Capita < è_é *Te balance en plus de l'armoire les DVDs japonais de Kara no Kyoukai !*
Sephyra < "Myo-chan", je met ça de côté. Et oui c'est bon vous allez avoir vos débuts de réponses aux mystères mystérieux è_é *SBAF
Kayra < *Sort de sous sa tombe, les cheveux plein de verres de terre* JE SUIS VIVAAAANT !! :°0°-iste *Un Dragon dans une Viper rouge lui roule dessus sans ménagement*
Hygualanga (C'est plus fort que toi !) < Content que tu sois repassé ! Ravi que ça te plaise, et j'apporte la suite ^o^
Merci d'être là, encore et toujours :snif::bouhou: C'est que... Ca me fait plaisir... é__è
*rature la ligne du dessus* On dirait un monologue de Sephyra, je suis pas rousse merde. *Fuit
Bref, j'espère que la suite vous plaira autant si ce n'est plus ! Merci de passer, et je vous annonce que je bosse sur le chap' 12 ^o^
A la prochaine !
Plus rien ne sera pareil.
Voilà ce que nous avions à l'esprit. Le quotidien auquel nous avions finis par nous accoutumer, les personnes que l'on croisait, les midis au réfectoire, les missions... Tout ça, c'était terminé.
Le monde tel qu'on le connaissait venait de disparaître sous nos yeux.
Ces réflexions étaient inscrites dans nos pensées. Dans les miennes, et dans les siennes. Nous avions fait partie de ces personnes, de cette vie. Nous l'avions choisis délibérément, indépendamment de toute opinion extérieure. Nous n'avions plus rien, plus personne à part eux. A part ça.
Tout redevient comme avant... En fait, pas tant que ça.
Tout était enfin terminé. Et tout pouvait commencer...NightDreamers
Chapitre 10 ~ Eveils
Le petit groupe, fatigué et fourbu, resta immobile face au terrible spectacle. Le manoir était détruit. Saïko, en retrait, le visage navré, regarda ses trois compagnons avec tristesse. Lui aussi, il savait ce que c’était, de perdre son foyer, ses amis… Sa famille. Sa fratrie. Zalosta chercha inconsciemment la main de Sephyra, et la trouva prête à l’accueillir. Elles restèrent silencieuses devant l’imposante grille en fer qui gisait sur le sol, tordue et évincée. Hunter retira lentement son chapeau blanc et le tint sur son torse en fermant les yeux. Même son Démon accepta le recueillement sans broncher.
- Les enfants, Donf… Murmura Zalosta avec peine.
Elle fit un pas en avant, mais la main de Sephyra dans la sienne la retint.
- Non, Zalosta… Ce n’est pas la peine…
- Mais vous ne trouvez pas ça bizarre que la partie gauche soit… Presque intacte ? Intervint Myosotis en s’avançant.
Elle sortit le couteau qui était accroché dans son dos grâce à la ceinture de son kimono, et trancha le ruban jaune qui interdisait le passage.
- On trouvera peut-être quelque chose. Qui sait, des survivants, même…
Saïko grogna intérieurement. Ce que faisait la jeune femme était tout simplement stupide. Qu’il y ait une partie plus intacte que l’autre ne changeait rien au fait que le bâtiment avait été incendié. Elle donnait un redoutable espoir à ses trois compagnons. Espoir qui pouvait se retourner contre eux, à un prix encore plus atroce que le choc de voir le manoir détruit à leur arrivée. Dire aux familles de victimes qu’il y avait une chance que celles-ci ne soient pas mortes, pour finalement revenir au même résultat macabre, c’était les tuer une deuxième fois. Et la douleur n’en était que plus vive…
Myosotis, tout à son affaire, s’engagea tranquillement sur le parvis caillouteux. Dans le jardin de l’entrée, les deux plus proches arbres de la bâtisse avaient brûlés. Les flammes avaient dû être d’une incroyable intensité pour s’échapper ainsi des fenêtres et venir lécher les branches de ces végétaux, pourtant éloignés de plusieurs mètres ! La jeune femme marcha sans gêne aucune sur la grande porte à moitié couverte de suie et incendiée. Elle jeta un coup d’œil dans toutes les directions, jugeant le drame, puis s’avança dans le réfectoire. Saïko, lui, préféra faire le tour du manoir par le côté, accompagné d’un pas traînant par Hunter. Les deux autres hybrides avaient lentement suivi Myosotis. Celle-ci s’arrêta devant la porte intacte de l’entrée de la bibliothèque. Elle inspecta vivement les contours.
- Vous voyez ? Qu’est-ce que je vous avais dit ? Dit-elle d’un ton neutre.
Zalosta se retint de la balancer elle-même contre la porte intacte, trop impatiente de saisir la poignée de celle-ci. En vain. Elle était fermée à clé. A ce moment là, un étrange grognement se profila dans la gorge de la hérissonne, sourd au début, puis de plus en plus fort. Sephyra et Myosotis reculèrent d’un même geste. Une rage sans précédente éclata en Zalosta, et elle déversa sa haine sur la petite porte en bois à grands coups de poings, de pieds et de cris. C’en était trop. La réception, l’étrange et désagréable rencontre, la peur, la colère, puis la matinée passée dans le wagon-bagages pour revenir en fraude, entre les cahots, l’exiguïté du compartiment et les amers ressentiments de sa soirée, enfin le manoir qu’elle découvrait dévasté, les enfants en danger, Donf et son Patron disparus… Elle n’en pouvait plus.
Elle hurla un grand coup, se jetant elle-même contre la porte. De petites larmes de souffrance, de colère et d’appréhension coulèrent d’elles-mêmes sur les fines joues de la hérissonne. Elle se laissa tomber sur le sol, tremblante et épuisée, la respiration saccadée. Sephyra s’approcha et s’agenouilla auprès d’elle, et elle passa lentement un bras autour de ses épaules.
- Zalosta, ça va aller… ?
Pour toute réponse, celle-ci se jeta dans les bras de son amie, ne retenant plus ses larmes, le museau fourré dans la poitrine de la roussette. Celle-ci la tint contre elle, l’entourant de ses bras réconfortants.
- Lâche-toi un bon coup, ça ira mieux après…
Myosotis reposa son regard sur la serrure de la porte. Elle ferma les paupières, se concentra, puis les ouvrit à nouveau. Ses iris s’étaient teintés d’un violet fluorescent, surnaturel. Des étranges reflets noirs semblaient virevolter entre les contrastes de ce profond violet. A ses yeux apparut alors la serrure, accompagnée de la porte et du pan de mur sur le côté. Mais pas seulement. D’inexplicables lignes rouges palpitantes et transparentes traversaient sa vision et semblaient profondément ancrées dans les objets même. Puis ce fut comme une interférence qui apparut le temps d’une demi-seconde, d’un bleu transparent lui aussi. Elle se concentra plus intensément, et l’interférence réapparut soudainement un peu plus longtemps. Myosotis pu élucider le problème de la porte intacte. L’interférence avait la forme d’une sorte de halo, qui entourait la porte et passait à travers mur et plafond. Derrière celui-ci, la porte apparaissait presque floue, brouillée par intermittence comme une image mal reçue sur une télé. Elle leva son bras droit et approcha sa main du halo. Elle rencontra une faible résistance, mais son bras passa à travers le halo.
- Un kekkai… Murmura-t-elle pour elle-même.
Elle s’avança alors lentement et passa à travers le bleu transparent. La porte redevint nette à ses yeux. Elle se concentra sur la serrure. Apparue alors d’étranges signes entre la ferraille, là où on entrait la clé pour faire jouer le système compliqué de la sécurité. Des marques d’un bleu transparent, comme le halo, qui contrastaient singulièrement avec les lignes rouges palpitantes.
Sephyra et Zalosta s’étaient relevées sur le côté pour ne pas gêner la jeune femme. La hérissonne séchait discrètement ses larmes, maintenant honteuse d’avoir craquée ainsi.
- Myosotis, tu as découvert quelque chose ? Demanda-t-elle en s’éclaircissant la voix, voulant faire oublier le passage qui venait de se dérouler et qui lui apparaissait comme une faiblesse avouée.
Leur compagne referma les paupières. Quand elle les ouvrit, ses yeux retrouvèrent leur gris-vert habituel. Les deux hybrides l’interrogèrent du regard.
- La porte – et même l’étage entier je suppose -, est protégée par un kekkai. La serrure est elle aussi verrouillée par un système de magie qui m’est inconnu.
- Un kekkai ? Demanda Sephyra, surprise.
- Une barrière magique, si tu préfères, lui répondit Myosotis sans prendre à part l’ignorance de la roussette.
Zalosta fronça les sourcils.
- Mais logiquement on ne peut pas passer à travers un kekkai, remarqua-t-elle en appuyant fortement sur la négation.
- Il semblerait que le jeteur ait fait une exception pour certaines personnes seulement… Peut-être celles en qui il avait confiance. Mais ce ne sont que des suppositions.
Sephyra regarda la porte.
- Si elle était verrouillée et inaccessible, alors il y a sûrement, à l’intérieur…
Elle s’interrompit d’elle-même. Il y eut un bruit sec, puis le cliquetis d’une serrure ouverte. La poignée ronde se tourna lentement, et la porte s’ouvrit. Les trois amies reculèrent vivement, et à leur grand étonnement tombèrent sur Saïko. Hunter le suivait juste derrière, dans l’escalier. Zalosta le chercha vivement du regard, attendant un geste, une réponse, un espoir. Mais celui-ci baissa les yeux, le visage éteint. La hérissonne sentit son cœur se geler à l’intérieur de sa poitrine. Alors c’était cela, ce que ressentaient ses victimes quand elle les gelait ? C’était effroyable…
Par instinct, Sephyra lui prit à nouveau la main et chercha son regard. Mais Zalosta ne fit aucun geste. Elle resta la bouche entre-ouverte, les yeux perdus dans le vague. Saïko le remarqua et en conçut une indescriptible peine.
- Allons, il ne faut pas perdre espoir, dit-il, la voix douce et réconfortante. Tout n’est pas encore perdu. La bibliothèque est intacte, je suis certain qu’ils se sont réfugiés ici. Hunter et moi avons découvert un passage qui mène du jardin à cette pièce. C’est comme une issue de secours secrète ! Ils se sont sûrement échappés par-là, et doivent être loin d’ici à l’heure qu’il est. Loin, mais saufs.
Zalosta leva lentement la tête, la mine triste. Mais le renard avait réveillé en ses yeux une étincelle d’espoir… Qu’il ne faudrait certainement pas pour lui avoir allumé en vain. Il se surprit lui-même à sourire malgré ses doutes profonds. Sephyra le remercia intérieurement en lui accordant un discret sourire à son tour.
Il se retourna et leur fit signe de le suivre dans le sous-sol. Hunter s’effaça pour laisser passer le petit groupe, avant de les suivre dans la large pièce. Il faisait noir. Les lumières avaient grillés, et avec la porte d’entrée ouverte en haut des marches, on discernait à peine les étagères et les tables. Tout au plus quelques ombres que l’on frôlait.
- Cherchez quelque chose, ils ont sûrement laissé une note, un indice pour qu’on sache où ils sont allés, conseilla Saïko dont la voix calme résonna dans la cave aménagée.
Ils se dispersèrent, avançant lentement pour éviter de se prendre un meuble dans la pénombre. Zalosta tâta avec précaution les tables, glissant ses mains à l’aveuglette sur les surfaces en bois, lorsque qu’elle percuta quelque chose qui tomba à terre avec légèreté.
- Ah ! S’écria-t-elle.
- Quoi ? T’as trouvé quelque chose ? Résonna la voix grave de Hunter.
- Un bout de papier je crois, mais je l’ai fait tombé…
Un bruit sourd se fit alors entendre tout de suite accompagné d’un gémissement plaintif.
- Tu t’es pris une table ? Demanda Hunter en se retenant de rire sans joie.
- Le premier qui se moque servira de statue dans cette foutue pièce pour l’éternité, gronda la voix glaciale de Zalosta.
Un bruit de frottement sur le sol. Un bruit de papier froissé.
- Je l’ai ! Remontons.
Le petit groupe revint au réfectoire, aidé dans le noir par la lumière du jour qui entrait par la porte, leur montrant la sortie. Zalosta posa le papier à plat sur une table noircie après l’avoir déplié. Sur celui-ci, une écriture rapide et brouillonne avalait les lignes.
- Mais qu’est-ce que c’est que ces conneries…
- Ca dit quoi ? Demandèrent en même temps Saïko et Hunter, au comble de l’impatience.
- Mon premier est bavard, mon deuxième est un oiseau, mon troisième un chocolat, et mon tout est une délicieuse pâtisserie, lut Zalosta sans même se retourner.
Hunter et Saïko se regardèrent en même temps.
- Fais voir, demanda le jeune homme d’un ton ferme.
La hérissonne se retourna et lui tendit le petit bout de papier froissé. Tous se rassemblèrent autour de Hunter et lurent le même texte sans rien comprendre de plus. Le jeune homme gronda en même temps que Zalosta. Le papier passa entre les mains de Saïko, qui réfléchit d’un air songeur, avant que Sephyra ne s’y penche elle-même. Myosotis, les bras croisés, regardait la devinette d’un air curieux.
- C’est tout ce qu’ils ont trouvé ?! Mais qu’est-ce qu’ils ont foutu bordel ! S’énerva Hunter.
- Du calme, on a au moins la preuve qu’ils sont vivants, releva Saïko d’un ton sage.
- Quelle preuve ? Ca peut aussi bien être un piège ! Rétorqua Zalosta en tapant du poing contre la table.
- Calmez-vous ! Ca ne sert à rien de s’énerver pour rien. Tentons plutôt de déchiffrer cette charade, intervint à son tour Sephyra en prenant la défense du renard.
Celui-ci répéta pour lui-même chaque ligne de la devinette en fronçant les sourcils. Sephyra lisait et relisait les mots un par un, tentant de trouver le plus rapidement possible la solution avant que son amie la hérissonne ne s’énerve pour de bon. Myosotis quant à elle fit quelques pas en direction d’une ancienne fenêtre remplacée par un trou béant. Elle regarda le ciel bleu, puis un sourire se dessina sur ses lèvres.
- C’est vrai, c’est délicieux une bavaroise…
Un grand silence succéda à ses paroles. Saïko la regarda, puis à son tour sa bouche s’étira en un large sourire.
- Mais oui, une bavaroise !
Le renard rit de lui-même face à cette charade qui semblait si compliquée, et qui ne l’était pas du tout en vérité. Le regard de leurs compagnons passait de la jeune femme au goupil sans rien comprendre.
- Quoi, vous avez compris ? Alors expliquez au lieu de vous foutre de nous ! S’insurgea Hunter en s’approchant de Saïko.
- Oui, oui, excusez-moi. Mais c’est si simple, quand on s’en rend compte ! Bon, alors.
Sephyra rendit le petit mot à Saïko, et celui-ci décortiqua chaque phrase.
- « Mon premier est bavard », donc « bavard ».
- Quoi… ? Demanda Zalosta, qui ne comprenait pas.
- Attendez, attendez ! « Mon deuxième est un oiseau », donc « oiseau » !
- « Bavard », « oiseau », répéta Sephyra en attendant la solution finale.
- « Mon troisième un chocolat », donc « chocolat » ! « Et mon tout est une pâtisserie…
- Une bavaroise au chocolat ! S’écria Zalosta sans y croire.
Hunter restait lui aussi perplexe et demanda à revoir le petit bout de papier. Sephyra cherchait encore le piège dans cette simplicité.
- C’est tout bête ! S’exclamait le renard.
Myosotis restait immobile, les yeux fermés, un léger sourire flottant sur ses lèvres.
- Bon, mettons, rétorqua la hérissonne après avoir lu une dernière fois la devinette. Ca nous amène à quoi ?
Saïko reprit une attitude plus sage, non sans perdre son sourire.
- Et bien je pense que, par peur que nos ennemis n’arrivent avant nous, ils nous ont laissés un message « crypté », pour nous dire où ils sont allés.
- Un peu léger, ton « cryptage », répliqua Hunter en grognant.
- Je ne pense pas, c’est tellement simple qu’on ne voit pas tout de suite la solution.
- Pas tout de suite, mais en prenant cinq minutes pour réfléchir, on comprend quand même. Myosotis n’a pas mis longtemps, qui nous dit que ceux qui ont attaqués le manoir n’ont pas fait ça pour nous piéger ? Et même si c’étaient le Patron et les enfants, qui nous dit que nos ennemis ne sont pas passés avant nous ? Déclama la hérissonne.
- Zalosta, si tu réfutes toutes mes conclusions, on ne saura jamais si ton patron, ton cuistot et les enfants vont bien. Piège ou pas, on n’a que ce petit bout de papier pour nous aider.
- De toute façon le kekkai était intacte. Il s’est désactivé au moment où Saïko a tourné la clé dans la serrure. Donc, par logique, cette porte est restée fermée depuis le moment où la barrière a été activée jusqu’à notre arrivée. Personne n’est entré, personne n’est sorti. Par la porte en tout cas.
Le hérissonne se renfrogna.
- Bon… Mais on fait quoi alors ?
- Vous ne connaissez pas un endroit ici, ou une ville proche qui pourrait avoir un lien avec la bavaroise ? Demanda le renard en regardant chacun de ses compagnons.
Ceux-ci réfléchirent, mais aucun ne trouva de lieu approprié.
- Mikada, un peu plus dans le sud, connut pour ses fameuses pâtisseries.
Tout le monde regarda Myosotis.
- Encore un truc appris dans un de tes magazines, c’est ça ? Demanda Zalosta, perplexe et un peu vexée.
- Tout à fait, justifia la jeune femme en regardant la hérissonne sans ciller.
- Bon, alors direction Mikada. Et on fera quoi une fois là-bas, mademoiselle-je-sais-tout ?
- Je n’en sais rien. Chercher, pourquoi pas ? Ca a l’air logique.
- Aah, oui, chercher. Effectivement ! C’est tellement logique que je n’y ai pas pensé.
Un long silence s’ensuivit. Zalosta et Myosotis se défiaient du regard. Saïko et Sephyra, mal à l’aise, sentaient qu’ils devaient intervenir.
- Si Myosotis a raison, c’est la seule voie qu’il nous reste, Zalosta…, dit la roussette.
- Oui, une fois là-bas on trouvera sûrement quelque chose pour nous remettre sur la route. Mais si on reste ici, on ne va jamais y arriver.
- Bon, alors on fonce à Mikada, déclama Hunter, résumant la pensée générale.
Zalosta n’en resta pas moins vexée et en colère, et ne détacha pas son regard de Myosotis. Celle-ci la dépassa sans faire attention à elle et sortit avec les autres du manoir. Avant de continuer leur chemin vers la gare, Hunter et Zalosta jetèrent un dernier coup d’œil à « leur maison ». Ils ne la reverraient certainement plus. En tout cas, plus comme avant.
*****
***