J'ai été un peu débordé du coup j'ai pris du retard... Désolé de l'attente pour ce chapitre. Je remercie Ivory pour sa relecture ainsi que son aide pour me décharger de l'écriture de plusieurs passages...
Chapitre sept : mais il y en a encore !
---------- Suite directe de la fin du dernier chapitre --------Après s'être farci toutes les marches du phare pour monter, voilà maintenant la descente... Et Ivory qui fermait la marche de façon a implicitement montré qu'il fallait accélérer le rythme. Mais même si cette situation pouvait paraître pénible, nous savions tous que se dépêcher était crucial.
La lumière de ce phare était un signal pour toute créature vivante à des kilomètres à la ronde. Même si à leur arrivée tout semblait être désert, rien n’empêchait que ce soit réellement le cas... Cette idée m'était angoissante.
« ... Tu traînes le pas ... »
Ivory m'avait directement sorti de mes réflexions. Au mot, elle associait aussi les actions, et elle commençait à me pousser pour me faire accélérer. Kail était en tête du cortège. Il descendait plus vite que le reste du groupe. À chaque petite ouverture dans le mur, il faisait une pause pour nous attendre, fixant l’extérieur. Jusqu'ici, il semblait que rien n'avait bougé à l'extérieur. Était-ce la chance ? En tout cas personne ne voulait rester pour la mettre à l'épreuve.
À la porte de l'édifice. J'avais beau être essoufflé, on ne me laissa pas le temps pour faire une pause. Ivory me poussait toujours pour me faire avancer, Et ça marche parfaitement. Malgré mes muscles qui me faisaient comprendre qu'ils n'aimaient pas ce traitement marginal, la peur de la colère d'Ivory venait rapidement me remotiver.
Toujours en tête, Kail donnait des encouragements au groupe.
« Aller plus que 200 m... Encore un effort ! »
Et ce furent les 200 m les plus longs de ma vie. Arrivé aux portes du hangar, je suis tombé lourdement contre un mur, épuisé. Courir en terrain plat était une chose, mais d'abord subir plus de 500 marches, s'en était une autre...
Alors que je me reposai, Ivory donna plusieurs ordres pour faire ouvrir la structure. La porte était verrouillée. Mais cela ne posait aucun problème pour l’hérissonne. Elle posait la main sur le verrou avant de faire geler, il devait être horriblement froid car il suffit d'un coup de Kail pour que le verrou d’acier soit brisé comme du verre...
Aussitôt, les différents membres du groupe d'Ivory ouvraient les grandes portes du hangar.
Curieux, je me levai pour regarder ce qu'il y avait à l'intérieur. Il faisait encore plus sombre dans ce hangar. J'ai distingué une forme assez importante mais sans arriver à pas clairement l'identifié. Cependant, Kail ne semblait pas avoir ce problème. Il poussait un sifflement étonné avant d'annoncer à haute voix.
« Nath est toujours aussi prévoyant, il nous épargne même la peine de marché. Personne n'est aérophobe j'espère... »
Je m’avançais un peu plus pour tenter d’apercevoir de quoi il s’agissait, et j'eus un hoquet de surprise quand j’eus compris de quoi il en retournait. Un hydravion bimoteur assez grand... On nous avait laissé ça ? Mais est-ce que quelqu'un savait piloter au moins ?
Personne ne semblait pas se poser la même question que moi... J'en déduis qu'il devait effectivement y avoir quelqu'un pour faire ça. Ivory ne reprenait alors les devants en donnant ses ordres.
« Sortez-le...»
Et en même temps, différents membres de l'équipe se tenaient prêt à sortir l'appareil du hangar. Le groupe était entraîné, pousser cette charge à plusieurs ne leurs posaient pas problème. En même temps, Kail était monté sur le toit de l'appareil et avait pris une quelconque cause caricaturant un explorateur, ou quelque autre personne se voulant impressionnante.
Tout compte fait, j'avais l'impression qu'il y avait plus de peur que de mal. Il n'y avait encore eut personne pour nous attaquer... Peut-être que les guêpes pensaient que la ville était toujours occupée ? En tout cas, je me sentais obligé de les aider. Et je rejoigne le groupe étais en train de déplacer l'appareil.
Pensant là, Ivory interpellait Kail pour le faire descendre son perchoir.
« Kail vient aider... Ne fait pas comme à Westopolis... »
Le hérisson répond alors gêner.
« Mais j'aide déjà Ivy, je fais la vigie ! »
Westopolis ?... Attendez, il s'était déjà vu avant ? ... Mais je ne pouvais pas réfléchir car je me vais trébucher sur une pierre...
----------- Westopolis, deux semaines auparavant ------(narrateur externe)
La ville était déserte, pas la moindre traces des occupants qui avaient portant utiliser la ville quelques années avant … Pas la moindre trace des habitants qui furent évacués en même temps que les militaires … La ville était déserte, aucun signes de vie, si ce n’est une ombre dans les ruelles.
Un Mobien marchait de rue en rue, son pelage était gris, ses vêtements un peu déchirés.
De rues en rues, il se retrouva finalement sur la place du casino, près du cœur de la ville. L’enseigne était détruite, et les néons affalés sur le sol, la porte coulissante n’existait même plus, quand à l’intérieur, il avait été dévalisé par les habitants qui avaient surement pensé que quelques rings de plus pouvaient faire la différence contre une telle menace … les pauvres fous …
Le hérisson leva la tête, révélant ses yeux jaunes, pour regarder une deuxième forme. Encapuchonnée dans un long manteau noir, assise sur une des poutres, qui maintenait l’édifice, encore en état, assez loin du sol. La Mobienne releva la tête à son tour, et regarda le gris, qui leva la main, un grand sourire aux lèvres.
« -Salut petite sœur ! »
L’hérissonne blanche souleva sa capuche, et fixa le Mobien de ses yeux vairons vert/violet. Elle avait une expression neutre sur le visage.
« -Tu pourrais au moins me sourire, on ne s’était pas vu depuis longtemps ! »
Elle ne se plia pas à se demande, se contentant de se jeter de la poutre, et d’atterrir près de lui, sans aucunes difficultés, ce n’est qu’à ce moment-là qu’elle afficha un petit sourire.
« -Ça fait plaisir de te voir encore en vie Kail, j’ai eu peur que …
-Que quoi Ivy ? Que de simples grosses guê-guêpes viennent à bout de ton grand frère adoré ?
-Elles ont quand mêmes de grosses armes
-Ses guêpes ne t’arrivent pas à la cheville niveau difficulté ! »
Elle poussa un soupire amusée.
« -Pourquoi es-tu là d’ailleurs ?
-Je cherchais quelque chose … mais je ne l’ai pas trouvé ici …
-Tu as besoin d’aide ?
-Non merci, je vais me débrouiller …
-Tu ne chercherais pas ton beau militaire par hasard ? »
La Mobienne le fixa d’un air glacial, les joues à peines rouges. Il recula, et agita la main devant lui.
« -Calme ! Calme Ivy ! C’était une blague !
-Tu sais que je ne suis plus d’humeur à ce genre de chose
-Je sais, mais faut que tu te dérides ! On est en pleine apocalypse, on a pas le temps pour se morfondre comme tu le fais !
La Mobienne ne répondit pas, se contentant de remettre sa capuche, et de se diriger vers la sortie. L’hérisson lui courut après, et marcha à côté d’elle. Ils finirent par se retrouver aux portes de la ville avant que la « discussion » ne recommence
« -Où comptes-tu aller maintenant ?
-Conduire la brigade Flocon dans chaque ville afin de trouver d’éventuels survivants, et si possible … Trouver un endroit où l’on puisse être en sécurité, et toi ? »
Il regarda l’horizon, et sourit.
« -Je vais trainer au peu pour les mêmes raisons autour »
------------ au retour à l'instant présent et à émeraude coast---------------Encore un petit effort l'avion fut enfin un à l'eau. On allait enfin pouvoir lever le camp. Un membre de l'équipe d'Ivory était rentré dans l'appareil pour sans doute préparer l'appareil... Nous nous restions à extérieurs à surveiller les environs. Le personnel intérieur avait rapidement interpellé Ivory en lui lançant un petit paquet. Je comprenais tout de suite qu'il devait s'agir de notre prochaine destination. La hérissonne ouvrit rapidement le paquet pour regarder le contenu.
Elle sortait quelques cartes et notes écrites. Elle les lisait rapidement avant de nous informer à sa façon du prochain arrêt...
« Métal City... »
J'avais entendu parler de ce lieu-là, c'était la ville qui servait de vitrine technologique aux Unit Nations. Là où était apparu différent sport comme l'Extrême Gear... J'aurais voulu demander d'autres renseignements à Kail mais celui-ci s'était brusquement levé en pointant la ville. Il nous criait alors.
« Ils arrivent ! Au moins une vingtaine de guêpes ! Préparez-vous à la fête ! »
Et il sautait du toit de l'appareil. Rapidement, le bourdonnement se faisait entendre au loin. Tout le monde se préparait à se battre. On m'avait donné un fusil. D'après celui qui me le lança, c'était une arme assez lourde pour repousser l'ennemi... Mais je n'avais ni l’expérience, ni la précision nécessaire pour savoir si je pouvais manier cette arme.
En alerte, Ivory criait en direction de l'appareil.
« Kara ! Fait voler cet engin !... »
L'interpellée se trouvant toujours dans l'appareil répondait tout aussi rapidement.
« Pas avant 10 minutes au moins ! Amusez-vous bien ! »
Le bourdonnement s'était intensifié et on put commencer à distinguer des formes volantes. Tout le monde s'était préparé au combat, tous ceux ayant des armes s'étaient postés à couvert alors que d'autres semblent être prêts pour un combat au corps à corps.
J'étais étonné, une arme à feu légère n'était même pas capable de percer la carapace de ces choses, alors les combattre au corps à corps ? Était-ce possible ?
Les individus armés semblaient attendre des signes d'Ivory pour passer à l'attaque... Celle-ci regardait la formation s'approcher toujours plus.
« Faites les descendre... »
Et aussitôt la plupart commencèrent à ouvrir le feu sur les ennemis les plus proches. Moi, je ne comprenais pas vraiment quel étais la partie du corps à cibler. L'image de la balle stoppée nette par la carapace de ces insectes me bloquait. J'avais l'impression que c'était inutile.
Mais quelqu'un me secoua légèrement tandis qu’il continuait à recharger son arme entre chaque salve.
C'était un hybride puma, qui plus est un albinos... Le félin devait comprendre mon hésitation et avant de recommencer à tirer, il cria pour que sa voix ne soit pas étouffée par le bruit des tirs.
« Quand on dit qu'il faut les faire descendre ! C'est qu'il faut viser les ailes ! Ces choses vole tellement vite qu'il suffit de tirer dans les ailes pour les écorchés... Notre but c'est de faire tomber à terre ... Alors maintenant tire ! »
Obéissant à l'ordre, je commençais ouvrir le feu sur le premier ennemi que je voyais... J'ai tiré une dizaine de coups, mais la plupart passèrent à côté. Mais j'eus la chance, le 11e ou 12e coup atteignait les ailes droites.
La guêpe poussa un crissement avant de tomber... Mais elle était loin d'être vaincue, elle se réceptionnait et comprenant qu'elle ne pouvait plus voler. Celle-ci se décidait à engager le combat au corps à corps avec les Mobien.
J'entendais alors Kail crier :
« Elle est à moi ! »
Aussitôt, le hérisson gris se lançait à l'attaque de l'insecte. La guêpe le dominait largement par la taille, mais Kail lui avait l'agilité, il esquivait rapidement les coups pour se positionner dans le dos son adversaire. Puis, il donna un coup puissant au niveau de l'abdomen de l'insecte... Il ne semblait pas y avoir de blessure extérieure, cependant la guêpe émise un nouveau crissement de douleur. Avant de se retourner et d'essayer de griffer Kail en même temps... Mais le hérisson gris fut plus rapide et reproduit le même coup mais c'est aussi en visant la tête.
Le crissement devint plutôt un gémissement faible alors que la créature s'effondrait sur le dos, s’arrêtant de bouger au bout de quelques secondes.
Mais la victime adverse avait fourni une diversion à ses alliés. Et une autre guêpe descendait en piqué vers Kail pour l'attaquer. J’essayai de le prévenir, mais c’était trop tard, Kail n'avait pas le temps non plus de réagir. Cependant, l'attaque adverse ne fut jamais achevée.
Sur la trajectoire de la guêpe, apparus brutalement une espèce de nuage ... Comme de la brume, mais il y avait un léger éclat qui rappelait les cristaux de glace. Sans s’arreter, l'insecte passa au travers du nuage, avant de perdre sa trajectoire et de tombée brutalement au sol.
Le corps de la guêpe s’était assombrit, alors qu’elle s’était retrouvée congelée de l’intérieur. Je savais tout de suite que cela ne pouvait venir que d'Ivory.
Face à cette réussite, nous redoublâmes d’efforts pour essayer d'abattre plus ennemis. Mais ayant compris la menace, les guêpes commençaient à se tenir à distance, essayant de trouver une opportunité ou d'attendre que nous trouvions à court de munitions.
Kail prenait alors l'initiative en s'éloignant du groupe. Pour attirer l'ennemi... Les guêpes s'attaquaient alors directement à cette cible isolée, mais Kail les attendait, esquivant chacune des attaques pour continuer à leur donner des coups de la même nature que précédemment. Puis tout aussi vite, il revenait vers nous.
Les attaquants blessés avaient du mal à reprendre l'altitude et à maintenir le rythme, nous offrant alors des cibles beaucoup plus faciles. Commença alors la redirection des tirs sur les cibles les plus affaiblies.
Les trois nouvelles guêpes tombées à terre, alors à la merci d'Ivory qui ne tardait pas à les congeler...
Face à cet excès de résistance, un groupe de guêpes commençait à s'éloigner. J'avais l’amer sentiment que ça allait donc se compliquer. Et pour confirmer mes pensées Ivory annonçait entre deux attaques.
« Ils vont avoir des renforts... Kara ! »
En réponse, on entendait le bruit des moteurs s'allumer puis commencer à rugir... L'appareil était en marche. La paon grise ouvrit la porte du coucou.
« Air Flocon à votre service ! Première compagnie aérienne en situation apocalyptique ! »
Aussitôt, nous commencions à battre en retraite pour monter à bord, Kail servant de diversion pour écarter les ennemis ... Cependant, nos adversaires compris la manœuvre, et se placèrent devant l’avion pour nous empecher de partir avant l’arrivée de leurs renforts. Un groupe de trois guêpes se chargeait d'occuper Kail pendant que le reste tentait de s'attaquer à l'appareil. Provoquant la colère d'Ivory...
Et je me disais que craindre sa colère était tout à fait justifiée... Ce fut un véritable micro tempête de neige qui s’abattit sur les adversaires autour de l'appareil. Profitant de cet effet de surprise, Kail avait cessé le combat pour nous rejoindre.
« Attendez la star ! Votre grand frère bien-aimé ! »
Et il sauta à bord alors que nous fermions la porte. Sur l'instant, je me rendais compte que je tremblais. C'était trop d'émotions fortes pour moi... J'avais ma dose.
-------------- pendant ce temps, position inconnue (QG des restes du GUN ) -------------Aubra était seul dans la salle de réunion tactique. Une grande table de réunion trônait au centre de la salle. Sur celle-ci, étaient éparpillés de nombreux documents, rapport et cartes ...
Lui, tournait autour de la table pour saisir un document le lire rapidement avant de passer à un autre. Cherchant la moindre information utile pour étudier le dernier tournant de la situation.
Il y avait quelque chose d'assez alertant. Cela faisait déjà plus de deux semaines qu'il n'y avait aucun signalement des trois généraux... Il devait vraiment se passer quelque chose. Et quoi que ce soit, si les trois y étaient liées, ce ne pouvait qu’être dangereux.
Les trois généraux étaient le surnom donné aux trois meneurs de cette armée de guêpes... Il pouvait être considéré en tous points comme l'apogée de leur genre. Chacun entre eux avait des capacités lui permettant de mettre en échec une armée à lui seul.
S'il devait placer en termes de dangerosité et de mises en difficulté... Il les posait ainsi...
Le plus massif des trois 2m30 au lieu de la moyenne de 1m80 de ses congénères. Vol rarement, mais d'une puissance rare, pour ainsi dire une endurance et une puissance physique quasi parfaite. L'affrontement corps à corps est du suicide pur. Résister à une de ces attaques était un miracle. Proclamait pouvoir tenir face à lui un combat était impossible, et les combats les plus longs contre lui ne sont jamais tendus ou plus de trois minutes... Après quoi, ses adversaires étaient incapables de se battre à cause des blessures, ou de la fatigue... Cependant, sur le plan tactique ... Autant ne même pas en parler, c'était un échec complet.
Le second, il était vraisemblablement le plus jeune et physique frêle, attitude enfantine... Bref un rien de bien méchant. Mais une capacité aérienne plus que redoutable. Un enfer a touché... Même les systèmes électronique de visés les plus avancés avaient du mal à le suivre.
Du point de vue stratégique il était assez performant, mais rien de très alertant pour Aubra... Non ce qui le rendait dangereux, c'était ses capacités technologiques... Même si cette armée d'insectes utilisait rarement les technologies, il savait néanmoins en utiliser lorsque c'était requis...
Aura savait pertinemment que certaines technologies de l'Eggman Army avait du être récupérées par ce général. L’orque avait mis en place des dispositifs de sécurité sur ces armes, une autodestruction, mais il savait que les failles arriveraient …
Et le plus dangereux, une vitesse incroyable. On avait dit que Sonic était l'être le plus rapide... Et bien cette guêpe était son égale... Cependant, ce général utilisait sa vitesse à des fins furtives. Et c'était surtout lui qui gênait le plus Aubra en raison de son sens tactique.
Si Aubra avait du mal à tenir une cohérence et une force armée le long de ces cinq années s'était bien parce qu'il avait disputé chaque affrontement stratégique avec lui.
Aubra considérait cet ennemi comme l'un des meilleurs tacticiens qu'il est à affronter.
Il savait intimement que les sentiments qu'il éprouvait à l'égard des adversaires, devait être similaire dans l'autre sens... Ce n'était pas du respect entre les deux, ni même de la rivalité. C'était plus proche d'un combat entre deux prédateurs... Chacun guette la moindre occasion pour prendre le dessus sur l'autre.
Mais voilà, le problème, deux semaines qu'il n'avait plus aucune trace du trio. Cela n'annonçait rien de bon, la situation actuelle était une course contre l'extinction pour tout le monde... Chacun se préparait à jouer ses dernières cartes... Les extrêmes risquaient d'être atteints il fallait donc s'en prémunir et définit les coûts à l'avance.
L’épaulard s’arrêta face à une
photo, qu’il prit, avant de soupirer.
« Dépêchez-vous vous deux … »