Ou encore Mirror's Edge, regarde moi ces beaux graphismes mais, c'est la fille qui fait du " Prince of Persia " qui est original, sauter de toit en toit, monter sur une grue et sauter à 10 mètres de soi et autre, c'est classe quoi. Maintenant, je trouve désolant qu'un jeu, pour que ça soit bon, il faut des graphismes qui te boussillent les yeux.
L'originalité de Mirror's Edge n'est certainement pas ce que tu viens de citer, il s'agit plutôt du fait que la vue soit subjectif, c'est à dire à la 1ere personne, et sans forcement être un FPS. De plus, lépuration maximale de l'univers très blanc de ME luiu donne un aspect assez hypnotique je trouve.
Toutefois, de gros graphismes ne sont pas aussi gages de réussite, je reviens avec Dead Space qui fut une réussite totale sur le plan technique. C'est super beau, et pourtant, voila quoi, quand tu vois les ventes...
De plus, je ne suis on ne peut plus d'accord avec knuckèv. On a surement vu tout en matière de difficulté, maintenant on cherche des jeux pas forcement super-mega-ardus, mais avec une originalité certaine et un véritable univers (et knuckèv et moi avons déjà une bonne idée sur une certaine production censée sortir en octobre x) )
Le plaisir immédiat nécessite facilité de gameplay et fluidité, alors que ces qualités peuvent être contribués pour un jeu hardcore. Je pense notamment au mythique Destruction Derby "RAW", un jeu de caisses sur PS1 qui nécessitait de foncer comme un foldingue en défonçant ses adversaires, ou les faire sortir du haut d'un immeuble. L'ancêtre de Burnout mais en plus trash et sans le boost.
C'était pas très beau, certes, mais ça alliait difficulté extrême, surtout dans les arènes, encore dans les courses ça gérait, et surtout le fun, qui palliait le rebut de la difficulté, nous donnant envie de recommencer, encore et encore pour enfin finir ce foutu niveau.
Nan, le seul jeu véritablement hardcore auquel je joue encore et qui est une production actuelle est Monster Hunter Freedom Unite. T'en chies vraiment dans ce jeu, mais ça en vaut vraiment la peine.