dans le genre, il dit une phrase du style énigme tous le temps histoire de rendre fou les personnes qui l'écoutent :twisted:)
XD ! Je me rend compte que je ne suis plus le seul sadique ici, à présent o_o"
Merci pour ton com ^^ Pour la voix, vous verrez ça dans le chapitre qui va suivre et en continuant l'histoire.
Pour Yoh et Will :
Vous ne devinerez jamais où j'ai bien pu trouver la source de cette énigme XD. Merci à vous deux d'êtres passés ^^
Et Shkeil, merci beaucoup à toi pour ton com O_o, qui m'encourage grandement !
C'est donc avec grand plaisir que je poste la suite, bonne lecture ^^
Chapitre 22 : Une aide précieuseTout d’abord, ce fut ma main. Puis mon bras. Et puis mon corps. Je me retournais, les yeux toujours fermés. Des images furetaient partout dans mes souvenirs. Après y avoir remis un peu d’ordre, je me souvins de tout ce qui s’était passé dans le couloir. Je me levais en sursaut, les yeux soudainement ouverts, mais je dû les refermer aussitôt, en retombant, la tête me tournant.
_Calme toi un peu, veux-tu ! Ronchonna une voix féminine à mon intention.
_Parle lui un peu mieux, avec la chute qu’il vient de faire…Lui répondis une autre voix féminine.
_Je me demande comment il peut encore se relever après ça, continua la première voix, plutôt normale pour une voix féminine.
_Tu devrais en être contente, rigola la deuxième voix apaisante, un peu plus aiguë que la première.
Je me sentais étrangement bien. J’étais comme enveloppé dans une espèce d’ovale brillant orangé. Bizarrement, je voyais ça alors que mes yeux étaient fermés. Qui étaient-elles, où étions-nous, qu’était cet ovale ? Mon corps ne pouvait plus bouger. Ma tête me faisait mal. J’étais en train de mourir ?
La deuxième voix rigola soudainement d’un petit rire.
_Mais non, tu n’es pas mort, et tu n’es pas non plus en train de mourir, s’exclama t-elle.
_Encore heureuse, je ne fais pas tout ça pour te voir mourir sur place ! S’emporta la première voix.
_Qui êtes…vous ? Articulais-je avec un peu de mal.
_Tu n’as pas besoin de savoir ça pour l’instant, résonna une voix grave.
Cette voix. Je la reconnaîtrais entre milles. Celle qui m’avait parlé dans le couloir !
_Ravi que tu t’en sois tiré, petit, continua t-il.
_Vous ! M’exclamais-je avec plus de force que tout à l’heure.
Je m’en voulais de ne pouvoir ne serait-ce qu’ouvrir les yeux.
_C’était très peu, tu as eu beaucoup de chance.
_C’est ce que je dis depuis le début, c’est un chanceux ! Ronchonna la première voix.
_Il n’y as pas que de la chance. Si ils l’ont choisis en tant qu’élu, c’est qu’il a le cœur pur, affirma la deuxième voix apaisante.
Je sentais mes forces revenirent au fil du temps, mais je ne pouvais toujours pas ouvrir les yeux. A croire qu’on m’y en empêchait.
_J’ai bientôt fini, s’exclama la première voix.
_Je suis désolé, petit, mais il va falloir qu’on se sépare, dit alors la voix grave.
_Quoi ?! Attendez, dites moi comment vous…
_Bonne chance, Sonic, murmura la seconde voix au creux de mon oreille.
J’ouvrais les yeux. Sombre. Tout était sombre autour de moi. Je m’asseyais en me massant la tête. Soudain, la réalité me frappa au visage. Tails ! Je me relevais rapidement, pas le temps de traîner ! Un rapide regard aux alentours…Ce n’était qu’une pièce. Mais il y avait quelque chose qui me gênait, je ne savais pas quoi. Quand soudain, un cri perçant me brisa les tympans. C’était inhumain, quelle créature pouvait bien faire un boucan pareil ?! Le cri stoppa aussi soudainement qu’il était apparu, et lorsque j’ouvris les yeux, je remarquais enfin ce qui me gênait tant dans cette pièce. C’était le hall d’entrée : j’étais revenu au point de départ. Et pour Knight, qui avait pris l’un des couloirs en face, il lui était arrivé la même chose ? Si ça se trouvait, le couloir l’avait eu ! Je ne pouvais rien faire pour lui, il ne me restait plus que les escaliers. Je me dirigeais en courant vers eux. Je les montais rapidement, ne sachant pas sur quoi tomber une fois en haut. Un grand couloir s’offrait à moi, plein de tableaux, un tapis posé sur le sol. Une porte au bout du couloir. Une seule et unique porte. Encore un piège ? N’ayant d’autre choix que de vérifier, je m’avançais pas à pas dans le couloir. Les tableaux représentaient différents paysages, mais ils étaient tous dessinés de nuit, en compagnie d’une pleine lune. Le tapis était rouge avec des bordures blanches sur chaque côté. Je gagnais après quelques minutes de marche furtive la porte. Je la poussais doucement. Celle-ci émit un étrange grincement, mais s’ouvra facilement sur un autre couloir perpendiculaire à celui que je venais de traverser. Je m’avançais et regardais à droite et à gauche.
Quel chemin prendre…