Merci beaucoup ._.
Pour les fautes, ouais, je sais, je suis pas encore totalement au point, mais les prochains chapitres vont sans doute être beaucoup mieux, puisque ce seront les plus récents que j'ai écrits (à savoir un peu avant ces dernières vacances). Pour Night Shade, c'est parceque j'aimais bien son perso, ok ? è_é
Et merci pour les compliments ^^

D'ailleurs, de peur d'avoir à faire un double post prochainement, je poste directement le prochain chapitre en avance. A partir de maintenant, je vais vous plongez complètement dans l'histoire, et l'écriture sera sûrement plus développé que jusque là. Bonne lecture ^^

Chapitre 20 : Le problème de portes

Le hall d’entrée était vaste. Trois grandes portes étaient postées aux côtés droit et gauche de la grande salle. Au fond, un escalier en colimaçon menait aux étages supérieurs. Le tout était plongé dans la pénombre la plus totale. Ce qui n’était pas un avantage pour le chat chevalier.
_On ne voit pas grand-chose…
En revanche, pour Shadow et moi, la pièce était éclairée comme en plein jour. Ca devait être normal pour des loups-garous. Pour nous n’étions pas transformé.
_Par où allons-nous…Demandais-je, sur mes gardes.
_Le mieux serais de nous séparer, proposa Knight.
_Mais !
_Non. Le chevalier a raison. Ce sera plus rapide ainsi, s’interposa Shadow.
_C’est aussi plus dangereux, pensais-je.
_Je prend la porte du milieu à droite, avança Knight.
Shadow me regarda du coin de l’œil. Que voulait t-il me faire comprendre par ce regard ? Il se retourna silencieusement.
_Je prend l’escalier au fond, continua t-il d’une voix sombre.
_Il ne me reste plus qu’à prendre l’une des portes à gauche, soupirais-je.
En un éclair, Shadow fut en haut des escaliers. Knight fit de même en se dirigeant du côté droit de la salle, sa main gauche posée sur son fourreau. Je m’avançais donc du côté gauche de la salle. Quelle porte prendre ? Je commençais par ouvrir celle la plus à gauche. Un long couloir se profilait à l’horizon. J’ouvrais celle du milieu, le même paysage morne et peu engageable. Exactement similaire pour la troisième porte. Les trois donnaient sur le même couloir…Comment cela était-il possible ?! Je regardais derrière moi. Apparemment, Knight ne s’était pas posé beaucoup de question, puisqu’une seule des portes était ouverte. Shadow n’avait qu’un escalier à monter. Je me demandais ce qu’il pouvait trouver en haut. Je revenais à moi en regardant de nouveau une des portes. Peu importait, après tout, si elles donnaient toutes sur le même couloir ! Je m’avançais donc en ouvrant une deuxième fois la porte à gauche. Je marchais alors, regardant de tout côtés. Dix minutes passèrent, une demi-heure, puis une heure. Le couloir était toujours le même. Bien éclairé, des tableaux accrochés partout, des petits meubles où étaient posés des vases avec des fleurs…C’était toujours les mêmes objets. Quoique je fasse. Peu importe le nombre d’heure que je marchais. J’étais bloqué. Aucune fenêtre, aucune porte. Rien. Je m’arrêtais. A quoi bon continuer de marcher si ça ne servait à rien ? Je fouillais un des meubles. Enfin non. Je fouillais LE meuble. Quelle fut ma surprise lorsque je découvris une poignée ! Métallique, elle ne comportait rien d’autre que sa poignée elle-même. Mais à quoi pouvait servir une poignée lorsqu’il n’existait aucune porte, aucune fenêtre à laquelle l’accrochée ? Désemparé, je commençais à paniquer. Je laissais tomber la poignée pour partir en courant d’où je venait.  En tremblant, je courais le plus vite possible. Mais au bout de cinq minutes, quelque chose me frappa au plus haut point : je me retrouvais devant le même meuble, et la poignée était là, par terre. Soudain, je n’en pus plus. Ma tension craqua, et je fondis en larme, dans un cri d’impuissance. Mais mes yeux se rouvrirent d’eux-mêmes, et mon cri se transforma rapidement en un cri de rage. Mes mains se replièrent sur elles-mêmes, en faisait craquer leurs phalanges. Je prit le vase de fleurs et le lançais contre un mur. De même pour le meuble, qui se fracassa lamentablement. Je piétinais les fleurs de rage, et cassais ce qu’il restait encore du petit meuble. Puis je m’allongeais, les os endoloris par cette tension, les yeux rouges de cernes, l’âme ouverte d’une grande plaie. Au secours…
_Lève toi, idiot, résonna une voix.
Je me levais de vitesse, prêt au combat.
_Qui es là ? Demandais-je.
_Ce serait plutôt à moi de te demander qu’est-ce que tu fais là, continua la voix grave et résonnante.
_Qui êtes-vous ?
_Et toi ?
_Où êtes-vous ?
_Ca te servirait à quoi de le savoir ?
Je sentais la rage me reprendre.
_Et tu crois que c’est une solution, de s’énerver comme ça dès qu’un truc ne tourne pas rond ?
Je demeurais sans voix.
_S’il y a une poignée ici, c’est qu’elle doit servir à quelque chose, tu crois pas ? Alors au lieu de tout casser, tu devrais plutôt te servir de ton petit cerveau de hérisson.
Je baissais la tête.
_Oui, c’est vrai, mais je ne comprends pas.
_C’est facile de dire ça, répliqua t-elle.
_Au lieu de dire ça, vous pourriez peut-être me mettre sur la piste, non ?! M’écriais-je avec force.
_Ce que tu cherches est visible, mais on ne peut pas le voir.
 Je réfléchissais. Il se foutait de moi, ou c’était vraiment un indice ?
_J’aimerais savoir qui vous êtes, demandais-je.
_Tu n’as pas besoin de le savoir, et le plus important est que tu sortes d’ici.
J’hochais la tête. Il n’avait pas tort. Je ramassais la poignée et la regardais fixement. Il fallait que je réfléchisse. « Quelque chose de visible, mais qu’on ne pouvait pas voir ». Ca ne voulait rien dire ! Je repris mon calme en fermant les yeux. Tout reprendre à l’envers. J’étais dans un couloir sans fin ; avec une curieuse poignée ; et pour finir je devais chercher quelque chose qui était visible mais que je ne pouvais pas voir. Autrement dit, la sortie était cette chose. Et la poignée me serait alors utile pour faire quelque chose dès que j’aurais trouvé. Où peut-être pouvait-elle m’aider à trouver…Je soupirais de désespoir.
_Je ne veux pas te presser, mais l’entrée dans ce couloir ne se fait pas sans rien, résonna de nouveau la voix.
_Comment ça ?
_Si tu ne te dépêches pas de sortir, le couloir te broiera lui-même.

Un chat, c'est pas sensé voir dans le noir ? o_o

C'était bien. Un petit peu court, mais bien quand même. Les descriptions sont tellement précises que je m'y perds. ( ... gné ? )

Il y a quelques fautes, mais bon, oh... Je vais pas t'ennuyer avec ça^^
Allez, continue vite. J'attends de voir ce que va faire notre hérisson-garou XD

Roh, on s'en fout !
*Fait un geste obscène du bras*

Sinan merci d'être (encore) passée. Les fautes, j'en ferais encore, mais je pense quand même en faire moins qu'avant >_>
Et puis les descriptions, tu sais, c'est peut-être un peu le fouillis aussi, donc c'est normal si tu t'y perds (du moins je crôa u_u).

Bon, le prochain chap' dans quelques jours, parceque ça fait beaucoup en peu de temps, là é_è

PS : Bien joué pour le hérisson-garou, j'y'avais pas pensé è_é

Je vien de lire ta fic et j'aime bien. Tu décris vraiment bien les parties ( j'ai els images en tête ) Et pour les fautes moi je m'en fou  :D

Bonne continuation

"Ce que tu cherches est visible, mais on ne peut pas le voir." Compliquer tout ça ! :?  Et Sonic qui pète les plombs, le pauvre, moi aussi je pèterais un câble ^^ la suite est un peut courte malheureusement mais intéressante quand même. Bravo, j’attends le prochain chapitre avec impatience continu surtout. :wink:

C'est ce que j'appelle une fic !!
Tous y est la dedans: l'action, la peur, le sang, les énigmes, les personages forts et charismatiques...
Pour ce qui est du précédent chapitre, il y a deux choses qui mon attirées mon attention:
_Pour un type cool, Sonic s'énerve plutôt vite non ? :)
_Shadow a des comportements bizarres... mmh.... ça cache quelque chose ! :x
En tout cas, vivement la suite !!

Merci à vous trois pour vos commentaires, et re-merci à Seph' ^^
Je vais te répondre Saïko u_u
_Il ne faut pas oublier que Sonic a en lui ce qu'on pourrait qualifier de "venin". Ce qui fait que contrairement à d'habitude, il réagit violement. D'autre part, dans ce dernier chapitre, j'aimerais bien vous y voir dans un couloir petit et sans fin, avec en plus les problèmes qu'il affronte, notre chère hérisson bleu :P
_Pour Shadow, je te laisse penser ce que bon te semble ^^

Pour les chapitres courts, ça s'explique facilement : perso, j'apprécie pas trop de lire d'un coup, souvent, de longs chapitres. J'aime mieux lire des chapitres courts (ou ce que je qualifie de "moyen" ._.), mais postés continuellement, habituellement. On lit rapidement, ça fait durer le suspens, on est à fond dedans, c'est parfait. XD

Bref, maintenant je poste le chapitre suivant (un peu plus rapidement que je pensais, mais j'allais pas faire patienter alors que j'ai plus de trois coms). Bonne lecture  :wink:


Chapitre 21 : Un couloir effrayant

_Si tu ne te dépêche pas de trouver la sortie, ce couloir te réduira en poussière, résonna la voix grave.
J’étais effrayé.
_C…Comment ça ?!
_Tu est entré dans ce couloir sans payer, sans rien faire. Mais le passage n’est pas gratuit. Il faut un ticket d’entrée. Et ce ticket d’entrée, c’est toi-même. Alors si tu ne te dépêches pas de sortir d’ici, ce couloir va te tuer.
Je ne cherchais même pas à comprendre comment un couloir pourrait me tuer. Je réfléchissais le plus vite possible. Une chose qui était visible mais que l’on ne pouvait pas voir. Je regardais la poignée. Cette poignée, elle servait à quelque chose. Et une poignée sert généralement à ouvrir une porte, ou tout autre chose similaire. Il fallait que je fasse apparaître une porte, alors ? Mais l’énigme ? Que venait-elle faire là-dedans ?…Une porte. Une porte qui est visible mais que l’on ne peut pas voir ? Ce serait ça ?
_Eh, toi, la solution de l’énigme, c’est la porte ? Une porte qui est visible, mais que je ne peux pas voir ? Demandais-je.
_Exact, petit. Le tout maintenant c’est de trouver comment faire pour voir cette porte et sortir d’ici.
Je ne perdis pas de temps. Du sol aux murs, je fouillais tout. Rien. Le temps avançait, combien m’en restait-il ? Et Tails. Tails qui comptait sur moi. Shadow et Knight. Mes pensées allaient partout, pour finalement revenir dans ce couloir morbide. Comment me sortir de là ?!

Je m’étais posé en indien, les jambes croisées. Rien ne servait de paniquer, il fallait rester calme et réfléchir posément. Une poignée visible. Une porte invisible. Non, une porte qui était visible mais que je ne pouvais pas voir. Un couloir sans fin…
_Hé, tu n’as pas d’autres indices à me donner ? Criais-je, un peu dans le vide.
_Réfléchis bien. Tout se passe dans ta tête.
Je ronchonnais. Qu’est-ce qu’il voulait dire, il se foutait de moi ou quoi ?! Soudain, sa phrase résonna dans ma tête. Tout se passe dans ta tête. Si tout se passait dans ma tête, mais alors…
_Une illusion ! Criais-je en me levant.
_Qu’est-ce qu’il te reste à faire, alors ? Résonna la voix grave, à moitié empreinte d’ironie.
Ce couloir était une illusion. Mais j’étais bien quelque part dans ce château. Ce qui voulait dire ce que cette illusion était projeté directement dans ma tête. J’étais dans une pièce du château qui était visible mais que je ne pouvais pas voir.
_C’est ça ! M’exclamais-je.
_Tu est le premier à trouver tout ça. Il ne te reste plus qu’à trouver la porte.
Je réfléchissais.
_La porte fait partie de la véritable pièce dans laquelle je suis. Mais cette illusion m’empêche de la voir.
Soudain, un grondement se fit entendre. Un grondement rauque, qui n’annonçait rien de joyeux.
_Petit, la souffrance et la mort que tu vas ressentir si tu ne te dépêches pas ne sera pas une illusion, elle, alors dépêche toi ! Résonna la voix grave.
Le couloir se mit à trembler. Je réfléchissais de plus en plus vite en fermant les yeux. Instinctivement, je plaçais la poignée dans le vide avec ma main droite.
_La porte n’existe que dans mon cœur. La porte qui est visible mais que je ne peux pas voir. La porte de mon destin ! M’écriais-je en abaissant la poignée. Alors que je la poussais, ce n’était plus dans le vide, mais je sentais réellement quelque chose s’ouvrir. Un jet de lumière m’aveugla et je dus fermer les yeux. Je tombais la tête la première dans ce paysage lumineux…

D’un compliquer, j’aurais jamais penser a ça moi !  :shock: Où va-t-il atterrir ? Franchement j’adore se suspense, cette angoisse :twisted: (je vais faire une crise cardiaque si sa continue) Vivement la suite Blackdoom.  :D

"La porte n’existe que dans ton coeur" je la sentais venir celle-la (si, si !)
Ce qui me fais marrer dans ce chapitre, c'est la voix:



Franchement, je trouve que se genre de voix dans un endroit et moment pareil ça devrait parler plus solannellement (dans le genre, il dit une phrase du style énigme tous le temps histoire de rendre fou les personnes qui l'écoutent :twisted:) enfin, ce n'est que mon simple point de vue; sinon tu fais comme tu veut.

Dans le fond, tu as raison en se qui conserne les "chapitres courts" il y a plus d'avantages (alors vite ! Un autre chapitre t'as plus d'excuse !:lol:)

Oui à moi aussi elle m'a fait sourire cette phrase  :lol:
Mais franchement bravo, c'était bien trouvé, cette énigme. J'attends la suite, j'ai hâte :)

Bon sang, pourquoi j'ai raté le redémarrage de cette fic??? L'angoisse et le suspense se font de plus en plus présent au fur et à mesure que l'on avance dans l'histoire. De plus, les quelques fautes sont noyées dans la qualitée du fond du texte (comprenez le contenu, pour ceux qui ne savent pas). Enfin bref, j'attend la suite avec une très forte impatience.

XD ! Je me rend compte que je ne suis plus le seul sadique ici, à présent o_o"
Merci pour ton com ^^ Pour la voix, vous verrez ça dans le chapitre qui va suivre et en continuant l'histoire.

Pour Yoh et Will :
Vous ne devinerez jamais où j'ai bien pu trouver la source de cette énigme XD. Merci à vous deux d'êtres passés ^^

Et Shkeil, merci beaucoup à toi pour ton com O_o, qui m'encourage grandement !

C'est donc avec grand plaisir que je poste la suite, bonne lecture ^^

Chapitre 22 : Une aide précieuse

Tout d’abord, ce fut ma main.  Puis mon bras. Et puis mon corps. Je me retournais, les yeux toujours fermés. Des images furetaient partout dans mes souvenirs. Après y avoir remis un peu d’ordre, je me souvins de tout ce qui s’était passé dans le couloir. Je me levais en sursaut, les yeux soudainement ouverts, mais je dû les refermer aussitôt, en retombant, la tête me tournant.
_Calme toi un peu, veux-tu ! Ronchonna une voix féminine à mon intention.
_Parle lui un peu mieux, avec la chute qu’il vient de faire…Lui répondis une autre voix féminine.
_Je me demande comment il peut encore se relever après ça, continua la première voix, plutôt normale pour une voix féminine.
_Tu devrais en être contente, rigola la deuxième voix apaisante, un peu plus aiguë que la première.
Je me sentais étrangement bien. J’étais comme enveloppé dans une espèce d’ovale brillant orangé. Bizarrement, je voyais ça alors que mes yeux étaient fermés. Qui étaient-elles, où étions-nous, qu’était cet ovale ? Mon corps ne pouvait plus bouger. Ma tête me faisait mal. J’étais en train de mourir ?
La deuxième voix rigola soudainement d’un petit rire.
_Mais non, tu n’es pas mort, et tu n’es pas non plus en train de mourir, s’exclama t-elle.
_Encore heureuse, je ne fais pas tout ça pour te voir mourir sur place ! S’emporta la première voix.
_Qui êtes…vous ? Articulais-je avec un peu de mal.
_Tu n’as pas besoin de savoir ça pour l’instant, résonna une voix grave.
Cette voix. Je la reconnaîtrais entre milles. Celle qui m’avait parlé dans le couloir !
_Ravi que tu t’en sois tiré, petit, continua t-il.
_Vous ! M’exclamais-je avec plus de force que tout à l’heure.
Je m’en voulais de ne pouvoir ne serait-ce qu’ouvrir les yeux.
_C’était très peu, tu as eu beaucoup de chance.
_C’est ce que je dis depuis le début, c’est un chanceux ! Ronchonna la première voix.
_Il n’y as pas que de la chance. Si ils l’ont choisis en tant qu’élu, c’est qu’il a le cœur pur, affirma la deuxième voix apaisante.
Je sentais mes forces revenirent au fil du temps, mais je ne pouvais toujours pas ouvrir les yeux. A croire qu’on m’y en empêchait.
_J’ai bientôt fini, s’exclama la première voix.
_Je suis désolé, petit, mais il va falloir qu’on se sépare, dit alors la voix grave.
_Quoi ?! Attendez, dites moi comment vous…
_Bonne chance, Sonic, murmura la seconde voix au creux de mon oreille.

J’ouvrais les yeux. Sombre. Tout était sombre autour de moi. Je m’asseyais en me massant la tête. Soudain, la réalité me frappa au visage. Tails ! Je me relevais rapidement, pas le temps de traîner ! Un rapide regard aux alentours…Ce n’était qu’une pièce. Mais il y avait quelque chose qui me gênait, je ne savais pas quoi. Quand soudain, un cri perçant me brisa les tympans. C’était inhumain, quelle créature pouvait bien faire un boucan pareil ?! Le cri stoppa aussi soudainement qu’il était apparu, et lorsque j’ouvris les yeux, je remarquais enfin ce qui me gênait tant dans cette pièce. C’était le hall d’entrée : j’étais revenu au point de départ. Et pour Knight, qui avait pris l’un des couloirs en face, il lui était arrivé la même chose ? Si ça se trouvait, le couloir l’avait eu ! Je ne pouvais rien faire pour lui, il ne me restait plus que les escaliers. Je me dirigeais en courant vers eux. Je les montais rapidement, ne sachant pas sur quoi tomber une fois en haut. Un grand couloir s’offrait à moi, plein de tableaux, un tapis posé sur le sol. Une porte au bout du couloir. Une seule et unique porte. Encore un piège ? N’ayant d’autre choix que de vérifier, je m’avançais pas à pas dans le couloir. Les tableaux représentaient différents paysages, mais ils étaient tous dessinés de nuit, en compagnie d’une pleine lune. Le tapis était rouge avec des bordures blanches sur chaque côté. Je gagnais après quelques minutes de marche furtive la porte. Je la poussais doucement. Celle-ci émit un étrange grincement, mais s’ouvra facilement sur un autre couloir perpendiculaire à celui que je venais de traverser. Je m’avançais et regardais à droite et à gauche. Quel chemin prendre…

RAAAH !!! Mais ils ne se finissent jamais ces couloires ou quoi !?
Le passage qui ma plu c'est quand Sonic était dans l'ovale orange et quand les voix lui parlait; d'ailleurs je crois que j'ai une hypothèse à cet étrange phénomène  (j'espère que c'est pas vraiment ça sinon j'aurais tous cassé le suspense):
En fait, Sonic s'était mortellement blessé lors de la traversée de la porte (ne me demandez pas comment). Dieu (la voix), dans son infinie sagesse décida de le sauver en lui insufflant une nouvelle vie avec l'aide de ses deux anges. Lors de la régénération, ont le mit dans l'ovale (qui représente le placenta dans le ventre d'une mère) qui le fit regagner sa santé. Ceci explique la sensation agréable de Sonic et l'incapacité d'ouvrir les yeux (tout comme un bébé).
Alors, il y en a là dedans hein ?
Nan sans déconner, c'est un bon chapitre: d'ou viennent ces voix céleste qui sortent dont on ne sait ou ?
Malheureusement, ça manque de combat (oui je suis pompant) mais je pense que ça reviendra au prochain chapitre, aller !! On veut du sang, de la chique et du molard !!  :lol:

o_o
O__O
Quelle...explication...wow.
Faut pas aller chercher trop loin non plus, Saïko XD !
C'est l'énigme d'avant qui t'as chauffer ou quoi ?!
Je n'ai nullement l'envie de faire intéragire un dieu ou ses anges dans cette fic O_o
Le mystère restera entier jusquà la fin :P
Mais sincèrement, j'ai été bluffé par l'explication :o

Pour le manque de combat, de sang, et des autres choses dont tu me fais la demande, vous allez être servis pour la suite...

Merci d'être encore une fois passé ^^

Et je passe encore !! (Je ne suis pas encore épuisé même si ça commence)



Nan, ça m'est venu comme ça mais il faut dire que des fois je m'étonne un peu.

Bon ben, je crois que je vais m'éclipser et laisser les autres répondre (faut pas que j'abuser quand même)
P.S: Vivement le prochain chapitre !!! *fais deux pas et s'écroule sur son lit*