion de tout à l'heure, on est partit vérifier en bateau et on t'a retrouvé là, dans la mer, en train de faire la planche... En tout cas tu as bu une jolie tasse ! »

Après vérification, Koopalmier se rendit compte qu'en effet sa gorge était sèche et qu'il avait un goût de sel dans la bouche.

« Une explosion ? Mais alors ça veut dire que... l'avion... … … ; réfléchissait le hérisson à lunettes.
-Tu t'appelles comment ? ; questionna la hérissonne.
-Koopalmier... Et vous ?
-Pauly Ana ! »

Pauly Ana était une jeune hérissonne, âgée de quatorze ans. Elle avait beau être très jolie, c'était un garçon manqué. Ses piquants étaient noirs et ses « cheveux » étaient longs et raides. Ses yeux étaient d'une couleur bleu ciel éclatante, ses cils étaient longs et sa peau était pâle. Elle portait une robe courte, similaire à celle d'Amy Rose, mais de couleur bleue. Elle portait aussi des moufles et des baskets vertes sans lacets.

« Pauly Ana, hein ? Et vous ?
-Sno Man, mon petiot ! Mais appelle-moi Oncle Sno ! »

Sno « Cold » Man était un humain dont l'âge était inconnu, tout comme les origines. Tout ce que l'on sait de lui, c'est qu'il a toujours vécu sur l'île et a élevé Pauly. Et il est, selon sa fille adoptive, sénile. Il était chauve et avait de grands sourcils blancs et touffus, tout comme sa barbe qui ressemblait à du coton. Ses yeux étaient cachés par l'ombre de son grand chapeau de paille. De plus, il portait une chemise hawaïenne et un short, et des sandales. Il se déplaçait toujours avec une canne en bois même s'il se tenait parfaitement droit et ne boitait pas.

« Sno Man ? Bizarre, j'ai déjà entendu un truc sur ça... Enfin, bref. Vous pouvez me ramenez à Apotos, s'il vous plaît ? Ch' suis pressé, là...
-Rôôôh, tu peut quand même rester un peu non ? Pour une fois qu'on a un visiteur ! ; dit l' hérissonne.
-Nan. ; répondit le hérisson.
-...Je sens quelque chose d'étrange en toi, jeunot. ; dit le vieil homme à Koopalmier.
-Et c'est quoi ? Mes pouvoirs PSY ?
-Tu... tu as des pouvoirs PSY ?! ; s'étonna Sno.
-Ben oui, hein...
-Des pouvoirs psychiques ? Trop cool !! ; s'exclama Pauly.
-Mon petit, ce ne sont pas des pouvoirs PSY que je sent en toi. Enfin, si, mais il y a quelque chose de beaucoup plus grand que ça... ; disait Sno Man tandis que sa mine devenait de plus en plus sérieuse.
-...Bah, on s'en fiche hein. Moi je m'en vais. ; dit d'un pied ferme Koopalmier. »

Le hérisson sauta de son lit et s'empressa de prendre la porte qui semblait être celle de la sortie. Il l'ouvrit et... se retrouva en plein milieu d'un champ de neige tandis qu'un blizzard survenait. Pauly s'empressa de le faire retourner dans la maison.

« Glagla... Gla... Il f... Il fait pas... Ch... Chaud... ; se forçait à dire le hérisson alors qu'il grelottait et claquait des dents, sa peau avait virée du beige au blanc.
-Bah oui, tu t'attendais à quoi ? Hahaha ! T'es marrant, toi. ; disait la hérissonne en riant de lui.
-P... Pourquoi... Tu... Tu rigoles ? Espèce... Espèce d... De...
-Ben parce que je trouve ça mignon, tiens ! Et marrant.
-J' suis pas... J' suis ps mi... Mignon...
-Tss, t'es une enflure surtout oui ! On te sauve la vie deux fois et tu nous dit même pas merci !
-Calme-toi, Pauly... Koopalmier, suit-moi. Toi aussi, Pauly. ; dit calmement Sno. »

Le vieil homme sortit d'un placard situé plus loin trois parkas, deux de la taille de la hérissonne. Puis il sortit d'autres vêtements polaires et dit aux hérissons de tous les mettre. Puis il s'équipa lui-même et tous trois sortirent de la maison, qui était une maison en bois couverte de neige et localisée  en bas d'une montagne complètement enneigée: le Mont Kilfécho. Une montagne très dure à escalader, même impossible. De plus le sommet est caché par des nuages donc nul ne sait ce qui peut se trouver au sommet.


« Pourquoi on va dehors, Papy ? ; demanda Pauly Ana.
-Nous allons au sommet de la montagne. ; répondit-il.
-...Au sommet ? Z' êtes sûr qu'on risque pas de galérer un peu ? ; demanda Koopalmier alors qu'il regardait la montagne de haut en bas et avait déjà le vertige.
-Non... Venez. »

Ils s'approchèrent d'un côté de la montagne, et...

« PSY Tonnerre γ ! »

Trois éclairs vinrent frapper la parois de la montagne, créant ainsi une ouverture à une grotte. Pauly fixa Koopalmier en pensant que cela venait de lui, mais le hérisson lui-même ne comprenait pas. Il ne restait plus qu'une personne...

« ...Papy ?! ; s'étonna la hérissonne, qui avait comprise.
-Oui... C'est moi qui ait provoqué ces éclairs. Je ne t'ait pas tout révélé de mon passé... Mais je le ferait bientôt. En attendant, venez. ; dit Sno mystérieusement. »


Le vieil homme s'enfonça dans les ténèbres de la grotte, bientôt suivi par les deux hérissons. Ils marchèrent durant plusieurs minutes, dans le noir. Koopalmier se heurta de nombreuses fois à des rochers et des stalagmites, et trébucha autant de fois à cause du sol glissant. Finalement, une once de lumière apparut au fond du tunnel, et le hérisson vert se réjoui que son calvaire soit enfin terminé (et la hérissonne noire se réjoui que les complaintes de Koopalmier soient finies). Mais soudainement, une explosion se fit entendre et l'onde de choc fit trembler la montagne entière, faisant de même tomber de gigantesques rochers sur le chemin de nos héros, le leur barrant.

« ...Ah, mer... ; s'apprêtait à jurer le hérisson no-life.
-D'où viens cette explosion ? ; demanda Pauly.
-Je ne sais pas, mais ce qui est sûr c'est que nous avons un problème sur le dos maintenant... La structure de la grotte est trop instable maintenant, le moindre tremblement trop puissant pourrait tout faire s'écrouler.. sur nous, naturellement. ; expliqua Sno.
-Râh, pourquoi faut que je porte la poisse comme ça ?! ; s'écria Koopalmier en se tapant la tête. »

Tandis qu'il se tapait dessus, il se sentit soudainement atteint d'une haute fièvre.

« Je... Je me sens pas bien, là... ; parla-t-il d'une voix basse et épuisée.
-A force de te taper dessus comme un idiot t'a dû t'assommer ! Pfff, crétin... ; en conclus donc la hérissonne noire.
-Tes pouvoirs psychiques s'éveillent... En attendant, évitons de courir, et restons groupés. ; conseilla le vieil homme.
-Mais à quoi ça sert de rester groupés, sérieux ?! On peut plus avancer à cause de ces fichus rochers !! ; rappela Pauly à son grand-père adoptif.
-...Ah, oui, j' allait oublier. Je ne peut pas utiliser un PSY Tonnerre dessus, tout s'écroulerait sûrement. Et les autres attaques psychiques ne servent à rien... Mmh, comment je pourrait faire... ; se demandait-il.
-Ben je sais pas moi ! Il a pas des pouvoirs psychiques, l'autre gars, lui aussi ? ; demanda Pauly.
-Oui, mais ils sont trop faibles... Et qui sait quand ses pouvoirs actuels auront fini de se réveiller ? Ca pourrait prendre cinq minutes, ça pourrait prendre trois semaines, tout dépend de la force spirituelle de la personne. Et dans son cas, c'est pas gagné...
-Hé, oh, j' entend tout hein ! Mais je m'en fout, j'ai l'habitude. ; parla le hérisson à lunettes d'une voix basse. »

Soudainement, un petit tremblement survenu et une ombre s'approcha, accompagnée d'autres ombres. Toutes étaient impossibles à percevoir à cause des ténèbres de la grotte, mais on pouvait les sentir remuer l'air en avançant.

« Bon, on avance, les gars ! Pas par pas, en rang et attention aux rochers, c'est clair ? Allez, allez, magnez-vous vos sales fesses robotiques !! Le patron sera pas content sinon ! »

Tel disaient une voix aigüe provenant de l'une des ombres, sûrement la plus petite devant les autres. Le groupe, rangé en file indienne, avançait lentement. Cependant, le plus petit d'entre eux s'arrêta net et ceux derrières lui s'arrêtèrent.

« Qui est là ? Qui oses être là ? ; demanda-t-il.
-Heu... Trois voyageurs perdu ; répondit Sno. Vous ne sauriez pas où est la sortie ?
-Gnéhéhéhé... Vous ne m'aurez pas comme ça, les amis. Vous êtes trois gêneurs et nous devront... Vous détruire ! Quel hasard après ce que vous avez fait, hein ? ; dit l'homme dans le noir.
-...Ce qu'on a fait ? ; questionna Sno Man.
-Et bien, voyez-vous, c'est vous qui avez juste fait s'effondrer ces rochers pour nous gêner dans nos projets, voyez-vous ? ; expliqua-t-il.
-Mais calme ta joie, c'est pas nous qui avons... ; répliqua Pauly Ana.
-Silence. Vous devrez payer pour votre refus d'admettre vos erreurs ! Mais pas à cet endroit, pas en ce moment. La bataille dans le noire n'est pas très agréable, n'est-ce pas ? ; répliqua l'homme inconnu.
-Mais... Puisque on vous dit qu'on a rien fait... ; dit Koopalmier en tentant de se placer dans la conversation.
-Mmmh... Voyons voir vos visages hideux. ; se dit l'homme tandis qu'il sortait une lampe torche de sa poche. »

Il la brandi devant lui et l'alluma, éclairant ainsi le visage de Sno.

« Hideux, ridé, malodorant... Mais trop jeune, hahaha ! »

Il la pointa ensuite sur Pauly.

« Hah, ce n'est même pas un garçon. »

Et éclaira enfin le visage de Koopalmier, mais la lumière vint se refléter sur l'homme inconnu et le rendit visible. C'était un homme de taille moyenne, portant un chapeau blanc et une veste blanche, tandis que son pantalon de cuir était noir. Il portait un gant reflétant la lumière – mais seulement de sa main droite – et son visage était encore caché par l'ombre de son chapeau.

« Alors,, voyons... Sale, malodorant, mal habillé, mal rasé, moustachu, lunettes, cernes... Intéressant, on dirait un simple animal trop stupide pour savoir qu'il est bête ! Ahahah ! Vous savez, c'est toujours intéressant de savoir à quoi ressemblent nos victimes avant de les achever. Peu importe qu'il fasse noir... »

Alors qu'il eut fini sa phrase, les ombres qui l'accompagnaient s'approchèrent de nos héros. Révélés par la lumière, on pouvait voir que c'étaient des êtres – probablement humains – entourés d'une armure de guerre semblable à celle des chevaliers mais de couleur jaune verdâtre. L'un d'entre eux attrapa Koopalmier, l'autre Pauly et un autre Sno.

« Bordel, mais lâchez-moi quoi !!! ; se plaignit le hérisson vert en se débattant faiblement à cause de sa  fièvre.
-Ouais, lâchez-nous ! ; ajouta la hérissonne noire.
-Cela ne devrait pas se passer ainsi... ; murmura le vieil homme.
-Je me présente, Mickey Jake, maître du mal et danseur professionnel, mais appelez-moi Mike. Et ces gens qui vous attrapent sont des soldats de notre armée, les Pi... ; se présenta l'homme inconnu qui ne l'était plus.
-Ta gueule, on s'en fout. Libère-nous, on a rien fait. ; s'exclama Koopalmier de toute ses forces (en quelque sorte).
-Oh, mais on a des problèmes de colère en plus ? Laissez-moi arranger ça... Allez-y, les gars. ; ordonna d'un signe de main Mickey. »

Les robots se mirent à serrer les trois personnes de plus en plus fort. Koopalmier semblait s'ennuyer, Pauly criait de douleur et Sno n'arrivait plus à respirer.

« Il... Il faut que je fasse quelque chose avant que ce ne soit fichu ! ; pensa-t-il.
-Alors, vous aimez ça ? Pas mal, hein ? Et si vous ne vous excusez pas, je les ordonne de vous broyer en chair à pâtée. Alors ?
-PSY GEL α !!! ; cria le hérisson tandis que sa fièvre avait disparue. »

Les hommes en armures furent congelés et relâchèrent leurs otages.

« ...Quoi ? Mais... c'est pas juste ! Non, c'est vraiment pas juste !! ; s'exclama Mike avec surprise.
-J' viens d'apprendre trois nouvelles capacités PSY ! Bon, tu te rends ou tu te casses ? ; demanda Koopalmier à son adversaire.
-Je... Je reviendrait ! Et cette fois-ci, avec une vraie armée ! En attendant, prenez soin de vous, haha ! Allez, bye ! »

Il sortit une bombe lacrymogène de sa poche, la lança sur le sol et s'échappa. Une fois que la fumée disparût, Sno Man regarda autour de lui.

« Il s'est enfui, je pense... ; dit-il alors qu'il reprenait son souffle.
-Mais on peut quand même pas avancer, hein... Ca change rien. Merci, en tout cas ! ; s'exclama la hérissonne en se tournant vers Koopalmier.
-Ouais, bon, de rien hein... J'ai appris de nouvelles capacités PSY, je crois. PSY Gel α, LifeUp β et PSY Eau β. ; informa-t-il à Sno en ayant l'air de penser à quelque chose.
-PSY... Eau ? Je ne connait pas... Et quel effet ça peut avoir ? ; demanda le vieil homme au hérisson.
-Bah, t'as qu'à voir hein. PSY Eau β ! »

Le jeune no-life pointa la pile de rochers qui bloquait la sortie – il pouvait la voir car Mike avait laissé sa lampe torche sur le sol – et une vague psychique d'environ deux mètres de haut vint se fracasser contre les rochers sans pour autant créer de vibrations. Ces derniers rochers furent balayés et l'ouverture était enfin en état d' accessibilité.

« Mmmh... C'est une technique bien étrange ; dit Sno... Elle n'est pas supposée exister, normalem...
-On s'en fiche, la voie est libre ! Allez, venez vite, les garçons ! ; s'exclama la hérissonne noire en se frottant les bras car elle avait encore mal. »


Le trio sortit donc de la grotte et remonta la montagne par une route enneigée. Sno était en tête de file, Pauly était juste derrière et Koopalmier était plusieurs mètres derrières, épuisé. A la tombée de la nuit – qui ne mis pas longtemps à arriver – ils s'arrêtèrent vers un coin de neige à l' abris. Comme il n'y avait aucune grotte aux alentours, Sno Man utilisa un PSY Feu α pour faire fondre un coin de neige, puis tous trois se couchèrent à cet endroit et le vieil homme se servit encore de ses pouvoirs psychiques pour créer une barrière psychique autour de lui-même, du hérisson et de Pauly. Puis ils s'endormirent...

« Mes affaires... Les gens de l'avion... Perdus. Il s'est passé tant de choses en une journée... ; pensa Koopalmier alors qu'il commençait à pleurer.
-Qu'est-ce qui ne va pas ? ; demanda Sno qui avait entendu les pleurs du jeune hérisson vert.
-Rien, rien... »

Le lendemain matin, ils reprirent leur route. Le sommet du Mont Kilfécho n'était plus très loin...

C'est super, il y a de l'action, de l'humour, bref c'est parfait, continue !

Super! Toujours aussi bien.^^


Rien à redire. Vivement le chapitre suivant!^^

Selon l'un des tutoriaux, il ne faut pas baser le personnage de la fanfiction sur soi-même.

Soit j'ai brisé une règle importante et j'ai disortdu le monde en créant deux dimensions parallèles qui s'entrecroiseront un jour et détruiront l'existence telle que nous la connaisons, soit vous lisez pas les fics des autres. Merci des commentaires, en tout cas.

Alors voilà donc cette fameuse fic. Il y a de l'action, de l'humour et des rebondissement. Cela va de mal en pire ici.

L'avion qui a explosé, donc Bledengor est RIP? Je poste depuis l'au de là "RIRE"
Comment peux-tu faire mourir comme ça mon personnage? C'est horrrrribleuueuueueueuh.

Tu t'inspires de Mother pour écrire ton histoire?

Que fait MJ dans cette fic?
Bledengor est-elle morte?
Le sort va-t-il cessé ou continuer s'acharner sur Koopalmier, Sno et Pauly?

Oui normalement il faut éviter de mettre un personnage basé sur soi. Mais comment ne pas s'inpirer un minimum?Pour moi toute création à au moins un point en commun avec son créateur, même infimme.

Ciaooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooos

Qui a dit que Mike était MJ ? Tu verras plus ou moins bientôt...

Et je ne me suis pas encore inspiré des jeux MOTHER mais ça ne saurait tarder. Un personnage très important reviendra. Mais pour le moment, Koopalmier a d'autres problèmes.

Lock + Mystic Cave Zone, svp.