CAVACHIAY !
Non rien une petite poussée d'adrénaline. J'attaque en ce moment une partie de la fic qui amorce quelques bouleversements de taille, dont, notamment, vos fameuses réponses que vous attendez tant XD
Enfin ce ne sera qu'un début, toujours la même rengaine, si vous voulez tout savoir, lisez la suite °^° *On l'entraîne mourir plus loin
Hyguanlaga < La vache faut être fort pour lire ND à cinq heures du mat, sur ce coup je te respecte, moi à cette heure là il m'arrive seulement de bâcler un passage, pas de le relire :'D M'enfin je me sens... Honoré. Ravi que la fic te plaise à ce point !
Pour le chap' qui va suivre désolé, pas de réponses. Oui je comprends ça doit être soulant à force, mais le chapitre est court et celui qui vient après, lui, vous en apprendra un peu plus cette fois. D'ailleurs le chap' d'aujourd'hui s'appelle "Interlude", c'est pas un nom au hasard x)
Et ton histoire ça me rappelle l'année dernière. J'ai eu des profs cons, c'est sûr, mais quand je vois tes leçons... Vive la L ._.
Merci d'être passé une nouvelle fois !
Capita < ... Une seconde pourquoi MA pub TE ramène des lecteurs et pas l'inverse ? èoé *SBAFBOKENNOJUTSUPOKERREMISE10$TAPIS! (Réponse : "Parce que t'en as assez ! èOé" "Oui chérie ToT"). Et oui j'confirme tu vas t'en prendre plein la gueule dans ce chapitre là o/
Sephyra < OH OUI le coup des mystères mystérieux ! MAIS AIMEZ-MOI BORDEL *Fuit
Et bien attendez puisque c'est comme ça. Prout. ._.
Kayra < Oh, mais je suis vraiment ravi que ma fin de chapitre t'émeute (je émeute tu émeutes*On lui fout du scotch sur laggle) beaucoup, Kayra é_è
Et noon, Donf peut pas arrêter de fumer tant qu'il se sera pas trouvé une copine é_è Ou qu'il sera pas avec elle en tout cas é_è
Quant à Lucia... Fhu fhu j'aime cette perso. J'ai toujours aimé créer des personnages méchants, je trouve leur psychologie plus poussée. Et Lucia en a plein la carotte c'est le cas de le dire !
Voilà. Chapitre 11 = 5 pages, pas vraiment de réponses, mais ça va vite. La fin accélère les évènements et le chapitre 12 marque une avancée scénaristique supplémentaire... Avec des débuts de réponses, oui, ok è_é
Je fais gaffe à ce que m'a dit Feurnard pour essayer d'améliorer encore le rendu des persos et l'ambiance du scénario, et je retiens les conseils de Miko. Sur ce, let's rock.
*Sort une guitare de débutant et fait un riff foireux en pétant une corde*
Bonne lecture et à la prochaine !
Je n’ai jamais cru pouvoir m’attacher aux personnes de cette planète. Je revenais de trop loin pour ça. J’avais déjà vu beaucoup trop d’éléments cruels de la vie pour pouvoir vraiment faire confiance.
J’étais seule. Ni malheureuse, ni heureuse. Juste seule. Sans désirs particuliers. Comme une machine…
Oui, c’est ça. J’étais une machine sans état d’âme, muée par un rouage ancien, vieux de plusieurs siècles. Mon apparence extérieure ne change pas, mais au fond je suis vieille. J’ai assisté à beaucoup de massacres, de trahisons, de réconciliations. Autour de moi j’ai vu les gens s’aimer, se séparer, retrouver leur vie autre part, avec d’autres personnes. Et je ne comprenais pas…
Je ne comprends toujours pas, ce qu’est cette impression qu’on doit ressentir face à une personne de sexe opposé. En fait, je ne sais pas ce qu’est l’amour.
Et je me demande, au fond de moi, si un jour, durant ma longue vie de demi-mortelle…
Serai-je capable d’aimer, ne serait-ce qu’une fois ?
Mais l’amour fait souffrir. Je l’ai appris à mes dépends en m’attachant à ces enfants.NightDreamers
Chapitre 11 ~ Interlude
La pluie tombait à flot. Les réverbères lançaient des appels lumineux derrière le rideau qui s’écoulait sans interruption, faisant miroiter les pavés des trottoirs. Les gens dans la rue étaient pressés, coincés sous leurs parapluies. Emmitouflés dans leur long manteau serré jusqu’au cou, ils avançaient comme des machines, programmés pour quelque obscur objectif. C’était peut-être pour cette raison que personne ne faisait attention aux deux jeunes enfants sur le trottoir. Un petit garçon allongé par terre, une main sur le ventre, la tête penchée sur le côté, les yeux fermés ; une petite fille accroupie près du corps, serrant une petite peluche en forme de renard sur sa poitrine d’enfant, appelant désespérément du secours. Elle levait la tête vers chaque passant, et entrecoupait ses sanglots d’une voix plaintive et fatiguée d’un « s’il vous plaît… ». Ses grands yeux violets, inondés de larmes, s’attardaient sur chaque personne passant devant elle, balayaient les alentours dans la lumière blafarde de cette nuit pluvieuse. Son chapeau de paille blanc était trempé. Ses cheveux collaient sur son visage, et elle reniflait bruyamment en sanglotant. C’est alors qu’une silhouette encapuchonnée et blottie sous une cape noire miteuse s’arrêta devant elle. Le réverbère, juste derrière la silhouette, l’englobait de sa lumière et empêchait la petite fille de distinguer clairement la silhouette sous le vêtement. L’enfant chercha des yeux le visage de l’inconnu, mais peine perdu. Elle lâcha dans un souffle, se retenant de sangloter une petite minute : « S’il vous plaît, aidez-le ». La silhouette s’agenouilla à côté du corps du petit garçon et posa deux doigts au niveau de son cou. Une petite traînée de sang s’écoulait d’entre ses lèvres, sa tête penchée baignant dans une flaque d’eau boueuse. La petite fille aux yeux violets sombres ne put réprimer un sanglot, et elle renifla bruyamment en serrant sa peluche contre elle. Cependant, elle distingua le bout d’un museau sous la capuche. Elle n’eut pas le temps de pousser plus avant son investigation. Déjà la silhouette s’était relevée, le corps du garçon dans les mains. Son bras gauche était posé sur son cœur, mais son bras droit pendait mollement dans les airs, inerte. Sa tête était coincée contre la poitrine de l’hybride.
- Quel est ton nom ?
La petite fille frissonna en se relevant lentement. La voix de l’inconnue était presque glaciale, d’une neutralité mal venue à ce qu’elle assistait.
- Je… M’appelle Millie, répondit timidement la jeune fille, impressionnée malgré elle.
- Suis-moi, Millie. Nous allons sauver ton ami.
Cette dernière hocha lentement la tête en frissonnant. L’inconnue se tourna alors et avança sous la pluie. Millie la rejoignit rapidement, sans parvenir à quitter du regard cette étrange inconnue.
- Et vous, comment vous vous appelez ? Demanda-t-elle, toute trace de sanglot disparue dans sa voix.
L’hybride sourit sous sa capuche. Et elle répondit de sa voix la moins glaciale possible.
Zalosta était assise sur une chaise, près de l’unique table de la pièce, et faisait face au petit écran de télé éteint. La chambre en elle-même était modeste : elle convenait pour une personne seule. De l’entrée, le lit d’une place se trouvait sur la droite, la penderie incrusté dans le mur invisible depuis la porte. En face de l’entrée se situait la salle de bain et les toilettes, séparés de la pièce par trois pans de mur. En face de la salle de bain, une petite table avec deux chaises. Enfin, entre la table et le lit, siégeait la télé sur un petit meuble comportant une vitrine… Vide. Une fenêtre complétait la petite chambre et donnait sur le trottoir pavé. Zalosta était assise sur une des deux chaises, les yeux vides, plongée dans un mutisme qui lui était propre. Sephyra avait pris possession de la seconde chaise et écoutait parler les autres d’une oreille distraite, plus alertée par le comportement de la hérissonne. Myosotis s’était accaparée le fauteuil près du lit, à côté de Donf qui était resté silencieux. La jeune femme feuilletait le livre qu’elle avait ramassé, son visage ne trahissant aucune animosité. Hunter était toujours avachi contre la penderie, jambe droite repliée sur lequel reposait son coude, le regard perdu.
Saïko s’assit près de Donf.
- Tu as appris quoi ? Demanda-t-il d’une voix calme, brisant le silence qui s’était imposé depuis plusieurs minutes seulement interrompu par le bruit des pages feuilletées par Myosotis.
Le jeune homme ferma les yeux et inspira un grand coup.
- Je crois… Que j’ai à peu près compris ce qu’ils veulent faire.
- Tu l’as appris dans ce livre ? Demanda le renard en jetant un regard au bouquin que détenait la jeune femme.
Donf acquiesça d’un bref signe de tête.
- Dans ces trois livres, ajouta-t-il, la voix tremblante.
Saïko laissa le temps au jeune homme de se calmer. Il parcourut du regard la petite assemblée. Apparemment, les découvertes du cuistot n’intéressaient que lui dans l’immédiat. Et il le comprenait. Ce pourquoi il opta pour quelque chose qui susciterait l’attention de tous, et illuminerait les doutes de tout le monde sur les récents évènements.
- Donf, tu te sens capable de nous raconter ce qu’il s’est passé depuis notre départ ?
Bingo. Hunter avait levé les yeux. Son regard avait retrouvé une lueur étrange, et un tic avait brièvement agité son bras reposant sur sa jambe. Le goupil reposa son attention sur Donf, qui avala sa salive avec difficulté avant de s’éclaircir la voix.
- En fait, tout a commencé alors que la nuit était tombée. J’ai entendu un bruit sourd, et puis…
Et le jeune homme raconta ainsi ce qu’il s’était passé. Cependant, il se garda bien de révéler que leur Patron, dans son ultime sursaut de vie, avait tenu à le rendre dépositaire d’un secret. Un secret qu’il se sentait encore moins capable d’avouer quand la personne à laquelle il devait le remettre était dans cette pièce.
- J’ai laissé un mot, que j’ai codé par peur que d’autres que vous ne tombent dessus, et je suis parti alors que le soleil se levait à peine. Voilà…
- Comment as-tu su qu’on viendrait à bout de l’énigme ? Qu’on ferait le lien avec Mikada et qu’on tomberait sur cet hôtel ? Demanda alors Sephyra, qui avait écouté le récit sans pouvoir s’empêcher de jeter quelques coups d’œil à son amie, toujours plongée dans son mutisme.
- En passant dans le salon pour l’asperger d’essence, j’ai remarqué sans vraiment faire attention le premier magazine du tas, sur une des tables. Il contenait a priori un reportage sur la ville de Mikada, son histoire, ses lieux à visiter, ses boutiques-souvenirs et… Ses hôtels. Ca m’est resté dans la tête inconsciemment, je connaissais déjà cette ville et cet hôtel. J’avoue que c’était aléatoire, mais sur le moment, je ne savais pas quoi penser d’autre…
- Une chance que Myosotis s’en soit souvenue, résuma Saïko en soupirant.
- Une chance surtout qu’elle nous ait pas lâché avant, lança alors Zalosta d’une voix profondément froide.
Un silence gêné s’installa dans le groupe. Un vent glacial s’était insinué dans la pièce. Myosotis reposa tranquillement le livre derrière elle, sur la table de chevet, et poussa un léger soupir en se massant la nuque.
- De quoi m’accuse-t-on encore ? Demanda-t-elle d’une voix neutre.
Zalosta se leva lentement. Les pieds de la chaise se prirent dans la fine moquette et elle tomba en arrière.
- Je trouve ça bizarre. Il faut que ce soit quand tu te pointes avec l’autre renard que tout parte de travers…
- Hm… Des traîtres ? Ca se comprend. Ca paraît logique après tout, répondit la jeune femme avec un infime haussement d’épaule.
Hunter se leva lentement, ses cheveux bruns balayant ses sourcils, les yeux fixés sur Myosotis. Sephyra regardait Zalosta avec une pointe d’angoisse. Le souvenir des trois jeunes qui avaient agressé la hérissonne au moment de leur première rencontre lui revint à l’esprit. Elle revit leurs corps inertes, l’un complètement gelé de l’intérieur, le deuxième baignant dans son sang, le troisième enfin pris dans une glace invisible, refroidi par la mort qui était venue le cueillir sans même qu’il s’en rende compte. Elle se leva brusquement.
- Zalosta, attend ! S’exclama-t-elle, la voix tremblante de peur.
- Elle a raison, calmons-nous…, intervint à son tour Saïko, mal à l’aise.
- T’as l’air gêné, le renard. Un poids sur la conscience peut-être ? Déclara la hérissonne en pourfendant le goupil d’un regard meurtrier.
- Zalosta !
C’est alors qu’on frappa à la porte. Les trois coups frappés distinctement jetèrent un grand silence dans la chambre, chacun se demandant s’il avait bien entendu. Quand trois nouveaux coups résonnèrent à la porte d’entrée, Saïko sauta sur l’occasion et s’empressa de se diriger vers l’entrée avant d’ouvrir la porte.
- Bonjour ! S’exclama Loth, arborant un grand sourire.
Saïko n’eut même pas le temps d’être étonné. Un coup invisible et puissant le projeta contre le mur qui délimitait la salle de bain et les toilettes, et il tomba dans l’inconscience. Au son de la voix qu’il reconnut aussitôt, Hunter sentit son cœur s’arrêter de battre. Il se jeta dans l’entrée, les poings serrés. Le « faux exorciste » l’attendait sur le pas de la porte, un grand sourire aux lèvres.
- Content de te revoir, le chasseur !
Le regard de Hunter s’arrêta sur la malle ouverte, posée à même le sol. Les souvenirs de sa dernière entrevue avec le brouillard étrange et opaque qui y résidait lui remontèrent à la gorge, et il fit un pas en arrière, succombant à sa propre terreur.
- Non…
- Si.
- PAS UNE DEUXIEME FOIS ! Hurla la voix du démon dans la tête de son hôte.
Loth claqua des doigts. Aussitôt, le brouillard d’un noir profond s’éleva avec vivacité et se jeta sur Hunter. Le jeune homme disparut dans une pénombre tournoyante.
- Hunter !
Zalosta se jeta vers le brouillard, ses longs pics violets dressés derrière elle. En une seconde, l’étrange fumée se désintéressa du jeune homme, qui tomba inerte face contre terre, et plongea sur la hérissonne.
- ZALOSTA !!
Loth claqua à nouveau des doigts. Le brouillard se leva, lâchant en dessous-lui une Zalosta inconsciente, qui tomba sur la moquette de tout son poids. L’étrange fumée se dissipa alors le long du plafond, englobant la chambre dans sa totalité, et fondit sur les trois derniers membres encore conscients. La pièce fut plongée dans la pénombre durant quelques secondes, avant que Loth ne claque une nouvelle fois des doigts. Le brouillard tournoya sur lui-même, ne formant plus qu’une fumée opaque au centre de la pièce. Au sol, Donf et Sephyra gisaient inanimés. Loth s’avança dans la chambre et se tourna vers Myosotis, qui s’était levée et regardait d’une façon naturellement neutre les corps inconscients au sol. Elle reposa ses yeux gris-vert sur le jeune homme enveloppé dans son long manteau noir.
- Et vous êtes… ? Demanda-t-elle froidement.
- Loth, mademoiselle. Vous voulez bien me suivre ? Nous avons besoin de vous, répondit-t-il en souriant aimablement sur le ton de la conversation.
- Je suis désolé, je ne compte suivre personne, reprit la jeune femme après un bref silence, passant lentement sa main droite dans son dos pour y prendre le fourreau de son couteau.
Le sourire de Loth s’élargit de manière étrange. Le brouillard fut plus rapide que la femme. Le fourreau qu’elle venait de saisir vola sur le lit, alors que ses poignets se retrouvèrent immobilisés par la fumée. Elle fut bientôt entravée à quelques centimètres de hauteur, quatre langues de fumée gardant ses jambes et ses poignets immobilisés dans les airs.
- Peut-être que je peux vous persuader… De cette manière-là, par exemple… Susurra Loth en croisant les bras, le regard menaçant.
Une cinquième langue de fumée d’extirpa de la boule de brouillard siégeant devant Myosotis, et elle parcourut lentement le corps de la jeune femme de haut en bas, passant très lentement sur les courbes les plus intimes de cette dernière. Myosotis serra les dents et grogna. Loth eut un petit rire.
- Vous êtes vraiment une femme étonnante, Myosotis. Vous avez peut-être le pouvoir de voir la mort en toutes choses, grâce à vos pupilles. Mais immobilisée, ce pouvoir ne vous sert plus à rien…
La langue de fumée continuait à parcourir le corps de la jeune femme et passa bientôt entre les cuisses de cette dernière. Myosotis grogna plus fort.
- Enfin, enfin… Je ne voudrai pas que vous ayez une image pervertie de moi. Allez, arrêtons ce spectacle. Vous êtes très mignonne, mais je ne suis pas fan de ce genre de sévices.
Loth claqua des doigts. Le brouillard relâcha la jeune femme qui tomba sur les genoux, avant de l’envelopper entièrement. Quelques secondes passèrent, la fumée tournoyant sur elle-même, puis elle se raffermit, devint plus opaque, et enfin retourna vivement se terrer dans la malle. Celle-ci se referma sur elle-même dans un cliquetis sonore. Dans la chambre gisaient les corps inanimés des cinq compagnons. Mais plus aucune trace de Myosotis. Loth jeta un regard circulaire sur la pièce. Au moment où il allait se retourner pour partir, ses yeux tombèrent sur les trois livres posés sur la table de chevet. Mû par une soudaine intuition, le jeune homme s’approcha du meuble et feuilleta un des livres. Affichant une grimace, il parcourut rapidement les deux autres avant de lâcher un « Merde… ». Il regarda avec plus de colère les cinq corps inertes, cherchant un coupable parmi eux. Puis il siffla entre ses dents d’un air méprisable avant de regagner l’entrée livres en main, de prendre sa malle sur le sol et de refermer la porte de la chambre derrière lui.
Il quitta l’hôtel d’un pas plus vif qu’il n’y était entré. Il ne répondit pas au réceptionniste quand celui-ci lui lança « bonne journée monsieur ». Non, il avait fait une erreur. Et ça, il ne pouvait pas se le pardonner.
Le Maître dit :
« Mon cher, je dois vous annoncer une nouvelle que vous ignorez peut-être encore. J’ai pensé à l’adoucir pour la rendre moins pénible – la peindre de couleurs éclatantes, l’enjoliver de promesses de Paradis, de visions de l’Absolu, d’explications ésotériques – mais, à supposer que tout cela existe, cela ne résoudrait rien.
« Respirez profondément et préparez-vous. Je suis obligé d’être franc et direct et, je puis vous l’assurer, j’ai l’absolue certitude de ce que je vais dire. C’est une prévision infaillible, qui ne laisse aucune place au doute.
« Voici donc la nouvelle : vous allez mourir.
« Peut-être demain, peut-être dans cinquante ans, mais, tôt ou tard, vous mourrez. Même si vous n’êtes pas d’accord. Même si vous avez d’autres projets.
« Alors réfléchissez bien à ce que vous allez faire aujourd’hui. Et demain. Et le restant de vos jours. »Maktub, Paulo Coelho
Correction apportée, merci Miko ^o^