Et bien, et bien...
Miko, fautes vues et corrigées, je te remercierai jamais assez de prendre le temps d'énumerer mes erreurs.
Aussi merci à vous, Kietha et Omega. Tant que j'y suis, si je la poste plus sur JV.com cette fic, c'est que tu me semble le seul à la lire.
Et aussi, merci à ceux qui prennent le temps de lire sans forcement poster un commentaire ^^
Vous, fans d'infiltration, de Qui veut gagner des millions et des intros foirées, ce chapitre est pour vous !
Chapitre XV : Egg-Escape
Amis de l’infiltration, Snake et Sam Fisher, bonsoir !
…
Ok, on recommence l’intro…
La serrure de la porte de la chambre de La Méchanceté tourna lentement dans un léger cliquetis, puis s’ouvrit sans un bruit. Une petite paire d’yeux surgit soudain, observant les alentours, vérifiant si la voie était libre…
Puis AZZB-E s’avança, roula plutôt, discrètement dans le couloir plongé dans la pénombre…premier objectif : descendre d’un étage pour aller libérer le docteur Eggman. Toutefois, pour se retrouver dans ce noir, bonjour la galère.
Heureusement, Robotnik avait prévu une fonction vision nocturne. Le petit robot activa cette option dans un petit « dziiiiii » discret.
Le couloir était large, et nettement mieux entretenu que les étages inférieurs. Un tapis ornait le sol, les murs étaient toujours dans ce ton métal noir de jais, mais au moins, la matière était polie soigneusement. Chose étonnante, les portes étaient en bois, ce qui coupait radicalement avec le métal qui entourait constamment les occupants de ce vaisseau.
Après deux, trois détours, le petit cube sur pattes trouva enfin un escalier, toutefois, celui-ci était gardé par un garde.
Question à 24 000 €
Comment passer ?
A - Foncer dans le tas.
B - Faire diversion avec un numéro de Playboy.
C – Faire demi-tour.
D - Obiwan Kenobi.
Le docteur, la sueur au front, hésitait fermement quant à l’option qu’il pouvait choisir. Le petit robot aurait été mit hors service rapidement avec un assaut frontal, il n’y avait pas d’autre issue, et que l’auteur soit pendu si Obiwan se ramenait dans une fic dédiée à Sonic the Hedgehog. Il pressa donc le bouton B courageusement, sans prendre le 50-50 ou un autre Joker de la sorte.
Un léger bruit d’imprimante, et le numéro 1489 spécial « Houlala ! » était prêt à l’emploi. AZZB-E activa la souffleuse et le canard de charme s’envola à la vue du garde. Ce dernier activa de suite son bâton, et s’avança prudemment vers le magazine. Du bout de son arme, il tourna une, deux, puis trois pages, avant de baisser sa garde et de prendre ce journal avec plein de madames dedans. Apparemment, pour se laisser prendre par un piège aussi grossier, Eggman supposa que le taux de testostérone de ces extra-terrestres devait être sacrément élevé.
Le robot en profita pour filer discrètement dans les escaliers et d’atteindre le niveau 5, passant celui des salles d’entraînement sans aucune encombre.
L’escalier allant en forme de serpentin, AZZB-E se retrouva donc au dos du garde de l’escalier de ce niveau. Ce dernier humanoïde n’avait pas remarqué ni entendu le petit cube robotisé s’approcher. Dommage pour lui, le robot sortit du clapet de son ventre une sorte de tazer et déchargea une bonne partie de sa pile sur l’extraterrestre.
Il s’écroula, et AZZB-E le tira vers les escaliers, là où il faisait noir de chez noir, puis s’avança prudemment vers son maître et créateur.
La situation se compliquait légèrement, les gardes étaient plus nombreux et faisaient des tours fréquents.
Question à 42 000 €
Comment faire ?
A – Que le docteur aille se faire mettre ouais !
B – Faire une autre diversion
C – Eliminer les gardes un par un
D – Anakin Skylwalker
La tension était à son comble. Rivé sur son siège, le docteur, sous le regard impénétrable d’un Jean Pierre Faucul imaginaire, se torturait l’esprit malgré ses 300 de Q.I ! Il ne pouvait pas laisser son robot se permettre de l’abandonner. A exit ! La C était trop risquée, et si un garde voyait le corps d’un autre traîné par AZZB-E ? Quant à la réponse D…
Finalement, il pressa, décidé, le bouton B sous le stress de la musique vach’té énervante que quand t’atteins le dernier palier du jeu « Qui veut gagner du pognon » !
AZZB-E exécuta donc l’ordre envoyé par le boîtier du docteur Eggman. Faire une diversion, oui, mais comment ? Rien de plus simple !
Le petit robot avait choisi un couloir où aucun garde n’était présent, et se posta au beau milieu. Puis il ouvrit une nouvelle fois son ventre à l’aide du clapet et sorti des petits boîtiers plats. Des CD…
Que choisir ? Pourtant, ce n’était pas le moment de s’embêter avec les détails ! L’être de métal hésitait pourtant fortement entre le CD des Tenacious B, du dernier album des DragonPower, le dernier single de John Mayoll et le best-of des AB/CD…bon, va pour les B.
AZZB-E introduisit le disque dans son lecteur, et démarra le tonitruant morceau « PEUD » dont la voix de Jacques Noir se répercuta sur les murs de métal.
Ni une ni deux, la cavalerie arriva, tous les gardes de l’étage se précipitant sur le lieu du bruit, armes levées et prêtes à charcuter l’ennemi.
Mais à peine le premier gardien arriva sur les lieux que la musique cessa. Tous les humanoïdes de l’étage n’y comprenaient plus rien. Le couloir était vide, il n’y avait plus personne, plus un bruit.
C’est ainsi qu’AZZB-E se joua de la vigilance de ces gardes, se faufilant derrière eux en profitant de la pénombre des longs dédales mal éclairés, et arriva face à son but. La porte de la cellule du docteur Eggman, qui se trouvait derrière !
Tout de suite, le petit robot monté sur roulettes se mit à sauter vers la poignée et s’accrocha dessus. Suspendu, il introduisit un petit fil de fer dans la serrure grossière et n’eut aucun mal à ouvrir la porte de fer.
Eggman était prêt à partir, il attendit la besogne de son fidèle serviteur faite. Au « clic » sonore, il tira la poignée et récupéra son petit robot, un sourire malsain aux lèvres.
- Gnehe…oh, mince !
En effet…l’effet de la diversion avait prit fin, et chaque garde reprenait son poste, plus prudent que jamais. Robotnik devait tout de suite trouver une solution…mais que faire ?
Le gardien bifurqua en direction du couloir de la cellule, et n’eu pas le temps de dire « ouf » qu’un engin volant non identifié avait bondit sur son visage. Il voulut se débattre, mais une joute électrique le paralysa et le fit tomber dans les pommes.
Robotnik respira profondément…bien visé…il avait lancé AZZB-E sur son geôlier, tel une balle de handball. Le robot avait fait le reste, heureusement. Le professeur traîna le corps et l’enferma dans la cellule, en espérant juste qu’un autre extra-terrestre n’a pas la mauvaise de passer par là et constater que son collègue n’était plus là.
Il s’accapara toutefois du bâton électrique, ça pouvait servir. Maintenant, direction l’étage d’en dessous et se barrer vite fait !
Eggman s’était découvert un drôle de talent malgré son gabarit : l’infiltration. Il s’était joué de deux gardes grâce à son acolyte robotisé, et avait planté le troisième à coup de bâton avec l’aide d’AZZB-E. Le doc n’était peut être pas doué pour le combat au corps à corps, mais à deux contre un, ça ne lui avait pas trop posé de problèmes. Il restait le quatrième garde qui gardait l’entrée des escaliers.
Tout de suite, Eggman trouva la solution : il s’avança devant l’extra-terrestre :
- Qu…qu’est ce que tu fous ici toi ? Menaça le garde, bâton placé juste sous le menton du professeur.
- Je cherchais les toilettes…répondit-il avec un sourire narquois.
- Ouais, c’est ça, et moi je…ghhh !
Le gardien fut interrompu net : AZZB-E s’était faufilé derrière le dos de l’extraterrestre et lui planta une bonne salve au tazer électrique. Il s’écroula par terre, et le docteur le tira vers les sombres marches de l’escalier.
C’est heureux que Eggman descendait les marches, suivit de près par le petit robot. Puis soudain, il s’arrêta, son expression sur le visage changeant brusquement. Quelque chose le tracassait.
- Mmmh…et ce Tails ? Pensa t-il. Le sauver ou pas ? Attends…
Question à 72 000 €
Que faire ?
A – Laisser le renard à son sort.
B – Le sauver dans un but purement désintéressé.
C – Le sauver dans un but purement intéressé
D – Padme Amidala
Le docteur prit rapidement sa décision. Son but était de conquérir le monde à l’aide de ses robots, certes, toutefois, jamais il ne se serait imaginé qu’un peuple venu d’ailleurs pouvait torturer juste pour son bon plaisir, inutilement. Cette notion dépassait le géni, pire, ça le révulsait.
Il allait donc le sauver, mais pas gratuitement, bien entendu. Il restait malgré tout un ami de son pire ennemi, et Eggman sait ô combien Sonic tenait à ce renard. Il rendrait donc le pauvre prisonnier au hérisson, mais dans son état actuel. La branche émotive de Sonic allait jouer, et il tentera sûrement de venger Tails en éliminant ces vermines de Dwarlords. Il pourrait même faire alliance, juste le temps de la purge…et ensuite…tous les éliminer quand le moment sera le mieux choisi.
De plus, Padme Amidala serait bien inutile dans l’échafaudage de ce plan…
Le professeur rebroussa donc chemin, et monta au 6ème étage…
Pace que l’auteur est un énorme feignant, et parce que ça n’apporte rien à l’intrigue, nous vous faisons grâce des diverses diversions et autres stratagèmes pour tromper la vigilance des gardiens.
Il en avait usé, du tazer d’AZZB-E, le professeur Eggman, mais au moins, il avait réussi à nettoyer le couloir. Il avait quand même eu chaud, Robotnik était tombé sur un fou du bâton qui a bien faillit le griller sans sommation. Heureusement qu’il avait fabriqué ce robot, sinon, il ne s’en serait jamais sorti.
Enfin bref, le lieu était dégagé, et AZZB-E crochetait la grossière serrure. Le professeur Robotnik était mal à l’aise, cet étage était insalubre, vieux, mal entretenu…un étage de prisonniers quoi.
Puis la porte s’ouvrit, et les deux fuyards entrèrent à la suite. Au moins, ils étaient à l’abri, mais jusqu’à combien de temps ?
Le géni balaya la cellule du regard et eu un air dégoûté en voyant l’état de la pièce. De la saleté, de la saleté, et encore de la saleté grouillante de bestioles. Ne parlons pas du lit qui se limitait à un pauvre bout de bois, et des toilettes, qui étaient à elles seules une source d’infection puissance mille.
Puis il le vit : le prisonnier, silencieux, qui semblait ne pas avoir entendu entrer. La tête collée sur la vitre, le regard vide et la bouche entrouverte, Tails observait sans un bruit Mobius, sa planète.
Le docteur devait faire vite, il s’approcha du renard, et lui tapota l’épaule.
Ce qu’il n’avait pas prévu, c’était le cri de peur que poussa le pauvre hybride, totalement rendu fou par les sévices passés.
- Bon sang de…AZZB-E !
Inutile de faire comprendre plus au robot : il arma son tazer et envoya une décharge sur Tails pour le faire taire. Voila au moins une bonne chose de faite…
Le renard évanoui était transporté par le docteur, tel un sac à patates qu’on portait sur nos épaules. Ils avaient enfin gagnés le quatrième étage, sans trop d’encombres, du fait qu’il ne suffisait que de prendre les escaliers.
A la grande stupéfaction du docteur, l’étage n’était même pas gardé. Pourquoi ? On s’en fichait, c’était tant mieux ! Mais quel hangar !
C’était un énorme lieu aux murs d’argents et au sol d’un noir tirant vers le gris. Des engins s’alignaient presque à l’infini vu le gigantisme du lieu. Des caisses à outil bizarroïdes traînaient, des circuits étaient sortis de leur carcasse de métal pour une futur réparation…un joyeux bordel quoi. Toutefois, le docteur resta un moment admiratif devant le systême de sortie e d’entrée des vaisseaux. Pas de murs coulissants, mais une sorte de vitre qui permettait de passer au travers. Un réflecteur ? C’était pas le moment de se poser des questions !
Il parcouru au pas de course l’énorme hangar, à la recherche d’un de ces speeders qui avaient mis à mal ses engins Eggs lors de leur première rencontre.
Puis soudain : un beuglement, des lumières rouges qui se mirent à clignoter. L’alarme était donnée !
Le professeur jura abondamment en cherchant son salut. Puis il le vit.
Petit vaisseau effilé, au design agressif et à la coque du même noir habituel. Eggman piqua un sprint jusqu’au vaisseau et s’y engouffra. Il déposa Tails dans un siège et fit face à AZZB-E. Le petit robot devait rester et ne pas se faire remarquer. Ainsi, il pourra piquer des informations ici et là. Le docteur le reprogramma rapidement et observa, nan sans une petite pointe de tristesse, son acolyte d’un soir s’en aller, s’engouffrant dans un circuit d’une machine de guerre pour y rester le temps que tout se calme.
Puis Eggman reporta son attention vers l’escalier de l’étage, et déjà, une petite armée de gardiens, armés de lances et de pistolets, déboulèrent en trombe. Les snipers canardèrent le fuyard qui put refermer la porte au bon moment, activant sans vraiment le vouloir le bouclier passif du vaisseau.
Maintenant, le docteur n’avait que très peu de temps. Comment démarrer ce machin ?
Question à 100 000 €
Comment démarrer cet engin ?
A – Donner un grand coup dans le tableau de commande.
B – Gueuler « Marche »
C – Appuyer sur le gros bouton « Start »
D – Han Solo
Un bouton Start ? Le professeur se frappa le front et s’insulta intérieurement ! Le gros bouton rouge se tenait au milieu des commandes noires ténèbre tel un…euh…bouton qui se tenait au milieu des commandes noires ténèbre ! Ainsi, vu qu’on cause machine, l’auteur eu aussi la bonne idée de parler dans le jargon mécanique !
En effet, le docteur pressa la poire, et le moulbif se mit en brêle dans un son à peter le feu ! Mais on n’avait plus le temps, ‘fallait mettre les gazs, et tant pis pour le temps de chauffe de la bécane ! Le pilote tira la poignée de vitesse à toc et se mit direct au plancher !
Encore plus fort que le démarrage dragster, le démarrage speeder ! Sous l’effet de l’attraction, le prof se retrouvait cloué sur sa selle, toute moustache en arrière, et traça sa route devant lui, tel un Hell’s Angel parcourant la route 66, toujours canardé par les Dwarlords à ses trousses !
Mais le vaisseau se détacha de ses câbles à une vitesse fulgurante et passa le mur réflecteur pour s’envoler vers l’infini de l’espace. Heureux, le professeur Eggman hurla de joie :
- JE VOUS AI TOUS POURRIIIIIIIIII !!!
Heu…non, en fait, il poussa juste un soupir de soulagement (faudrait que j’arrête de lire Joe Bar Team en écrivant ma fic moi…), aussitôt coupé par une brusque secousse. Sommairement sonné, le surnommé homme œuf attacha sa ceinture et celle de son passager toujours dans les pommes, et activa le radar du speeder. Il put constater au moins une chose : ces extraterrestres ont su faire des vaisseaux simples d’utilisation mais sacrément fonctionnels.
Il vit des points rouges qui étaient à ses trousses. Les Dwarlords l’avaient déjà pris en chasse. Au moins, ils ne perdaient pas de temps ceux-là.
Le docteur mit le régime maximum et fonça vers la planète à une vitesse prodigieuse, sous les tirs de blasters qui frôlaient sa coque. Il analysa la situation, aussi calmement qu’il le pouvait : soit les Dwarlords étaient de mauvais viseurs, soit ils voulaient à tout prix le récupérer vivant. Tant mieux, ça aller leur compliquer la tache.
La sueur au front, Robotnik entra dans la fournaise de l’atmosphère. La chaleur restait supportable, mais il cuisait furieusement dans sa coque de métal. Il parcoura les commandes des yeux, il fallait stopper la course de ses poursuivant avant qu’il n’atteigne la croûte terrestre.
Question à 120 000€
Que faire ?
A – Prier Saint-Victor pour qu’il trouve un moyen de le dégager de cette situation.
B – Faire son Check Maurice, faire un tête à queue et défoncer toute l’armada à lui seul.
C – Balancer des fumigènes
D – Luke Skywalker.
La seule solution qui lui donnait une vraie chance de survie était de balancer ces fumigènes. Mais dans l’atmosphère, c’était inefficace, il devait au moins atteindre la stratosphère.
Et pourquoi ne pas aller encore plus près ?
La folle course poursuite continuait toujours, des dizaines de speeders poursuivant un autre. Ils traversèrent les nuages, et le docteur vit qu’il fonçait droit dans les dunes d’un désert. Tant mieux. Il fit un rapide calcul :
Question à 300 000 €
Sachant qu’un speeder élancé à une vitesse de 400 km/h se rapproche d’un sol situé à 40 km de distance, calculez en combien de temps le speeder atteindra le sol :
A – 2 heures
B – Il m’est impossible de vous répondre, mon chrono est en panne.
C – 6 minutes
D – Qui-Gon-Jinn
Le super cerveau du docteur trouva tout de suite la réponse. Impact dans 6 minutes, il fallait juste espérer que ses poursuivants ne le toucheraient pas.
Toujours en ligne droite, ces minutes avaient parus pour Eggman une véritable éternité. A chaque tir lancé, il était susceptible de se faire toucher et de frôler la mort. Les salves manquées s’écrasèrent plus bas, labourant impitoyablement les dunes de sable.
1 minute.
Maintenant, c’était à Eggman de jouer, et il allait jouer serrer. Il devait à la fois balancer les fumigènes au bon moment et redresser pour ne pas s’écraser.
30 secondes.
Il empoigna le levier des fumigènes…
20 secondes…
Et tira dessus aussi fort qu’il le put !
Deux gros clapets s’ouvrirent derrière le vaisseau du fuyard, et lâchèrent leur cargaison de petites bombes. Petites, mais extrêmement puissantes, la salve dégagea une énorme fumée, poisseuse et épaisse.
10 secondes…
Robotnik, sueur aux tempes, tira brutalement le levier de commande pour redresser son vaisseau. Petit à petit, il se mit à l’horizontal, en frottant presque le sol, laissant derrière lui une énorme traînée de sable.
Puis vint le carnage : ses poursuivants, ne voyants plus rien à cause du piège tendu par le docteur, s’écrasèrent, percutant le sable de plein fouet, explosant dans un tonnerre de bruit, de taule froissée et autres sonorités s’apparentant au tonnerre. Ce déluge d’acier fut court, mais effroyablement violent.
Eggman exultait en voyant qu’il avait échappé aux extra-terrestres. Mais il ne vit pas la méga-dune qu’il percuta à moitié. Lancé à 400 km, un des réacteurs de l’engin s’arracha net et le vaisseau avait rebondi tel un ballon de foot vers les sommets du ciel, pour finalement parcourir la totalité de l’étendue de sable et finir brutalement sa course dans un champ près d’une autoroute désertée à cette heure tardive du soir…
Question à 1m €
Eggman s’en est-il tiré ?
A – Oui
B – Non
C – Rien à battre
D – Dark Vador
L’émission touchant à sa fin, Jean Pierre Faucul proposa au candidat de revenir pour le prochain chapitre de cette fan-fic. Le générique de fin passa, et signa la fin de cette courte épopée épique, qui se clôt sur un suspense insoutenable.