Yoho, yoho !
Miko :En fait le chiffre XIII porte chance. ^^
Voila j'ai dis que je laissais un com mais j'ai pas grand chose à dire, en dehors que comme d'habitude, il y a beaucoup d'humour et des référances marrantes.
J'ai testé la tente Quequeshua le weekend dernier et je constate que c'est super chiant à démonter surtout lorsqu'on a un coup dans le nez.
Ce chiffre porte chance ? Ah bon, mais cela ne dépend pas des personnes d'habitude ?
floresita : Hahahaha! Toujours aussi super!
Bon, chanceux! T'Es le seul que j'ai finis de llire aujourd'hui!
Gwoooh, c'est vrai ? Chuis heureuuuuuuuuuuux ! Merciiiiiiiiiiiii !
Et puis, toi là.... aurais-tu eu une tromatisation quelconque avec une araignée?
Alors, oui, j'ai été traumatisé par les araignées. Nottament un jour dans la broussaille africaine, en Afrique du Sud au Kruger Park (parc naturel, à visiter AB-SO-LU-MENT). On dormait à l'hotel, et le lendemain, je me reveille...et que vois-je ?
Hurlement de terreur ! Une grOsse, mais alors grÔsse araignée qui était suspendue au dessus de mon visage par le fil de sa toile...m'en suis jamais remis...
A mort les n'araignées (même si au font, c'est pas méchant, voir presque gentil si on va pas chercher les emmerdes avec elles)
Katos :Marrant, j'ai l'impression de lire K"r"atos à chaque fois que je vois ton pseudo...oui, fan de God of War moi °^°
Alors déjà, un grand merci pour la lecture de ma fic, je suppose que ça n'a pas du être facile de tout lire, ça a un côté rébarbatif quelques fois.
Et puis, même si ton post ne fait que répéter les dires des précédents avis, ce n'est pas grave, ça me fais très plaisir de savoir que toi aussi tu lis mes écrits ^^
Sur ce, je vous propose un nouveau chapitre, le chapitre XIII ! Le chapitre maudit, où tout et n'importe quoi peut arriver !
Et pour petite info, les deux, trois prochains chapitres seront sacrément axés sur Eggman.
Tant que j'y suis, voici notre cher La Douleur en plein boulot
(dessin un ch'tit peu gore) :
http://free0.hiboox.com/images/2509/f7cf84f557dc9d276088f547f0a5c543.jpgChapitre XIII : Le Chapitre Maudit !
System se réveilla doucement, s’étirant de tout son corps, dans un bâillement rauque.
C’était agréable de se réveiller au pied d’un pommier, sur l’herbe bien verte d’une forêt tout aussi verdoyante.
Les oiseaux gazouillaient, les écureuils gambadaient, le soleil du printemps était doux, éclairant son visage.
Une seconde ? Il était pas censé être dans un désert ?
Le hérisson se releva brusquement, se rendant compte de ce qu’il se passait. Il se mit avant tout chose à la recherche de son couvre-chef. Il mit cinq bonnes minutes à retourner les alentours de l’arbre où il s’était assoupi, se rendant compte avec horreur que son chapeau avait disparu.
Il ravala une boule d’inquiétude qui s’était formée dans sa gorge et commença légèrement à paniquer. Soudain, il entendit un petit bruit, provenant d’une clairière voisine. Un bruit s’apparentant à un chant.
Avec prudence, le hérisson s’avança tout en se cachant derrière les buissons, ne voyant pas ce qui l’attendait derrière le petit mur d’arbustes touffus qui empêchaient de voir de l’autre côté. Il passa sa tête entre les feuillages, et se posa ensuite la question : suis-je fou ou le saucisson de la nuit dernière n’était pas bon ?
Heyoh, heyoh
On revient des travaux !
Heyoh, heyoh.
On revient des travaux !7 géants, armés de marteau-piqueurs dernière génération, foulaient des escalators installés à même l’herbe, sortant d’une sorte de gueule béante taillée dans une montagne de chocolat goût « Vestiaire de rugby après un match ». Les arbres ressemblaient à des sortes de sucettes géantes enroulées dans un emballage en plastique. Le ciel était une sorte de toile psychédélique, des animaux dessinés par un gosse de quatre ans s’animant dans un fond rose bonbon, surplombé par des points vert et des rayures jaune pétard.
System se frotta les yeux, et commença sérieusement à croire qu’il avait fondu un fusible. Ce tableau atroce qui se dressait devant lui, il allait devoir le traverser, peut être que ces sept géants ont vu son chapeau.
Il sortit de son buisson et se mit à avancer vers ces êtres de grande taille, se rendant compte que l’herbe verte qu’il foulait était en fait un énorme pudding à la menthe. Amusé, il décida de sauter dessus et d’atteindre les géants au plus vite.
Il se réceptionna sur l’escalator, devant le premier des grands hommes qui l’observait d’un air amusé.
- Puis-je vous aider ? demanda t-il d’une voix aussi virile que celle de Michel Souris.
- Euh…hésita le hérisson. Oui, vous n’auriez pas vu un chapeau blanc, avec une bande noire ?
Le géant se frotta sa barbe, à papa soit dit en passant, et se concerta avec ses camarades, leur demandant si ils n’avaient pas vu un quelconque couvre-chef.
Au bout d’une délibération de deux heures et demi dans laquelle System faillit craquer devant la lenteur de ces messieurs, l’assemblée s’était mise d’accord.
- Alors ? demanda le hérisson, impatient.
- Oui.
- Ah…lâcha t-il, soulagé. Et où ?
- Une seconde, je demande.
Cette seconde dura encore deux heures et demie, dans lesquelles le hérisson se retint de détruire tout ce qui passait sous sa main.
- Volant grâce au vent chaud du « créateur ».
- Et..euh…le hérisson pesa avec attention la prochaine question qu’il allait poser. Il n’avait pas de temps à perdre. On peut le trouver où ce créateur ?
Deux heures et demie plus tard, dans lesquelles le hérisson pleura, ses nerfs ayant craqués nerveusement…
- A la place viennoise, il y a quelqu'un qui peut vous aider.
- Okay merci ! Lâcha précipitamment le hérisson avant de bondir hors de l’escalator qui emmenait les géants dieu seul sait où depuis sept heure trente – huit heure. Enfin, libération ! Allez-louya et youpi !
Il atterrit devant une clairière semblant à peu prêt normale, si on excepte la bouche avec des jambes qui gambadait entre les arbres, chantant le dernier tube de Florent Panier en sens inverse. Un peu plus loin on pouvait voir une route faite de gomme à mâcher qui amenait vers une petite agglomération. Le hérisson décida d’y aller faire un tour, peut-être que le créateur s’y trouvait…
Il voulut hurler son désarroi, mais System se résigna, n’ayant même plus de mots pour décrire ce qui se tenait devant lui.
Imaginez une pochette de cd du groupe des Biteulses dans leur période psychédélique, remplacez les immeubles par des manches de guitare, la route par une piste de discothèque à en rendre fou un épileptique. Rajoutez à cela des lampadaires parfumés goût fraise, des habitants déguisés en carton sur pattes avec des bouches aux dents ultra-blanches, chantant un air de pop-rock bon marché en marchant à l’envers. Mettez tout ce joyeux foutoir en dessous d’un ciel ressemblant à un vitrail ressortant des couleurs toutes aussi flashys les unes que les autres, un soleil humanisé dansant un air de jerk au beau milieu.
Le hérisson prit une profonde, très profonde, inspiration, et se décida à s’aventurer en ce lieu aussi étrange que douteux. Il traversa la route clignotante et déboucha sur une petite place dont l’auteur vous fera grâce des détails architecturaux. La place viennoise...
Dans l’ensemble toutefois, il y avait un air de simple place publique, mais la statue qui trônait au milieu représentait un drôle de personnage.
Il était vêtu d’un simple jean et d’un t-shirt. Ses grandes lunettes cachaient un regard impénétrable, et son visage était grave et crispé. Il tenait dans sa main droite un papier et un crayon, et tenait de sa main gauche un manche de guitare, dont le corps pointait vers le soleil. La statue tenait l’instrument de musique comme une batte de base-ball à vrai dire.
Intrigué, System s’approcha de l’édifice et se pencha sur le piédestal de granit. Quelque chose, gravé élégamment dans la roche, attira l’attention du hérisson.
Pour notre Dieu, infiniment juste, infiniment bon
Il est notre Seigneur, notre guide
Cet être tout puissant porte un nom
Faisant trembler de peur les armées, inquiétant les divinités
Pour notre CréateurBon, au moins, il savait maintenant à quoi il ressemblait. Mais où trouver ce type ?
Le hérisson se retourna et vit une vieille dame traverser la rue, habillée d’une atroce robe jaune fluo qui clignotait. Il s’approcha d’elle pour lui demander ce qu’il cherchait.
- Madame ! Appela t-il.
La personne interrogée se retourna, et System devint livide quand il vit qu’il s’agissait de Knuckles avec une horrible choucroute bleu sur la tête.
- Madame, moi ? S’emporta l’échidné. Qu’est ce que vous me voulez ?
- Bah, Knuckles, qu’est-ce que tu fais dans cette tenue ? Ria Le hérisson.
- Je ne vous connais pas monsieur. Lâcha le gardien de l’émeraude d’un air interrogateur. Et cette tenue est le top de la virilité dans cette ville. Lâchez moi maintenant !
- Ok, ok. Répondit précipitamment le hérisson. Mais j’aimerais juste savoir. La personne qui est représentée sur cette statue, vous savez où je puis la trouver ? Demanda le hybride en pointant la sculpture du doigt.
- Oh, allez voir le barman du bar juste derrière vous. Indiqua t-il en montrant le bâtiment derrière System. Il a réponse à tout. Maintenant, laissez moi.
L’échidné s’en alla, et le hérisson observa le bar et son enseigne très accrocheuse : « A la hérissonne lubrique ».
- Bon…pensa t-il, amusé par un tel titre. Il s’avança vers l’entrée, digne de celles des saloons des temps anciens, et poussa les portillons.
Il entra dans le bar, et fut surpris de voir comment l’ambiance de ce lieu coupait totalement avec celui de dehors.
Ici, tout était plutôt sombre et puait le tabac. Il s’agissait d’une sorte de boui-boui, où se rencontraient les pires escrocs, les ex-taulards, et autres gens peu recommandables socialement. Lorsque System eût franchi le pas de la porte, un silence s’abattit dans la grande pièce. Des ours pleins de cicatrices au visage l’observaient, des loups solitaires, certains s’aiguisant les griffes, d’autres mâchant leur chewing-gum, lançaient un regard suspect à ce nouveau venu. Un ou deux requins n’y prêtèrent guère attention, plus occupés à rafler la mise de la partie de poker qui était lancée. Un crocodile imposant, qui faisait irrémédiablement penser à Vector, écrasa sa cigarette dans le cendrier le plus proche, et le reste de tout ce joyeux monde décrocha enfin son regard du hérisson qui s’approcha du bar. Il s’asseye sur un vieux tabouret, à côté d’un pauvre malheureux qui tentait de noyer son chagrin dans l’alcool, et hésita avant de s’adresser au barman.
Finalement, sans s’y attendre, c’est l’ivrogne qui prit la parole.
- Toi, t’es pas du coin hein…
System ne voulut pas directement regarder vers son interlocuteur, son haleine puant sérieusement l’alcool. Mais par politesse, il tourna sa tête et failli s’étrangler quand il dévisagea cet homme :
- Sonic ?!
Le hérisson bleu n’était plus que l’ombre de lui-même. La barbe de trois jours sur son menton, le regard hagard, le hérisson était blottie dans une veste noire en cuir usée de partout. Ses gants étaient salis de partout et ses chaussures étaient usées, n’ayant presque plus un gramme de caoutchouc sous lasemelle.
- Tu…me connais ?
- Mais…balbutia System. Tu me reconnais pas ? C’est moi System ? Et où est Knuckles ?
- Qui ?
- Tu te souviens plus de Knuckles ? Et Tails ?
- Aucune idée de qui il peut s’agir…
- Bon…lâcha le hérisson abasourdi.
- Vous voulez quelque chose à boire ? Coupa une voix féminine.
Nouveau choc pour le hérisson, le barman était une barwoman, et il se trouvait que c’était Amy ! Elle fixait System, droit dans les yeux, d’un regard amusé, cigarette encore fumante à la bouche. Sur son bras droit était tatoué la consonance du mot « phoque » mais dans la langue de Shakespeare, sur le gauche une insigne tribale. Il remarqua aussi le changement radical de style vestimentaire : exit la robe rouge toute mignonne, bonjour le haut ultra-sexy au décolleté qui donnait un sacré panorama sur ses atouts féminins, qui semblaient avoir pris un ou deux bonnets de plus au passage. Un piercing au niveau du nombril et un mini-jean en guise de bas, très moulant, le hérisson marron dû faire appel à une concentration digne des plus grands maîtres taoïstes pour ne pas laisser son regard se balader n’importe où. Enfin, elle s’était teintée le bout de ses cheveux, la pointe se terminant en un noir très foncé.
- Euh…non merci, en fait, je cherche un renseignement.
- Et je peux faire quoi pour toi mon chou ? Lâcha t-elle dans une voix langoureuse et extrêmement remplie de sous-entendus interdits pour les moins de 18 ans.
- Euh…balbutia t-il, sa concentration ébranlée par la façon qu’avait Amy de dicter les choses.
Je cherche le créateur.
- Oh, le créateur. Ricana t-elle dans un sourire. Il n’est pas loin, je peux te l’indiquer…termina t-elle en se penchant face au hérisson, laissant entr’apercevoir une fabuleuse paire de…
- Et où se trouve t-il ? Demanda précipitamment le hérisson en coupant l’auteur dans sa phrase.
Elle l’observa, la bouche entrouverte, le mangeant des yeux, lui commençant à virer au rouge pivoine sous le regard amusé d’un Sonic ayant quelques verres dans le pif.
- Au 36 quai des orfèvres, mon chou, mais avant…
Soudain, System sentit une main se glisser sur sa jambe, se rapprochant de son….
Soudain, un hérisson marron sortit en trombe du bar en hurlant. La serveuse s’humecta les lèvres d’un air amusé, en regardant ce hérisson s’enfuir comme un damné.
36, quai des Orfèvres. System observa la maisonnette. Sans fioriture, banale. Un gros cube avec un toit, un balcon, une porte, quelques fenêtres et une baie vitrée qui donnaient sur un carré d’herbes verdoyant.
Mais pourquoi cette rue portait le nom de « Quai » ? Cela n’y ressemblait pas, mais bon, aucune importance, ce que voulait System, c’était récupérer son chapeau. Il franchit la petite palissade en bois blanc et traversa le jardin, bien entretenu, du mystérieux créateur. Il arriva enfin devant la porte en bois, et remarqua qu’elle était entrouverte.
Hésitant un instant, le hérisson l’ouvrit doucement, un léger grincement irritant son oreille. Derrière, personne, juste une étroite allée qui débouchait sur une salle plus grande.
- Il y a quelqu’un ?
Pas de réponse. Le hérisson décida alors d’entrer. Il passa l’allée et vit une salle à manger très moderne dans sa décoration. Une télévision trônait sur une petite table laquée noire, faisant aussi office d’étagère. Juste devant, une table afouicaine qui était en fait une porte d’un village Dogon, mise sous verre. D’autres objets, bibelots, chaises et autres tabourets, étaient dans le même style cher au continent considéré comme le landau de la vie.
Une cuisine ouverte était située à l’opposé. Trois tabourets en cuir rouge étaient alignés derrière un bar de bois blanc. Les appareils ménagers étaient très chics, un mélange sobre d’argent métallisé et de noir s’accordant magnifiquement avec l’ambiance de la pièce.
Et derrière la porte du frigo SMEUG se tenait quelqu’un qui cherchait quelque chose à grignoter.
- Vous êtes le créateur ?
L’interrogé resta figé derrière son frigo pendant quelques secondes, et referma ensuite le gros cube réfrigéré.
Il ressemblait exactement à la statue que System avait pu voir quelques temps auparavant.
- Oui, c’est moi. Répondit-il.
- Bonjour, je m’ap…
- System je sais. Coupa le créateur. Je sais tout sur toi, normal, c’est moi qui suis l’auteur de cette fic.
Le hérisson n’était pas sur de comprendre.
- Alors…vous êtes ? SpaceMoule ?
- Bingo mon gars !
- Et qu’est ce que je fais ici ?
- Bah en fait, on est au XIIIème chapitre tu vois, ‘fallait que je marque le coup.
- Et mon chapeau ?
- Oh, t’inquiète pas, tu le reverra. Et puis, ‘fallait que je trouve le moyen de te faire bouger, c’est pour ça que je te l’ai piqué. Mais bon, ce serais con que tu sois venu pour rien…assieds toi, j’ai quelque chose à te dire.
Le hérisson s’asseye sur l’un des fauteuils en bois, plutôt confortable, en attendant que SpaceMoule se ramène avec de quoi boire à la main.
Il passa sa canette à System et prit une profonde inspiration.
La tension était lourde et palpable. Le créateur de cette fiction regardait le sol avec anxiété. Les mains liées, posées sur son front, il s’humecta les lèvres. Le hérisson se surprit à sentir son cœur commencer à battre plus vite, sous la crainte de la nouvelle que SpaceMoule avait à lui annoncer. L’air qu’il avait présageait une sombre nouvelle.
L’homme au pseudo ridicule fixa ensuite System droit dans les yeux, toujours dans un silence de mort. Il ravala sa salive, la gorge serrée, et ouvrit enfin la bouche.
- System…
Une musique se fit soudain entendre.
- Je dois te dire quelque chose !
Un souffle de l’asthmatique le plus légendaire d’une galaxie lointaine, très lointaine, se fit entendre !
-…Vois tu !...
La mélodie se fit de plus en plus oppressante ! Elle portait un nom !
- System !
La Marche Impériale !
- Je suis ton père !
- NOOOOOOON ! Hurla t-il en tombant à la renverse, réveillant en sursaut Sonic et Knuckles.
System s’écrasa par terre, la tête la première, et son champ de vision tomba par hasard sur…son chapeau ! Il était ici !
Tout cela n’était donc qu’un stupide rêve…
- Ah ok, un rêve de ce genre…constata Knuckles qui suivait la cadence infernale imposée par Sonic.
- Et…euh, pourquoi je devais être un ivrogne ? Demanda Sonic, tout en courant.
- Je sais pas, mais laisse moi te dire qu’Amy était sacrément s…
- Ok, ok, ça va ! Coupa le hérisson.
- Regardez, on arrive ! Signala l’échidné.
Face au groupe qui approchait, le canyon se tenait fièrement face à eux. Des envolées de roches, aussi hautes que des immeubles, se dressaient majestueusement sous le soleil du désert. Les trois hybrides s’arrêtèrent devant l’entrée du canyon, et constatèrent qu’ils avaient affaire à un gigantesque labyrinthe. Une émeraude se cachait quelque part là-dedans, mais cela n’allait pas être facile à trouver.
L’auteur clôt ce treizième chapitre avec un sourire, s’étant bien amusé de malmener quelques peu les protagonistes de son histoire.