Je dédicace ce post à Kayra, ma fille, je l'adore, elle poste en dernière et après toutes les fautes, erreurs et dégueulasseries pointées par Hawk, elle arrive encore à me trouver un... Oublie de point... TOT *Fait un câlin à sa fille tellement il est fier d'elle*
Bref, cet oublie de point devient quasi-systématique dans chaque partie, sérieux ._. Je fais des fautes bizarres ces derniers jours...
Alors je vais répondre à tout ce joyeux bordel qui s'est déroulé sur mon topic. Après on va m'accuser de vous payer pour vos conneries rien que pour grossir mes quotas de réponses/pages ^O^ *Sort un lance-flamme et crame Sephyra, surtout Sephyra, toujours Sephyra* è__é
Hawk, Naomi < Je vous remercie encore tous les deux pour avoir repris mes fautes énormissimes x)
Saïko < Non, non, t'en fais pas, c'est normal que tu comprennes rien, c'est fait pour ^o^ *SBAF
Alors comme ça, Zalosta est une bête sauvage en fait... ... mais 'tain Bro, t'as de la chance ! >o<"
Ca, c'est mon frangin, on se comprend parfaitement et on se rejoint dans nos manières de penser ! Frérot, je t'aime TOT Mais tu l'auras pas ma femme. Elle est à moi.
En ce qui concerne Zalosta, donc... Oui, ce cauchemar est un bon début pour prouver que les "héros" de cette fiction ne sont pas si "héros" que ça. Et c'est qu'un début <3
Et pourquoi ils se battent ? Ben justement, ils le savent pas eux même :'D Et pour l'instant il se font torcher coup sur coup jusque là... Teuh, les tarlouzes... *Fuit
Hunter < *Facepalm* Le type qui poste jamais qui ramène son cul rien que pour une faute de dérivée de marque sur un semi-automatique :'D Et me faire corriger par mon propre fils ! La honte TOT *Déprime profond* Bon en tout cas, oublie pas ton défi hebdomadaire de postage, radin !
Hygualanga < J'invite tous les lecteurs à lire et relire la première partie de ton post sur la nature des révélations et sur Zalos'. J'en dis pas plus ! Pour la deuxième partie par contre, je n'oserai pas jusqu'à prétendre atteindre ce niveau d'écriture. C'est vrai, c'est ce que j'aimerai bien arriver à faire au final, mais d'ici là, j'ai le temps. Pour l'instant je parle surtout d'indices tout au long du texte qui préparent les réponses aux grandes questions =)
Kayra < Nan tu me fais pas honte ! é_è Rika et Loth sont pas vraiment frère et soeur, Loth étant adopté... Mais oui, c'est l'image de leur enfance, quoi. Quant aux souvenirs, oui oui, très compliqué, très bizarre tout ça >o< *Meurt
Bon et voilà, l'épic point final quoi XD J'étais plié quand j'ai lu ton post, sérieux !
Bref, voilà. Merci à tous pour vos posts, encouragements et mots de gentillesse...
[...]saleté d'enfoiré![...]je vous hais pour cette raison è___
... N'est-ce pas Sephy ^O^
Et sur ce, la deuxième partie de ce Chapitre 15 ! Je vous invite à re-mater l'illustration de Sephy en début de chapitre, elle colle parfaitement à cette deuxième partie. Vous allez vite comprendre...
Bonne lecture, et à la prochaine =)
Note d'avant-chapitre : *Balance un casque noir avec ventoline et moduleur de voix intégrés sur le personnage de Donf*- Là, c’est le prochain tournant ! S’écria Zalosta en pointant du doigt une bifurcation qui partait vers la droite.
Accrochée d’une main au repose-tête du siège de Donf, le buste à moitié affalé sur les jambes de Saïko, elle avait failli foutre un coup de bras à Hunter en tendant tout son corps en avant pour montrer le chemin.
- Ok Zalosta, merci, on a vu, répondit Donf en rigolant légèrement, gêné.
Hunter repoussa le bras de la hérissonne en grognant, la carte dans l’autre main. Zalosta reprit sa place, un large sourire aux lèvres, sentant qu’elle avait fait œuvre de bien social pour le groupe. Donf actionna le clignotant, vérifia l’arrière et le côté gauche de la voiture, puis ralentit et tourna le volant sur la droite pour suivre le bon chemin. Hunter tâtonna nerveusement les deux cartes routières en les regardant l’une après l’autre.
- Quand même… Il a pensé à tout, votre Boss, intervint Saïko en regardant le panorama assombri par la nuit, derrière le pare-brise.
- Ouaip, c’est pas n’importe qui ! Ne put s’empêcher de lancer Zalosta.
Saïko la regarda bizarrement, puis se pencha à sa droite, vers Sephyra. Celle-ci tendit l’oreille.
- Elle est quand même bizarre, ya pas cinq minutes elle boudait, murmura-t-il.
Sephyra lui fit signe à son tour de lui tendre son oreille.
- Tu sais, moi j’oublie pas ce que tu m’as sortis quand on s’est rencontré la première fois, dans le désert, susurra-t-elle.
Saïko la regarda bizarrement. La roussette lui sourit discrètement, le regard menaçant.
« On réglera ça », mima-t-elle des lèvres. Puis elle détourna la tête sur le côté, replongeant son attention sur le paysage qui défilait à travers la vitre. Saïko resta un bon moment à la regarder, se demandant si elle blaguait ou si elle comptait vraiment en découdre avec lui pour cette toute petite histoire de rien du tout.
- … C’est pas de ma faute si t’es plate, lança t-il d’une voix sonore qui fit soudain contraste avec le lourd silence qui s’était imposé dans l’habitacle en mouvement.
Sephyra sursauta violemment et décocha un regard meurtrier à Saïko ; Donf pouffa tout de suite ; Hunter siffla entre ses dents ; quant à Zalosta, elle s’avança devant Saïko, le regardant droit dans les yeux, voulant savoir tout ce qu’il se disait entre la roussette et le goupil.
Ignorant complètement ce qui se passait derrière, Hunter tritura les cartes, puis fit signe à Donf de prendre la prochaine à gauche. Le jeune homme restait songeur. Il resserra sa cravate en regardant la route qui se faisait avaler par l’avant de la voiture, dont les phares illuminaient l’asphalte. Quelques minutes plus tôt, pris d’un soupçon de curiosité, il avait ouvert la boîte à gants. A sa grande surprise, il était tombé sur un pistolet à la crosse noire et au canon argenté, posé sur deux cartes et une petite note écrite à la va-vite. Le temps que Donf reprenne ses habitudes de conducteur émérite, il avait eu le temps de lire le petit bout de papier et de regarder les deux cartes.
« Suivez l’itinéraire, vous arriverez sur une petite maison au fond d’une forêt. Vous ne pouvez pas vous tromper, elle est tout en bois et entouré de sapins.
Et ne vous inquiétez pas. Si on ne peut arrêter la spirale du temps, on peut en tout cas combler celle du vide.
Votre Patron »Une des cartes était celle de la ville, l’autre était celle du continent. Sur les deux, un tracé rouge représentait la route à suivre. Concernant la ville, le tracé indiquait une petite route presque invisible, qu’ils n’auraient même pas remarquée si le crayon rouge ne l’avait pas surligné.
- Sûrement pour éviter les contrôles aux sorties de la ville, puisque nous sommes recherchés maintenant, avait placidement commenté Hunter.
Et justement, maintenant, la voiture approchait de la sortie de la ville mentionnée sur la carte par une petite croix. A l’intérieur de l’habitacle, tout le monde retint sa respiration quand la voiture bifurqua lentement sur la droite, s’angoissant à l’avance de voir des voitures de police stoppant les visiteurs. Ils poussèrent tous au même moment un gros soupir de soulagement en constatant que la petite route à sens unique ne montrait rien d’alarmant. Après quelques mètres, la voiture passa le panneau sur lequel était inscrit le nom de la ville barré d’une croix rouge. Si un sourire complice se peignait sur tous les visages, Hunter, lui, fronça les sourcils.
- C’est bien trop facile, songea-t-il en lui-même en regardant la carte, perplexe. Comment a-t-il su à l’avance que l’accès serait sûr… ?
Bientôt, les derniers immeubles furent distancés de plusieurs mètres, alors que la voiture s’enfonçait dans une profonde forêt, la route sinueuse éclairée par les phares puissants de la voiture. Donf passa en feux de route, révélant une meilleure visibilité du petit panorama.
- Bon, nous voilà sortis de cette foutue ville ! S’exclama joyeusement le conducteur, résumant la pensée de chacun – sauf d’Hunter qui restait songeur. En route vers le nord, donc ! Heureusement que le plein est fait, on a de la route. Vous pouvez en profiter pour dormir.
- Dormir ?! Comme si on allait dormir après s’être tapé un sommeil forcé de vingt-quatre heures ! S’exclama Zalosta. Compte sur moi pour te taper sur le système tout le long du chemin, plutôt, ouais ! Vous êtes pas d’accord, vous ? Demanda-t-elle en regardant Saïko et Sephyra.
Ceux-ci obtempérèrent en riant légèrement. Ils sentaient tous un profond malaise s’évanouir lentement, en quittant cette ville.
Au bout d’une demi-heure, les trois passagers arrière dormaient profondément. Donf les regarda dans le rétroviseur intérieur en souriant de manière désabusé. Il donna une petite tape sur l’épaule à Hunter sans quitter la route des yeux, puis lui fit signe de regarder derrière. Le jeune homme sourit ironiquement. Zalosta avait la tête posée contre l’épaule de Saïko, qui lui-même avait la sienne contre celle de la hérissonne. Quant à Sephyra, elle dormait paisiblement, la tête colée sur le rebord de la vitre.
- Eh ben, eux qui disaient qu’ils n’allaient pas dormir. Une vraie bande de marmottes, ouais.
- Tu peux dormir aussi, si t’es fatigué, lui rétorqua Donf. Je peux me débrouiller seul avec les cartes.
- Ca va aller, va. D’ici là que tu t’endormes au volant, ya pas loin, si je te laisse seul…
Donf s’esclaffa légèrement.
- Ca fait un petit moment qu’on est sur cette route, dit-il après un court silence. On a bientôt terminé l’épisode forêt nocturne ?
- Je sais pas trop, répondit Hunter en regardant sa carte à la lumière d’une petite ampoule au-dessus de son siège qu’il venait d’allumer. Ouais, je crois. Je pen…
- Hunter.
Le jeune homme releva les yeux sur son ami, soudain curieux. Il éteignit la petite ampoule et reposa la carte sur le devant de la voiture.
- Quoi ?
- J’ai un truc à te dire.
- Ca je m’en doute. Raconte.
Donf vérifia dans le rétroviseur que les autres dormaient derrière, puis prit son inspiration.
- Avant de mourir… Enfin mourir, vu ce qu’il s’est passé, on sait plus trop où on en est… Enfin, en tout cas, avant que le Patron que j’ai vu ce soir-là ne meure, il m’a dit une chose. Un « secret ».
Hunter resta pensif un petit instant.
- Continue.
- Il m’a dit que je ne devais t’en parler qu’à toi, et le plus tôt possible.
- A moi ? Demanda soudainement Hunter en regardant Donf, avant de jeter un coup d’œil à l’arrière. Pourquoi à moi ? Reprit-il plus bas.
- Parce que tu es le seul concerné par ce qu’il m’a dit, continua le conducteur sans quitter la route des yeux, les mains légèrement crispées sur le volant.
- Arrête de me faire poireauter, crache le morceau, dit Hunter, le cœur battant.
Donf prit le temps de prendre une nouvelle inspiration.
- Hunter. Le Patron… C’est ton père.
Il y eut un grand silence. Donf lança un regard en coin à son ami.
- Arrête-toi.
- Quoi ?
- Arrête-toi, je te dis.
Donf hésita un instant, puis pesa légèrement sur la pédale de frein en déboîtant en seconde, puis en première, avant d’arrêter complètement le véhicule. Un profond silence régna plusieurs secondes dans la voiture. Donf se tourna vers Hunter. Celui-ci gardait les yeux fixés dans le vide, devant lui. Derrière, Sephyra bougea légèrement sans se réveiller.
- Hunter, écoute…
- Laisse. Ca va aller. Faut juste…
Le jeune homme en cravate soupira silencieusement en fermant les yeux, et se força à avaler sa salive inexistante. Sa bouche était sèche.
- Attends-moi là, j’en ai pas pour longtemps.
Il retira sa ceinture, puis ouvrit la portière avant de la refermer discrètement derrière lui. Donf fit les mêmes gestes, un plus précipités, avant d’abaisser le frein à main et de couper le moteur. Il referma sa portière silencieusement et s’élança sur les pas de son compagnon, qui s’engageait dans la forêt.
- Hunter ! Qu’est-ce que tu comptes faire ?
Son ami ne lui répondit pas. Il descendit la petite butte, puis marcha à travers les branchages, se perdant entre les arbres. Donf regarda dans la direction où il l’avait perdu de vue, la silhouette s’évaporant dans les ténèbres de la forêt. Entre ses lèvres, une buée opaque s’exhalait dans la fraîcheur de la nuit. Il frissonna légèrement. Soudain, un hurlement résonna dans toute la forêt. Un long hurlement, de rage, de tristesse, de désespoir, de colère enfouie depuis des années, qui dura longtemps. Puis un profond silence revint, contrastant paradoxalement avec ce qui venait de se passer. Après quelques secondes, Hunter se montra de nouveau, sortant d’entre les arbres, la cravate desserrée, le pantalon poussiéreux au niveau des genoux. Il remonta la petite butte lentement, puis passa devant Donf, les yeux fermés.
- C’est bon, on peut repartir, dit-il sans s’arrêter.
Alors qu’il s’apprêtait à regagner la voiture, Donf lui attrapa le bras. Hunter détourna la tête sans même chercher à esquiver la poigne de son ami.
- … Imbécile, rétorqua Donf. Si ya un truc qui va pas, tu peux me le dire.
Hunter soupira lentement avant de se retourner. Les yeux un peu brillants, il lui répondit d’un ton effacé :
- Merci de me l’avoir dit. Ca a pas dû être simple pour toi de garder ce truc pendant tout ce temps.
Donf regarda Hunter dans les yeux avant de grimacer. Il soupira à son tour, puis joua avec les clés de la voiture qu’il tenait dans sa main.
- … Allez, terminons la route à faire. On a tous besoin de réfléchir au calme, dit-il en lui tapotant l’épaule, avant de le devancer en contournant l’avant de la voiture.
- Donf.
Le jeune homme stoppa son mouvement au moment où il allait ouvrir la portière, et regarda Hunter par-dessus le capot.
- Désolé. Mais je vais devoir tuer notre Patron.
Donf baissa la tête. Puis il ouvrit sa portière sans répondre. Hunter fit de même, et ils reprirent leur place. Derrière, les trois autres hybrides dormaient toujours profondément. Sephyra avait juste changée de place, et se tenait maintenant appuyée contre l’épaule de Saïko, un bras sur le ventre du renard. Donf reprit la route sans forcer sur l’accélération. Hunter resta la tête appuyée contre la vitre, le regard vide, le paysage défilant dans la nuit derrière la vitre.
Et ils ne s’échangèrent plus aucune parole durant le voyage.
Le Patron restait debout dans le cimetière au cœur d’une campagne vide et silencieuse, la capuche rabaissée sur sa tête. Plus loin, derrière lui, quelques rayons de lumière prouvaient l’existence d’un petit village. Un quart de lune brillait dans le ciel étoilé, où aucun nuage ne venait perturber sa clarté. La silhouette contemplait la plaque funéraire inscrite sur la tombe.
- Nous l’avions décidé ainsi, Julianne… Pardonne-moi si j’ai été trop loin…
Alors qu’il restait silencieux, les mains dans les poches de sa parka noire, un vent étrange souffla derrière lui. Les quelques fleurs sur la tombe s’agitèrent lentement.
- Ca faisait longtemps, dit-il lentement sans élever la voix, un triste sourire sur ses lèvres, sous la capuche.
- Cette pauvre, pauvre Julianne… Combien de temps vas-tu encore rester à te morfondre de sa mort ? Résonna alors une voix féminine, au timbre âgé sans être vieille.
- Toute ma vie je n’ai aimé qu’elle, tu le sais bien, déclara le Patron en souriant ironiquement sous sa capuche.
Le souffle de vent revint alors, plus froid et un peu plus fort, entourant la silhouette dans la nuit.
- Ne me cherche pas, ou tu me trouveras… Où que tu sois, je serais toujours derrière toi… Kane.
Un souffle fit alors rabattre la capuche de l’hybride, révélant un museau d’échidné noir. Celui-ci gardait les yeux fermés. Derrière lui, des cliquetis métalliques se firent entendre, comme si des chaînes se mouvaient entre elles.
- Nous sommes liés, ne l’oublie pas, continua la voix féminine dans sa tête.
- Nous le serons, en tout cas, jusqu’à ce que l’un de nous ne meure dans ce monde…
Kane se retourna lentement, puis releva les paupières. Ses yeux entièrement blancs s’ouvrirent sur une femme à la peau mâte, le corps couvert de bandelettes, les yeux cachés par le même tissu blanc. Des chaînes métalliques se mouvaient en effet autour d’elle, dans les airs. Ses pieds ne touchaient pas le sol. Sa voix âgée contrastait beaucoup avec son corps de jeune femme.
- N’est-ce pas, Lucia… ?
La vie est une spirale. Elle nous entraîne sans attendre que nous soyons prêts dans sa course folle. La spirale réunit les temps passé, présent et futur, et rassemble toutes les possibilités et toutes les expériences acquises en un même point : nous-mêmes. Nous sommes ce qui fait cette spirale, elle fait ce que nous sommes.
La vie est une spirale. Toute chose a forcément une répercussion, pas forcément sur l’instant présent. Ce que vous vivez, vous le revivrez de manière similaire plus tard dans votre vie, parce que dans votre passé vous n’aviez pas su gérer sereinement cet évènement. Il vous sera renvoyé comme une balle de tennis plus tard dans l’avenir, quand vous aurez mûri, quand vous aurez grandi, quand vous aurez apprit. Peut-être suffisamment pour, cette fois, vous débarrasser de cet évènement. Ou peut-être pas.
La vie est une spirale. Mais elle n’est pas seule. Si cette spirale existe, c’est parce que vous existez. Vous avez donc un but, un objectif à accomplir. On ne se contente pas de suivre la spirale, ce n’est pas elle qui se contente de vous attirer. Si vous choisissez de ne rien faire, vous ne ferez rien. Et il ne se passera rien. C’est tout.
Si la vie est une spirale, c’est parce qu’elle respecte ce que vous êtes : vous êtes un paradoxe. Regardez au fond de vous-même, analysez-vous. Vous avez des désirs contradictoires, vous dîtes parfois des choses dont vous pensez le contraire, vous faîtes ce que vous ne voudriez pas faire. L’être humain est un paradoxe. Ce que vous lisez est paradoxal. Ad Lunam