...
Euh...
*entre timidement dans le topic*
Désolé, j'suis
un peu en retard...
...
*entre en courant*
Mais ce n'est pas pour autant que tu échapperas à la...
*s'enveloppe dans sa cape et ne laisse dépasser qu'un regard sournois*
Crrritique négative !
*retire la cape*Et pour TTH : ptêt que je t'ai toujours pas eu, mais ça viendra. Il y a cinq parties dans cet histoire, alors j'ai le temps. Je finirai par t'avoir, t'inquiète ^^
P't'êt'e ben qu'oui, p't'êt'e ben qu'non ! Mais en attendant, histoire est féminin. :P
Et sache aussi que si tu cesses les inexactitudes orthographiques ou de conjugaison...
... j'attaquerai par un autre front. Celui de la rédaction. T'es pas sortie d'affaire. :P
Enfin sinon, j'vais faire court pour rattraper mon retard. Ben ouais, j'étais en Espagne, mais même après être revenu, j'ai pas pris le temps de m'occuper de ça... ce sera désormais chose faite. Même si ça m'aura pris deux semaines, ou je ne sais quoi. AAAAAA-
« elle se hâta d'entrer à l'intérieur. »
Depuis quand on peut entrer à l'extérieur ? :P
« Mais elle n'en entendit pas une. »
Très maladroit. Le "une" à la fin fait tout chuter.
« ce chant embelli par toute la beauté de la mélancolie »
À la limite de la répétition. C'est plutôt une reprise mais... au lieu de "beauté", j'aurais mis "splendeur".
« la falaise qui se trouvait au bord de la ville depuis sa création »
On ne peut pas placer une falaise. Ainsi, ce n'est pas la falaise qui se trouvait à côté de la ville, mais la ville qui se trouvait à côté. Et, non, ce n'est pas du pareil au même, il y a une nuance. :P
Enfin oui, bon, je pinaille, mais ça, c'est parce...
*agite sa mèche*
... Parce que je le vaux bien.
« elle sauta de toits en toits »
Hum... Bon, alors le doute du jour, c'est : « toit n'aurait pas plutôt dû être au singulier ? »
Enfin, j'le répète, c'est le doute du jour. Donc voilà quoi.
Droit devant elle, elle vit la grande falaise proche de la forêt, la falaise qui se trouvait au bord de la ville depuis sa création. Nox se hâta en direction de l'édifice naturel. Sentant que le froid quittait peu à peu l'air qui l'entourait, elle sauta de toits en toits pour finalement mettre les pieds dans l'herbe glacée. Car étrangement, aussi glacée et dénuée de vie qu'était Yvanesca, la vieille falaise avait gardé en elle le secret pour faire pousser la nature, quelle que soit la température contre laquelle lutter. Et derrière elle encore, il y avait même la mer, toujours vaste et tranquille...
Nox traversa quelques buissons, et arriva au bord de la falaise.
Il
falaise fallait que tu fasses des répétitions... :P
Bien sûr, la véritable répétition était à la première phrase, mais... le mot
falaise revient à une fréquence trop élevée, je trouve... Par contre, je n'ai pas tellement d'alternative à proposer, sauf pour la première phrase : « Droit devant elle, elle vit la grande
falaise proche de la forêt, celle qui se trouvait au bord de la ville depuis sa création. »
(Note : j'ai conservé les "fautes de style". Bien sûr, c'est arbitraire, parce que c'est moi qui dis ça.
Falaise.)
« ... ni celui qui a amené Athem à partir. »
C'est pas plutôt "mené" ? Non parce que non voilà quoi.
« Pardon. Je vous doit excuses et explications. »
Il doi
s avoir fait une permutation... Hum... ... Hum, bon... Enfin voilà quoi.
« j'ai usé des pouvoirs d'une sphère bleue, qu'ici, on appelle »
Elle me fait un peu bizzare, cette phrase... "qu'ici on appelle", j'aurais plutôt dit "que l'on appelle ici".
« Ce devait déjà être la première fois qu'elle entendait tellement sa voix en une journée. »
Ce n'aurait pas plutôt dû être "autant" au lieu de "tellement" ?
Ah oui, ce n'est pas une histoire d'orthographe ici, mais...
« Par exemple, Hiéron, c'est le fils de Sonic et Amy. »
« de Sonic et Amy. »« Sonic et Amy. »« Sonic et Amy. »NAAAAAOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON NON NON NON NON ATYEFSDYUCV GETYISDGIZ SEGUYX VYUDH BFGB FUIDGHUV !!!!!§!§paragraphe!!§!!
C'est tout.
« des phénomènes à priori naturels »
Hahaha ! On écrit "a priori", sans accent, parce que c'est du latin ! Et ça marche également avec "a posteriori" et quelques autres que j'ai oublié mais que de toute façon ça ne change rien !
Bon sinon, c'est tout pour ce chapitre-ci.
...
En avant, dernière chose.
Falaise. :P
Chapitre suivant.
« il ne reste plus rien d'eux ou de leurs descendants. Sauf de moi »
c pa trés francé mdr
Le "de" est trop... euh, de trop. Parce que sinon, ça voudrait dire qu'il a perdu des morceaux de lui-même. :P
« Tout ça parce que la
prophétie est encore là! Elle n'a pas été brûlée, on ne l'a pas jetée à la mer. Alors tant qu'elle existe, ça veut dire qu'elle va se
réaliser. Donc mon rôle, c'est de trouver six autres Héros semblables à ceux qui ont péri, pour enfin
réaliser la
prophétie. »
Tic...
... Tac...
...
Tac, tic.
Une répétition particulière... elle aurait pu être neutralisée, avec par exemple
« pour enfin
réaliser cette fameuse prophétie. »
On ralonge la phrase et on ajoute un démonstratif qui aura pour but d'insister, et là, peu importe qu'il y ait des réitérations rapides, car ces fameuses itérations auront un aspect moins lourd. Enfin ça, c'est ce que je dis. Donc, BDD.
« Sephyra la reconnut sans mal, malgré le fait qu'elle ne l'avait pas vue depuis longtemps : c'était Sha-Lin, le chef du Clan Odori, qui vivait avec son clan dans les lointaines montagnes du même nom. »
Deux choses :
Premièrement, l'emploi du plus-que-parfait à la place du subjonctif. Alors certes, ça reste correct, mais j'trouve ça lourd. Mais bon, c'est comme ça, je suis comme ça.
Deuxièmement, répétition, encore. Eh oui, on a dans la même phrases deux fois le mot "clan", bien que la première fois il soit inclu à un nom.
« les arts martiaux ninja »
Bon euh... J'y connais pas grand chose, mais une intuition
féminine me dit que c'est un pléonasme. Bien sûr, vu qu'j'y connais rien, ça vaut pas grand chose. Mais j'dis quand même.
« Sephyra ouvrit de grands yeux. Puis elle ouvrit ses ailes et s'éleva dans les airs. »
Je me l'ouvre pour dire que le Louvre ouvre à 9 heure. Le Louvre, où l'on peut admirer des ouvres... des œuvres d'art et...
...
Oui bon, je me la ferme. Mais il est ouvertement évident qu'il y a un petit problème. :P
« La créature qui avait brûlé ses terres natales »
Euh... En principe, de terre natale, on n'en a qu'une seule.
« Mais il a mal choisi son endroit. Car à l'est, il y a la mer. Et s'il tombe dedans... »
Bon. Voilà une question à laquelle toi, et toi seule, pourras répondre. Inferis, ici désigné(e) par "il", est un mâle, une femelle, ou un asexué ? Car en cas de féminité ou d'asexualité, Inferis devrait être désigné(e) au féminin. C'est
une Hydre, non ? Eh bien voilà.
« Il ne doit pas pouvoir toucher à la falaise. »
La manière de formulation transforme cet ordre en supposition d'un fait d'occurence actuelle. (Mais nan, je cherche pas midi à quatorze heure quand il s'agit d'exprimer le fond de ma pensée.)
En retirant le mot "pouvoir", l'hypothèse devient ordre.
« renvoyer Inferis de là où il vient! »
Aaaaarf... Pour ma part, j'aurais dit « là d'où il vient ».
Toutefois, je ne peux pas affirmer que c'est inexact, vu que je ne sais pas non-plus si c'est la forme correcte. Donc, BDD encore.
« Vous êtes en train de retrouver vos souvenirs et c'est bien »
Oui, c'est bien, et boire, c'est mal ! :P
La phrase est très maladroite. Ça fait, désolé, limite gamin.
« c'est certainement l'orbe de l'Eau qui vous a fait amnésiques »
On ne fait pas amnésique quelqu'un, on le rend.
...
Par contre, j'ai oublié pourquoi.
« je dois vous dire pourquoi est-ce que c'est vous que j'ai choisis. »
Ouuula... Le "est-ce que" est nettement de trop. C'est une faute assez peu pardonnable.
« Mes boules de cristal »
*tousse* *tousse* *tousse* Arrr*tousse*rrrf. Bon désolé, mais euh... Oui non, bon. Il aurait été préférable de mettre "Les" au lieu de "Mes" afin d'éviter l'effet... indésiré. XD
« Je les avait justement amenés ici »
Ho, ho, ho ! Il y avai
s sûrement eu une autre permutation ici !
« Sha-Lin lança ses couteaux ninja »
Bon, j'ai dit que j'y connaissais pas grand chose en ninja et tout ça... mais les couteaux ninja, ça s'appellerait pas des "kunaï" par hasard ? Je demande, hein...
« Nox profita que la tête de son adversaire était à proximité, pour lui décocher un furieux coup de pied. »
J'aurais plutôt dit :
« Nox profita que la tête de son adversaire
fût à proximité pour lui décocher un furieux coup de pied. »
Premièrement, l'accord du temps. Ensuite, la virgule parfaitement inutile qui trainait au milieu de la phrase.
Bon, fini pour ce chapitre.
Suivant.
« Je vous propose qu'on ne parte pas d'ici avant demain. »
À sa place, plutôt que de compliquer le sens, j'aurais proposé de rester jusqu'au lendemain plutôt que de ne pas partir avant le jour suivant.
« Il paraît que là-bas, le soleil ne s'y couche jamais. »
Le "y" est inutile, étant donné que le lieu ("là-bas") a déjà été précisé, même si ce lieu est défini de façon abstraite.
« Malgré le fait qu'elle était très encombrée, la maison de Yorick était plutôt grande. »
Concordance. « Malgré le fait qu'elle
fût très encombrée... » Ben ouais.
« Elle ôta ses bottes et ses gants, puis alla fermer les rideaux de la petite fenêtre. Caela ôta elle aussi ses bottes et gants de métal. »
Ô, tas de répétitions !
...
Oui bon, je dis "tas", j'exagère,
mais il n'empêche qu'"ôta" se réitère !
J'aurais pour ma part mis "Caela fit de même avec ses bottes et gants de métal."
« ni grand ni vaste »
Ce n'est ni répétitif, ni réitéral.
...
Oui bon, j'veux dire que grand et vaste, c'est pratiquement la même chose. Tu devais sûrement parler de "ni grand, ni petit", m'enfin j'dis ça, j'd... oh et puis, c'est lourd à la longue. XD
« Mon enfant... ne pleures pas... »
Les impératifs, en général, ne prennent pas de S à la fin.
« La douleur venait de revenir. »
Et moi, je suis venu pour venir te dire que ça se répète que ça se répète.
« La douleur était de retour. »
Et moi, je suis venu pour venir te dire que ça se répète que ça se répète.
Et moi, je suis venu pour venir te dire que ça se répète que ça se répète.
Oui bon, hein. Ce n'était pas incorrect, mais ça sonnait la répétition.
Et moi, je suis venu pour venir te dire que ça se répète que ça se répète.
« Elle avait de plus en plus mal, avait de moins en moins de forces »
"Force" n'aurait pas dû prender de S à la fin. Des forces "générales", elles n'en a pas plusieurs. Et c'est le cas pour tout le monde, quand on parle de la force "qui nous fait ternir debout". C'est une image, bien sûr...
« ce qui la prenait de dormir autant. »
Ce qui
lui prenait. Alors, certes, Caela est une fille (Sauf preuve du contraire. :P ), mais ici, c'est un "lui". Quand, par exemple, quelqu'un donne un objet à une fille... Il "lui" donne l'objet en question, ou bien il le "la" donne ? Et PAF ! Ça fait des Chocapics.
« Elle leur déclara que la hérissonne semblait plongée dans un sommeil si profond qu'il semblait impossible de l'en tirer. »
Sans faire semblant, il semblerait que le verbe "sembler" semble se réitérer.
« Au fait, il y a quelque chose dans ton histoire que je n'ai pas compris, dit Tora à l'échidné gris. »
Un accord. "Une chose" est un féminin, ainsi, "compris" aurait dû s'accorder et
deviendre devenir "comprise".
« Tu as dit qu'il existait seize Hydres jadis, et que douze sont mortes. Pourtant, tu n'as ensuite parlé que de quatre Hydres survivantes. S'il y en avait bien seize au départ, alors deux autres auraient dû survivre, non? »
2 + 2 = 5, donc je suis le Pape. AAAAAAAAAAA-
« Ah bon. »

... Désolé.
« Oui. Imagines qu'il soit un résistant. »
Encore une histoire d'impératif qui ne doit pas prendre de S à la fin.
« Réveilles-toi, maintenant. »
Idem.
« Cependant, ouvres les yeux. »
Même chose.
« La splendeur soleil matinal dans les arbres »
Je crois du qu'un mot a filé et s'est planqué quelque part...
« Nous allons nous rendre au sud d'ici »
D'accord. Et le sud de là-bas, c'est où ? À l'ouest ? :P
« Là où une vieille cité abandonnée s'est vu recouverte »
Double-accord. Je crois. Et je crois donc que "vu" aurait donc dû prendre un e à la fin.
« J'y suis jamais allé seul, parce qu'il paraît que c'est dangereux. »
Il y est déjà allé, mais il suppose toujours. C'est un peu contradictoire.
« Ils se ressemblaient tous, mais avait sur eux »
Le "avait" aurait dû être un "avaient". Ben oui, hein.
Sinon, là, c'est fini pour ce chapitre.
Suivaaant et dernier.
« et frappa trois loups à la chaîne en faisant jaillir trois rideaux de sang »
Deux fois trois. Une fois de trop. Deux plus deux font cinq. AAAAA-
Tu aurais plutôt dû mettre "des" au lieu du deuxième "trois", ç'aurait évité la répétition. Répétition. Répétition.
« les loups étaient fort nombreux comparé au petit groupe d'amis. »
Les loups, pluriel, le groupe, singulier. "comparé" aurait donc dû prendre un s. Une autre formulation peut, en quelque sorte, le montrer :
« comparés au petit groupe d'amis, les loups étaient fort nombreux. »
« Les plus grands résistants
le portent de manière à ce qu'
ils soient très visible
s ; les autres ne l'ont pas ou
le dissimulent. »
Le gras parle de lui-même. Mais non, pas le goinfre, le gras ! On parle ici d'un symbole, donc d'un nom singulier. Or, ensuite, il est désigné par "ils", donc un pluriel, et à la fin, on a un "le". C'est pas cohérent, ça.
« jonchés de toutes parts par des plantes de toutes sortes. »
Deux fois "toutes", c'est pas un peu beaucoup ? :P
Et c'était évitable, en plus.
« sur le sol en dalles vertes »
C'est un détail, et j'en ai sûrement oublié d'autres du genre, mais on dit "le sol
de dalles vertes". Enfin, je crois. Feur.
« La nuit tombe, nous ferions mieux de partir voir l'orbe demain. »
Ouuula, C pa tré fransé sa lol
Premièrement, on ne part pas voir, on va voir.
Ensuite, on ne peut pas se "déplacer" dans le temps, du moins de la même manière que de se déplacer d'un point à un autre. Demain est une précision de temps, pas de lieu, ce qui fait que ta phrase est... obsolète. On comprend le sens, mais ça ne veut quand même pas dire grand chose. Implore Hādhoqs ! Par Hādhoqs !
Aussi, pour généraliser, certaines phrases sont un peu lourdes. Je ne les ai pas (toutes) relevées, mais l'ajout d'ajectifs "inutiles" ou "inappropriés" rendent par moment la lecture un peu pénible. Toujours est-il aussi que certains passages
Voilà, ce sera
tout.
Bon sinon, au niveau de l'intrigue (des quatre chapitres que j'ai "massacrés"), ça commence à vraiment devenir intéressant. Et on a enfin des scènes d'actions, aaah...
On a de nouveaux éléments (les orbes tro lumineuz) et on en apprend un peu plus sur les personnages (même si ces derniers, comme l'a dit Miko, pourraient avoir une personnalité plus approfondie), dont notament Caela (Encore heureux ! XD).
Enfin bref, c'est tout ce que j'avais à dire... enfin, non. J'ai oublié un petit truc. "sais tro bi1!!!lol" :P
(Aha, j'ai fait un post pratiquement aussi long que tes chapitres. :P )